TRIBUNE LIBRE !
Envers et contre tous les fanatiques transgenres : soutien total à Dora Moutot et Marguerite Stern !
J’apprends donc que des fanatiques fous furieux de la secte Transgenre, avec le courage des couards, ont tenté d’agresser en nombre deux femmes fort courageuses, Dora Moutot et Marguerite Stern, qui organisaient samedi dernier une conférence, suivie d’une séance de dédicace, sur une péniche parisienne, autour de leur excellent essai, Transmania.
Essai dont j’ai publié une recension sur RL voici quelques mois :
https://ripostelaique.com/transmania-une-lecture-de-salubrite-publique.html
Cette fois-ci, la tentative d’intimidation violente des trangenres – qu’on nous présente inlassablement comme de doux agneaux… tout compte fait enragés ! – s’est déroulée avec une horde de dégénérés antifas, lesquels ont agi avec la lâcheté qui les caractérise.
Car ce sont des lâches que j’ai souvent vus détaler comme des lapines après avoir jeté des projectiles en direction des gendarmes et CRS.
Toutefois, comme ils se savent protégés par leurs aînés idéologiques des tribunaux, même pris ils ne sauraient redouter la mauvaise fortune judiciaire.
Et Bruno Retailleau ne pourra rien y faire malgré ses affirmations du contraire. « Quand la haine des hommes ne comporte aucun risque, leur bêtise est vite convaincue, les motifs viennent tout seuls. » (L.F. Céline).
Et que leur reproche-t-on à Dora Moutot et Marguerite Stern ?
De dire publiquement le réel tel qu’il existe, à savoir qu’on naît et demeure homme ou femme et ce, bien plus sûrement qu’égaux en droits !
C’en est trop pour les sectateurs transgenres qui, bientôt, nous affirmeront que nous pouvons voler ou nager dans les abysses.
Parce que, pour ces gens-là, le réel n’existe pas !
Et comme, à défaut de soigner leurs troubles, on les conforte dans leurs dérives fantasmatiques, ils se sentent pousser et des ailes et des nageoires !
Malheur cependant à qui voudrait les ramener sur le chemin de la raison : il serait promptement tatoué de la marque d’infamie, à savoir « facho » !
Nouvelle peine de flétrissure, comme jadis, sous l’Ancien Régime, où l’on marquait d’une fleur de lys au fer rouge l’épaule du condamné. Milady de Winter en sait quelque chose…
(Estampe de Decamps, Arrêt de la Cour prévotale qui condamne Françoise Liberté née à Paris en 1790 au cautionnement et à la flétrissure des lettres T. R. (timbre royal) pour crime de révolte dans les journées de juillet 1830 –
Bibliothèque nationale de France)
Ainsi, nos deux Milady Dora et Marguerite – menacées régulièrement de mort sans que cela n’émeuve personne – sont devenues, par leur refus de se soumettre à la doxa délirante et totalitaire des activistes transgenres, des femmes à abattre.
Aussi, je soutiens inconditionnellement, sur ce sujet, ces deux femmes en affirmant à mon tour que le transgenrisme ne repose sur aucune vérité biologique mais seulement sur une dangereuse illusion, un mensonge éhonté, une grave hallucination, une odieuse tromperie, une vue de l’esprit fragile, et rien d’autre !
Le pire dans cette galère, c’est qu’elle entraîne dans son sillage destructeur toute une jeunesse qui n’a rien à y faire.
C’est pourquoi je félicite ces deux « fachos » de Dora et Marguerite – ne vous inquiétez pas, mesdames, on s’y fait très bien à cette appellation fourre-tout et simpliste ! –, lesquelles nous font éprouver avec Transmania le plaisir du coq de la fable :
« Car c’est double plaisir de tromper le trompeur » (La Fontaine, « Le Coq et le Renard »).
Par Charles Demassieux https://ripostelaique.com
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