vendredi 26 janvier 2024

LA MACRONIE PREND L' EAU DE TOUTE PART AVEC LE MOUSSAILLON DU "TITANIC " .......;

 TRIBUNES LIBRES !

 

Le moussaillon du « Titanic »

Comme un bateau qui prend l’eau de toutes parts, la Macronie dérive au gré du vent et des sondages. 

N’ayant plus de boussole, elle s’accroche à ce qu’elle peut…



Comme un bateau qui prend l’eau de toutes parts, la Macronie dérive au gré du vent et des sondages. 

N’ayant plus de boussole, elle s’accroche à ce qu’elle peut, mais ce n’est pas en donnant la direction du gouvernail à un moussaillon que le bâtiment va se rétablir. 

Trop tard ! Même si le moussaillon a compris d’où venait le vent et qu’il exécute un virage salutaire à droite pour éviter le récif « RN« , il ne pourra pas empêcher l’écueil de sa politique.

 Car la négation de la réalité, que la Macronie a trop souvent pratiquée dans tous les domaines, a été tellement prégnante que l’immobilisme est devenu une pratique inévitable.

 Et cela a marqué les esprits à tout jamais.

 Plus personne ne gobe les incantations de Macron, à part quelques courtisans intéressés et quelques candides. 

Il se retrouve seul et ne pouvant plus avancer, il ne peut faire que du surplace ! 

Et cela va fatalement rejaillir sur son moussaillon préféré. 

Pourtant, ce moussaillon, nommé Premier ministre, malgré son jeune âge, n’est pas un perdreau de l’année, il a de l’expérience : militant socialiste, il est au cabinet de la ministre de la Santé, Marisol Touraine, de 2012 à 2017 et conseiller municipal de Vanves.

 Il rejoint Macron en 2016, devient son porte-parole et rentre au bureau exécutif du Parti « En marche« . Député des Hauts-de-Seine en 2017, secrétaire d’État en 2018, ministre délégué en 2022 et ministre de l’Éducation nationale en 2023, Premier ministre en 2024… Un sans-faute ? 

Il semble surtout qu’il n’a jamais eu le temps de faire ses preuves. 

Partout, il n’a fait que passer. Vite ! 

Néanmoins, la presse aux ordres l’encense autant qu’elle peut en mettant en avant sa jeunesse, devenue l’argument principal, pour le valoriser. 

Parce que sur ses différentes aptitudes, cette presse n’a rien d’autre à rapporter ? 

Quoi qu’il en soit, même en prenant la barre du « Titanic« , le moussaillon risque de se faire carboniser très vite. 

En utilisant, lui aussi, l’hyper-communication et le même enfumage toujours déployés par le camp présidentiel et son capitaine en chef, il a peu de chances d’apparaître original et de se faire entendre. 

Étant un pur produit de cette Macronie malentendante des aspirations populaires, il ne pourra pas redresser la situation. 

D’autant que les enjeux sont trop innombrables et trop colossaux pour un moussaillon. 

Et surtout, parce que les Français ne veulent plus de bla-bla et qu’ils veulent des actes. 

 L’enfumage, ils en ont soupé. 

C’est pourtant la même soupe, n’en doutons pas, que le nouveau gouvernement va leur servir. Jusqu’à l’indigestion ! 


La Macronie est, comme le « Titanic » dans son histoire, destinée à sombrer.

 Pour plusieurs raisons : d’abord, parce que son capitaine est un vrai pervers narcissique, plus préoccupé par son image personnelle que par sa fonction de président.

 Mais a-t-il, un seul jour, compris sa mission ? Non ! Car il n’est que le représentant servile du mondialisme financier ; pour un ancien banquier d’affaires, cela semble logique. 

Ensuite, quand on dit que « la culture française n’existe pas« , « il suffit de traverser la rue pour trouver du boulot« , « La France n’est pas un pays réformable, car les Français détestent les réformes« , et à propos des non-vaccinés,« J’ai très envie de les emmerder.

 Et on va continuer à le faire jusqu’au bout », cela veut dire que l’on n’aime pas la France et les Français. 

 

Et pour un président de la République française, ne pas aimer la France, ça la fout mal. 

L’épisode du capitaine Macron, et qu’importe son moussaillon, doit prendre fin, et le plus vite sera le mieux. 

Cet homme a détruit la France, ses valeurs et sa grandeur, il a fait du mal aux Français, il n’est plus digne de continuer à exercer sa fonction.

 De toute façon, avec sa majorité relative à l’Assemblée nationale, il n’est plus en capacité de proposer une avancée politique crédible. 

Quoi qu’il fasse, cela sera mal perçu et tout se retournera contre lui. 

Il sera toujours en porte-à-faux ! Et le moussaillon aussi !

Les impôts, on ne voudrait pas en payer et pourtant, ils sont nécessaires.

 Car comment fonctionneraient les services de l’État et des collectivités, si les citoyens ne contribuaient pas au coût de ces ministères ? 


Mais s’il est normal de payer des impôts, on souhaite que ceux-ci soient mieux employés et plus équitables.

 Surtout, on ne veut pas payer pour nourrir tous ceux qui sèment ou qui entretiennent le chaos et qui nous amènent vers une dissolution de la France. 

Et on ne voudrait plus maintenir les privilèges inconsidérés et exorbitants dont bénéficient encore quelques anciens serviteurs de la France.

 Si l’on agrège l’ensemble des dépenses des onze Premiers ministres « retraités » cela nous a coûté 1 055 526 € en 2022, dont 918 133 € de dépenses de personnel et 137 393 € de dépenses automobiles… 

Ainsi, Élisabeth Borne, notre ancienne Première ministre, peut exiger de bénéficier, à vie, d’un véhicule de fonction avec chauffeur – avec prise en charge par l’État des frais afférents -, et d’un secrétaire particulier, mais seulement pendant dix ans…

 Notre pays est beaucoup trop généreux envers tous ceux-là et nombreux autres. 

Qui ne méritent aucunement de telles faveurs. Trop coûteuses ! 

Sans parler des cabinets fantômes ou de McKinsey, très prisés par Macron et qui nous ont coûté des fortunes. 

Les Français veulent bien payer, mais ils ne sont pas des contributeurs compulsifs ! 

Par Claude Picard


 Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Claude Picard pour Observatoire du MENSONGE

 

ET AUSSI

Chaises musicales au ministère, et pendant ce temps


[Une prof en France]

Nous changeons encore de ministre. On se repasse le maroquin entre amis et affidés, mais sur le terrain, cela ne ralentit pas la chute.


Chaises musicales au ministère, et pendant ce temps…

Nous changeons encore de ministre.

 On se repasse le maroquin entre amis et affidés, mais sur le terrain, cela ne ralentit pas la chute. 

 Comme les enfants des ministres sont tous à l’École alsacienne ou à Stanislas, je ne sais pas si ces gens ont une connaissance réelle de ce qu’est la jeunesse de notre pays, pas celle qui défraie la chronique par ses violences, mais celle qui végète gentiment entre les quatre murs des salles de classe, sans en tirer de profit et en attendant simplement, au chaud, que le temps passe. 

Mon petit collège semi-rural ne s’affuble d’aucun sigle, il n’est ni REP (réseau d’éducation prioritaire) ni ZUS (zone urbaine sensible), ne bénéficie ni de CLAS (contrat local d’aide à la scolarité) ni d’un PEL (plan éducatif local), enfin, il est « normal »…

 Je ne vous avais pas fait de florilège de citations depuis un moment ; il est temps d’y remédier, pour que vous voyiez ce que donnent dix ans de scolarité en France, quand on n’est pas dans un établissement privé de centre-ville.

J’ai donc organisé un brevet blanc sur mes heures de cours, ne voyant rien venir de la part de l’administration, qui doit considérer que s’entraîner à un examen n’est pas plus utile que de faire une sortie permettant de cocher les cases du parcours citoyen. 

`J’ai repris les intitulés du brevet 2023.

 L’un des deux sujets de rédaction, « l’écriture d’invention », était le suivant : « Il vous est arrivé d’être pris dans un jeu qui vous a entraîné progressivement dans une aventure imaginaire intense. Vous raconterez cet épisode à la première personne. 

Vous pourrez enrichir votre récit par des descriptions, l’expression des sentiments et des sensations. » 

Pas de quoi casser trois pattes à un canard. 

 

Voici ce que cela donne chez mes élèves, dont je rappelle qu’ils ont entre 13 et 14 ans.

Léa : « Je me rappelle quand j’étais petite avec mes amis on joués a la princesse et au chevalier. On se retrouvé a la recreation puis on commencé a joué c’etait comme si on etait dans un autre monde on a de très belle robe robe et blanche. J’essaye d’ouvrir la porte et je me rend compte qu’elle est fermé a clé, je commence à avoir peur car nous somme bloqué tout en haut du chateau. »

Nathan : « Tous d’un coup, j’entend un bruit.

– Qui est-ce ? sort de là je t’ai vu

– Je me suis perdu je cherche le trésor de Barbe noire et toi qu’est ce que tu fais là ?

– Moi aussi je cherche le trésor de Barbe noire

– Sa te dit qu’on le cherche ensemble ?

– Aller pourquoi pas. »


Les deux naufragés de l’histoire de Nathan, qui n’a bien entendu aucun rapport avec le sujet posé, se battent contre des pirates : « Un combat éclate est on réussi à les faires partirs mais David est blessé à la jambe en plus sans médicament et sans expérience en médecine David très mal. 

Quand nous sommes aller chercher le trésor nous sommes enfin arrivé ouvre le coffre. »

Léonie : « Les lutins nous montre comment il font pour que les étoiles reste belle et brillantes on dormait dans les nuages, ont se déplaçaient à l’aide d’une poudre magique je suis heureuse et surprise à l’idée de savoir qu’il y à des petites personnes pour prendre soins de notre galaxies. »

Enzo : « Un jour je me suis mit a joue a un jeux Harry Potter tout seul et il y avait des baguettes magiques et il y avait le chapeau qu’ont met sur la tête et qui nous dit un clan et je le met et puis comme si je me reveiller jetait a Poudlard.

 Je croises Poter il me fait un tour de magie et je me re reveille dans ma chambre les jours se passe, je vais le dire a met amies se qui c’est passé. »

Vous savez quoi ? Je suis tellement devenue un professeur de collège public qu’en lisant ça, je me suis réjouie qu’Enzo ait écrit quelque chose, et je me suis dit que finalement, il était un des rares à avoir compris le sujet et à l’avoir traité en partie…

Si vous avez une idée miraculeuse pour métamorphoser ces enfants, nous sommes preneurs. Si vous voulez nous remplacer, nous sommes preneurs aussi. 

Il semble que la société assiste au naufrage en spectatrice, tandis que quelques-uns, trop peu nombreux, s’épuisent à écoper en attendant que d’autres, tout aussi peu nombreux, aient construit des radeaux.

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier :
Boulevard Voltaire

Nous aimons la liberté de publier : à vous de partager ! Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur et en aucun cas Observatoire du MENSONGE 

 

 

L’article à lire absolument :

La chute de l’Occident

Un article sans concession !!! L’erreur monumentale de l’Occident c’est de ne pas croire qu’il s’agit d’une guerre de religion.




La liberté va fondre comme neige au soleil, sinon tout va mieux…

Peu importe les idées que l’on peut avoir, la seule certitude : la passivité ne rapportera jamais rien.

Commencer par réagir ne serait-ce que sur Observatoire du MENSONGE en commentant, en disant ce que vous pensez, en apportant votre contribution, votre aide, des idées, des suggestions, des critiques, des articles mais ne soyez plus passifs !

Un site comme le notre ne peut pas survivre sans votre aide !
Vous pouvez nous aider de diverses façons : 

  • nous suivre gratuitement, lien disponible sur chaque article, ou ci-dessous,
  • partager nos articles au maximum,
  • acheter des livres que nous publions, c’est ICI

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire