vendredi 18 octobre 2024

ÉCONOMIE , POLÉMIQUE ET POLITIQUE ! LA VÉRITÉ APPARAÎTRA PLUS TARD ! LES FRANÇAIS EN COLÈRE !

 REVUE DE PRESSE !

 

Catastrophe financière : Le Maire dilaté doit être pendu haut et court

Bruno le Maire devant la potence

Les délits ne manquent pas pour pendre le Dilaté : dilapidation du patrimoine français, déprédation des finances publiques, mensonge, dissimulation de faits, abus de confiance, squat de longue durée d’un bâtiment de l’État, dilatation…

 

Une commission d’enquête parlementaire sur les finances publiques aurait été mise en place pour faire la lumière sur les méfaits du Dilaté. 

Mais en a  vraiment tant besoin ?

La potence ne peut être que méritée pour le Bruno le Maire qui a squatté le bâtiment de Bercy pendant 7 ans sous la protection de son maître, le Macron. 

Et qui a ruiné la France.

Le Bruno Dilaté s’est éclipsé peu de temps avant qu’on ne découvre l’horreur de la catastrophe qu’il lègue aux Français.

À cause de lui, les Français doivent, dit-on, se serrer la ceinture. On ne sait pas s’il y en assez pour tous les Français.

 Il faudra certainement en commander en Chine.

On ne s’en sortira jamais avec le Macron. Il faudra toujours porter quelque chose. 

Après le gilet (de couleur jaune), c’est le masque (dit anti-Covid) puis la ceinture (anti-déficit dilaté).

 

Le Bruno dilaté promet de dire la vérité. Toute la vérité. 

Mais dire la vérité signifie avoir menti. Depuis quand ment-il à la France ? 

Va-t-il impliquer son maître ?

Non, son maître n’a rien à craindre. S’il arrive au Le Maire d’être dilaté quelque part, il a toujours la bouche cousue.

 À peine une légère ouverture qui lui permet de balbutier « Oui, Monsieur le président ».

On lui reconnaît de la bonne volonté pour essayer de mettre la Russie à genoux. Mais il s’est trompé de pays. 

C’est la France qu’il a mise à genoux. 

On ne peut pas lui en vouloir. L’erreur est humaine. Ça peut arriver à tout le monde. 

Surtout quand on est ministre de l’Économie. Son intention était noble et courageuse…

La France mise à genoux, le Bruno Dilaté a donc décidé de mettre le cap sur la Suisse (sur les pas des stars françaises de haut rang, comme Johnny Hallyday, Charles Aznavour, Alain Delon…). 

Il va donc officier en grand maître dans les universités du pays.

 

La Suisse semble ravie d’avoir un tel personnage sur son sol.

« C’est une belle opportunité pour nos étudiants de bénéficier de la vision de Le Maire dans le domaine de la géopolitique », commente Marianne Schmid Mast, doyenne de HEC (Hautes études commerciales) de l’Université de Lausanne où le dilaté va officier.

« Il peut relier les aspects économiques, environnementaux, sociaux et sécuritaires, ce qui est essentiel pour comprendre la dynamique mondiale actuelle. 

C’est un atout pour enseigner la gestion aux étudiants qui doivent naviguer dans un environnement complexe », explique-t-elle.

Le Bruno le Maire peut faire beaucoup plus, Madame Schmid Mast. 

Il peut enseigner les bonnes méthodes du mensonge, de la dissimulation, de la tricherie et surtout de la dilatation, sa grande spécialité.

Et il peut vous ruiner en un claquement de doigts.

Faites-lui confiance et vous serez ravi du résultat.

Par Messin’Issa

https://resistancerepublicaine.com/


ET AUSSI

« La vérité apparaîtra plus tard ».

 Mais la colère des Français, c’est maintenant

bruno le maire

Après les romans Harlequin - sous le pseudonyme, dit-on, de « Duc William » - Bruno Le Maire s’essaie-t-il au polar de gare ?

 En tout cas, la réponse qu’il a faite au journaliste de France Télévisions  - celui-ci l’interrogeait sur le hiatus constaté entre la dette prévue et la dette réelle - ressemble à un titre terrifiant et mystérieux de Mary Higgins Clark : « La vérité apparaîtra plus tard ».

 

Il faut dire qu’annoncé initialement par l’ancien gouvernement à 5,1 % du PIB, le déficit sera finalement de 6,1 % en 2024. Soit un « trou » - un gouffre - de plus de 50 milliards. 

La commission des finances de l’Assemblée nationale se mue en commission d’enquête : d’où vient le dérapage ? Et le premier appelé à répondre devrait-être Bruno Le Maire. 

La réponse sibylline de l’auteur de la Fugue américaine ressemble à une fuite en avant, bien française, elle, sur l'air bien connu du  « responsable, mais pas coupable » et « c’est pas moi, c’est l’autre », suivez mon regard… vers l’Élysée.

Comment va réussir à botter en touche celui qui est resté sept ans à l’Économie - le temps qu’il faut à un enfant pour arriver à l’âge de raison -, sept ans de malheur, en réalité ? 

Il devait mettre à genoux l’économie russe, accordons-lui au moins d’avoir tenu à moitié sa promesse : il a bien mis à genoux une économie, mais c’était la nôtre.

 

Impasse française 

Pourtant, il n’est pas parti de son poste en catimini par la porte de service, mais plutôt en fanfare et content de lui : un discours fleuve devant 1.200 personnes : « Il est temps pour moi de respirer un air différent de la politique ».

 En fait d’air, il n’en manque pas. Toute honte bue. 

Comme son successeur, d’ailleurs, Antoine Armand qui, lors de la passation de pouvoirs, n’a pas tari d’éloge, comme si, avec le recul, il se payait la tête de ses futurs administrés. 

Il a voulu « évidemment » saluer l’action de Bruno Le Maire, « ton action, cher Bruno ». 

Un « évidemment » pas évident pour les Français. 

Il a même dit que pour lui - était-ce du second degré ? -, ce ministère était l’une des plus grandes réussites de la dernière décennie, et qu’il « [mesurait] la chance d’hériter d’un tel bilan économique ». 

Soit il avait pris les graphiques à l’envers, soit il n’avait pas eu communication des dossiers. 

Car dès le lendemain, le ton avait changé : « La France a un des pires déficits de son Histoire ».

 Le dernier livre de Bruno Le Maire s’appelle La Voie française.

 Il a simplement oublié de préciser que c’était une voie sans issue. 

Autrement dit, en bon français, une impasse, avec un immense mur infranchissable au fond.

 

50 milliards

Où sont allés ces 50 milliards disparus par l’opération du Saint-Esprit ? 

La commission d’enquête de l’Assemblée est censée parvenir à le savoir. Impossible, d’ici là, de faire le portefeuille des Français par des restrictions et de nouveaux impôts. Ce serait très mal vécu.

 Quel investisseur accepterait de remettre des sous dans une machine sans fond ? « J’aimerais que l’État descende de mon dos et sorte les mains de mes poches », disait Ronald Reagan. 

Et qu'au moins, ce kleptomane compulsif me rende des comptes, pourrait rajouter le contribuable français. « La vérité apparaitra plus tard », mais la colère monte maintenant. 

Hélas, pour Bruno Le Maire, la vie n'est pas un bouquin Harlequin : ce ne sera pas forcément « happy end » pour le Duc William.

Gabrielle Cluzel
Par Gabrielle Cluzel
Directrice de la rédaction de BV, éditorialiste

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