mercredi 13 septembre 2023

DANS LES COULISSES DE LA FÊTE DU COCHON DU PARTI DE LA FRANCE EN BRETAGNE ! ( NICOLAS ZAHAR )

 

  

Les coulisses de la Fête du cochon du Parti de la France en Bretagne !

 

Le cochon s’appelait Momo, il était gros, il était beau, il était breton. 

Mais dimanche dernier il rôtissait à feu doux chez Gilles qui organise le bidule depuis les années 80. 

C’est dire comme ils ont la main au Parti de la France (canal historique du FN à neuneuil) pour bien festoyer à la gauloise, avec de la cervoise et du pinard à volonté.

Pour l’occasion il y avait Bruno Gollnisch, Alexandre Simonnot, Roland Hélie de Synthèse Nationale, Pierre Cassen… 
Et un tas de camarades anciens et nouveaux.

Il y avait Stéphane qui tient un troquet vachement sympa du côté de Rennes, il avait moins le moral, Stéphane, cette année que l’année dernière.

 Faut dire qu’il venait de recevoir sa note d’électricité : 10.000 € ! “Faudrait que je serve 333 cafés par jour tous les jours pour payer ces putains de salauds, et mes 8 salariés, comment je vais faire pour les payer ce mois-ci ?

 Tu sais Nico, il y a Alain qui a fermé sa boulangerie et licenciait ses trois salariés, il ne pouvait plus payer son électricité, et dans sa rue il y a d’autres commerces qui ont fermé ! Qu’est qu’ils cherchent ?

 À faire disparaître les petits commerces, pour diriger les consommateurs vers la grande distribution, et après ?” Il est encore jeune, Stéphane, il a des mômes qui font des études, des crédits, et des soucis pleins la citrouille et plein les couilles. 

Il a tout mis dans son business.

Et puis on nous a demandé de nous lever, et Alexandre a procédé aux bénédicités, la moitié de l’Assemblée a rendu grâce à Dieu pour tout, et particulièrement pour ce bon repas, et prié pour que ceux qui n’ont pas assez aient davantage (aussi de l’Espérance), l’autre moitié n’a rien dit (il leur manque la foi).

Pierre a pris la parole en premier, et à sa manière il a témoigné d’une certaine espérance avec un humour certain et habituel, la bonne humeur s’est répandue et Stéphane a oublié ses emmerdes un instant, un instant seulement.

 Michelle, ma voisine, nous a parlé de sa petite retraite, plus d’épargne, pas de capital, plus de bagnole depuis qu’elle a cramée dans sa cité, et plus de mari depuis qu’il a passé l’arme à gauche (ce n’est jamais très bon de passer à gauche, y compris son arme). 

Avec l’inflation, ses problèmes de santé, le manque de médecin dans son bled…

 V’la que la mère Michèle a perdu son flegme. On l’écoute, on aimerait bien l’aider…

Heureusement qu’il y avait une bande de jeunes pour remonter le moral à la tablée ; ils n’ont pas grand-chose mais ils sont plein d’espoir, de gauloiseries et de santé. 

C’est alors que Simonnot et Gollnisch ont très largement remonté le niveau en nous décrivant une situation actuelle, par certains aspects plus prospère aujourd’hui qu’autrefois pour notre combat pour la France et les Français : “Souvenez-vous des années 90, où les Français répétaient bêtement les absurdités que leur dispensaient les médias, aujourd’hui c’est peut-être une majorité d’entre nous qui a basculé dans le camp national”.

 Et puis Roland Hélie, comme a son habitude a prêché pour une synthèse nationale de toutes les forces vives des droites nationales, patriotiques, souverainistes, catholiques et pas, monarchistes ou pas…


 

 Cette politique qui divise les Français, et mine la France ! 

On avait moins ce problème lorsque le Royaume de France était catholique ! Avec en plus le mondialisme et le Grand remplacement, l’équation paraît quand même compliqué.

Et puis c’est le temps des adieux, on se salue, on s’embrasse, quelques baise-mains même, et je vais remercier Gilles, Jean-Marie, Bruno… 

Toute l’équipe de l’organisation. “Tu sais Nico, on s’est demandé encore ce matin si le Préfet n’allait pas nous interdire notre réunion, même si c’est privé.

 On n’a même pas osé proposer aux gendarmes qu’ils viennent contrôler la présence de perturbateurs (pas endocriniens mais super crétins) aux alentours. 

On n’a plus confiance”.

Ce sont tous des anciens flics et des anciens militaires, et ils n’ont même plus confiance dans les institutions qu’ils ont quittées, et encore moins dans les autres ! 
 
C’est quand même dingue, non ?
 
Par Nicolas Zahar
 Délégué du PDF 35
 
 
 
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Bien Cordialement