vendredi 25 octobre 2024

LES FRÈRES MUSULMANS ET L' ENTRISME DANS LE SPORT ! LE SILENCE DU MINISTÈRE DES SPORTS ????

 




Les Frères musulmans agissent partout et aussi dans le sport

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La faiblesse de notre État est incommensurable. 

La démission de nos autorités est permanente. 

L’école, l’université, et le sport sont des terrains de jeux privilégiés des islamistes. 

Il faut dire que ne rencontrant quasiment aucune résistance, ils s’en donnent à cœur joie, dans la gêne, il n’y a pas de plaisir, comme le dit le dicton populaire.

C’est ainsi qu’aux championnats du monde de lutte (United World Wrestling) qui se sont déroulés début octobre à Astana au Kazakhstan, « une française », Sana Ndiaye a pu en toute impunité et en contravention totale avec la loi, concourir en hidjab et monter officiellement sur le podium, toujours voilée de sa tenue islamiste.

 Elle a en effet obtenu une médaille d’or en jiu-jitsu et un d’argent en grappeling, une discipline de la lutte paraît-il.

Or, la réglementation interdit absolument toute manifestation religieuse ostentatoire, et on apprend que cette jeune fille de 17 ans, avait été exclue de la Confédération française de jïu-jitsu brésilien et de celle de judo en 2023 et ce à cause du port du voile. 

Pourquoi et dans quelles conditions a-t-elle été autorisée à défendre les couleurs de la France, sans respecter l’interdiction du port du vêtement islamique ? 

Pourquoi les responsables de cette fédération n’ont-ils pas été réprimés sur-le-champ ?

Déjà, en juillet dernier, au moment des Jeux olympique, une athlète « française », Sounkamba Sylla voulait participer avec son hidjab. 

La ministre des sports, l’insignifiante Oudéa-Castera avait rappelé en élevant la voix « un représentant d’une équipe de France est soumis à une exigence de neutralité qui empêche le port d’un signe religieux ostensible ». 

Devant l’extrême dureté du propos, cette jeune femme avait finalement caché son voile sous une casquette ! Bien sûr, rien ne se passa, et la ministre remisa son courroux.

 La sportive aurait dû être immédiatement exclue si un peu de courage politique existait…

En juin 2023, le Conseil d’État, prenant pour une fois son courage à deux mains, avait pourtant édicté, suite au recours de deux associations faisant de l’entrisme islamique au sein de la Fédération française de football que « le principe de neutralité du service public s’applique aux fédérations sportives qui sont en charge d’un service public…

 Leurs agents et plus généralement toutes les personnes sur lesquelles ils ont autorité doivent s’abstenir de toutes manifestations de leurs convictions et opinions personnelles. 

Cette obligation de neutralité s’applique également à toutes les personnes sélectionnées dans une des équipes de France lors des manifestations et compétitions auxquelles elles participent ».

La déliquescence de l’État est donc totale, ni la loi ni la jurisprudence ne sont appliquées.

 Le représentant français de cette discipline de Lutte se retranche lâchement derrière la fédération internationale qui autoriserait, selon lui, le port de l’hidjab. Pourtant, Sana Ndiaye avait été exclue du pôle espoir de l’équipe de France, car elle devait signer une charte au terme de laquelle elle ne pouvait pas combattre voilée.

 Elle a reçu le soutien du Collectif contre l’islamophobie en Europe qui est clairement dans la mouvance frériste, le terme « islamophobie » le prouve, cette sémantique est dans l’orbite des Frères musulmans. De plus, le club sportif de Sana Ndiaye a aussi été exclu par la Confédération française par sa commission éthique, anti-radicalisation politique et religieuse. 

Ce club, se situant a Neuilly-sur-Marne dans le 93, aurait selon une source policière, rapportée par le Figaro, été signalé aux services de renseignements. Ce club a été fondé par le père de Sana, Gary Bilal. 

Il avait notamment comme « éducateur sportif », un dénommé Taieb Bouhessane, qui, sur Instagram, annonçait organiser des compétitions sportives a destination de tous, donc « des petites filles voilées ». Il a aussi été exclu par la Confédération, mais continuerait ailleurs son prosélytisme.

L’araignée islamiste tisse donc sa toile en quasi totale impunité. 

La Confédération aurait reçu de multiples témoignages, des captures d’écran sur plusieurs clubs en France et un responsable aurait indiqué au Figaro « on a eu des pressions pour que les compétitions s’arrêtent aux heures de la prière. 

On doit souvent vérifier que les vestiaires ne se transforment pas en salle de prière. Certains clubs veulent que les filles s’entraînent entre elles, voilées, avec un entraîneur femme, et qu’il n’y ait aucun contact visuel avec les garçons. 

Il y en a même qui organisent des séminaires de jiu-jitsu couplés avec un pèlerinage à La Mecque ! On a l’impression d’être un peu seul à faire appliquer la loi. »

Que fait le ministère des Sports ? Que fait le ministre des Sports ? 

Les autorités françaises sont complètement aux abonnés absents, alors qu’ils ont tous les moyens juridiques pour intervenir fermement. C’est un scandale absolu, un de plus me diriez-vous. 

À quoi sert le fameux « Conseil des sages de la laïcité », auquel appartient le sociologue Médéric Chapitaux, auteur d’un livre courageux, Quand l’islamisme pénètre le sport, publié aux PUF en 2023, et qui réclame, lui, une application stricte de la loi et de la jurisprudence. 

Le fait que le ministère des Sports, contacté par Le Figaro à la suite de son article publié le 22 octobre, n’ait pas voulu réagir en dit long sur l’inanité de nos gouvernants qui, malgré leurs beaux discours trompeurs, ne font rien pour combattre et contrer l’emprise islamiste. LFI serait-il déjà au pouvoir ? Cf « Athlètes voilées, prières dans les vestiaires… 

La lutte, ce sport gangrené par un islam conquérant »  Le Figaro du 22 octobre.

Par Michel Festivi

 

 ET AUSSI


Soigner la France du cancer de l’islam par le christianisme

 

La religion comme arme de défense, comme arme de combat ?

J’ai été baptisé, j’ai fait ma communion et j’ai reçu une instruction catholique avec un curé qui croyait qu’en faisant peur aux enfants il obtiendrait de bons chrétiens. 

 

Le plus effrayant que je me souvienne, c’est ce maréchal-ferrant qui, doutant de l’hostie, a fait semblant à l’église de la manger puis, de retour dans son atelier, aurait mis un coup de marteau dessus.

 Le sang s’écoula, et ce maréchal-ferrant s’écroula en excuses. 

Moi, enfant, cela m’avait terrifié (le mot latin [hostia] désigne la victime sacrifiée, en particulier le Christ dans le sacrifice eucharistique).

 

Plus tard, je me suis déclaré athée, pas de dieu, pas d’anges, pas de représentants du Christ, ni des saints. 

Avec l’âge, je suis devenu agnostique. 

Peut-être mon éducation judéo-chrétienne qui remontait à la surface ou la prudence ! 

Allez savoir.

 

Aujourd’hui, toujours agnostique, une position confortable finalement, je constate que le phénomène religieux est de plus en plus puissant et que c’est l’islam qui pousse aux portes de nos sociétés européennes.

 
Un islam exigeant, qui a ses règles de fonctionnement impliquant sa domination in fine dans tous les territoires qu’il conquiert et envahit. 

 Les dirigeants européens ont oublié l’histoire de l’islam et sa progression dans le monde. 

Une longue flaque de sang en Perse, en Asie jusqu’en Inde. 

Des conversions autoritaires au cimeterre et des caravanes d’esclaves venues d’Asie et d’Afrique.


 

Idem en Afrique du Nord à travers ses guerres de conquête pendant plus de cinquante ans contre les Berbères (647/709)

Là aussi, exécutions et massacres des vaincus, des colonnes d’esclaves Berbères vers Damas et l’éradication de la culture des habitants d’origine qui, aujourd’hui, se croient arabes alors que leurs ancêtres ont été massacrés et colonisés (il existait plus de quatre cents évêchés au moment de la conquête musulmane).


 

Un sort que la France a su éviter avec des chefs de guerre issus de la chrétienté comme le duc d’Aquitaine Eudes qui inflige une sévère défaite aux musulmans le 9 juin 721, près de Toulouse. 

Celui-ci règne sur un peuple qui est plus proche des Basques ou des Ibères d’Espagne que des Gaulois.

C’est Eudes Duc d’Aquitaine qui appela Charles Martel à la rescousse pour faire face aux hordes musulmanes !

 C’est à Poitiers en 732 que se régla le problème.

(Un moment qu’Hitler et Mélenchon ont regretté d’ailleurs. 

Ce n’est pas étonnant vu le fond socialiste destructeur de ces personnages politiques.)

Leurs victoires, en 721 et en 732 mit un coup d’arrêt à l’expansion de l’islam en Occident, tout juste dix ans après le franchissement du détroit de Gibraltar par les premiers musulmans et leur conquête de l’Andalousie grâce à des Rois Wisigoths qui ont pensé que l’islam allait faire la guerre en Espagne pour leurs beaux yeux.

Ils s’installèrent et imposèrent leur dictature religieuse à coup de cimeterres, d’esclavage, d’imposition de la dhimmitude qui faisait des juifs et des chrétiens des sous-hommes.

 C’est de cette situation humaine que certains intellectuels, à gauche et à droite, osent parler du miracle de l’Andalousie musulmane.

 

Ils nous sortent régulièrement Averroès, né à Cordoue, grand Cadi de Séville, un juge suprême musulman en quelque sorte, qui appliquait la charia et donc la lapidation, le fouet, les exécutions pour apostasie, et qui souhaitait pourtant intégrer la raison dans l’islam. 

Mal lui en a pris, il a été accusé d’hérésie à la fin de sa vie. 

Il fut convoqué et prié de s’abstenir d’écrire et de dire ce que l’islam considérait comme des obscénités. 

 
Pour les tenants de l’islam, le seul livre qui inclut toutes les connaissances du monde est le Coran. 

Rien d’autre, et encore moins les philosophes grecs comme Aristote.

Averroès recommandait les sciences profanes, notamment la logique et la physique, en plus de la médecine. 

Allah estimait, à travers Mahomet et les Califes du moment, que les peuples devaient rester ignares pour mieux l’adorer, et surtout assurer leurs pouvoirs.

 
Tout cela pour dire qu’à travers mon expérience d’athée, puis d’agnostique affirmant, dans les années 1980, que mes enfants ne seraient pas baptisés car ils se feraient eux-mêmes leurs idées, je fais désormais le constat que rien ne se fait de grand dans l’esprit des masses sans le religieux.

 

La révolution de 1789 et plus encore celle de 1793 ont voulu détruire la religion dans le sang !

Elle est revenue par la suite. 

D’autres révolutions ont encore tenté cette destruction par d’autres voies et finalement, c’est le progrès social, le matérialisme, l’individualisme qui aura donné l’illusion que la religion chrétienne était détruite ou très affaiblie, en laissant derrière elle des tapis d’églises dont certaines somptueuses, ainsi que de magnifiques cathédrales que certains islamo-collabos donneraient bien à cette idéologie religieuse qu’est l’islam.

 

Le 21e siècle sera religieux ! Fadaises disaient certains. 

Réalité en fait.

Les sociétés organisées sans religion ne peuvent pas exister. 

L’humain a besoin de transcendance, d’espérance, de foi, et les biens matériels ne suffisent pas à le combler.

 Nous sommes tributaires de ces éternelles questions qui vont du « qui suis-je, ou vais-je et pourquoi ? ». 

Les religions matérialistes comme le communisme et le fascisme n’ont pas comblé le vide des âmes et des cœurs ! 

Il suffit de voir la déchéance d’une partie de la jeunesse qui se tourne vers la drogue, l’alcool, les biens matériels devenus obsolètes à peine achetés, et pire, vers des milices violentes ou vers l’islam qui leur offre un cadre, des règles, des obligations rituelles, etc. 

 

Ce n’est pas en éliminant une religion que l’on se débarrasse du religieux.

Mieux encore, si nous voulons continuer à vivre comme nos ancêtres, les honorer et poursuivre cette fabuleuse idée qu’est notre nation ancestrale qui existe depuis 1500 ans, ce n’est pas en agissant comme des idiots utiles à l’islam, en ne faisant rien, mais en soutenant ceux qui maintiennent à bout de bras la foi de nos aïeux qui ont vécu toute leur vie à travers les siècles pour nous laisser un pays dont nous pouvons être fiers.

 
Je ne deviendrai probablement pas croyant demain mais je crois sincèrement que l’on ne contraindra pas l’islam, qu’on ne le fera pas reculer avec le matérialisme, l’individualisme, les allocations, les aides sociales, les HLM, la compassion « chrétienne » aux clandestins, mais par une réponse religieuse aux religieux islamiques.

 

C’est par la France chrétienne, bien plus que par la France des lumières, et encore moins celle Républicaine, qui fut, pour le coup, un vrai désastre pour les Français, que nous devons réagir.

C’est par ce peuple de France sûr de lui, de ses racines gréco-latines, judéo-chrétiennes, et sûr de son histoire, de son roman national qui, même s’il n’est pas l’exact déroulement historique à la virgule près, peut nous sauver de l’islamisation totale qui aboutira à la République islamique, à la charia, aux lapidations, à la femme dégradée de son égalité avec l’homme, la femme dépouillée de ses droits, réduite à l’esclavage sexuel et à la minorité à vie.
 

Les islamo-gauchistes et autres abrutis LGBTQ et autres, qui pensent que l’islam sera pour eux un gage de liberté, ignorent ce qu’est l’islam. 

C’est la mort au bout d’une corde, comme en Iran.

Il faut faire renaître cette France que les islamistes et les gauchistes veulent détruire complètement comme ils l’ont fait en Afrique du Nord. 

Il faut une sorte de Reconquista.
 

Par Gérard Brazon

 

RECONQUISTA 










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