LU, VU ET ENTENDU !
Les Barbares.
Le film antibreton et promigrants est un lourd échec commercial
256 000 entrées en quatre semaines, pour la comédie Les Barbares : c’est largement mieux que la très grande majorité des films français, mais cela reste un échec commercial.
Chaque spectateur aura coûté près de 19 euros et n’aura rapporté que 7 euros la place, à partager 50-50 avec les propriétaires de salles de cinéma.
Le casting, plutôt haut-de-gamme, n’est pas en cause, pas plus que le manque de moyens (4,8 millions, dans la moyenne supérieure des productions tricolores).
Le cadre, celui de la petite ville bretonne de Paimpont, en bordure de Brocéliande, a été choisi pour son caractère fédérateur.
Mais les producteurs ont risqué leur argent sur un sujet trop anxiogène (les migrants) et l’ont confié à une actrice-réalisatrice-scénariste mal inspirée, July Delpy.
Partagée entre Paris et Los Angeles, dont elle fréquente le marché bio en compagnie de Leonardo Di Caprio, la cinéaste franco-américaine a son idée bien à elle de la ruralité bretonne : celle-ci serait peuplée d’alcooliques et d’imbéciles repliés sur des racines imaginaires, le plus breton de tous se révélant en fait d’origine alsacienne.
Leur générosité, toute de façade, est mise à l’épreuve par l’arrivée d’une famille de réfugiés de guerre syriens, sympathiques et surdiplômés – l’acteur palestinien Ziad Bakri interprète le père avec sensibilité et dignité, exact opposé de l’acteur Laurent Laffite, spécialiste des rôles d’hypocrite et de lâche et qui incarne ici le Breton de base.
Le message du scénario est limpide : les vrais barbares ne se trouvent pas de l’autre côté de la Méditerranée, mais ici, dans cette ruralité populaire qui vote de plus en plus RN (Bardella est en effet arrivé en tête à Paimpont aux dernières européennes).
Le public n’a pas apprécié le miroir qui lui est tendu par Julie Deply, et le constat dépasse le cas du film Les Barbares.
La fréquentation des salles françaises n’a toujours pas retrouvé le niveau d’avant-Covid (181 millions d’entrées en 2023 contre 213 en 2019).
L’année 2024 pourrait être encore plus mauvaise : sur les 6 premiers de l’année, la fréquentation a encore baissé à 84,6 millions, contre 91,2 millions sur la même période 2023.
Par Enora
Quelques chiffres du film Les Barbares : 150 000 euros de rémunération pour Julie Delpy (27 jours de tournage) + 161 000 à la même pour le scénario.
Le financement est assurée par plusieurs Sofica (sociétés de financement de cinéma qui permettent aux investisseurs privés de défiscaliser).
Le Centre national du Cinéma a apporté aussi sa contribution, de même que Disney Plus et Canal + (appartenant à Bolloré).
Julie Delpy a fait des progrès : son précédent film, My Zoé, avait coûté 4,7 millions euros et rapporté en salles autour de 50 000 euros (15 000 spectateurs).
Source : www.Cinefinances.info
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12 réponses à “Les Barbares. Le film antibreton et promigrants est un lourd échec commercial”
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kan al louarn dit :
25/10/2024 09:46 à 9 h 46 min
39Un grand bonjour d’un barbare Breton enraciné dans sa région d’origine et fier de l’être qui n’a nul besoin d’apport extérieur pour se civiliser.
Cracher sur la nation bretonne comme sur d’autres peuples autochtones de l’ Hexagone ne pose aucun probléme aux cineastes français.
Le milieu du show-business, nous y a habitué depuis des lustres.
Ce milieu vivant en vase clos, issu des milieux bourgeois les plus décadents, fonctionnant sur la cooptation et sur les afililations avouées ou occultes, rejoint l’Education dite nationale dans son œuvre de propagande cosmopolite auprés des masses.
Ce qu’ils se permettent ici avec les Bretons paralysés par leurs instances politiques et culturelles, ils ne l’oseraient jamais avec d’autres communautés.
Inutile de les nommer, puisque l’actualité s’en charge quotidiennement
. Mais là aussi, si on veut bien se donner la peine d’aller au-delà des constats et remonter aux causes, on trouve toujours …l’inénarrable République jacobine et ses incorrigibles souteneurs.
en voilà une nouvelle qu’elle est bonne !!! merci, ça ensoleille ma journée :-(
Mort aux cons. Longue vie aux vellaves!
Pareil lors de la cérémonie pour la coupe du monde de rugby où Dujardin ( encore lui ) incarnait le franchouillard avec marcel, béret et baguette sous le bras. C’était of course une image d’Epinal gentille mais la gauche jacobine a lancé sa bave haineuse sur un truc juste rigolo.
Evidemment le Breton alcoolo, un peu concon et raciste en filigrane devient le nouveau barbare qui rejette la père de famille diplômé et femme et enfants super bien élevés.
Le film est en train de foirer et c’est bien fait pour les scénaristes islamo gaucho !
J emmerde les bobos wokistes
Tant que l’état abondera pour renflouer la caisse de ces bobos gauchos, ils continueront. Je ne vais plus voir au cinéma des films français depuis 15 ans.
Scénarios niais, étalage woke contre la peste brune, entre soi de collabos gauchistes.Seul point commun, ils aiment l’argent des autres.
le vulgum pecus est donc moins idiot que ça
Je ne suis pas bretonne,mais provençale et c’est pareil on traine les français dans la boue alors qu »on prend toute la misère du monde sur nous .On nous fait passer pour des retardés alors qu’on aime tout simplement notre beau pays et voulant y vivre tranquilles.Courage aux bretons ,la vraie france est avec vous!!!!
Film typique de l’exception culturelle du cinema français .
Une bande de copain acteur se retrouvent payés par les SOFICA et les taxes sur les (bons) films. C’est donc inutile de faire des entrées .
Le public islamo gauchiste lui même ne veut plus payer pour voir ces âneries… c’est dire !
J’ai vu le film. Pourquoi choisir aller voir ce film . Parce que j ai énormément trois des acteurs et j aime les autres .
L endroit ben oui ma Bretagne 💗 ça c est mon deuxième choix .
La bande annonce m’a fait rire (la tête de Laurent Lafitte excellent) le maire j adore .
On mange de la guerre tout les jours sur nos écrans , la guerre contre le COVID , la guerre de certains pays, la guerre contre les trafiquants de drogues les guerres des prix , des retraites etc etc .
Oui je peux entendre que le texte , le rôle de Laurent Lafitte est dure pour certains à entendre, le racisme, ça se finit un peu vite le film la chute était trop facile évidente c est le côté chiant du film peut-être mais vous ne pouvez pas empêcher les gens d avoir peur .
On n’a pas la même culture , religion , climat , règles de vie , alimentation. Il faut peut-être pas toujours creuser le mal au mauvais endroit ….. Qui n a pas rit de la 7 ème compagnie alors que c est la guerre …..
Quand c est drôle et pourtant c est grave on dit rien quand c est violent sur de la violence une famille qui atterrit à Paimpol on juge . Combien de français vivent à l étranger ? Je veux que la réalisation recommence la fin du film c est gros gros trop facile …….
La petite scène à la plage 😡 . Et si elle a fait le choix de la Bretagne c est pas pour nous faire passer pour des cons ça aurait été pareil ailleurs .
Je demande aux Bretons de ne pas toujours se sentir agressés. C est pas un film sur les bretons .
Une fois de plus on nous parle de défiscalisation. De CNC, j’imagine, d’avance sur recettes.ces gens gâtés du cinéma, pavanent dans les magazines en papier glacé, s’amuse dans les émissions de radio et de télévision, sont flattés par les animateurs et trices, lors de la sortie de navets imbuvables. Et personne ne leur demande de compte sur leurs echecs.
Le temps passe et quelques temps plus tard ils reviennent avec les mêmes daubes et flagorneries médiatiques