samedi 12 octobre 2024

ZELENSKY L' UKRAINIEN FAIT LA TOURNÉE DES POPOTES ET PART AVEC 3 MILLIARDS ! MERCI MACRON !

 Revue de presse !


Espoir de paix ? 

Zelensky ne parle plus de victoire mais de « fin de la guerre »

Capture d'écran novyny live
Capture d'écran novyny live

Mutatis mutandis, c'est un peu comme pour le budget de rigueur Barnier. 

Il fait grincer bien des dents mais tout le monde sait, in petto (et surtout ceux qui nous ont mis dans ce pétrin de la dette), que c'est ça - ou quelque chose du même genre - ou la faillite. 

Un moindre mal dicté par la réalité. 

Pour la guerre - car là, il s'agit de vies humaines et de familles brisées pour toujours -, c'est encore plus vrai et la phrase de Benjamin Franklin (« Il n’y a jamais eu de bonne guerre ni de mauvaise paix »), que l'on n'entendait plus que pour Gaza, refait discrètement surface pour l'Ukraine aussi.

Pour la première fois, ce vendredi, le président ukrainien Zelensky a abandonné sa rhétorique jusqu'au-boutiste de victoire : « L’Ukraine […] veut une fin juste et rapide de cette guerre […] je voudrais voir cela pas plus tard que l’année prochaine, [en] 2025 »

Derrière la périphrase diplomatique, on entr'aperçoit le mot « paix ». 

Signe de l'importance de ce tournant : il a prononcé ces mots historiques à Berlin, après un entretien avec le chancelier Scholz, premier soutien européen à l'Ukraine. 

Le chancelier, lui, a bien prononcé le mot magique.

 Il y a tout juste un mois, du reste, ce même chancelier allemand ne déclarait-il pas : « Je crois que le moment est venu de discuter de la manière dont nous pouvons sortir de cette situation de guerre plus rapidement que nous ne le pensons actuellement ». 

Aujourd'hui, on est dans la même logique. Même si c'était pour rappeler les exigences du camp occidental : « Nous n’accepterons pas de paix dictée par la Russie », et même si le président ukrainien a démenti toute discussion sur un cessez-le-feu. 

La formule de la paix-diktat est peut-être un peu malheureuse dans la bouche d'un chancelier allemand. Mais ces déclarations constituent un indéniable progrès vers un horizon de paix.

D'autres signes témoignent de cette inflexion vers plus de réalisme du président ukrainien. 

Sur le terrain, la Russie continue à grignoter le Donbass

La question de la réduction du soutien occidental pèse aussi, avec l'incertitude de l'élection américaine et le désengagement prévu de l'Allemagne, malgré les déclarations formelles de soutien.

 Ce tournant pacifiste, amorcé depuis plusieurs mois, prend une nouvelle résonance avec un tournant comparable que l'on constate dans la couverture médiatique du conflit, où la ligne belliqueuse se fait bien plus discrète. 

Ainsi cet article d'Alexandre Lévy dans Courrier international qui, rendant compte de la vision russe, révèle que Zelensky serait porteur, à côté de son « plan de victoire », d'un plan B prévoyant des cessations de territoires ukrainiens en échange d'une adhésion à l'OTAN de cette nouvelle Ukraine.

 Le tout est évidemment présenté comme inquiétant la Russie.

 Mais c'est un changement notoire dans la rhétorique médiatique occidentale.

 

Ce retour au réel est puissamment encouragé par deux diplomates américains chevronnés, Richard Haass et Charles Kupchan, respectivement conseillers de Bush et d'Obama, à qui L'express a ouvert ses colonnes, le 6 octobre dernier, et qui « appellent les Occidentaux à admettre "l’inconfortable réalité" sur l’Ukraine et à changer rapidement de stratégie ».

 Et à cesser le discours jusqu'au-boutiste de la victoire qu'ils avaient jusqu'à présent servi à leurs propres peuples. Concrètement, ils envisagent une solution à la coréenne ou à la chypriote : « Un armistice est en vigueur depuis 1953 entre les deux Corées, mais le "statut final" n’est toujours pas résolu. Le cas de Chypre est également intéressant.

 Depuis le début des années 1970, il n’y a pas de règlement juridique ni de "paix" à proprement parler, mais les armes se sont tues, les gens vivent leurs vies, vaquent à leurs occupations. Là encore, c’est une situation provisoire, injuste aux yeux de beaucoup, mais mieux que l’alternative, à savoir la guerre ».

On sait aussi que le retrait ukrainien sur le terrain se fait avec des pertes russes considérables, comme le révèle une enquête du Figaro.

 Un article qui ne dit rien des propres pertes ukrainiennes. 

Ce que l'on sait, en revanche, c'est que les désertions se multiplient, côté ukrainien : 15.000 en un an.

Incontestablement, tous les voyants sont au rouge pour que la paix advienne, et depuis plusieurs mois.


Frédéric Sirgant
 
Par Frédéric Sirgant 
 
Chroniqueur à BV, professeur d'Histoire 
 
ET AUSSI


 TRIBUNE LIBRE !

Macron a-t-il offert à Zelensky les 3 milliards qu’il lui a promis pendant que Barnier nous tond ?

 

 Image surréaliste. Macron-Barnier nous annoncent avec le sourire qu’on va en baver, qu’on va se cailler, qu’on va devoir vendre nos maisons de famille pour payer notre gaz et nos impôts, et le Macron-Ceaucescu de continuer à mener grand train avec nos sous pour que la guerre continue sur notre sol, pour que l’immigration s’amplifie, pour que l’on achète notre lait venu de Nouvelle-Zélande pendant que nos éleveurs crèvent la bouche ouverte.

 Qui a dit « révolution » ? 

Apparemment ils ont réussi à faire disparaître le mot des dictionnaires.

Lecteur vidéo

00:00
00:24

 

Sérieusement, le RN va-t-il continuer longtemps à permettre au salopard de l’Elysée de nous tondre pour enrichir le nazi ukrainien et  faire la guerre à l’immense Poutine, l’un des rares dirigeants dignes de ce nom dans le monde ?

On se souvient que Macron, en février 2024, avait promis à Zelensky de lui offrir encore 3 milliards, en sus des 5 milliards déjà versés et des armes dont il le gave sur le dos des Français depuis 2 ans (une consolation, si la guerre éclate, elle ne durera pas longtemps, on n’a plus rien pour faire la guerre)

Zelensky refait la tournée des popotes, se gardant bien, le fourbe, le voleur, de parler de négociations. 

Et il n’est même plus président. Les élections qui devaient avoir lieu en mai dernier n’ont pas eu lieu… Zelensky a-t-il tellement peur d’être désavoué par les Ukrainiens aspirant à la paix ?

En tout cas, sans vergogne, Zelensky fait une fois de plus le tour des popotes et il est tout à fait vraisemblable que dans une France en train de rejoindre la Grèce, devant des Français se demandant comment ils vont pouvoir nourrir leurs enfants et les empêcher de mourir de froid, Macron lui a donné nos 3 milliards promis au printemps.

 On sait que der Leyen veille au grain et qu’elle oblige les pays européens à cracher au bassinet pour les vilains yeux du nazi ukrainien.

 

L’accord entre la France et l’Ukraine

Deux ans après le début de guerre d’agression de la Russie contre l’Ukraine, le président de la République a accueilli le président de l’Ukraine, Volodymyr Zelensky au Palais de l’Élysée, le vendredi 16 février 2024.

À l’occasion de cette rencontre, ils ont signé un accord bilatéral de sécurité entre la France et l’Ukraine.
Cet accord fait suite aux engagements pris par le G7 à l’occasion du Sommet de l’OTAN à Vilnius en juillet 2023.
 
L’accord, d’une durée de 10 ans, est valable tant que l’Ukraine n’aura pas rejoint l’OTAN. Il souligne la volonté de la France de soutenir l’Ukraine avec des engagements précis dans les domaines militaire et civil.
 
Avec cet accord, la France s’engage à fournir jusqu’à 3 milliards d’euros d’aide militaire supplémentaire à l’Ukraine en 2024. Ce soutien permettra de renforcer significativement les capacités militaires ukrainiennes et de répondre aux besoins urgents du pays en matière de défense.
 
 
Par Christine Tasin
 
 
 
 

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire