REVUE DE PRESSE !
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REVUE DE PRESSE !
L’audiovisuel public est inquiet.
Aors que l’exécutif cherche par tous les moyens à renflouer les caisses, le projet de loi de finances 2025 entend mettre les médias d’État également à contribution.
« France Télévisions, Radio France, France Médias Monde, Arte ou encore l'Institut national de l'audiovisuel devront fonctionner avec le même budget l'an prochain, environ 4 milliards d'euros », dénonce-t-on, à France Culture.
Habituées à bénéficier de budgets sans cesse revus à la hausse, les antennes publiques s’interrogent sur leurs capacités à survivre dans un tel climat de disette.
« Quel financement pour l'audiovisuel public français ? », demandent-elles, estimant apparemment que ces 4 milliards d’euros sont loin d’être suffisants pour remplir correctement leur mission de service public.
Leur indignation risque de monter encore d’un cran lorsqu’ils découvriront que, comme le révèlent Les Échos, ce n’est pas seulement un gel du budget mais un total de 200 millions d'euros d'efforts cumulés sur quatre ans qui seraient demandés aux entreprises de l'audiovisuel public…
L’intouchable Élise Lucet
Mais il y en a une qui n’a pas trop de soucis à se faire, c’est Élise Lucet.
La journaliste aurait sa façon à elle de se rendre « invirable ».
Selon une enquête publiée dans le magazine Télé Stars, qui cite des employés de France Télévisions, la co-créatrice du magazine Cash Investigation aurait pour habitude de « faire croire qu'on lui a proposé le poste de directrice de l'info » alors qu'il n'en est rien.
Elle n'est pourtant pas mal lotie, avec un salaire révélé par Télé Stars et confirmé au magazine Marie Claire, en 2018, de près de 25.000 euros par mois !
« Ça dépend des mois. Mais oui, ça tourne autour de ça », disait-elle.
25.000 euros par mois. Vous avez bien lu.
C’est 14 fois le SMIC.
Ce montant a-t-il encore augmenté, depuis ? C’est plus que probable.
Mais rassurez-vous, Élise Lucet étant de gauche, elle ne rechigne pas à faire bénéficier aux autres de son statut d’intouchable.
Ainsi, quand l'info est sommée de se serrer la ceinture, elle monte au créneau.
Quand sa direction souhaite supprimer des postes, elle montre les dents.
« Elle est incapable de recevoir un ordre, soupirait un dirigeant exaspéré.
Delphine Ernotte, c'est tout juste si c'est sa patronne.
On lui fait une simple remarque sur les audiences décevantes d'Envoyé spécial, elle ne veut rien entendre et balance que c'est parce qu'elle n'a pas les moyens. »
À la recherche du pluralisme perdu
Les « moyens », toujours les « moyens ».
À la manière de ces responsables politiques qui demandent toujours plus de « moyens » pour l’école, la justice ou les banlieues, sans comprendre que le problème se situe ailleurs, l’audiovisuel public est dans une fuite en avant financière.
Davantage d’argent n’améliorera pas la qualité de ses programmes.
Pourquoi ne pas envisager, plutôt, un changement d’idéologie ?
Pourquoi inviter toujours les mêmes pseudo-« experts », relayer les théories d’extrême gauche ou cracher sur notre Histoire ?
En clair, pourquoi ne pas sortir du militantisme et s’essayer, enfin, au pluralisme ?
Il s’agirait là d’un changement radical mais hautement bénéfique pour le téléspectateur - c'est d'ailleurs un devoir inscrit dans la charte de France Télévisions - et qui ne coûterait pas un centime de plus au contribuable.
Au contraire, il pourrait rapporter gros.
C’est ce qu’on observe dans le secteur du cinéma : alors que les productions militantes, parisianistes ou pro-migrants réalisent des bides au box-office, les films populaires (Un p’tit truc en plus) ou s’inspirant des grandes œuvres du patrimoine français (Le Comte de Monte-Cristo) font un carton.
Il n’est pas interdit de s’en inspirer pour proposer de meilleurs programmes télé…
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