L’énorme scandale sexuel qui fragilise Kamela Harris
Quand le roi du rap tombe, Kamela Harris vacille…
Par Mickey M.
L’énorme scandale sexuel qui fragilise Kamela Harris
L’arrestation et l’emprisonnement à mina de 10 ans pour le rappeur P. Diddy, gros donateur au Parti Démocrate de Kamela Harris, la candidate contre Donald Trump, survient à un mois du vote et fragilise la candidate démocrate.
Le rappeur est accusé par plus de cent
victimes, hommes et femmes, de trafic sexuel, viols, violences et
prostitution forcée durant les soirées qu’il organisait.
En plus, dans ces soirées se trouvaient nombre de personnalités connues du showbiz et de la politique.
Des noms circulent sur le NET sans pour autant être confirmés au moment présent.
Ce qui est sûr, c’est que ce scandale va dépasser ceux de Jeffrey Epstein ou de Harvey Weinstein par l’ampleur des personnalités impliquées dans cette affaire.
La police fédérale a ouvert une
enquête pour – entre autres – trafic sexuel, viols, violences verbales,
physiques et sexuelles, soumission chimique, travail forcé, enlèvements,
prostitution forcée, séquestrations et corruption.
La lecture des motifs d’accusation est éloquente et tragique.
Le dossier s’annonce énorme puisque les faits enquêtés datent de 1990.
L’avocat des victimes, Tony Buzbee, a déclaré à Houston, Texas, que :
«Le plus gros secret du show-business éclate enfin au grand jour», .
L’avocat a présenté P. Diddy, âgé de 54 ans, comme l’affaire du siècle. et d’ajouter :
«En 25 ans, nous avons dû gérer des dossiers très compliqués mais celui-ci les surpasse tous».
L’affaire P. Diddy commence réellement en novembre 2023, lorsque Cassie, Casandra Elizabeth Ventura, son ancienne compagne, ddépose une plainte contre P. Diddy pour viols, violences physiques répétées et même trafic sexuel.
La chanteuse de R&B a passé onze années de sa vie avec le rappeur.
Dans le document d’accusation qu’elle constitue avec ses avocats, l’interprète de Me and U révèle l’existence des «Freak Offs», ces soirées orgiaques qu’a organisées P. Diddy durant plusieurs années
. Cela s’est déroulé les plus grands hôtels du monde entier, le rappeur orchestrait des performances sexuelles élaborées en présence de prostitués, masculins ou féminins.
Tous étaient sous l’influence de drogues.
Le plus souvent, Diddy se masturbait en enregistrant les scènes.
C’est ce qui est rapporté dans l’acte d’inculpation du parquet fédéral de Manhattan.
Ensuite les victimes recevaient généralement des liquides intraveineux pour récupérer de l’effort sexuel et de la consommation de drogues, selon le rapport du parquet.
L’affaire éclate doucement d’abord en France en mai 2024 parce que CNN publie une séquence filmée par une caméra de surveillance montrant le rappeur agresser physiquement Cassie dans les couloirs d’un hôtel de Los Angeles.
Le rappeur se montre torse nu et serviette nouée à la taille, on le voit frapper brutalement sa compagne au visage, lui donner des coups de pied, puis il la traîne au sol et lui jette même un vase sur la tête.
Ces images, ont en fait été enregistrées en 2016.
On sait maintenant que cet enregistrement est à la base de l’enquete actuelle.
Finalement, c’est le dépôt de plainte de Cassie qui libère les victimes du rappeur.
Étudiantes, jeunes chanteuses, mannequins ou autres déclarent que Diddy les aurait droguées avant d’abuser d’elles.
C’est le cas de Joie Dickerson-Neal qui a porté plainte contre le rappeur en novembre 2023.
Elle l’accuse de l’avoir droguée, violée et filmée à son insu en 1991 alors qu’elle n’était qu’une étudiante de 18 ans.
Le rappeur aurait même diffusé la «sex-tape» à son entourage.
De plus en
plus d plaintes sont ensuite déposées contre le rappeur dont celle de
Rodney ‘Lil Rod’ Jones, qui a produit un album, The Love Album off The Grid,
de P. Diddy et qui affirme également détenir des enregistrements de
soirées mêlant drogues, prostitués, mineurs et soumission chimique.
Ledit producteur accuse aussi le rappeur de l’avoir violé sous soumission.
Tandis que le dossier prend forme et devient de plus en plus épais, certaines personnalités commencent à sérieusement trembler surtout si P. Diddy s émet à table !
Dans cette affaire, ce qui dérange considérablement c’est le soutien affiché du rappeur pendant la campagne présidentielle de 2020.
P. Diddy y avait même déclaré que «Les hommes blancs comme Trump doivent être bannis.
Il pense dangereusement».
P. Diddy a été arrêté le 16 septembre et tous ses pourvois en remise de liberté conditionnelle avec caution ont échoués tandis que le nombre de plaintes contre lui augmentait.
Il y aurait plus de 1.200 victimes déclarées à ce jour !
Le gros donateur du Parti Démocrate commence sérieusement à gêner ce dernier et surtout sa candidate…
Par Mickey M.
Bizarrement, les bons sont toujours ceux qui cherchent à détruire notre société.
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Mickey M. pour Observatoire du MENSONGE
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ET AUSSI
Comprendre les accusations de trafic sexuel qui visent le rappeur Diddy et leurs répercussions aux Etats-Unis
L’arrestation de Sean Combs, dit Diddy ou Puff Daddy, et les révélations qui s’accumulent ébranlent autant le show-business américain que la classe politique.
Son cas est comparé à celui du milliardaire Jeffrey Epstein.
Une star planétaire du rap est sur le banc des accusés et c’est toute une industrie qui tremble.
Depuis le 16 septembre, le producteur de musique Sean Combs, dit Diddy, P. Diddy ou Puff Daddy, est poursuivi par la justice fédérale de New York pour des faits de trafic sexuel.
Dans l’attente de son procès, le musicien, producteur, entrepreneur et philanthrope multimillionnaire est placé sous surveillance antisuicide en prison.
Le rappeur de 54 ans est aussi poursuivi au civil par plus de cent vingt victimes, dont vingt-cinq mineures à l’époque des faits, qui l’accusent d’agressions sexuelles, selon leurs avocats américains.
La justice a rejeté deux demandes de remise en liberté.
L’influent producteur, qui se dit innocent, doit être jugé le 5 mai 2025.
Qui est Diddy ?
Sean Combs, de son vrai nom, est un influent rappeur et producteur de hip-hop new-yorkais, connu successivement sous les pseudonymes Puff Daddy, Puffy, P. Diddy ou plus simplement Diddy.
Né en 1969, il se fraie un chemin dans l’industrie musicale en cofondant en 1993 le label Bad Boy Records, qui lance notamment The Notorious B.I.G., future icône du rap new-yorkais.
Il se lance à son tour dans la chanson en 1997 sous le nom de Puff Daddy, et connaît le succès avec I’ll Be Missing You, titre dédié à The Notorious B.I.G., assassiné la même année.
Le rappeur change à plusieurs reprises de surnom, jusqu’à adopter celui de Diddy en 2005. Il remporte au cours de sa carrière trois Grammy Awards et une étoile à son nom gravée, depuis 2008, sur Hollywood Boulevard.
Le musicien et producteur est aussi un homme d’affaires à succès à l’initiative d’une marque de vêtements (Sean John, lancée en 2004), d’une chaîne de télévision (Revolt TV, créée en 2013) ou d’un partenariat avec une marque de vodka produite en France.
Le magazine Forbes estime sa fortune à 400 millions de dollars (360 millions d’euros).
Depuis ses débuts, Sean Combs a également été associé à diverses affaires de violence.
En 1999, il est impliqué dans une fusillade qui éclate dans une boîte de nuit new-yorkaise où il passe la soirée avec sa compagne de l’époque, l’actrice Jennifer Lopez.
Il est inculpé pour possession d’arme à feu et corruption, mais n’est pas condamné.
De quoi est-il accusé ?
Le magnat du rap est accusé de trafic sexuel et extorsion, selon l’acte d’inculpation du parquet fédéral de Manhattan.
« Pendant des décennies, [il] a abusé, menacé et contraint des femmes à satisfaire ses désirs sexuels, protéger sa réputation et cacher ses actes », est-il écrit dans ce document.
Une dizaine de plaintes pour des faits de violences sexuelles, séquestration sexuelle ou encore proxénétisme s’étaient accumulées ces derniers mois contre le chanteur.
Le dossier s’annonce tentaculaire : les faits allégués remontent pour certains au début des années 1990.
Au 17 octobre, seize plaintes pour des faits de violence sexuelle ont été déposées, dont une contre un homme qui était mineur au moment des faits.
Un avocat américain, Tony Buzbee, affirme avoir été contacté en tout par 120 autres victimes.
Pourquoi est-il poursuivi seulement maintenant ?
Ces plaintes s’inscrivent dans le cadre de récents dispositifs judiciaires de lutte contre les violences sexuelles adoptés par l’Etat de New York, en particulier l’Adult Survivor Act (« loi sur les adultes survivants »). Entré en vigueur le 24 novembre 2022, il a permis à des victimes de porter plainte pour viol ou agression sexuelle, même pour des faits prescrits, pendant un an.
C’est dans ce cadre que les trois premières plaintes visant Sean Combs ont été déposées. Cette loi est aussi à l’origine d’actions judiciaires visant d’autres célébrités, comme l’acteur Bill Cosby, l’ancien maire de New York Rudy Giuliani ou encore l’ancien président Donald Trump, dans des affaires distinctes.
Un autre dispositif, le Victims of Gender Motivated Violence Protection Law (« loi de protection des victimes de violences de genre »), adopté le 1er mars 2023, a ouvert une fenêtre de deux ans pour porter à la connaissance de la justice des faits éventuellement prescrits.
Plusieurs plaintes contre le rappeur ont été déposées dans ce cadre.
D’autres personnes sont-elles visées par ces plaintes ?
Plusieurs proches de Diddy sont directement incriminés dans les plaintes et accusés, d’une manière ou d’une autre, d’avoir participé à des viols collectifs. Parmi eux, son fils Justin Dior Combs, des employés du rappeur, l’acteur Cuba Gooding Jr. et plusieurs dirigeants de l’industrie musicale, comme le président de Bad Boys Records, Harve Pierre, le directeur exécutif d’Universal Music, Lucian Grainge, l’ancien dirigeant de Motown Records, Ethiopia Habtemariam…
L’assistante de Sean Combs, Kristina Khorram, est comparée dans une plainte à Ghislaine Maxwell, la femme condamnée pour avoir recruté les jeunes femmes abusées sexuellement par le milliardaire Jeffrey Epstein.
Harve Pierre conteste des « allégations dégoûtantes », tandis que le garde du corps de la star, Joseph Sherman, « nie catégoriquement, un milliard de fois ».
Quelles autres personnalités ont été évoquées dans cette affaire, et pourquoi ?
D’autres noms de stars internationales ont été cités pour avoir participé aux gigantesques soirées mondaines organisées par Sean Combs dans les années 1990 et 2000, les white parties (« fêtes blanches », en référence à la tenue vestimentaire exigée).
C’est le cas de Leonardo DiCaprio, que des photos d’archive montrent verre de champagne à la main auprès du rappeur, ou du milliardaire Donald Trump, qui ne s’était pas encore lancé en politique.
Le prince William est également cité dans une plainte comme un exemple de célébrité qui aurait apporté à Diddy son prestige et sa légitimité. Ils ne sont pas suspectés d’avoir participé ni d’avoir eu connaissance des viols supposés.
D’autres archives ont suscité l’inquiétude, comme un court documentaire de 2009 intitulé Les Quarante-Huit Heures de Justin Bieber avec Diddy. Le jeune chanteur y est pris sous son aile par un Sean Combs entreprenant, qui lui promet de réaliser « le rêve de ses 15 ans », de faire « des choses folles », qu’il « ne peut pas dévoiler ».
Quelle est la défense de Sean Combs ?
Dans un premier temps, Sean Combs nie intégralement les faits qui lui sont reprochés. Par la voix de ses avocats, il dénonce en novembre 2023 des « accusations montées de toutes pièces » à des fins pécuniaires. Mais il est confronté à une accumulation de témoignages l’incriminant.
Lors d’une spectaculaire intervention en mai, les enquêteurs du Département de la sécurité intérieure des Etats-Unis perquisitionnent deux résidences lui appartenant, à Los Angeles et Miami.
Ils y saisissent mille bouteilles de lubrifiant et des « preuves des “freak off” » – surnom des orgies sexuelles qui font l’objet de l’enquête fédérale –, dont de nombreuses caméras.
En mai, CNN publie une séquence filmée par une caméra de sécurité en 2016. Sean Combs, en serviette de bain, y tire à terre sa compagne de l’époque, Cassandra Ventura, dite Cassie, et la frappe à plusieurs reprises. Dans une vidéo, le producteur de musique reconnaît les faits, qualifie son comportement d’« inexcusable ».
Depuis, la défense du rappeur insiste sur sa volonté de collaborer avec la justice, et souligne qu’il est revenu à New York de son propre chef pour répondre aux questions de la justice.
Les avocats de la star déplorent par ailleurs un « tourbillon d’accusations qui ont créé un cirque médiatique hystérique, qui, si rien n’est fait, privera irréparablement M. Combs d’un procès équitable, si ce n’est pas déjà fait ».
Ils demandent au tribunal fédéral de New York que soit révélée l’identité de tous ses accusateurs.
Pourquoi l’affaire a-t-elle une résonance politique ?
Sean Combs a tissé au fil des ans des liens étroits avec les sphères politiques et philanthropiques américaines, particulièrement démocrates.
Il s’est engagé en faveur de l’éducation dans des quartiers défavorisés en investissant des sommes importantes dans un réseau d’écoles semi-privées du secondaire, Capital Preparatory Schools.
Un partenariat qui a pris fin en 2023. Sean Combs a aussi accordé une donation d’un million de dollars à Howard, prestigieuse université afro-américaine où il a brièvement étudié le commerce. L’université a fait le choix, en juin, de retourner ce don.
Soucieux de la cause noire, Sean Combs a pris position en faveur du président démocrate Joe Biden en 2020. « Les hommes blancs comme [Donald] Trump doivent être bannis. [Sa] manière de penser est dangereuse », affirmait-il alors au micro du podcast « Revolt TV », en annonçant le lancement d’un parti représentant les Noirs américains.
Des positions qui valent à l’affaire Combs d’être aujourd’hui instrumentalisée par les pro-Trump pour tenter de salir le camp démocrate.
En retour, celui-ci rappelle que le businessman new-yorkais a longtemps fréquenté le rappeur.
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