mardi 29 octobre 2024

L' ASSEMBLÉE NATIONALE ET LA Vème RÉPUBLIQUE : AVEC LES ONANISTES DE LA PIRE ESPÈCE

LU, VU ET ENTENDU !

DÉPISTAGE OBLIGATOIRE pour nos ÉLUS  Signez - relayez - partagez  info.juste-milieu.fr/petition-depis
Kerbrat, Boyard, Bigorgne, Guerriau... ... ASSEZ ! 
 
 
Nos Élus, Ces hédonistes Drogués : Bienvenue dans la République des Hypocrites et pipe au Crack Ah, mes amis, si vous pensiez que nos élus se contentaient de voter des lois et de nous pondre des discours creux, détrompez-vous.`
 
 La vérité, la grande vérité que tout le monde sait mais que personne n’ose dire, c’est qu’ils sont drogués. 
 
Oui, drogués ! 
 
Mais pas de cette petite drogue de bas étage, non, non.
 Eux, avec leurs salaires de députés, de sénateurs, avec leurs indemnités, leurs frais, leurs retraites dorées, ils se payent le haut de gamme.
 
Car quand on touche plusieurs fois le SMIC, pourquoi se priver, hein ?
 
 Faites le calcul : entre ce qu’un élu gagne et ce que touche un smicard qui peine à boucler les fins de mois, la différence est abyssale.
 
 Et qu’est-ce qu’ils font de tout cet argent, nos chers représentants ? 
 
Ils se droguent, bien sûr, pour oublier à quel point ils sont déconnectés de la réalité.
 
 Mais ne vous y trompez pas, mes amis. Ce ne sont pas juste des profiteurs : ce sont des onanistes. 
 
Oui, des onanistes de la pire espèce, qui ne vivent pas dans le fameux carpe diem de Lucrèce, non, loin de là. 
 
Eux, ils ne savourent pas l’instant présent, ils en profitent, ils le pillent, ils en tirent tout ce qu’ils peuvent. 
 
À leur âge, quand on a menti toute sa vie, quand on a fait carrière dans le mensonge et l’hypocrisie, il faut bien des produits pour tenir. 
 
Car oui, c’est difficile de vieillir quand on porte sur ses épaules des décennies de tromperie.
 
 Alors on se shoote, on s’étourdit, pour oublier, pour supporter cette vie où chaque mensonge alourdit un peu plus le fardeau. 
 
Et parlons-en, du sexe. 
Ah, le sexe, omniprésent chez nos élites, mais pas n’importe quel sexe, mes amis. 
 
Non, non, ils sont passés au niveau supérieur.
 
 Le sexe sous produit chimique, c’est la nouvelle tendance. 
 
Imaginez ces élus, ces sénateurs, qui à 60 ou 70 ans, ont besoin de petites pilules pour assurer leurs rendez-vous privés. 
 
Et pourquoi pas, après tout ?
 Ils ont le pouvoir, l’argent, alors pourquoi ne pas en profiter jusqu’au bout ?
 
 Quant aux plus jeunes, eh bien, ils suivent l’exemple, ils ne vont pas se priver. Parce qu’après tout, quand on est dans ce milieu, pourquoi respecter des règles que l’on impose aux autres ? 
 
 Alors voilà ma proposition : et si on les soumettait à des tests antidrogue comme des sportifs de haut niveau ?
 
 Parce que, vous voyez, ces pauvres athlètes, on leur fait vivre un enfer, à devoir signaler où ils sont à toute heure, à prévenir à quelle heure ils seront au coin de la rue pour acheter une baguette. 
 
Et nos élus, hein ? Eux qui nous représentent, qui prétendent porter notre avenir entre leurs mains tremblotantes, pourquoi n’auraient-ils pas droit à des contrôles inopinés ? 
 
Test sanguin, test urinaire, sur l’alcool, la cocaïne, tout ! 
 
On nous parle sans cesse de la rigueur, de l’exemplarité, alors qu’ils montrent l’exemple !
 
 Imaginez un peu, un contrôle surprise à l’Assemblée Nationale ou au Sénat. Ah, je vois déjà les mines déconfites, les regards fuyants, les excuses bidons. “Je ne savais pas que c’était interdit…”.
 
 Mais mes amis, il est grand temps que ça change.
 
 Nos élus sont payés grassement pour nous représenter, il est normal qu’ils soient exemplaires. 
 
Alors oui, des tests de drogue réguliers, des sanctions sévères, et peut-être, juste peut-être, verrons-nous un jour un élu sobre de ses excès, capable de penser à long terme, plutôt que de profiter de l’instant pour sa propre jouissance. 
 
 Et à ceux qui disent que cela est impossible, je dis simplement : regardez dans quel état est notre classe politique.
 
 La question n’est pas de savoir s’ils sont drogués.
 
 La question est de savoir à quel point ils le sont. 
Alors, mes amis, levons-nous et exigeons des comptes. P
 
arce que si nous, simples citoyens, devons être irréprochables, il est temps que ceux qui nous dirigent le soient aussi.
 

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