jeudi 24 octobre 2024

QUAND LA GAUCHE PRÉTEND LUTTER CONTRE LA DROGUE !

 


 

Drogues : le poison qui consume la France – l’heure de la riposte impitoyable a sonné 

[L’Agora]

Suite à « l’affaire Kerbrat » du nom de ce député de Loire-Atlantique arrêté en possession d’une drogue de synthèse – et montré du doigt comme s’il était le seul, parmi l’élite qui dirige ce pays, à se droguer (ce qu’absolument personne ne peut valider quand il connait un petit peu ce qui se passe en off à l’Assemblée nationale, au Parlement Européen ou dans d’autres cercles très privés de la haute société), voici une tribune libre percutante, pour une prise de conscience sur la drogue, et sur sa banalisation dans tout le pays (et pas que).

 

La France est en train de sombrer. 

Une marée insidieuse de substances toxiques envahit nos villes, nos campagnes, nos écoles, nos foyers. 

La consommation de drogues dures explose, touchant toutes les couches de la société, des quartiers populaires aux salons feutrés du pouvoir. 

 Personne n’est épargné, pas même ceux qui prétendent diriger le pays.

Les centres d’addictologie sont débordés, incapables de faire face à l’afflux constant de nouveaux cas.

 Les drogues de synthèse, ces poisons chimiques aux effets dévastateurs, se répandent comme une traînée de poudre

. Inconnues des professionnels de santé, elles sont pour certaines impossibles à traiter efficacement. 

Chaque jour, de nouvelles victimes tombent, piégées par l’illusion d’un paradis artificiel qui se transforme rapidement en enfer.

Il est temps d’agir. Il est temps de prendre des mesures radicales pour sauver nos enfants, notre jeunesse, notre avenir.

 Pour vacciner les générations à venir contre ce fléau, nous devons frapper fort et sans compromis.

 

Tolérance zéro : pénaliser pour protéger

La possession et la consommation de drogues, qu’elles soient dures ou douces, légales ou illégales, doivent être pénalisées lourdement. 

Fini le laxisme et la complaisance. 

Chaque individu pris en flagrant délit doit répondre de ses actes. 

Pour les mineurs, la responsabilité incombe aussi aux parents. 

Après un avertissement, le retrait des aides sociales doit être systématique pour ceux qui ferment les yeux sur les dérives de leurs enfants.

 Il ne s’agit pas de punir aveuglément, mais de responsabiliser chacun face à ce fléau qui gangrène notre société.

 

Choc éducatif : montrer la réalité sans fard

La prévention traditionnelle a montré ses limites.

 Les discours moralisateurs et les campagnes édulcorées n’ont aucun impact sur une jeunesse en quête de sensations fortes. 

Il est temps de les confronter à la réalité brute et sans concession de la drogue.

Dès le début du lycée, il faut imposer le visionnage de films tels que Requiem for a Dream ou Trainspotting.

 Des œuvres violentes, choquantes, qui ne laissent personne indifférent. 

 Il faut projeter des images qui marquent, qui font pleurer, qui traumatisent s’il le faut. Montrer les ravages physiques, mentaux, sociaux. Exposer la déchéance, la souffrance, la mort. 

Faire comprendre que derrière chaque dose se cache un abîme sans retour.

Mais cela ne suffit pas. Il faut également révéler l’horreur qui se cache derrière le trafic de drogue. 

Les tortures, les viols, les massacres commis par les cartels pour contrôler ce commerce sanglant. 

Chaque pilule, chaque gramme de poudre est teinté du sang des innocents. 

 Il est essentiel que nos jeunes réalisent que leur consommation alimente une machine de mort et de destruction.

 

Une guerre sans pitié contre les cartels

La lutte contre la drogue ne peut être efficace sans s’attaquer à la source.

 Les cartels doivent être combattus et effacés de la surface de la planète avec une détermination sans faille. 

Nos forces de l’ordre doivent disposer des moyens nécessaires pour démanteler ces organisations criminelles. 

La coopération internationale doit être renforcée pour traquer et arrêter ces barons de la drogue qui se croient intouchables. 

Il n’y a pas de place pour la négociation ou la clémence.

 Seule une action résolue et impitoyable pourra briser leurs réseaux et assécher le flux de substances illicites vers notre pays.

 

Les drogues légales : un scandale médical

Mais le poison ne vient pas seulement des laboratoires clandestins. 

 Les drogues dites légales, telles que les benzodiazépines, les calmants, le valium ou les opiacés, sont prescrites à tour de bras par certains médecins, transformant leurs patients en dépendants chimiques. 

Cette médicalisation de la détresse humaine est un scandale qui doit cesser immédiatement.

Les praticiens et les services de santé qui distribuent ces substances sans réelle nécessité doivent être traduits en justice. 

Leur asservissement aux laboratoires pharmaceutiques, motivé par l’appât du gain, les rend complices de cette épidémie silencieuse. 

Ils doivent être radiés de leur profession, sans possibilité de retour.

 Les laboratoires eux-mêmes ont des comptes à rendre.

 Leur responsabilité lourde dans la diffusion massive de ces drogues, pour des gains financiers colossaux, ne peut être ignorée.

 

Lutte contre la drogue : le courage d’une révolution

La situation est critique, mais pas désespérée.

 Il est encore temps d’agir, de prendre les mesures nécessaires pour inverser la tendance. 

Cela exige du courage, de la détermination et une volonté politique à toute épreuve. 

Les demi-mesures et les compromis ne feront que prolonger l’agonie de notre société.

Nous devons nous lever, ensemble, pour protéger nos enfants, notre culture, notre nation.

 La drogue est un ennemi insidieux qui détruit de l’intérieur.

 Face à lui, seule une révolution des consciences et des actions pourra nous sauver.

 Il est temps de choisir entre la complaisance coupable et la défense intransigeante de notre avenir.

Par Julien Dir

 
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

 

ET AUSSI

Est-il légal de rester député et voter des lois quand on est toxico et reconnu grand malade ?

Nos élus, on les veut stupéfiants par actions, non par addictions ! Dehors Andy Kerbrat !

Encore un « Insoumis » gratiné … à ce stade leur service casting est un vrai petit bijou …

Dans ce foutoir à ciel ouvert qu’est devenue la France de Macron, s’acharnant à assassiner celle des Patriotes et de leurs valeureux ancêtres, il n’est guère un mois, une semaine, quelques jours… sans un nouveau scandale, toujours plus exécrable, en provenance de cette prétendue gauche virant de plus en plus en une secte de gravissimes malades mentaux, se voulant toujours totalement irresponsable des maux qu’elle produit par la crétinerie avérée de ses « têtes pensantes » !

 

S’il est vrai qu’avec Michel Barnier la France n’a pas touché le gros lot en matière de « Premier ministre », jusqu’ici bien plus véloce à endosser le désormais costume officiel du « politiquement correct » (comprendre en phase avec les fous furieux mondialistes et leur pion attitré en France logeant aux frais de la « princesse ») qu’à se remonter les manches pour enfin exécuter ce qu’il a promis au peuple  Français, vrai souverain sans cesse piétiné par ces rois de la mise en scène du mensonge permanent

 

Il est également exact que nos derniers espoirs de concorde avant le grand chamboule-tout planétaire qui s’annonce de plus en plus dangereusement, reposent sur les courageuses mais néanmoins frêles épaules d’un Bruno Retailleau qui, malgré l’extrême difficulté de l’exercice en raison de l’environnement délétère érigé par les ennemis de la France et des vrais Français, ose tenir officiellement des propos jugés infamant par les bobos-gauchos-collabos, contre le virus de leur idéologie destructrice.

 

Alors au sujet du dernier scandale en date, celui du député LFI Andy Kerbrat pris en plein approvisionnement de drogue de synthèse dans le métro… cette gauche moribonde mais qui bouge encore est bien décidée à « mettre le paquet » pour transformer le déjanté toxico plus vraiment en état d’œuvrer pour la France… en courageux héros qui va se soigner… rejetant aux oubliettes (croient-ils) la seule et véritable question à laquelle il est impératif de répondre : est-il toujours légitimement apte à honorer son contrat d’élu, en participant à de futures lois qui impacteront les citoyens sains de corps et d’esprit ?

 

Comme toujours, tous les journalistes de la désinformation à outrance, perpétuellement aux abonnés absents lorsqu’il s’agit de défendre courageusement une cause réellement humaine face au rouleau compresseur des idéologies déphasées des faux gauchistes… sont curieusement bien présents lorsqu’il s’agit de participer à une extraordinaire manipulation politico-médiatique, notamment autour de ce bouffon, ascendant girouette, incapable d’aligner une ligne de défense qui tienne debout, avec des éléments ne pouvant qu’être retenus à charges contre lui par les gens « normaux » !

Peu importe que ce mariolle démontre largement son irresponsabilité en s’emmêlant les pieds dans le tapis de sa défense, lorsque par exemple il reconnaît son addiction et l’assume… en oubliant totalement le discours pourfendeurs de dealers qu’il tenait il y a peu…

 

Il y a quelques mois, à peine, le jeune homme se faisait le chantre de la lutte contre la drogue et courait les plateaux pour y livrer ses solutions. « 

C’est la police judiciaire ! 

C’est le démantèlement des réseaux et des trafics humains ! », déclarait-il, fin 2023, à Télé Nantes, dénonçant le danger des « plaques tournantes » locales.

 « La lutte contre la drogue avant tout ! »

 

Comme démonstration d’hypocrisie profonde, il est difficile de faire mieux !

Ce qui, n’échappant pas aux citoyens « cleans » lui vaut immédiatement la réaction de son opposition locale, à commencer par Guillaume Richard, conseiller municipal à Nantes, qui a estimé que M. Kerbrat devait présenter sa démission immédiatement.

 

Mais serez-vous étonnés de la clémence de sa foldingue de collègue, ne perdant jamais une occasion d’ouvrir sa fosse à niaiseries, qu’elle arbore sur tous les plateaux et partout où on ne lui demande rien :

Sandrine Rousseau a apporté son plein soutien à son collègue insoumis. « Cher Andy, la consommation de drogue et l’addiction sont un enjeu de soin, de santé psychique et d’accompagnement. Tu as reconnu, tu es dans un parcours de soinsReviens-nous en forme. » Faute avouée, entièrement pardonnée.

 

La réaction de Rachid Melenchon, est également un monument d’enfilage de perles habituelles, régurgitant à nouveau son aigreur à propos de l’extrême droite, dans un bouquet de mauvaise foi flagrante :

 

Donc, Jean-Luc, si le directeur de publication de V.A. vient demain frapper à ta porte pour reconnaître son penchant pour l’extrême droite, demander pardon et promettre de se soigner … tu lui ouvriras grand tes bras magnanimes ???

 

En attendant sa réponse, le communique de presse du député Andy Kerbrat, c’est ici :

https://x.com/JLMelenchon/status/1848780288769360059

 

Sur Bd Voltaire, Jean Kast rappelle la liste des tartufferies de l’extrême gauche :

  • On pense à Adrien Quatennens condamné à quatre mois de prison avec sursis pour violences conjugales alors que son mouvement fustige le « patriarcat » à longueur de journée.
  • On se souvient, aussi, de Sébastien Delogu, très en verve contre les violences dites « systémiques » de la police, mais lui-même poursuivi pour violences.
  • On songe encore à Rima Hassan, pourfendeuse des « colons » en Algérie ou en Palestine, mais silencieuse quant à l’invasion de la France. Etc.

https://www.bvoltaire.fr/andy-kerbrat-depute-delinquant-ou-victime-de-lextreme-droite/

 

Bon, d’accord, ce pauvre Andy a reconnu les faits, mais ce n’est pas sa faute pour autant, et pour se tirer de ce mauvais pas il n’a d’autre ressource que de tirer à vue sur la cible habituelle et préférée de son clan de barjots : l’extrême droite ; en l’occurrence Valeurs Actuelles coupable de l’avoir salement dénoncé !

Comme il l’affirme, Andy Kerbrat souffre de « problèmes personnels » et de « fragilités psychologiques ». Il n’est rien de plus qu’une des innombrables « victimes de l’addiction ». 

Comment ne pas mieux démontrer la fourberie de cette engeance, qui n’a jamais un mot de compassion envers quiconque « pense mal », évitant de lui trouver des excuses, et n’ayant par ailleurs jamais défendu une politique destinée à reconnaître que certains grands malades ont absolument besoin de drogues pour lutter contre de terribles douleurs.

 

En revanche, de la compassion ils en ont à revendre dès qu’un des leurs en a besoin… quel que soit le (scandaleux) sujet du jour !

Ainsi, ce ver de terre qui comme tous ses semblables cuistres n’apprendra jamais rien de ses erreurs passées, se permet également de traiter Retailleau d’homophobe et lui fait la leçon…

Non, non, ne vous pincez pas, vous ne rêvez pas, il a vraiment posté cela !

 

On a beau être rodés aux entourloupes en tous genres de la caste des « bien-pensants », pourfendant férocement quelques « brebis galeuses » ciblées au R.N. pour quelques propos jugés haineux, pendant qu’elle enterre à tours de bras les nombreuses « erreurs de parcours » de tant de ses affidés ; cette nouvelle tranche de manipulation politico-médiatique donne de furieuses envies de coup de pieds bien placés, balancés à tous ces jeanfoutres ayant systématiquement piscine chaque fois qu’un vrais problème est découvert… dans leur camp… mais se déchaînent avec une virulente méchanceté chaque fois qu’un adversaire, assimilé à un dangereux ennemi, trébuche maladroitement… sur une peau de banane, posée là par le plus grand des hasards !

Assez de ces sempiternelles leçons de morale de cette gauche putride ne supportant pas le moindre écart à leurs codes de plus en plus grotesques, quand elle supporte, comprend, et excuse toutes les abjections sévissant dans ses rangs.

Qu’ils se droguent, qu’ils se noient dans les outrances des comportements dangereux, soit, c’est leur problème, mais qu’ils nous « foutent tranquilles » comme disait si judicieusement feu Coluche, dans un langage direct, aisément compréhensible même pour des esprits gravement malades ; et qu’ils nous laissent apprécier d’être définitivement « normaux » et sains d’esprit !

Par Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

 


ET AUSSI 

Le drogué Kerbrat doit être déchu de sa députation : coupable et responsable !

 

Le minimum, quand on est député, et donc « représentant du peuple », c’est de ne pas avoir de pratiques illicites, non ?

Il dit qu’il va se soigner… Ah ! Ah ! Ah !

 Parce que, à 34 ans, il n’était pas capable, jusque-là, de comprendre qu’il était en tort ? Parce que jusque-là, alors même qu’il s’était porté candidat à la députation, il n’était pas capable de savoir et de comprendre qu’il était un délinquant, un drogué capable de faire n’importe quoi (comme  Palmade par exemple) et donc de mettre la vie d’autrui en danger ? 

Et ce sale type vote, décide pour le peuple, il est censé nous représenter ? 

Non mais ça ne va pas ?

Eh oh ! Les dégénérés Insoumis et leurs amis qui, comme d’habitude, défendent l’indéfendable et qui veulent faire passer un délinquant, un pauvre type (oui, un drogué est un pauvre type, un sale type) pour une victime.

 Une victime de quoi, connards ? De lui-même ? 

Pas capable d’arrêter, de se faire soigner, à 34 ans ?

Je voudrais bien savoir ce que diraient les « amis » de circonstance  comme Sardine Rousseau si c’était un député RN qui avait été pris sur le fait… 

Je le sais déjà, hurlements, insultes, refus d’être dans l’Hémicycle en même temps que lui, cacas nerveux, conférences de presse…  

Les Insoumis et les Ecolos, le restant de la colère de Dieu, au sud rien de nouveau.

D’aucuns vont me dire qu’il faut comprendre, excuser, aider… une gamine de 13 ans tombée dans la drogue, oui, 100 fois oui qu’il faut l’aider. 

Mais un grand dadais de 34 ans, député qui plus est, apparemment en possession de toutes ses capacités mentales ??? 

Qu’il se démerde, qu’il se fasse soigner et qu’il ne fasse pas honte au peuple de France !!!

Impardonnable. Inexcusable. 

Et c’est payé avec mes impôts, ce dégénéré ?

Vu la gueule qu’il fait, je suppose que, lors de cette séance à l’Assemblée, en 2023, il était sous l’influence de substances et interdites et altérant le bon sens.

 La honte, le scandale.

Le quidam avouerait « des problèmes personnels et des fragilités psychologiques ».

 Je t’en foutrais, des problèmes personnels, ton petit ami t’a quitté parce que tu te drogues et du coup tu te drogues 2 fois plus, pauvre type ? 

Tu souffres de fragilités psychologiques mais ça ne te dérange pas de te présenter pour représenter le peuple français et gérer en toute conscience, en toute objectivité son avenir, connard ?    DEGAGE !!!!

Et cette ordure, je pèse mes mots, achète la pourriture qu’il consomme à des dealers mineurs !!!! Ordure ! 

Ça ne le dérange pas de participer à l’insécurité créée par des adolescents – migrants bien souvent – qui dealent, qui frappent, qui sont capables de se transformer en tueurs sous l’influence des saletés qu’ils consomment eux aussi ?

Il paraît que ce pauvre type est fils d’enseignants… 

Enseignants gauchistes pratiquant la fumette et compagnie ou enseignants un peu plus rigides qu’il aura voulu provoquer ?

 Je n’en sais rien, même si je suis tentée de suivre ma première hypothèse, à mon grand dam…

En tout cas, toute une éducation à refaire. 

Le gars, représentant de la République, donc mon représentant aussi (quelle honte !

 Quel outrage !) s’en prend à la police et fait vivre les ordures qui dealent. 

Et il va nous parler de la République, cet enfoiré ?

Et il ose interpeller Retailleau : « Retailleau fait partie du problème, jamais de la solution. » Source.

Si j’avais envie de rire, je dirais « c’est celui qui le dit qui y est »

 Mais j’ai des envies de hurler et de gifler l’impudent et ses soutiens, vous ne pouvez pas savoir ! 

Le vrai problème n’est pas tant les loques humaines qui font du Parlement une annexe des Halles évoquées par Zola où des harengères s’insultaient, se battaient avec leurs hurlements, leurs invectives, leur drapeau des assassins du Hamas. 

 Le vrai problème c’est que ce sont ces loques, ces ordures, ces dégénérés qui votent les lois permettant à des Abdeslam d’entrer en France pour tuer nos enfants et des lois pour interdire à des gens bien sous tous rapports d’entrer en voiture dans Paris, de manger de la viande, de se chauffer…

Comment diable en est-on arrivés là ???

 Un tiers des Français qui votent pour leurs fossoyeurs… en grande partie grâce aux médias subventionnés, achetés et grâce à des enseignants indignes qui les formatent dès la prime enfance.

 

Par Christine Tasin

https://resistancerepublicaine.com/

 

ET AUSSI

La gauche prétend lutter contre la drogue mais prône à ce sujet une culture de la tolérance

Jeudi 17 Octobre 2024. Andy Kerbat, député de La France Insoumise de la 2e circonscription de Loire-Atlantique, bachelier d’art dramatique, en échec en faculté d’histoire, 34 ans, est interpellé par les forces de l’ordre du 18e arrondissement alors qu’il venait d’acheter des produits stupéfiants à un dealer mineur, dans la station de métro Lamarck-Caulaincourt : 1,35 gramme de 3-MMC, « une drogue de synthèse en vogue dans les milieux festifs de la capitale, dont les effets sont l’euphorie, et la stimulation de la libido »

Il n’a pas été placé en garde à vue après avis hiérarchique. 

Le Parquet de Paris indique : « Le vendeur était identifié comme un mineur, déjà connu pour une dizaine de faits et condamné début octobre pour des faits de trafic de stupéfiants à une peine de 4 mois avec sursis probatoire. »

Les faits sont accablants. Andy Kerbat, poursuivi pour usage de stupéfiants, les reconnaît aussitôt, présente ses excuses à ses électeurs et adopte une posture victimaire.

Il confesse ses addictions et promet de se soigner pour reprendre son activité parlementaire.

« J’ai été contrôlé en possession de stupéfiants. J’ai reconnu immédiatement les faits … J’assume entièrement ma responsabilité et me mets à la disposition de la justice … Mon entourage proche, mon équipe parlementaire ainsi que ma famille politique ont malheureusement appris les faits par des « révélations » du le journal d’extrême droite Valeurs actuelles avant que je puisse les en informer directement. Cela interroge une nouvelle fois sur la porosité entre des sources policières et les médias d’extrême droite.

Face à des problèmes personnels et des fragilités psychologiques, j’ai pu consommer des drogues de synthèse … Au-delà de ma personne, l’addiction est un problème de santé publique et doit être traitée comme tel.

Je porte ce combat depuis longtemps auprès d’autres victimes de l’addiction. Et je continuerai à le mener.

Je présente mes excuses à mes électrices et électeurs avant tout ainsi qu’à mon groupe parlementaire, à mon équipe et à tous les militant.es insoumis.es« . »

 

Andy Kerbat n’entend donc pas rendre son mandat.

 Les Insoumis et les écologistes font bloc autour de lui.

 Sandrine Rousseau et Sophia Chikirou s’apitoient sur le sort de cet « homme qui a beaucoup souffert ».

Sandrine Rousseau : « Cher Andy, la consommation de drogue et l’addiction sont un enjeu de soin, de santé psychique et d’accompagnement. Tu as reconnu, tu es dans un parcours de soins. Reviens-nous en forme. »

Jean-Luc Mélenchon réagit : « Le député Andy Kerbrat a acheté un produit illégal. Il a reconnu le fait et présenté des excuses à notre mouvement et aux électeurs de sa circonscription. Il déclare être conscient des problèmes que son comportement provoque et d’abord sur sa santé. 

Contre l’addiction qui le domine pour l’instant, il engage un traitement. Je lui exprime mon soutien très amical dans cette lutte. Nous l’entourerons pour cela. Il n’a commis de dommages que sur lui-même. Il est donc déplorable que le journal d’extrême droite Valeurs actuelles en fasse un usage flétrissant et plus encore que les informations connues de la seule police soient rendues publiques.

 La lutte contre les producteurs et les trafiquants serait plus utile et respectable. »

Tous jouent la victimisation et minimisent la faute. Ils voient des liens entre la police et les médias d’extrême droite. 

Autrement dit, Valeurs actuelles n’aurait pas dû divulguer l’affaire. Dans ce cas, qui l’aurait fait ? 

Sûrement pas Mélenchon et sa clique. 

Sûrement pas les médias : on n’attaque pas un homme de gauche, c’est la loi du milieu.

 Combien d’hommes politiques et de célébrités s’adonnent à la drogue, jusqu’au sommet de l’Etat ? Tout le monde sait, mais tout le monde se tait. 

L’Omerta est totale, comme sur bien d’autres sujets. Andy Kerbrat a été pris en flagrant délit, ils ne pouvaient pas garder le silence.

 Mais pour un pris, combien de pas pris ?

Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, invite le député insoumis à « tirer les conséquences de ses actes », et juge intolérable « de voir un député de la République acheter des drogues de synthèse à un dealer de rue alors que le narco – banditisme s’installe en France ».

Au fond, cette affaire pose trois questions : l’éthique personnelle, la duplicité des élus, la responsabilité politique qui impute aux élus un devoir d’exemplarité.

 Le choix de démissionner ou pas relève de la seule conscience d’Andy Kerbat. Rien ne l’y oblige.

Mais son comportement privé contredit ses prises de position publiques. Il a souvent critiqué l’action criminelle des dealers. 

Il a signé une pétition de parlementaires exhortant le gouvernement à agir contre les ravages du Chemsex, la consommation de drogue lors de rapports sexuels. Il se faisait le chantre de la lutte contre la drogue, expliquait sa méthode pour démanteler les réseaux, et dénonçait le danger des plaques tournantes locales. « La lutte contre la drogue avant tout », clamait-il.

Dans les démocraties anglo-saxonnes ou scandinaves, un député arrêté en train d’acheter de la drogue serait immédiatement viré. En France, nombre d’élus condamnés s’accrochent à leurs postes jusqu’au bout, abîmant toujours plus la crédibilité de la parole politique. Exemples.

Février 2022. Adrien Quatennens, député de La France Insoumise, est accusé par son épouse Céline de violences anciennes et répétées. « Cela fait plusieurs années que je subis ses colères, ses crises, ses violences physiques et morales », explique la jeune femme. 

Il sera condamné à quatre mois de prison avec sursis. 

Il a depuis réintégré le groupe parlementaire LFI.

25 Septembre 2024. Pierre-Alain Cottineau, membre de La France Insoumise, est mis en examen pour viols et actes de tortures ou barbarie sur une enfant handicapée de 4 ans.

 Il sera exclu du parti.

9 Octobre 2024. Hugo Prévost, député de l’Isère pour La France Insoumise, est visé par des témoignages qui dénoncent des violences sexistes et sexuelles. 

Il est exclu de son parti et de son groupe parlementaire. Salomé Robin, la suppléante, quitte son « rôle de députée suppléante, dans l’attente d’une démission de sa part ».

Tous ces gens de gauche et d’extrême gauche ne cessent de donner des leçons de morale à la terre entière, prétendent lutter contre la drogue, contre les violences sexistes et sexuelles.

En réalité, ils soutiennent une culture tolérante de la drogue. On nous fait prendre des vessies pour des lanternes et le cannabis pour un substitut avantageux du quart de rouge. Une culture de mort relative à la drogue est favorisée par la mondialisation de la décadence.

Les médias, enclins à distraire plus qu’à informer, les courants dits culturels tels que la musique pop, la techno indissociable de l’ecstasy, le style héroïne en haute couture, Internet, promeuvent cette culture tolérante de la drogue et sapent les efforts de prévention.

Certains hommes politiques, des idoles de la culture pop, propagent la publicité des drogues illicites, créent et renforcent un savoir qui tolère et encourage la consommation de drogues.

Une certaine opinion pousse à la légalisation de ce qui devient un phénomène de société. En 1976, stars et intellectuels ont signé un texte appelant le gouvernement à une position moins rigide sur le cannabis. Depuis cette date, on accepte « l’Appel du 18 joints ».

 Dominique Voynet et Elisabeth Guigou ont évoqué la dépénalisation des drogues dites douces.

Quand un ministre de l’Environnement reconnaît avoir parfois tiré sur un joint, quand un chanteur reçoit la Légion d’honneur et confesse avoir utilisé la cocaïne, comme cela se pratique couramment dans le show-biz, quand des sportifs sont contrôlés positifs au cannabis ou se vantent de fumer des joints, quand des artistes, des comédiens, des écrivains, toxicomanes notoires, parcourent les allées des médias et du pouvoir, on peut parler de culture tolérante de la drogue, d’environnement favorable à l’émancipation des drogues illicites, d’incitation publique à consommer.

L’indignation hypocrite affichée contre le dopage sportif vise à préparer les esprits à en accepter l’autorisation, « sous contrôle ». 

Des groupes de pression puissants mènent des campagnes politiques et désirent obtenir la légalisation des drogues contrôlées.

La volonté de légaliser la drogue, la volonté de légaliser l’avortement et l’euthanasie, participent de la même culture de mort, qui aboutit à l’autogénocide par la loi.

A la fin des années 1990, une campagne « pro–dépénalisation » rappelle la campagne en faveur de l’Interruption Volontaire de Grossesse : des pétitions, des manifestes de personnalités du style : « Oui je me fais avorter ou je me drogue, malgré la loi, et je m’en vante ».

En 1998, à la demande de Bernard Kouchner, secrétaire d’Etat à la santé, un rapport préparé par le professeur Bernard Roques, de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, consacré aux « problèmes posés par la dangerosité des drogues », établit un classement en trois groupes selon leur nocivité :

1 – L’héroïne, les substances opiacées, la cocaïne et l’alcool.

2 – Les psychostimulants, les hallucinogènes, le tabac, et les benzodiazépines.

3 – le cannabis, seul et en retrait.

 

Le rapport Roques est l’un des chaînons manquants. 

Il faut les alibis à apparence scientifique des « experts », les faux chiffres des statisticiens pour l’avortement, la fausse évaluation du danger pour la drogue. 

Tout se tient, tout est soigneusement préparé. Les « Verts » appellent à « légaliser surtout les drogues les plus dangereuses ». 

Dans ces problèmes dits de société, l’idéologie domine, jusqu’à tromper perfidement l’opinion.

 

Dans le sillage du rapport Roques, la Mission Interministérielle de Lutte contre la Drogue et la Toxicomanie, la MILDT, propose une nouvelle approche, associant drogues légales (alcool, tabac, médicaments) et substances illicites (cannabis, héroïne, opiacées, hallucinogènes). 

Puis elle recommande l’allégement pénal contre l’usage de stupéfiants. Elle préconise pratiquement la dépénalisation de la drogue.

Fin octobre 1998, Nicole Paestracci, présidente de la MILDT, remet ce rapport au Premier Ministre, rapport qui aurait dû rester confidentiel. 

Mais Le Monde du 10 Janvier 1999 révèle le contenu de ce rapport. L’entourage de Lionel Jospin est très ennuyé par cette « révélation ». 

Ce rapport n’était qu’un rapport d’étape, une base de travail. On soupçonne cette fuite d’avoir été organisée par ceux qui travaillent à la dépénalisation de la drogue, pour préparer les esprits.

Le Monde titre : « Drogue, le rapport qui change tout ». Puis pose la question : « La science aurait-elle eu raison des idéologies ? » 

Et conclut sur « une manière d’encourager la dépénalisation de la consommation de stupéfiants, mais sans le dire, et sans changer la loi ».

En effet, selon Le Monde, les tenants de la dépénalisation de l’usage des drogues illégales appuient leurs revendications par le biais de la science. 

Ainsi, le rapport ébauche « une vision politique d’ensemble plus en phase avec les réalités scientifiques et sociales de la toxicomanie ».

Dans le rapport, on peut lire : l’ensemble des conduites addictives devraient être prises en compte, « quel que soit le statut légal du produit ».

Cette réévaluation se base sur la vérité scientifique. L’important est de le faire croire, avec ce mot magique et quasi religieux, la science.

La classification des drogues en trois groupes, selon leur dangerosité, se fonde plus ou moins sur leurs effets dramatiques pour la santé. 

Mais dans la démonstration qui en est faite, les chiffres avancés pour les décès consécutifs à l’usage des drogues n’ont aucun sens.

L’alcool, le tabac et les médicaments seraient plus dangereux pour la santé publique que les substances interdites : 60 000 décès par an imputables au tabagisme, 20 000 à l’alcoolisme, 228 morts par overdose d’héroïne. 

D’un côté, l’imprécision de milliers de décès imputables au tabagisme et à l’alcool, chiffres qui n’ont rien de scientifique. 

De l’autre côté, un chiffre précis qui n’a rien de comparable. Ou alors il faudrait comparer avec le nombre de morts par coma éthylique. 

Or, les chiffres ne parlent pas des décès par toxicomanie après des années de consommation.

Le rapport sous-entend la dépénalisation des drogues illicites, souhaite plus de clémence de la part des tribunaux, et réclame « une politique pénale plus déterminée » pour les consommateurs d’alcool.

 Si le tabac, l’alcool et les médicaments sont si dangereux pour la santé, pourquoi faudrait-il alors dépénaliser les autres drogues dangereuses, voire plus risquées encore ?

Le trafic de la drogue représente 400 milliards de dollars, c’est-à-dire 1% du PIB de toute l’humanité, le budget d’un petit Etat. 

Des milliers de personnes font fortune grâce à ce trafic mafieux, y compris des politiques. 300 millions de personnes sont devenues dépendantes, avec une augmentation annuelle de 8%. La consommation de cannabis est en pleine expansion. Des politiciens tentent de légaliser ces drogues douces en attendant les drogues dures.

En Hollande, le commerce de la drogue est aux mains des coffee shops et appartient au grand banditisme. La ville de Maastricht voit passer chaque année deux millions de « touristes », venus s’approvisionner chez elle.

En France, la MILDT a édité un petit livre dans lequel l’usage du cannabis et de la cocaïne est comparé à la consommation de cigarettes.

 Ainsi, les jeunes trouvent une justification à leur comportement, alors que ce petit livre est censé les protéger.

Madame Maestracci, ancienne présidente du MILDT, a publié un « Que sais-je » sur les drogues qui dénonce l’utopie d’une société sans drogue. 

Elle était chargée de lutter contre la toxicomanie.

 Elle avoue que la recherche de drogue doit être admise comme consubstantielle à l’homme, comme la recherche du bonheur ou la prescience de la mort.

L’essentiel est toujours de goûter au fruit défendu, « quoi qu’il en coûte », mais qu’il vaut mieux occulter. 

On reconnaît à tous ces mensonges modernes la signature de la culture de mort. 

Et qui est derrière la culture de mort ?

 Les Sandrine Rousseau, les Mélenchon, les gauchistes veulent nous faire croire qu’ils luttent contre la drogue …

 Qu’ils le prouvent réellement !

 

Par Jean Saunier   


Source et Publications :  https://ripostelaique.com




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