mercredi 9 octobre 2024

10 MESURES POUR EN FINIR AVEC LE TRAFIC DE DROGUE ET L' INSÉCURITÉ ! ( L' AGORA )

 



10 mesures radicales (et pas extrémistes) pour en finir rapidement avec le trafic de drogue et l’insécurité 

[L’Agora]

1. Prisons de haute sécurité pour les gangs

À l’image des « mega prisons » comme celle de Tecoluca au Salvador, il est essentiel de bâtir des centres d’incarcération spécifiquement réservés aux criminels de gangs.

 Dans ces prisons, les mesures de détention sont d’une rigueur absolue, réduisant ainsi toute influence des gangs en dehors des murs.

 Les peines devraient être intégralement accomplies, sans remise de peine automatique, pour mettre fin au sentiment d’impunité chez les trafiquants de drogue.


2. Peines intégrales et fin des aménagements de peine

Finissons-en avec les peines réduites et les excuses institutionnelles. 

Chaque criminel, dès lors qu’il est condamné pour des faits de violence ou de trafic, doit purger la totalité de sa peine.

 Des conditions de détention dignes doivent être garanties, mais sans luxe inutile : une cellule individuelle avec toilettes, douche, et accès à une bibliothèque suffisent. 

L’accomplissement des peines intégrales a montré son efficacité dans des pays comme les États-Unis pour dissuader les récidivistes.


3. Justice automatisée

La justice se doit d’être impartiale et non idéologique. 

Remplaçons les décisions de magistrats par des systèmes de justice algorithmique pour l’attribution des peines.

 L’intelligence artificielle, neutre et impartiale, pourrait ainsi rendre des sentences fondées sur les faits, sans subjectivité ni influence idéologique. 

Des prototypes de ces systèmes existent déjà en Chine, prouvant leur efficacité à réduire les biais dans les jugements.


4. Neutralisation des grandes zones de production de drogue

La guerre contre le trafic commence à la source. 

Une alliance militaire internationale devrait se charger de la destruction systématique des grandes plantations de drogue, comme l’ont fait des pays d’Amérique latine avec le soutien américain.

 Que ce soit par des opérations aériennes ou terrestres, ces zones de production doivent être visées et neutralisées pour asphyxier l’offre de drogue à la source.


5. Droit généralisé à la légitime défense

Redonner aux citoyens la possibilité de se défendre. Inspirons-nous des États américains où le droit à la légitime défense s’applique, en permettant à chacun de posséder une arme après une formation rigoureuse et des tests psychologiques.

 En cas d’intrusion chez soi, la présomption de légitime défense doit prévaloir pour que chaque citoyen puisse assurer sa propre sécurité sans crainte de poursuites injustifiées.


6. Expulsion systématique des délinquants étrangers

Les criminels étrangers n’ont pas leur place sur notre sol. 

Tous les délinquants étrangers ou binationaux doivent être renvoyés dans leur pays d’origine avec une interdiction de retour.

 Refus de leur pays d’origine de les accueillir ? 

Qu’à cela ne tienne, coupons les aides et tout partenariat économique avec ces nations réfractaires.


7. Réforme des allocations et des aides sociales

Mettons fin aux allocations pour les familles dont les membres se livrent à des activités criminelles.

 Les aides sociales sont là pour soutenir les citoyens dans le besoin, non pour financer des foyers où le crime prospère. 

Plusieurs villes aux États-Unis ont expérimenté des programmes où les subventions sont conditionnées à la non-implication dans des activités criminelles.


8. Surveillance et saisie des avoirs criminels

Les trafiquants de drogue et les criminels prospèrent souvent grâce à des économies souterraines.

 L’État doit instaurer un programme de saisie systématique des avoirs criminels, y compris les biens familiaux dans le cadre de l’implication dans des réseaux de trafic. 

L’exemple de l’Italie, qui a récupéré des milliards en biens mafieux, prouve que cette mesure peut frapper les réseaux au cœur.


9. Création d’une force spéciale nationale contre les trafics

Une force nationale spécialisée, inspirée des unités d’intervention brésiliennes comme le BOPE, doit être mise en place pour frapper durement les cartels et les réseaux. 

Ces unités, bien équipées et lourdement armées, doivent disposer des moyens et de la liberté d’action nécessaires pour démanteler les points de vente et les réseaux de trafiquants.


10. Peine minimale pour tout trafic de drogue

Enfin, il est crucial de mettre en place une peine minimale obligatoire pour toute infraction liée au trafic de drogue.

 Les pays qui appliquent des peines dissuasives pour ce genre de crime, comme Singapour, enregistrent des taux de criminalité extrêmement bas.

 Les trafiquants doivent savoir que la France n’est plus un eldorado où les sanctions sont minimales.

Ces mesures, radicales mais nécessaires, forment un plan d’action concret pour reprendre le contrôle de notre société.

 Elles posent la question : voulons-nous réellement en finir avec la violence et le trafic, ou souhaitons-nous simplement continuer à tergiverser ?


Par Julien Dir



Illustration : DR
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Les bagnes ont été abolis en France en 1938, et définitivement supprimés en 1945 (avec toutefois des prisonniers jusqu’en 1953).
 Aujourd’hui notre société est devenue hyper-violente.
 Pourquoi ne pas réouvrir des bagnes (type Guantanamo) ? 
Il faudrait revoir la loi, mais l’assemblée nationale sert à cela. 
 
Nous avons 91000 km carrés de jungle amazonienne, donc toute la place nécessaire.
 
 Les gsm dans les cellules ne serviraient pas à grand chose, ils auraient du mal à être approvisionnés en drogue… et très certainement cela ferait réfléchir nombre d’entre-eux.
 
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