dimanche 20 octobre 2024

DANS LA FRANCE ORANGE MÉCANIQUE ! LES APPELS AUX MEUTRES SE MULTIPLIES......;

 
 

 
 
REVUE DE PRESSE !

Transfascisme : Dora Moutot et Marguerite Stern de nouveau menacées de mort !

Dans un texte publié en date du 16 octobre, le site de la mouvance antifa «Paris Luttes Info» appelle au meurtre de Dora Moutot et Marguerite Stern :

«Nous ne nous opposons pas aux transphobes et aux fascistes dans le joyeux monde du débat des idées, ni pour s’imposer dans l’espace médiatique : nous nous opposons physiquement et violemment à leur existence tout entière. […]

 Cela ne pourra se faire que par la force et la violence, et donc par l’éclatage des têtes en question.

 Dans cette optique, une matraque télescopique semble être un pas dans la bonne direction».

Les deux militantes féministes qui, dans leur livre Transmania, dénoncent l’idéologie transactiviste, ont annoncé porter plainte contre le site.

Marguerite Stern a confié au Figaro avoir ressenti «pour la première fois» le sentiment que «désormais, des gens vont vraiment essayer de nous tuer».

 

Dans ce brûlot anonyme signé par «une bande armée de travelos qui veulent en découdre», le ou les auteurs indiquent appartenir au groupe de militants d’extrême-gauche arrêté à Paris samedi 5 octobre dans le 5e arrondissement de Paris alors qu’ils s’apprêtaient à ensanglanter une séance de dédicaces du livre Transmania.

 Cinquante-cinq d’entre eux avaient été placés en garde à vue, dont six de façon prolongée, et des sources policières avaient indiqué que plusieurs individus étaient armés de matraques télescopiques et de couteaux. Le parquet de Paris confirme la découverte d’explosifs en leur possession.

Dans une campagne de presse savamment orchestrée par la suite, des médias complaisants avaient relayé la parole des militants interpellés, présentés comme pacifistes par le site Streetpress par exemple.

 Ces mêmes militants se plaignaient d’agressions «transphobes» dans les commissariats où ils avaient été retenus. 

Mais le texte publié par «Paris Lutte Info» nie toute intention pacifique et confirme que les militants antifas et transactivistes sont plus que jamais déterminés à l’action ultra-violente :

«Nous sommes de celles qui sommes (sic) venues pour en découdre à l’arme blanche, aux explosifs»

 «Nous sommes violentes et dangereuses car ce monde est violent et dangereux. 

Nous sommes violentes et dangereuses car nous vivons la violence de la transphobie, du sexisme, de l’hétérosexualité et du capitalisme au plus profond de nos chairs», clame encore le texte.

 «Nous sommes de celles qui ont formé un black bloc le 6 mai dernier devant Assas, pour perturber la conférence de Stern et Moutot et en découdre avec leurs copains fachos. 

Nous sommes de celles qui ont cramé le compteur électrique et fracassé les vitres de l’école de Marion Le Pen, contre la venue de Stern et Moutot en conférence le 19 septembre, et qui n’auraient pas hésité à en découdre avec leurs copains fachos.»

 

Aux journaleux complaisants qui les ont benoîtement décrits comme pacifistes, l’avertissement est clair :

 «Vautour parmi les vautours, les pouraves journalistiques de Streetpress (répétées par Mediapart et compagnie) se sont empressées de cueillir les témoignages les plus innocentistes qu’ils ont pu trouver en sortie de GAV.

 Nous nous sentons évidemment insultées par le ridicule de ce dernier point : appel à l’insurrection il y avait, et il y aura toujours»

Les menaces réitérées à l’encontre de Dora et Marguerite ont poussé de nombreux libraires et propriétaires de salles privées à annuler les conférences que les deux jeunes femmes souhaitaient donner autour de leur livre. 

Marguerite Stern a par ailleurs indiqué renoncer à se rendre à une conférence qui devait avoir lieu au Café Laïque de Bruxelles ce 22 octobre.

Outre la plainte déposée par leurs avocats, Me Louis Cailliez et Me Lara Fatimi, membres du collectif Justitia de l’Institut Thomas More, les deux jeunes femmes ont également demandé au ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau de dissoudre «les groupements de fait Paris-Luttes.info et Assemblée antifasciste Paname». Leur protection policière a été envisagée par la Préfecture de police de Paris.

La dissolution de ces groupes est à l’étude place Beauvau, mais le ministre Retailleau ne souhaite pas prendre une décision qui risquerait d’être retoquée par le Conseil d’Etat.

 On ne sache pas que nos « sages » aient retoqué la décision de dissolution que Darmanin avait prise à l’encontre de Génération Identitaire ou encore de l’Aquarium, pour des motifs infiniment moins graves…

On rappellera cet avertissement de Winston Churchill : « Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes »

ParHenri Dubost

 
ET AUSSI
 
 
 

«Wanted : dead or alive» : pour une histoire de casquette, un enseignant menacé de mort et un lycée bloqué à coups de mortiers d’artifice

 
 
 

Cette histoire qui se passe au lycée Robert Doisneau de Corbeil-Essonnes est surréaliste. 
 
Un professeur de maths a demandé à un élève de retirer sa casquette, car c’est interdit de la porter dans les couloirs du lycée. 
L’élève refuse, l’enseignant la confisque, et l’élève revient avec un copain pour menacer le prof : « je vais te buter, sale fils de pute ! ». 
Ensuite, l’enseignant affirme que l’élève lui a mis un coup de poings (ce que l’élève nie). 
 Le prof porte plainte. 
Une expertise médicale atteste qu’il a des contusions au visage et des hématomes aux jambes. 
Plusieurs enseignants témoignent en faveur de leur collègue : ils ont vu des élèves lui adresser des coups de pieds et des croche-pattes.
 L’élève, lui, affirme que le prof l’a plaqué contre un mur mais ce témoignage est infirmé par celui d’un membre de la communauté éducative…
 
 Que croyez-vous qu’il se passa ? 
 Les lycéens ont fait pression sur le proviseur : blocus toute la semaine devant le lycée, tirs de mortier d’artifice sur l’établissement… et affiches placardées dans la rue avec des menaces de mort : on y voit le nom et le visage du prof, avec cette mention : « wanted dead or alive ». 
 
 Le proviseur ne soutient pas l’enseignant et le conseil de discipline auquel est convoqué l’élève ne fait pas référence aux coups portés sur le prof. 
 
Une partie des enseignants, pour certains élus de gauche au département ou à la ville, se désolidarisent et préfèrent se fier aux témoignages des élèves : ils reprochent à leur collègue d’être trop zélé avec l’application du règlement intérieur… 
 
 Et pour finir, le proviseur rencontre les élèves et leur promet… qu’à l’avenir, les casquettes seront autorisées dans les couloirs !
 

 
 
 
 Source:  https://www.lefigaro.fr

 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire