Une
enseignante demande à une islamique soutenue par sa communauté de
retirer son voile. Refus et coup. Mais la prof, attaquée par certains de
ses collègues, a rendu la gifle. Sera-t-elle condamnée ?
La
Dingo dans ses oeuvres, à vomir ! Pauvre petite Philippine dont la
mémoire est souillée par l’abjection de ces propos infâmes !
Rima jugée carrément dangereuse, même par BFM. Sifflet coupé en direct.
Soyons justes
: les mots qu’elle emploie, le ton sur lequel elle les libère,
ressemblent fort à ce qu’il est généralement convenu de nommer menaces
de mort.
Dans
une démocratie digne de ce nom, de la part d’un pouvoir capable de se
faire respecter, ce genre de comportement devrait être qualifié de
flagrant délit.
Effarant : « 22 % des élèves de primaire déclarent déjà ne plus pouvoir se passer de leur téléphone pendant plus d’une heure.
Et 67 % des enfants en primaire seraient aussi déjà inscrits sur les
réseaux sociaux et messageries, pourtant interdits aux moins de 13 ans.
«
C’est inquiétant », constate le psychologue et directeur du 3018,
Samuel Comblez, qui explique qu’à cet âge, « les enfants jouent à des
jeux, regardent des vidéos. Ils se servent beaucoup de YouTube, un peu de TikTok»
La surexposition dès 6 ans débouche parfois sur du cyberharcèlement, un
phénomène en hausse depuis l’an dernier et qui se déroule
principalement sur WhatsApp.
En classe, les professeurs
constatent une évolution dans l’attitude des enfants. « Dès le CP, on
remarque leur agitation, leur incapacité à se concentrer plus de
quelques minutes, raconte Sophie (le prénom a été modifié), enseignante
de CP à Créteil (Val-de-Marne). Ils récupèrent les vieux téléphones de
leurs parents et, entre eux, ils parlent d’influenceurs de TikTok.
Séisme dans la réinfosphère : Bercoff quitte Sud Radio et rejoint Tocsin de Clémence Houdiakova. Rendons hommage à toute la réinphosphère, qui se développe malgré la répression.
Charme, talent, courage, dans l’ordre que l’on voudra.
BIZARRE, ÉTRANGE ET PARANORMAL
Comme une certaine inversion des valeurs. Hatier, 2010, classe de 5ème. Où en êtes-vous quatorze ans plus tard, bande de caves ?
Énorme
scandale : Kassovitz ose dire sur France Inter que la pollution
n’existe pas, ou qu’elle vient de la planète, et pas de l’homme. Hurlements chez les mini-Maos, d’autant que le journaliste ne l’a pas repris.
C’est
ça qu’on les reconnait. Le coup de l’électricité coupée la nuit pour
faire des économies, nouvelle débilité imposée par les écolos. Comme quoi il est possible d’être désespérément con et parfaitement dangereux en même temps.
Les meilleurs exploits du véreux Véran pendant la pandémie.
Et cette canaille, qui a passé des mois à insulter le professeur
Raoult, va gagner un fric fou grâce à sa connivence avec les labos, en
se recyclant dans la chirurgie esthétique. Laissez passer la justice du
Prince !
FRAUDE ÉLECTORALE : LA SOMBRE VÉRITÉ SUR LE SYSTÈME AMÉRICAIN ! | DAVID LEHN | LA MATINALE GPTV
« Allez, fissa Novembre et qu’on n’en parle plus » (Allah).
Par Danielle Moulins et Jean Sobieski
Source et Publication : https://ripostelaique.com
ET AUSSI
Islamisation. À Tourcoing, la laïcité prend des coups… et met les voiles
C’est une affaire comme il y en a eu
tant d’autres à travers l’Hexagone ces dernières années.
Mais qui
révèle, une fois de plus, la fracture de plus en plus grande entre un
gauche laïque régnant jadis sans conteste au sein de l’éducation
nationale et de nouvelles générations aux perceptions bien différentes.
À Tourcoing, dans le département du
Nord, une élève voilée a agressé physiquement une enseignante dans la
cour d’un lycée après que cette dernière lui ait demandé de retirer son
voile islamique.
Les faits, notamment rapportés par le Figaro,
se sont produits lundi 7 octobre au lycée Sévigné.
Au moment de quitter
l’établissement, une élève a mis son voile tout en étant encore dans le
lycée.
Un comportement qui n’a pas plu à une enseignante en sciences
techniques et médico-sociales, laquelle lui a demandé de retirer son
voile.
Suite à cette injonction, le ton est rapidement monté et l’élève, refusant d’ôter son voile, a « giflé et bousculé » la professeure, selon le témoignage d’un policier auprès du JDD.
L’enseignante a alors riposté en adressant elle aussi une gifle à
l’élève.
Ce qui a déclenché la furie de cette dernière, qui a « roué de
coups » l’enseignante. Avant de s’enfuir.
Quant à la victime, elle s’est
vue prescrire une incapacité temporaire de travail de trois jours et
est en arrêt maladie pour une semaine.
L’élève voilée sera finalement
interpellée lundi soir par des policiers. Elle est visée par une plainte
et a été temporairement exclue de l’établissement scolaire.
Dès le
lendemain, les enseignants de ce lycée de Tourcoing ont exercé leur
droit de retrait et aucun cours n’a été dispensé.
Le député du Nord et ancien ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a réagi sur X : «
Je veux apporter tout mon soutien à cette enseignante de Tourcoing qui,
alors qu’elle faisait simplement respecter la laïcité – notre bien
commun – a été frappée par une élève. Tout le monde doit soutenir nos
enseignants et condamner cette violence contre la République elle-même. »
Le même Gérald Darmanin interpellait le ministre de l’Éducation
nationale mardi 8 octobre à l’Assemblée nationale au sujet de cette
agression à Tourcoing.
Mais cette affaire a connu un nouveau rebondissement ce mercredi 9
octobre.
Tandis que la lycéenne, majeure et sans antécédents
judiciaires, doit être jugée aujourd’hui en comparution immédiate,
l’enquête ouverte suite à son agression contre une enseignante a révélé
que l’élève avait bénéficié du soutien de plusieurs professeurs du
lycée, au nom de « la lutte contre la discrimination ».`
En effet, selon
plusieurs sources proches du dossier relayées par le JDD et
venant corroborer des informations de CNews, une dizaine de professeurs
du lycée Sévigné auraient soutenu l’élève voilée après l’agression de
l’enseignante au nom de « la lutte contre la discrimination ».
Il s’avère aussi que l’étudiante avait
déjà fait parler d’elle dès la rentrée du mois de septembre dernier en
portant une abaya au sein de l’établissement, malgré l’interdiction
visant le port de ce vêtement islamique.
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Nouvelle affaire, énième affaire de voile
islamique à l’école.
Celle-ci se passe à Tourcoing, dans le lycée
professionnel et technologique Sévigné.
Lundi dans l’après-midi, un
professeur demande à une élève de 18 ans d’enlever le voile qu’elle
vient de mettre alors qu’elle n’a pas encore quitté l’établissement.
Une
fois à l’extérieur, la lycéenne gifle son professeur, qui lui en
renvoie une.
La lycéenne la roue alors de coups avant de prendre la
fuite.
Elle est interpellée le soir même à son domicile et placée en
garde à vue.
Mais on apprend dans un reportage de BFMTV que c’est un « jeu »
pour quelques lycéennes de remettre leur voile avant même d’avoir
quitté l’établissement.
Un « jeu » ? Autant dire un harcèlement à
l’encontre de la communauté éducative.
Pour voir si celle-ci va craquer,
laisser couler - à l’usure.
Le rectorat aux abonnés absents
Le rectorat est injoignable par téléphone et ne répond pas aux mails.
Contactée par BV, la direction du lycée nous répond qu’elle n’a aucun
commentaire à faire sur l’incident qui s’est déroulé lundi après-midi.
Il semble pourtant qu’il y a matière.
Ne serait-ce que parce que
d’autres élèves ont appelé à bloquer le lycée en soutien à la lycéenne
incriminée.
Au lycée Sévigné, les cours sont toujours suspendus, mais il y flotte un tel « sentiment d’insécurité » que le rectorat y a envoyé des Equipes mobiles de sécurité (EMS), dont la fonction est de sécuriser les abords de l’établissement, et des équipes Valeurs de la République, destinées à « soutenir les personnels et proposer des réponses pédagogiques, réglementaires, disciplinaires ».
Ils pourront relire ensemble les 148 pages du Vademecum de la laïcité dans l’espoir d’y trouver une solution concrète à ce problème : qu’est-ce qui perturbe la vie scolaire,
« Le voile dit islamique (sic), la kippa, le turban sikh, le bindi hindou ou une croix de dimension excessive » ?
La République et le gâteau au yaourt
Anne Genetet, ministre de l’Education nationale, dont c’est la première crise à gérer, a déclaré devant l’Assemblée : « Frapper un professeur, c’est frapper la République. »
Gérald Darmanin, député de Tourcoing est sur la même longueur d’onde : « Tout le monde doit soutenir nos enseignants et condamner cette violence contre la République elle-même. »
Pauvre République !
L’aura-t-on assez invoquée depuis le premier
scandale du genre, c’était à Creil en 1989.
Elle ne s’est pas montrée
très efficace.
Autant cuisiner des gâteaux au yaourt - c'était l'objet
de la Journée de la laïcité en 2020 au lycée Sévigné.
A quelques jours de l’hommage prévu à Samuel Paty et Dominique
Bernard, qui aura lieu dans les collèges et lycées le lundi 14 octobre,
cette affaire de voile tourquennois n’augure rien de bon.
Et qu’Anne Genetet ait demandé aux recteurs de lui faire remonter« très rapidement d’éventuels incidents qui donneraient lieu à des sanctions systématiques »
est une de ces déclarations qui, tout le monde le sait, et elle la
première, ne changera rien aux réalités de l’islamisme qui progresse, à
plus ou moins bas bruit, dans nos écoles.
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