TRIBUNE LIBRE !
L’ONU et ses succursales sont des planques de rêve pour les assassins du Hamas
Les preuves présentées sont « troublantes ».
Bel euphémisme pour dire que, cette fois, on ne peut ignorer totalement les images et les enregistrements sonores.
Pris en direct et géolocalisés.
Alors on a promis de les examiner. Histoire de faire traîner jusqu’à ce que l’affaire se tasse.
Les prétendus journalistes de Gaza travaillent pour le Hamas
On le sait depuis longtemps.
Les moins toxiques sévissent dans la propagande et la désinformation.
D’autant plus efficaces qu’ils bénéficient d’un préjugé favorable auprès des médias français…
Les plus agressifs participent directement aux actions terroristes.
Dont la tuerie de masse du 7 octobre. Mais pas que…
On le sait depuis longtemps.
Mais l’ONU (Office Nuisible Universel), ses satellites dits institutions spécialisées, et des ONG islamo compatibles, sinon carrément islamolâtres, refusent de l’admettre.
Il y a même un tabou en France qui interdit de demander pourquoi les pseudo-journalistes gazaouis, envoyés spéciaux ou pigistes des grands médias occidentaux, sont tous des Arabes.
Difficile de faire autrement.
Les dirigeants du Hamas ne veulent pas d’infidèles sur le terrain, témoins de leurs exactions et de leurs défaites.
Dans le meilleur des cas, les téméraires qui s’y risquent sont brutalement éconduits.
Dans le pire, ils se volatilisent.
Et si on retrouve les cadavres, ce sont les Israéliens qui les ont abattus. Forcément.
Et les médias gorgés de pétrodollars répercutent ces mensonges.
L’UNRWA agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens a choisi son camp
Sise à Genève, la vitrine présentable du terrorisme islamique emploie 27.000 personnes dont plus de 10.000 présentes sur la bande de Gaza.
Enseignants, médecins, travailleurs sociaux ou journalistes pour la couverture.
En fait, une ribambelle de djihadistes actifs ou dormants. Selon les endroits et les époques.
L’UNRWA prétend apporter des remèdes à la maladie dont elle est la cause.
En effet, la création de cette officine en 1949 après la première guerre israélo-arabe répondait à une demande des soviétiques qui voulaient empêtrer les USA dans un conflit inextricable.
On leur doit l’invention du « peuple palestinien », pôle de tension regroupant des Arabes de plusieurs nationalités, déplacés suite à la guerre, et que leurs États respectifs refusaient de récupérer.
L’UNRWA qui devait être une structure temporaire à l’origine, a été prolongée jusqu’en 2026.
Et il y a fort à parier qu’elle continuera bien au delà… Gérant 59 camps de nomades et de déplacés, en Jordanie, au Liban, en Syrie, à Jérusalem Est et à Gaza, elle encadre et materne plus de 6 millions de personnes.
Un vivier grouillant de terroristes potentiels aisément manipulables entre ressentiments et dévotion au pédo prophète.
Avec un budget moyen de 650 milliards de dollars, dont la moitié est versée par l’Eurocrature (20 milliards rien que pour la France !) sans jamais avoir consulté les contribuables contraints, les fonctionnaires internationaux non imposables qui gèrent le bouzin ne manquent pas de possibilités d’actions.
Le fric sert davantage à acheter des armes, des explosifs et des véhicules, corrompre les fonctionnaires et offrir un train de vie royal aux chefs terroristes qu’à nourrir, éduquer et soigner les Gazaouis.
Ce budget est en nette augmentation depuis les assassinats d’Octobre 2023…
Mais c’est comme avec le fric versé aux Ukronazis.
On ne saurait demander le moindre justificatif de l’usage du pognon offert aux nazislamistes.
Pas de précipitation, on ouvre une enquête interne
« Les autorités israéliennes ont fourni à l’UNRWA des informations relatives à l’implication présumée de plusieurs employés de l’UNRWA dans les attaques du 7 octobre contre Israël », a déclaré le commissaire général de l’agence, un certain Philippe Lazzarini.
Ce bon apôtre de 59 ans, après avoir fait ses classes à l’Union Bancaire Suisse, tout en donnant un peu de son temps à la Croix Rouge, fait profiter de ses conseils avisés les islamistes du Soudan, de Somalie et du Liban.
« Pour garantir la capacité de l’agence à dispenser une assistance humanitaire (?) j’ai décidé la suspension immédiate des contrats de ces employés, et diligenté une enquête afin d’établir la vérité sans délai », a ajouté le commissaire général, sans préciser le nombre d’employés concernés ni la nature de leur implication présumée.
Questionné à ce sujet, son porte-parole a refusé de donner plus de précisions. Forcément.
Puisqu’on a de fortes chances de retrouver dans quelques mois, les «punis» à d’autres postes ou dans un autre pays islamique.
Ce ne serait pas la première fois.
La prudence et la discrétion sont donc de mise. Il ne faut pas mécontenter les djihadistes, ce serait trop risqué…
Mais on doit aussi éviter de donner du grain à moudre à des reporters d’extrême drouâte qui pourraient révéler comment, là encore, on prend pour des couillons les électeurs-contribuables-vaches à lait.
Pas de soucis, la hiérarchie vous couvre !
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a été informé de ces faits qu’il s’est abstenu de commenter directement.
Laissant à son porte-parole, l’énarque Stéphane Dujarric de la Rivière, le soin de dire qu’il était horrifié, « si les faits sont avérés ».
Une présomption d’innocence dont, très curieusement, n’ont jamais bénéficié ni les Serbes ni les Russes.
Et encore moins les Israéliens.
Sans lui faire un procès d’intention, peut-on croire à la sincérité du portugais Guterres, député socialiste, ancien premier sinistre et secrétaire général du parti, avant de se lancer dans la diplomatie ?
Comme lot de consolation après s’être fait étriller aux élections dans son pays en 2001.
Ce type a maintes fois pris faits et cause pour les djihadistes contre Israël.
Un petit coup sur les doigts des assassins du Hamas.
Un coup de massue sur la tête des Israéliens pour leur riposte. Allant jusqu’à excuser les crimes du Hamas « soumis à une occupation étouffante» (sic).
Au point que récemment, l’État hébreu a réclamé sa démission et menacé de ne plus délivrer des visas aux personnels de l’ONU.
Du haut de sa tour d’ivoire, protégé par son immunité diplomatique, il a violé son obligation d’impartialité dans les conflits, en exigeant un cessez-le-feu favorable aux djihadistes et une partition mortelle pour Israël avec la création d’un État terroriste à ses portes.
Comment tenir un autre discours quand on est une marionnette dont les pétro dollars tirent les ficelles?
Les assassins déguisés en journalistes, ce n’est pas un scoop
Le département d’État US s’est dit troublé par les accusations portées à l’encontre de 12 employés de l’UNRWA, nommément désignés cette fois, qui auraient participé directement aux assassinats et actes de torture commis le 7 octobre.
Puis aux embuscades au milieu de ruines de Gaza.
Il s’agit de petits chefs de guerre se disant journalistes.
Mais il a été malaisé de lister les simples exécutants.
Pour une fois bien peu diserts sur leurs « exploits » filmés par leurs go pro mais avec des cagoules.
Plusieurs grands médias et agences de presse d’Occident avaient déjà été accusés d’employer des photographes palestiniens, informés en amont des massacres terroristes commis en Israël.
Puisqu’il a été établi que, dans certains endroits, ils avaient précédé les égorgeurs, de bon matin.
On veut bien croire à l’efficacité du téléphone arabe, mais il ne faudrait pas prendre les enfants du bon Dieu pour des chameaux sauvages.
Les « journalistes engagés » de gauche et d’extrême gauche ont pris la défense de leurs confrères islamistes du Proche Orient.
Leurs dénégations auraient pu masquer la vérité sans le site israélien « Honest Reporting » qui a avancé des preuves difficilement réfutables.
Qui d’ailleurs n’ont pas été réfutées.
Un silence assourdissant les a occultées.
Comme tout ce qui dérange les crapules médiatiques.
Pour une fois, les Ricains ont pris la bonne décision
Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a interpellé jeudi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, afin de « souligner le besoin d’une enquête rapide et approfondie sur cette question »…
Et les USA ont suspendu temporairement tout financement supplémentaire pour l’UNRWA, cette organisation qui sert de paravent aux terroristes.
Le temps d’étudier les mesures que les Nations unies entendent mettre en œuvre pour remédier à ces complicités criminelles.
Sans se faire trop d’illusions sur la réponse effective.
Puisque tout le monde sait que les parasites mondialistes qui vivent grassement du racket des États qu’ils veulent supprimer, ont depuis longtemps choisi leur camp.
Celui qui paie le mieux.
Leurs déclarations humanistes sont des excipients pour enrober le poison.
Par Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
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