Toute l’Europe en a marre des migrants, sauf Macron et Barnier !
On dirait bien que nos immigrationnistes/européistes fous (ce sont les mêmes) comprennent qu’ils y sont allés un peu fort et trop vite et que, tant que der Leyen n’a pas encore tous les pouvoirs et que la règle de l’unanimité pour les grands changements n’est pas abolie, l’UE pourrait connaître une crise grave, voire une révolte anti-immigration susceptible de mettre le feu aux poudres…
Alors chaque dirigeant européen de serrer les fesses et de faire le minimum pour faire croire aux peuples indisciplinés toujours susceptibles de jeter leurs bonnets par-dessus les moulins qu’on les écoute, qu’on leur obéit, qu’on cherche des solutions…
Histoire de calmer le jeu et de bloquer définitivement tout ce qui ne l’est pas encore.
En France, rien ne change, forcément, mais Retailleau et la Gueuse bougent encore ; peu de journalistes expliquent que, entre le Conseil constitutionnel, les lois européennes, la Cour de Justice d’icelle et la CEDH on est juste un peu ligotés…
Alors, le retour du délit de séjour irrégulier, la réduction des quotas de visas pour les pays qui refusent de reprendre leurs ressortisants…
J’ai du mal à y croire.
Même l’Allemagne, qui se veut la souveraine de l’UE remet en cause 10 ans de politique suicidaire, attaques terroristes obligent…
Et une demande de dérogation sur l’accord de Schengen afin de rétablir pendant 6 mois les frontières nationales.
On ne se demande pas pourquoi Macron ne profite pas de l’occasion pour en faire autant…
Et une demande de simplifier les règles européennes d’expulsion…
En Allemagne comme un France, à peine un illégal sur 5 ayant reçu l’ordre de quitter le territoire obéit..
En Italie, Meloni envoie quelques dizaines de migrants en Albanie pendant qu’elle prévoit plus de 400.000 immigrés légaux d’ici 2025.
Bref, pour demain…
Les Pays-Bas, la Hongrie et la Pologne demandent une dérogation de l’Union européenne leur permettant de suspendre le droit d’asile afin d’endiguer l’immigration sur leurs territoires respectifs.
Les Pays-Bas vont jusqu’à demander à quitter le pacte migratoire… ce qui leur sera vraisemblablement impossible, sauf à entrer dans un dispositif type Brexit et, en attendant, cherchent des pays pour servir de centre de rétention extérieur, l’Ouganda serait sur les rangs…
En Pologne, même l’européiste fou Donald Tusk parle de suspendre le droit d’asile…
Et la très tolérante Suisse vient de prendre un coup de sang et d’expulser des migrants afghans délinquants…
La Grèce qui depuis des années subit à fond la dictature et européiste et financière n’a jamais eu le choix. Réduite à quia elle a dû accueillir, de gré ou de force des dizaines de millions de migrants tous les ans, moyennant une petite aide financière…
Échaudée, elle demande une répartition au niveau européen…
À l’Est rien de nouveau.
Et que fait der Leyen ? Elle gagne du temps, elle cause, elle diffère…
Par Christine Tasin
Source : https://resistancerepublicaine.com/
Plus d’épreuve de français aux concours de recrutement en école d’ingénieurs
Qu’est devenue l’élite française ?
Elle a déserté les facs, les grandes écoles, et même… les écoles d’ingénieurs.
Tant les Français bien formés et travailleurs qui le peuvent vont voir ailleurs s’ils seront mieux payés, s’ils auront de meilleures conditions de travail, si leurs enfants pourront être scolarisés dans de bonnes écoles et vivre dans des quartiers tranquilles…
Et donc, dans les écoles d’ingénieurs comme dans les classes prépa, la piétaille se précipite pour être reçue, assurée de pouvoir sortir avec un diplôme pour se vendre un peu plus cher que le commun des mortels… même si ce n’est plus comme avant.
Que voulez-vous, tout n’est plus que médiocratie et exigences, même quand on n’a que 25 ans et que l’on commande.
Mais peut-on décemment baptiser « ingénieur français » ayant reçu son habilitation en France un zozo ne parlant pas français, ne comprenant pas le français ?
Alors, il faut attirer le quidam, limiter la casse, et donc éviter de décourager Billancourt
Saint-Denis et Bamako de se présenter aux concours d’ingénieurs.
Il
nous faut des ingénieurs, vous dis-je, à n’importe quel prix !
Et donc un zozo payé très cher, lui, avec nos impôts, a eu une idée brillante : supprimons l’épreuve de français !
Histoire d’attirer les étrangers (et peut-être les illettrés de certains quartiers, qui ont le bac parce que leur livret scolaire a des notes de complaisance établies par des profs gauchos…).
Je dois être un peu bête mais je me demande bien comment qui maîtrise peu ou prou le français pourra guider les dessinateurs, les ouvriers, les maîtres d’oeuvre pour la réalisation, par exemple, d’une nouvelle tour Eiffel…
Christine Tasin, en effet tu es très bête.
Il n’y a plus que toi et tes amis qui parlez français.
Tout le monde, à présent, parle anglais, même Macron ! A
lors à quoi bon utiliser la langue française comme critère de discrimination et de choix ?
Tout va très bien Madame la marquise…
Une volonté de rendre les études d’ingénieurs accessibles à tous.
Le concours postbac Puissance Alpha, qui regroupe permet cette année d’accéder à 19 écoles d’ingénieurs via Parcoursup, a dévoilé ses nouveautés pour l’année 2025. L
e plus grand changement est la suppression de l’épreuve écrite de français pour s’adapter « aux réalités des étudiants ».
Depuis quelques années, l’épreuve de français du concours se présentait sous forme de QCM sur la grammaire, la compréhension écrite et l’orthographe et durait 45 minutes.
Puissance Alpha a donc décidé de supprimer l’épreuve perçue comme « anxiogène », « suite à des constats et enquêtes montrant que cette épreuve pouvait être un frein pour certains candidats et sans impact décisif sur les évaluations globales ».
Même un QCM c’était trop difficile, trop anxiogène pour un étudiant du niveau ingénieur… Les bras m’en tombent !
Un ingénieur, jusqu’alors, était quelqu’un qui avait un certain niveau ou plutôt un niveau intellectuel certain, bon en sciences, certes, mais avec le cerveau bien fait… et pour avoir le cerveau bien fait, il faut (fallait) obligatoirement une formation intellectuelle générale.
Tous les grands scientifiques de l’histoire ont toujours eu un niveau remarquable en lettres, comme en maths, comme en sciences…
Histoire d’avoir une tête bien pleine et bien faite…
Screenshot
Tiens, au hasard, Gustave Eiffel… Il a fait comme tout le monde à son époque, des études en vue du baccalauréat où les lettres étaient prédominantes.
Et elles le sont pour avoir une tête bien faite…
Ses parents travaillant énormément, il est confié pendant sa petite enfance à sa grand-mère maternelle habitant Dijon8.
Durant son enfance, Gustave Eiffel vit également au château du Castel, situé aussi à Dijon, actuellement inclus dans le périmètre du lycée Le Castel.
De 1843 à 1850, il fait ses études au collège royal de Dijon9, actuel collège Marcelle-Pardé. À 18 ans, en 1850, son baccalauréat en poche, il quitte Dijon pour entrer au collège Sainte-Barbe de Paris10 en vue de la préparation du concours d’entrée à l’École polytechnique.
Mais il échoue à l’oral et choisit d’entrer à l’École centrale des arts et manufactures de Paris dont il sort diplômé en 1855.
Wikipedia
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On assiste ainsi à une étatisation de l’éducation dans le but de produire des élites. La loi du 11 floréal an X crée les lycées, subventionnés par l’Empire.
Cette première mesure est suivie du rétablissement des universités par décret du 17 mars 1808. Les anciennes facultés de théologie, droit et médecine sont restaurées, auxquelles s’ajoutent deux facultés nouvelles, les sciences et les lettres.
Dans la pratique, les cinq disciplines ne sont pas d’égal niveau, puisque les quatre premières sont assujetties à l’obtention du baccalauréat ès lettres, ce qui confirme la prééminence des études humanistes sur les matières scientifiques.
Oui, je sais, autres temps, autres mœurs… Vous me direz que les temps changent, c’est vrai. `
Sauf que l’on ne forme plus de têtes bien faites ni bien pleines… et que nos élites, nos génies quittent la France qui devient peu à peu un pays du tiers-monde…
Par contre les recruteurs regarderont les notes de français du bac. Quel rapport ?
Les notes du bac doivent en principe rendre compte de la capacité de faire une dissertation ou un commentaire à l’écrit, et à l’oral de montrer la culture et la compréhension d’un texte littéraire…
Aucun rapport avec ce qu’était la place du français à l’épreuve de recrutement des ingénieurs…
Il est évident qu’il s’agit là d’une entreprise de remplacement de la population en remplaçant les cadres français par des immigrés ou descendants d’immigrés.
Il faut que le Français de souche reprenne la place qu’il avait au XIXe siècle dans Germinal et que l’on mette à sa place le plus de gens issus de l’immigration.
Par Christine Tasin
Source : https://resistancerepublicaine.com/
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