lundi 22 janvier 2024

ENSAUVAGEMENT , IMMIGRATION : LE SILENCE DE DU PRÉSIDENT MACRON ???

 


 

[Dans vos commentaires] 

« Rien sur l’insécurité et rien sur l’immigration »

Nous étions un peu plus de 8,7 millions de Français à regarder le chef de l’État, mardi soir. 

Une bonne partie d’entre nous ont pu se faire la même réflexion que Georges Michel : « On ne doit pas vivre dans le même pays ! » « On ne peut pas dire que Macron maîtrise l’art de la concision, note Duriez.

 On ne peut pas dire, non plus, qu’il se soit rendu compte que le pilotage d’un pays était un problème systémique qu’on ne résout pas en bricolant à droite et à gauche. »

  À quand, un ministre du Bricolage ? 

Ravachol, pseudonyme qui sent son anar (de droite, en l’occurrence), s’étrangle : « Il ose tout, même donner des conseils de procréation aux gueux, lui qui n’a pas de descendants, comme certains de ses ministres qui n’en auront jamais, sauf en les achetant. »

  Roan reste philosophe : « Bon, rien sur l’insécurité et rien sur l’immigration… Allez ! On peut envisager le 9 juin avec une certaine sérénité… »

 

Le « scandale » Stanislas

Cette conf' de presse en forme de coquille vide a vite été éclipsée par l’affaire Oudéa-Castéra, qui a elle-même cédé le devant de la scène au « scandale Stanislas ».« Stanislas, un lycée trop catho aux excellents résultats : la gauche s’affole ! », écrivait Clémence de Longraye. 

« Il y a quand même de quoi s’affoler, ironise Vimal. Vous vous rendez compte qu’en France, il reste quelques écoles qui veuillent remplir leurs devoirs et assumer leurs véritables missions. 

Faire de nos enfants des êtres intelligents qu’on ne pourra plus manipuler à loisir. 

» Et Navalais d’ajouter : « Ce qui est incroyable, c’est le coût par élève moins élevé qu’en secteur public. » 

 À propos de coût, Ruth Abaga (l’esprit d’Alphonse Allais souffle sur vos pseudos) rappelle une proposition de Marion Maréchal : « Une enveloppe budgétaire pour chaque élève versée à l’école choisie par les parents. »

Marie-Claude Velut a enseigné quatre ans à Stanislas, ce qui donne plus de poids à son témoignage qu’à toute enquête de Mediapart

C’est précisément cela qui fait écrire à Michel : « Merci, madame, pour ce témoignage qui vient souligner le manquement de certains journalistes à la charte de Munich. » «

 Edwy Plenel serait en fait, enchaîne Uspala, l’archétype parfait de ces personnes refoulées et aigries qui crèvent de ne pas avoir été dans ces grands établissements scolaires. »

Toujours sur ce sujet, Gabrielle Cluzel s’interrogeait: « Qu’ont fait les 3.500 écoliers de Stan pour être salis, caricaturés par Libé ? ».  

« On ne leur reproche pas ce qu’ils ont fait, répond Meiers, mais ce qu’ils sont ! Des enfants de familles catholiques, attachées à l’anthropologie chrétienne et souhaitant transmettre leurs valeurs ! » 

Et Upsala, décidément en forme, pose à son tour une question : « Est ce que la "caricaturiste" Coco ferait le même genre de dessin pour dénoncer les dérives sectaires des écoles coraniques ? » Bonne question, sachant que Coco est une rescapée de l’attentat de Charlie Hebdo

 

Au Parlement européen, le wokisme à plein régime

La haine de notre civilisation s’en est aussi donné à cœur joie à un niveau continental, mercredi : « Au Parlement européen, on a voté la culpabilité historique de l’homme blanc ».

 Une proposition qui déshonore l’Europe et son Histoire. 

Selon Paul Ter Gheist (bien trouvé !), « on va bientôt devoir demander pardon pour avoir été une civilisation en pointe par rapport aux autres » - c’est quasiment fait. 

Ce texte est « raciste au possible » pour A. Maury : « Il sous-entend qu’une race (les Blancs, en l’occurrence) est bien plus "méchante" que les autres, qui sont évidemment tous des anges. 

Or, si on connait un peu l’Histoire mondiale, on sait qu’il n’y a aucun groupe ethnique qui sorte du lot. »

D’où vient ce racisme, sinon du wokisme dont « le Parlement européen est imbibé », assure Gisel Clarke, qui en tire cette conclusion : « Votez, votez, votez aux élections européennes et souvenez-vous que les LR se sont abstenus alors qu’ils auraient dû voter contre cette folie manifeste. » 

 Justement, le cabinet de François-Xavier Bellamy tient à préciser auprès des lecteurs de BV que si les crimes du communisme sont cités dans le texte, c’est grâce à un amendement de l’eurodéputé LR, et que si son groupe s’est abstenu, c’était pour ne pas voter comme les communistes qui ont voté contre le texte - du fait des crimes reprochés. 

Dont acte… et à dimanche prochain !

 

Et aussi   Face à la réalité ......;

Saint-Denis : après le meurtre de deux jeunes cette semaine, une mise en examen

Cette semaine, la ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) a été le théâtre d'accès de violence meurtrière visant des adolescents.

 

Un collégien de 14 ans, tué mercredi

Mercredi, c'est un collégien de Saint-Denis de 14 ans, prénommé Sedan, qui a été poignardé à mort sur le quai du métro à la station Basilique de Saint-Denis, sur la ligne 13, a-t-on a appris, ce dimanche matin. 

Un suspect de 19 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire pour ce meurtre, comme l'a annoncé, ce dimanche, le parquet de Bobigny. 

Il a été placé en garde à vue jeudi après s’être présenté de lui-même aux services de police et a été présenté à un juge samedi.

Selon le procureur, le mis en cause a dit aux enquêteurs avoir croisé dans le métro un groupe de personnes « avec lequel il avait déjà eu des différends », au sein duquel se trouvait Sedan.  

« Il avait le sentiment que la situation allait dégénérer. Il s’armait d’un couteau et en frappait le premier membre du groupe », a indiqué le procureur de la République.

 L’auteur du coup de couteau a ensuite pris la fuite par le métro. « Pas de violence, pas de vengeance », avait lancé le frère de Sedan, lors d’un hommage rendu à la jeune victime.

Une seconde mort violente d'un jeune vendredi

Un deuxième adolescent a été victime d’une mort violente, ce vendredi, dans cette même ville de Seine-Saint-Denis. 

Toujours selon le procureur, il aurait été visé par « une expédition punitive ». Grièvement blessé lors d’une rixe mercredi matin, il a succombé samedi à ses blessures.  

« Aucun lien ne semble exister en l’état des investigations entre ce meurtre » et la mort du premier adolescent, a précisé le procureur de la République dans un communiqué.

La mairie a annoncé son décès ce samedi dans un communiqué : le lycéen de 17 ans avait été agressé quatre jours plus tôt devant son établissement scolaire.  

« Alors qu’il allait passer une épreuve du bac blanc, une voiture s’est arrêtée à sa hauteur pour une opération s’apparentant à une expédition punitive », détaille la municipalité, qui a précisé : « L’agression a été fugace, froide, aveugle et d’une extrême violence. »

 

 ET AUSSI

 

Marseille : condamnation des dealers ayant agressé un jeune homme au sabre

En 2021, un jeune homme diagnostiqué bipolaire avait été attaqué au sabre et laissé pour mort sur un point de deal du quartier de la Cayolle, à Marseille.

 Ses agresseurs ont été condamnés devant le tribunal judiciaire, informe La Provence.

Attaqué au sabre et laissé pour mort

Ce jeune trentenaire bipolaire avait subi les moqueries puis l'agression violente d'une bande de dealers, pour la plupart mineurs, qui l'ont poignardé au sabre, le transperçant littéralement.

 Laissé pour mort dans une mare de sang, le jeune homme a eu son pronostic vital engagé durant 15 jours. 

Selon son avocat, les séquelles restent très lourdes. 

« On m’a enlevé la rate et les trois quarts de l’estomac. J’ai tout le temps mal au ventre, au dos », a raconté la victime. 

Le jeune homme et sa mère ont été contraints de déménager.

 

Quatre mineurs condamnés

Convoqués devant le tribunal pour enfants, en juin dernier, quatre adolescents âgés de 14 à 17 ans ont contesté les faits. 

En vain. L’auteur principal a été condamné à trois ans ferme, ses complices à des peines allant de un an de détention à 18 mois avec sursis.

 

Des peines trop légères ?

« Je ne comprends que les peines aient été aussi minimes. Ils lui ont porté un coup de sabre dans l’intention de le tuer. Ils l’ont laissé pour mort. Je regrette qu’on ne soit pas allé aux assises », a déclaré la mère de Dylan devant le tribunal judiciaire.

 Quant au majeur, absent à l’audience, tout comme son avocat, il a écopé de quatre ans de prison, dont un assorti du sursis. 

Un mandat d’arrêt a été délivré à son encontre.

 
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Source et Publications :    Boulevard Voltaire       https://www.bvoltaire.fr/


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« Cette manif contre la #LoiImmigration n'est que le baroud d'honneur d'une gauche sur le déclin. 
Tous ces gens prétendent être en résistance mais en résistance contre qui ?
 Contre le peuple français qui en a marre de subir une immigration massive non maitrisée !» 
 
"Les frères musulmans sont la matrice du terrorisme islamiste et les propagateurs du concept d'islamophobie : coupeurs de tête et de langue.
 Le djihad est leur ADN (Ben Laden, Qutb, Hamas). Confrérie terroriste et antisémite qui a pignon sur rue en France"
 [Alexandre del Valle]

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