vendredi 25 octobre 2024

MACRON A TOULOURS DÉTESTÉ LA FRANCE ET MÉPRISÉ SON PEUPLE ......

 TRIBUNES LIBRES

Macron à la conférence sur le Liban : Israël est une nation barbare

La conférence pour le Liban, initiée par le président Emmanuel Macron, a permis de récolter un milliard de dollars pour les Libanais et son armée, à défaut d’avancées sur le volet diplomatique. 

Les Etats-Unis sont parmi les plus gros contributeurs avec une enveloppe de 300 millions de dollars, devant la France (108 millions) et l’Allemagne (103).

« Nous avons répondu à l’appel lancé par les Nations unies en annonçant des contributions substantielles, 800 millions de dollars auxquels s’ajoutent d’importantes contributions en nature« , a déclaré le chef de la diplomatie française Jean-Noël Barrot.

Quelque 200 millions seront, eux, destinés à l’armée libanaise.

 Sans compter les aides en nature. 

Le soutien (financier, en équipements ou via des formations) aux Forces armées libanaises était un des éléments-clés de la conférence de Paris alors que le Premier ministre libanais souhaite les déployer plus largement au sud du fleuve Litani, zone visée par les frappes israéliennes pour déloger les milices du Hezbollah.

Un milliard de dollars, c’est le double de l’objectif initial de la France et bien plus que les 400 millions réclamés par les Nations unies début octobre pour les personnes déplacées. 

Alors que dans notre pays, le nombre de personnes vivant sous le seuil de pauvreté explose, et que le gouvernement s’apprête à ponctionner l’ensemble des Français, ce don de 108 millions de dollars représente un effort important. 

Le président-flambeur mesure-t-il l’état de détresse dans lequel vivent de nombreux Français ? 

Rappelons que la France a accordé pour plus de 40 milliards d’euros à l’Ukraine…

 

Les affrontements au Liban ont contraint plus de 800.000 personnes à se déplacer, selon les Nations unies. 

En Israël, 60.000 personnes ont également dû quitter leur foyer depuis un an du fait de frappes du Hezbollah. 

Plus de 1.500 personnes ont été tuées lors des bombardements israéliens, selon les données officielles des services libanais.

Si le président Emmanuel Macron a exhorté à faire cesser « au plus vite » les hostilités au Liban, l’absence à cette conférence des deux principaux protagonistes, Israël et l’Iran, soutien du mouvement islamiste Hezbollah, avait hypothéqué d’emblée toute avancée significative au niveau diplomatique.

 

Jean-Noël Barrot a néanmoins souligné que les participants à la conférence, venant de 70 pays, s’étaient « accordés sur l’urgence d’une solution diplomatique, permettant d’assurer une sécurité durable de la population en Israël comme au Liban« .

Cette solution passe par « la pleine mise en œuvre de la résolution 1701, avec un arrêt des hostilités de part et d’autre de la frontière« , a précisé le ministre.

Cette résolution des Nations unies, qui avait acté la fin de la précédente guerre entre Israël et le Hezbollah en 2006, stipule que seuls les Casques bleus et l’armée libanaise doivent être déployés dans le sud du Liban frontalier d’Israël.

L’idée est désormais de déployer « massivement » les forces armées libanaises dans le sud du pays, « de renforcer la capacité de la Finul (la Force intérimaire des Nations unies déployée dans le sud du Liban) et de mettre en œuvre son mandat« , a souligné Jean-Noël Barrot.

 

La communauté internationale doit « soutenir les efforts pour mettre fin aux agressions en cours et mettre en œuvre un cessez-le-feu immédiat », a déclaré de son côté le Premier ministre libanais Najib Mikati, remerciant les pays pour leur aide.

« Nous exigeons que le Hezbollah cesse ses frappes indiscriminées » contre Israël, a asséné le président français, ajoutant :

« Israël sait d’expérience que ses succès militaires ne sont pas forcément une victoire au Liban ».

 « On parle beaucoup de guerre de civilisation.

 Je ne suis pas sûr qu’on défende une civilisation en semant soi-même la barbarie », en référence au discours de Benjamin Netanyahu, qui affirme défendre la civilisation judéo-chrétienne dans le combat israélien à Gaza ou au Liban.

 Des propos qui devraient être largement commentés par l’ensemble de la classe politique. « Honte ! » avait répondu Netanyahu après la déclaration de Macron sur la création de l’Etat d’Israël.

 La réaction de Jérusalem pourrait sans doute aller jusqu’au rappel de son ambassadeur à Paris.

Par Henri Dubost

 

ET AUSSI :  COUP DE GUEULE ET POINT DE VUE !


L’ignominie anti-israélienne d’Emmanuel Macron

 

Toute personne un tant soit peu lucide ne l’ignore pas : Emmanuel Macron est un être ignoble.

Il l’a montré avant même d’être élu Président lorsqu’il a accusé la France de crime contre l’humanité en Algérie, alors qu’il était sur le sol algérien, aux côtés de dignitaires du FLN.

 Il l’a montré un peu plus tard, sous un autre angle, en faisant une distinction entre « les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien ».

Macron a toujours détesté la France et méprisé les pauvres.

Il a confirmé sa détestation de la France en faisant, au fil du temps, diverses déclarations dédaigneuses sur la culture et le peuple français.

Il a confirmé son mépris des pauvres en mettant des louches d’huile sur le feu au moment du soulèvement des Gilets jaunes et en recourant à une répression féroce.

Il n’a jamais été élu sur son programme et par adhésion à ses idées, mais la première et la deuxième fois, en suscitant une peur factice et grossièrement fabriquée envers Marine Le Pen.

Sa gestion du pays a été lamentable et désastreuse.

Il n’a pas eu de politique étrangère digne de ce nom, parce qu’il n’a ni principes ni éthique, et il a tenu des discours extrêmement fluctuants sur la Russie et sur l’Ukraine.

Il a prétendu remettre de l’ordre au Liban en montrant qu’il ne comprenait strictement rien à la dictature effroyable exercée sur le pays par l’organisation terroriste chiite Hezbollah.

Après l’atroce massacre perpétré par le Hamas en Israël le 7 octobre 2023, il s’est brièvement affiché en soutien ferme d’Israël, puis s’est montré bien plus fluctuant et a fini par adopter sa position actuelle : une demande de cessez-le-feu, qu’il a renouvelée après l’élimination de Yahya Sinwar.

Les ennemis d’Israël s’obstinent à demander à Israël un cessez-le-feu aux fins de sauver le Hamas et le Hezbollah, et ils ne demandent pas la même chose au Hamas et au Hezbollah : ils font partie des ennemis d’Israël.

Les ennemis d’Israël veulent en fait la défaite, voire la destruction d’Israël, et il est clair qu’aujourd’hui Macron veut la défaite d’Israël.

Macron a demandé, en supplément, un embargo sur les livraisons d’armes à Israël, en sachant fort bien que cela placerait Israël en position d’extrême vulnérabilité.

 La France ne livrant pas d’armes à Israël, c’était une façon de préparer le terrain pour une menace d’embargo américaine sur les livraisons d’armes à Israël, et cette menace est venue aujourd’hui, sous la forme d’une lettre ouverte adressée à Israël par deux membres de l’administration Biden, Antony Blinken et Lloyd Austin.

Sachant parfaitement que les casques bleus de la FINUL ne servent absolument à rien, sinon à être des boucliers humains du Hezbollah, Macron a affirmé son soutien à la présence desdits casques bleus et a appuyé la position de l’ONU qui veut que les casques bleus restent en position de boucliers humains et soient donc clairement et explicitement au service du Hezbollah.

 Il a donc légitimé la position de l’ONU, une organisation dominée par le monde anti-démocratique et soumise à des mouvements islamiques.

 Biden et Kamala Harris l’ont fait aussi, mais ce n’est pas une excuse.

Comme si cela ne suffisait pas, il a affirmé qu’Israël avait été créé par l’ONU, et sous-entendu très clairement qu’Israël devait dès lors se soumettre aux décisions de l’ONU.

Il est impossible de retracer en peu de mots toute l’histoire de la fondation d’Israël, mais ce doit être dit : ce qui a conduit à la fondation d’Israël a commencé bien avant que l’ONU vienne à naître et avant même que la SDN (Société des Nations), ancêtre de l’ONU, ait existé : le mouvement sioniste s’est enclenché en 1897, avec la création de l’Organisation sioniste mondiale, sous l’impulsion de Theodor Herzl, et des mouvements antécédents s’étaient donnés le même but.

 La déclaration Balfour date de 1917, et la conférence de San Remo a eu lieu en avril 1920.

Il serait indispensable de rappeler aussi que l’ONU de 1947 n’était pas du tout l’ONU de 2024, vraiment pas du tout, et que l’ONU a totalement cessé d’être une organisation respectable. 

L’ONU ne dit pas le droit international, non, et sans le droit de veto des États-Unis, des résolutions répugnantes et antisémites auraient été adoptées, avec l’approbation de la France.

Il serait indispensable, surtout, de rappeler que, dès sa naissance, Israël a été confronté à la haine islamique et à la guerre, que les premiers Israéliens ont dû se battre pour qu’Israël vive et ont dû le faire sans la moindre aide occidentale.

Binyamin Netanyahou a eu pleinement raison de rappeler qu’Israël existe grâce à « la victoire obtenue dans la guerre d’indépendance avec le sang de combattants héroïques, dont beaucoup étaient des survivants de la Shoah ».

Macron dit maintenant que ses propos sur Israël ont été sortis de leur contexte. Il ne nie pour autant pas qu’il les a tenus. Il tente de se rattraper. Vainement. D’une manière minable.

Macron soutient la Cour pénale internationale et n’a pas émis la moindre réserve lorsque le procureur de celle-ci a réclamé des mandats d’arrêt contre des dirigeants israéliens, dont Benjamin Netanyahu. 

Joe Biden, qui n’est pas un véritable ami d’Israël, a eu la dignité minimale de critiquer la Cour pénale internationale et de nier sa légitimité lorsqu’elle a incriminé les dirigeants israéliens.

Macron a interdit les stands israéliens au salon de défense Euronaval qui va se tenir début novembre à Paris.

Macron est en fin de parcours : il a trahi la démocratie en organisant l’été dernier une manœuvre électorale sordide. Il trahit maintenant une démocratie amie de la France, Israël. 

Il s’est montré favorable au maintien de la soumission du Liban au Hezbollah.

Sa conduite est-elle dictée par une volonté de se soumettre davantage encore à l’islamisation de la France ? 

 

Est-elle dictée par un projet de se placer, après 2027, au service d’organisations islamiques à même de rémunérer grassement ceux qui acceptent de tenir un discours de dhimmi ?

 Est-elle issue de la politique arabe de la France, devenue politique islamique de l’Europe ?

 

Peu importe la réponse à ces questions.

Macron est abject.  Il l’est depuis longtemps. 

Sa présidence restera un moment sombre de l’histoire du pays.

 

Par Guy Millière pour Dreuz.info

 


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