samedi 19 octobre 2024

HUMOUR ET DÉRISION ! VOYAGE EN MACRONIE ........

 


 TRIBUNE LIBRE !

Le marquis de Morveux d’Enarque est un nain de la pire espèce

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« Le nain est toujours petit, eût-il une montagne pour piédestal » (Sénèque)

J’ai souvent qualifié, dans mes libelles, le jeune marquis de Morveux d’Enarque, qui règne en roitelet narcissique, despotique et tyrannique sur le royaume – meurtri, appauvri, ruiné, envahi – des « Cellezéceux », d’avorton, de jean-foutre, de nullité, de paltoquet, d’aigrefin, de gamin mal élevé, de mariolet de Cour, etc.

 Et puis, plus le temps passe et plus je constate que ce galopin trop gâté par ses parents, puis par sa vieille duègne, est tout simplement un médiocre, un nain, un nainsignifiant.
 

N’allez point imaginer ironie ou moquerie de ma part envers les gens « à croissance réduite » pour parler comme les cuistres, les invertis et les bobos qui sont l’électorat du marquis. 

Je ne saurais me gausser des personnes de petite taille, car comme le disait jadis un humoriste : « La bonne taille, c’est quand les deux pieds touchent par terre ». 

Je réserve mes quolibets aux dépendeurs d’andouille qui me toisent de haut sans comprendre qu’un homme grand n’est pas forcément un grand homme : Charles Le Dérisoire, seigneur de Colombey, qui brada notre Empire, en est une belle illustration.

Moi-même, je mesure « 5 pieds, 2 pouces, 4 lignes » (1,68 m). 

C’est très précisément la taille de Napoléon 1er. 

C’est aussi celle de Nicolas Sarkozizi de Neuilly et de François le Mou, vidame de Tulle, ce qui est beaucoup moins flatteur. Je ne suis point un géant. 

J’ai souvent fredonné, dans ma jeunesse, le vieux chant royaliste  « Le petit Grégoire » : « … 

La guerre éclate en Bretagne au printemps suivant/ Et Grégoire entre en campagne avec Jean Chouan… », dont le refrain est « T’es bien trop petit mon ami, t’es bien trop petit, dame oui ! ». 

Je sais que la taille ne détermine ni la volonté ni le courage. 

J’aurais même tendance à penser que les petits coqs se dressent plus facilement sur leurs ergots, qu’ils sont plus combatifs que les grands.

 Et depuis que François Hollandouille, dit le Mou, le porcelet sudoripare de Tulle, a décoré de la Légion d’honneur la théâtreuse Mimi Mathy – qui mesure 1,32 m – je me dis que si « la valeur n’attend point le nombre des années », elle ne se mesure pas non plus en centimètres (je n’ai d’ailleurs pas envie de philosopher sur les mérites de madame Mathy).

Le marquis de Morveux d’Enarque, disais-je, est un nain, un nain de la pire espèce, pis que la puce, le pou, le moustique ou le morpion (qui attaque l’homme dans ce qu’il a de plus précieux).

 En deux mots, c’est un nainsecte nuisible, une punaise, une aragne, un cafard…


En fait, ce gamin arrogant et vaniteux, c’est nabot-léon ; un nain entouré de nains (dont, entre autres, Moussa Darma-nain qui fut son ministre des basses polices…).


Souvenez-vous que Morveux d’Enarque est une marionnette qui été portée au pouvoir par la finance apatride. Il n’avait point de passé politique. 

Il est arrivé sur le trône comme un naintrus, un nainposteur. 

Aussitôt aux affaires, il a pris de très haut les « Cellezéceux » de souche avec mépris, les traitant de « Gaulois réfractaires » et les critiquant dès qu’il était en contrée estrangère. 

Ce paltoquet est un nainsolent doublé d’un naingrat pour tous ceux qui l’ont élu. 

Il se prend pour un naindoux et divise le pays en castes ; son peuple historique étant, à ses yeux, des parias, des « intouchables ».

Depuis qu’il dirige le royaume, tout va de mal en pis, car le marquis est un naincompétent, un naincapable. Il se prend pour un génie alors qu’il n’est en réalité qu’un nainbécile.


Et puis, de surcroît, il n’a aucune constance dans ses idées. Telle la girouette, il change d’avis au gré du vent.

 Il pratique le « et en même temps » qui lui permet de dire tout et son contraire en permanence. 

C’est un naindécis, et même bien pire, un nainstable. 

Sur chacune de ses décisions, il reste un nainprévu. Je n’ai point oublié qu’il a osé qualifier l’œuvre de son pays en Afrique de « crime contre l’humanité ».

 Il ne respecte donc absolument rien ; c’est un naindigne.


D’aucuns racontent qu’il adule les « chevaliers de l’œil de bronze » et qu’il aurait même été intronisé (je n’ai pas dit « introduit ») dans cette confrérie, qui est omniprésente dans le pays et dont son gouvernement est truffé. Ils affirment qu’il serait un nainverti.

 Pour ma part, je me souviens de ses propos quand son mameluk Ben-Allah a eu maille à partir avec les argousins.

 Déclarant que ce dernier n’était point son amant, il se comportait en nainpudique, car on ne lui demandait rien.

On nous a présenté le personnage comme un homme instruit et cultivé. 

C’était parait-il « le Mozart de la finance » mais, aidé par son grand argentier Bruno Le traître, il a ruiné le royaume.


Quant à son érudition, parlons-en ! Il prenait la Guyane – la patrie de Christine Taubiraciste – pour une île et, plus récemment, il croyait que l’État d’Israël avait été fondé par… l’ONU.


Ce garnement prétentieux est creux comme un tambour ; il ne sait rien ; c’est un nainculte. Je dirais même que mentalement c’est un nainfirme, un malade mental, un foldingo.
 

En revanche, il pérore ; il est frappé de logorrhée délirante, de diarrhée verbale. Il bavasse à tort et à travers ; tout lui est bon pour parler (de préférence de lui).

C’est un naincontinent de la parole, un naindécent, parfois aussi un naindiscret qui ferait mieux de la fermer.

Mais ses idées, ses décisions, ses pensées, sont presque toujours malsaines, c’est un nainpur, un nainparfait. 

Il ne supporte pas la contradiction ; enfant gâté, il veut que tout aille à son rythme, c’est un nainpatient. 

 Et, se croyant au dessus des autres, il coupe la parole à ses contradicteurs ; c’est un nainpoli. Il mène incontestablement le royaume à la ruine mais il s’en moque ; il a été choisi parmi d’autres nains pour faire demain une Europe de nains.
 

Ma seule consolation, mais elle est bien mince, c’est de me dire qu’en politique, le marquis Emmanuel de Morveux d’Enarque est un nainfini. 

Quant à moi, je reste un naindigné.

 

Par Cédric de Valfrancisque

 

Source et Publication :    https://ripostelaique.com/ 






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