jeudi 30 novembre 2023

INVASION MIGRATOIRE ET COLONISATION : STOP ! AVEC UNE FRANCE QUI SE RÉVEILLE .....

 

 


 

Les autochtones d’abord, les colons après !



Le droit des peuples autochtones a fait l’objet d’une déclaration signée par la France et adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU le 13 septembre 2007. Il y est écrit quelques principes et éléments de contexte dans un long préambule :

« Réaffirmant que les peuples autochtones, dans l’exercice de leurs droits, ne doivent faire l’objet d’aucune forme de discrimination. » (p.3)

Nous notons bien que les récents propos et les jugements expéditifs introduisent une discrimination évidente entre le peuple autochtone et l’apologie faites par le garde des Sceaux (Sots) en comparant les catholiques ruraux méprisables et les banlieusards modernes bien supérieurs en dignité et en droit.

 


 

La République privilégie les colons contre les autochtones

 « Préoccupée par le fait que les peuples autochtones ont subi des injustices historiques à cause, entre autres, de la colonisation et de la dépossession de leurs terres, territoires et ressources, ce qui les a empêchés d’exercer, notamment, leur droit au développement conformément à leurs propres besoins et intérêts. » (p.3)

Nous y sommes dans de nombreux domaines, puisque des droits sont accordés de manière discrétionnaire aux colons d’où qu’ils viennent, en détournant des fonds sociaux de leurs destinataires et contributeurs, ces derniers ayant perdu le contrôle de la gestion des institutions sociales qu’ils ont créées pour les populations autochtones.

 Les attributions des logements sociaux et combien d’autres privilèges spolient aujourd’hui des autochtones pauvres en faveur des dépenses d’accueil des colons.

 

La République sacrifie nos droits à l’enseignement de notre culture

« Consciente de la nécessité urgente de respecter et de promouvoir les droits intrinsèques des peuples autochtones, qui découlent de leurs structures politiques, économiques et sociales et de leur culture, de leurs traditions spirituelles, de leur histoire et de leur philosophie, en particulier leurs droits à leurs terres, territoires et ressources. » (p.4)

Nous voyons bien que de nombreuses entreprises visent à éradiquer la culture autochtone : désacralisation des lieux de culte, refus de l’enseignement religieux dans les écoles, amputation de l’enseignement de l’histoire des autochtones : localement, régionalement en particulier, sans parler du dénigrement de l’histoire et des philosophes ou théologiens dont l’enseignement est proscrit dans les institutions de la République aujourd’hui.

 

La République alloue des fonds aux territoires des colons au détriment des autochtones

« Convaincue que le contrôle, par les peuples autochtones, des événements qui les concernent, eux et leurs terres, territoires et ressources, leur permettra de perpétuer et de renforcer leurs institutions, leur culture et leurs traditions et de promouvoir leur développement selon leurs aspirations et leurs besoins, Considérant que le respect des savoirs, des cultures et des pratiques traditionnelles autochtones contribue à une mise en valeur durable et équitable de l’environnement et à sa bonne gestion. » (p.4)

Les fonds versés sur les territoires occupés massivement par des populations étrangères privent les autochtones des moyens de leur développement. 

Les territoires colonisés conduisent à l’expulsion des autochtones, dont les Juifs de Sarcelles par exemple ou les Français des banlieues au profit de ces colons qui profitent ensuite depuis des décennies des politiques de la ville, déversant des dizaines de milliards, des régions péri-urbaines et rurales étant privées de ressources en vue de leur développement.

 

La République bafoue les droits des autochtones

Reprenons quelques-uns des articles à faire valoir urgemment contre l’oppression républicaine actuelle dont :

« Article 5 : Les peuples autochtones ont le droit de maintenir et de renforcer leurs institutions politiques, juridiques, économiques, sociales et culturelles distinctes, tout en conservant le droit, si tel est leur choix, de participer pleinement à la vie politique, économique, sociale et culturelle de l’État. » (p.9)

Aujourd’hui, les institutions sanctionnent, poursuivent, persécutent les autochtones depuis les Gilets jaunes et les récents événements démontrent que la République abuse de son autorité pour interdire toute alternative démocratique locale des autochtones sur leur territoire.

 

La République n’assure pas la sécurité et la protection des autochtones

« Article 7 : 1. Les autochtones ont droit à la vie, à l’intégrité physique et mentale, à la liberté et à la sécurité de la personne. 2. Les peuples autochtones ont le droit, à titre collectif, de vivre dans la liberté, la paix et la sécurité en tant que peuples distincts et ne font l’objet d’aucun acte de génocide ou autre acte de violence, y com[1]pris le transfert forcé d’enfants autochtones d’un groupe à un autre. » (p.9)

Malheureusement, les institutions nient les faits de crimes organisés, répétés par des bandes armées, des individus issus de cette colonisation des territoires, allant jusqu’à renverser l’accusation, comme il a été fait tant de fois contre les autochtones par le monde : Amérindiens en particulier.

 

La République force à une assimilation inversée

« Article 8 : Les autochtones, peuples et individus, ont le droit de ne pas subir d’assimilation forcée ou de destruction de leur culture. » (p.10)

Partout, la promotion des modes de vie, des usages alimentaires et des sanctions contre les traditions autochtones a la faveur des institutions et des commerçants rendant parfois même impossible un mode de vie autochtone dans son quartier. Cette assimilation inversée est manifeste dans l’appareil médiatique d’État où les fêtes religieuses des colons font l’objet d’une extrême attention alors que les multiples fêtes autochtones sont ignorées ou dévalorisées dans l’espace public.

 

La République aliène les droits politiques fondamentaux des autochtones localement

« Article 23 : Les peuples autochtones ont le droit de définir et d’élaborer des priorités et des stratégies en vue d’exercer leur droit au développement. En particulier, ils ont le droit d’être activement associés à l’élaboration et à la définition des programmes de santé, de logement et d’autres programmes économiques et sociaux les concernant, et, autant que possible, de les administrer par l’intermédiaire de leurs propres institutions. » (p.18)

Les institutions ont créé un rideau de normes et contraintes administratives liberticides qui empêche les autochtones d’exercer un pouvoir politique effectif sur leur territoire. Le domaine de la santé en est un cruel exemple, par dépossession des ressources et exercice d’un pouvoir central autoritaire.

 

La liberté d’être n’est plus respectée

« Article 33 1. Les peuples autochtones ont le droit de déci[1]der de leur propre identité ou appartenance conformément à leurs coutumes et traditions, sans préjudice du droit des autochtones d’obtenir, à titre individuel, la citoyenneté de l’État dans lequel ils vivent. » (p.24)

La dernière prise de parole du Garde des Sceaux (sots) est une preuve du mépris manifeste pour les traditions rurales des autochtones. Il va sans dire qu’au rythme des positions institutionnelles et judiciaires, ce sont bien des brimades croissantes qui s’exercent graduellement sur les autochtones que nous sommes.

Il est urgent de faire valoir l’autorité et les droits des populations françaises en renversant les termes. 

Nous ne sommes pas en face de migrants, mais en face d’une colonisation organisée depuis des décennies.

 Cette colonisation a déjà produit ses effets dans des territoires qui ont été confisqués et où les autochtones n’ont plus leur place.

 Des partis politiques doivent rapidement faire connaître et faire valoir la signature de la France concernant la déclaration de l’ONU de 2007, sans attendre de devenir une population ouvertement persécutée par les institutions et ses colons, ce qui commence à être visiblement le cas.

Par Pierre-Antoine Pontoizeau


 

Thomas et le drame de Crépol révélateurs de l’inversion des valeurs !

L’histoire est un éternel recommencement et l’observation des grandes ruptures du passé devrait servir de leçon à ceux qui prétendent servir la cause du peuple de France.


Rome, dont notre civilisation occidentale est l’héritière, après avoir atteint son apogée, a lourdement et rapidement chuté pour laisser la place, durant une longue période, au chaos des barbares .


La France, dans le sillage de l’Europe et plus globalement du monde occidental, connaît un déclin semblable, en bien des points, à celui de la Cité des Césars.

Les mêmes causes produisant toujours les mêmes effets, nous avons les meilleures raisons de croire que nous sommes en passe de connaître un revers identique. Cela devrait préoccuper nos dirigeants politiques et l’analyse des raisons de cette chute permettre d’éviter l’écueil.


Mais encore faudrait-il que la volonté de ces derniers soit de relever la tête et de redonner à notre Nation l’ambition de redevenir ce qu’elle était, il y a encore quelques décennies, c’est-à-dire un leader, un exemple, un moteur civilisationnel.

 

L’effondrement de l’Empire romain, on peut l’affirmer avec peu de risque de se tromper, a trois causes fondamentales :
1) le délabrement économique et social,
2) la corruption de ses élites,
3) le développement d’un corps social diversifié outrageusement par l’inclusion de populations exogènes arrivées en grand nombre qui dénatura le cœur de l’ensemble culturel qui prédominait jusqu’alors.

Ces trois déterminants du changement agissent de concert aujourd’hui pour tirer notre pays vers les tréfonds de la décivilisation produite par la barbarie des envahisseurs, l’irresponsabilité des citoyens et la corruption de ses élites.
 

Si l’on passe rapidement sur l’évidence du déclin économique et conséquemment social, dont les marques sont tellement apparentes qu’il est inutile de le décrire, il convient naturellement de convaincre les esprits naïfs, dont la candeur parfois dépasse l’entendement, des dangers majeurs que l’immigration galopante fait courir à notre modèle de vie, à notre existence même.

En réalité, tous les dysfonctionnements, toutes les difficultés, tous les heurts que nous rencontrons n’ont qu’une seule et même origine : L’IMMIGRATION à la fois massive, incontrôlée et hétérogène.
 

Notre société reçoit plus de migrants qu’elle ne peut en accueillir. 

Nul n’en disconvient plus. 

Elle ne maîtrise aucun des flux qui la submergent sans discontinuer à telle enseigne que les clandestins ne cherchent même plus à se cacher.

 Et en point d’orgue, il est évident que l’essentiel de ces populations déplacées n’ont ni aptitude ni surtout volonté de se fondre dans l’espace civilisationnel qui les reçoit mais, bien au contraire, de le modeler à leur convenance et à leurs aspirations c’est-à-dire à terme la charia !

Si l’on en croit les exégètes de toutes sortes et notamment tous ceux qui nous expliquent que les dérèglements climatiques pourraient être jugulés par la simple volonté de le faire, il n’y a aucune raison sérieuse de penser qu’il soit raisonnablement impossible de s’opposer à l’envahissement de la France par les hordes hétérogènes qui affluent de tout le continent africain et du monde arabo-musulman et noient petit à petit la réalité humaine dont sommes l’expression.


Cela étant dit, pourquoi la volonté de mettre en pratique les solutions propres à produire un arrêt de l’immigration ne se manifeste-t-elle pas avec force et détermination ?

Pour dire les choses sans détour, je ne trouve que deux raisons à cette aberration.


La première est l’impéritie d’une bonne partie de l’opinion raisonnant de bonne foi. La seconde est la corruption doublée d’une duplicité de la part d’une autre partie du corps social agissant avec mauvaise foi. 

Ces deux raisons, objectivement alliées pour annihiler la France, fonctionnent avec une dialectique sournoise, basée sur un pseudo-humanisme d’apparence pour aboutir à une inversion des valeurs, changeant le bien en mal et inversement.

Nous avons eu récemment à connaître le drame de Crépol, petit bourg rural de la Drôme tellement tranquille que nul, hormis ses résidents et riverains, n’en supposait l’existence. 

Thomas, 16 ans, y a été trucidé à l’arme blanche par le dénommé Chaïd. `

Dans l’affaire, la victime et l’assassin fortement suspecté sont identifiés par tous sauf par monsieur Darmanin ministre de l’Intérieur qui désigne, comme responsable de ce crime, d’hypothétiques membres d’une ultradroite dont chacun apprend subrepticement l’existence et dont il lui est fait suggestion de redouter le pire.

 Pour ce petit monsieur les Français ont plus à craindre de Charles Martel (celui qui expulsa les Arabes de France), au travers de « la division Martel »mouvement incriminé par le ministre, que des hordes islamiques qui pourtant agissent de toutes parts.

Cette Association sera dissoute au nom de son orientation politique quand, dans le même temps ou presque, « les Soulèvements de la terre », à qui il convient d’attribuer les agressions sauvages et meurtrières contre des gendarmes agissant dans le cadre de leur délégation à Sainte-Soline, ne le sera pas, tout comme les « Frères musulmans » propagandistes et agitateurs djihadistes seront ignorés de la justice et de Darmanin.

Il faut donc comprendre dans les propos et l’action de Darmanin que l’on peut être incriminé pour un « délit d’intention », tels les manifestants de la division Martel et être quasiment absout (30 jours de travaux d’intérêt général qui seront d’ailleurs faits ou non) comme le délinquant refusant d’obtempérer et entraînant dans sa fuite un gendarme au risque de le tuer.

Rappelons que dans cette affaire, le pouvoir politique par la voix de son porte parole Olivier Véran avait nommé le drame de Crépol du « sobriquet grotesque » de rixe avant de rétropédaler et rétablir la qualification tout en déplaçant la responsabilité sur des coupables désignés ignominieusement et tentant du même coup de couvrir les vrais coupables.

Mais les politiques, Darmanin, Véran, véreux ne sont pas les seuls à inverser le sens du réel et à pervertir à dessein la réalité des faits. 

La nasse médiatique est, elle même, le fer de lance des manipulations de masse de l’opinion. 

 Chacun peut apprécier l’absence d’honnêteté dans l’influence du Sévice public de l’odieux-visuel (France Inter, ou France Info, la 5 ou les journaux lénifiants de la une ou de la 2) dans lequel agit un certain Patrick Cohen chantre de l’information viciée et de la mauvaise foi instituée en règle professionnelle. 

Selon ce clown journalistique, les vrais responsables du drame de Crépol sont les membres du club de rugby de la cité drômoise…

Ben voyons !…Il est bien connu que les rugbymen sont de sales types brutaux et sans vergogne…

Tout cela est édifiant, certes, mais que dire, alors, des propos tenus à la tribune de l’Assemblée nationale par le « garde des sauts (d’humeur…sans doute) » ayant probablement perdus les sceaux de la République, qui oppose la France rurale des Blancs catholiques aux banlieues urbaines des jeunes « Français » aux doux prénoms de Mouloud, Mohammed ou Mokhtar…

Cela dans l’hémicycle et sous le regard goguenard et sans respect pour les lieux et les personnes de la Première ministre Élisabeth Borne dont l’abjection semble sans limite.
Il est clair que toute l’action de celui qui oublie qu’il n’est plus avocat mais ministre démontre son choix en faveur des racailles…

Par ailleurs, sa hargne incontrôlée à l’égard de Marine Le Pen et du RN dénote autant un parti pris intolérable contre 13 millions d’électeurs citoyens qu’une pathologie inquiétante.

 A l’instant ou j’écris ces lignes le Dupond en question, non élu, lui, au regard de sa mise en cause devant la cour de justice de la République, aurait intérêt à se faire moins péremptoire et à modérer sa logorrhée…

Mais peut-être que l’engeance appelée à le juger fera l’économie d’une condamnation qui ouvrirai un peu plus le voile sur l’image déjà bien écornée d’une législature où, de Ferrand à Griset, ils ont été nombreux à salir son manteau.

Si d’ici là, un embrassement aux couleurs d’une guerre civilisationnelle n’a pas meurtri notre Patrie, nous verrons bien si la part des gens crédules mais de bonne foi aura su discerner les traîtres intentions de nos élites de mauvaise foi, pour tirer dans le bon sens et rétablir l’ordre des choses justes et la réalités des faits en exprimant un choix positif en juin 2024 point de départ de la reprise en main de notre destin.

Par Jean-Jacques Fifre

 

Source et Publication :     https://ripostelaique.com 






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Émeutes de l'été 2023 suite à la mort du petit ange #Nahel
1 MILLIARD d'€ de DÉGÂTS ! et la principale menace qui pèserait sur la France, ce serait l’#ultraDroite !?
 
 
 
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JEAN-MARIE LEBRAUD







DETTE ET DÉPENSE PUBLIQUE ! NE RÊVEZ PAS ! LE QUOI QU'IL EN COÛTE N' EST PAS FINI ......

 


 

Quelques chiffres qui montrent que le « quoi qu’il en coûte » n’est pas fini…

Alors que le gouvernement a annoncé la fin du « quoi qu’il en coûte », une analyse attentive du projet de loi de finances révèle une réalité différente.

 
Source : Unsplash.
 
Publié le 30 novembre 2023
 

Un article de l’IREF.

En janvier dernier, dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, annonçait la fin du « quoi qu’il en coûte ».

L’examen parlementaire en cours des projets de loi de finances de fin de gestion pour 2023, et de loi de finances pour 2024 montrent à l’inverse que, loin d’être fini, le « quoi qu’il en coûte » se poursuit. 

Et ce en dépit d’un goulet d’étranglement appelé à se resserrer du fait de l’aggravation de la charge de la dette dans les prochaines années, exposant la France au risque d’une grave crise de ses finances publiques.

Plusieurs données tendent à prouver que les vannes ouvertes à l’occasion de la crise de la Covid-19 n’ont pas été refermées, ou que des politiques publiques jugées prioritaires ont été privilégiées sans que, symétriquement, soient définies des politiques qui ne le soient pas, ou plus. Pour reprendre la formule du rapporteur général du budget en commission des finances du Sénat, nous sommes entrés dans « l’ère des déficits extrêmes ».

Tandis que le déficit budgétaire annuel « moyen » n’était « que » de 89,8 milliards d’euros entre 2011 et 2019, depuis 2020, et en y incluant la prévision pour 2024, il est désormais de 172,3 milliards d’euros.

En 2023, le déficit budgétaire de l’État devrait être supérieur à 171 milliards d’euros, soit un déficit proche des sommets atteints pendant la crise sanitaire (quasiment 180 milliards d’euros).

Pour 2024, le déficit budgétaire est encore attendu à un niveau extraordinairement élevé de 144,5 milliards d’euros. Et pour cause : malgré le retrait des mesures de crise (- 40 milliards d’euros depuis 2022), les dépenses publiques devraient, toutes sphères d’administration confondues, augmenter de plus de 100 milliards d’euros en deux ans (1640 milliards d’euros en 2024, contre 1539 milliards d’euros en 2022).

Installé sur un plateau historiquement haut, le déficit de l’État représenterait l’an prochain 45,7 % de ses ressources. En 2024, le déficit public de la France serait ainsi le deuxième plus élevé de la zone euro. Sur les vingt pays membres de la zone euro, treize seraient sous la barre des 3 % de déficit, deux seraient même excédentaires : Chypre et Irlande. Selon le FMI, seule la Belgique (- 4,8 % du PIB) ferait pire que la France (- 4,5 % du PIB).

Naturellement, la France demeurerait en 2024 (109,7 % du PIB) sur le podium européen des pays les plus endettés (derrière la Grèce et l’Italie), avec une hausse de près de 12 points de la dette publique depuis 2017 (98,1 % du PIB), alors même que les autres pays ont eu affaire aux mêmes chocs exogènes. Sur les vingt pays de la zone euro, huit sont sous la barre des 60 % du PIB.

 

Le bond des émissions annuelles de dette est lui aussi spectaculaire : alors que l’État levait moins de 100 milliards d’euros jusqu’en 2007, il a successivement levé 200 milliards en 2019, 260 milliards en 2020, 2021 et 2022, 270 milliards en 2023, et 285 milliards en 2024 (projet de loi de finances).

Le coût de notre endettement est progressivement aggravé par la hausse des taux d’intérêt.

En 2024, les crédits liés à la dette (60,8 milliards d’euros pour la mission « Engagements financiers de l’État ») seront proches des crédits affectés à l’ensemble des missions régaliennes de l’État (73,8 milliards d’euros, dont 10,1 milliards pour la mission « Justice », 16,5 milliards pour la mission « Sécurités » et 47,2 milliards pour la mission « Défense »).

L’an prochain, 60 % des recettes d’impôt sur le revenu (94,1 milliards d’euros attendus) serviront à financer les seuls intérêts de la dette (56 milliards), lesquels devraient croître de 50 % d’ici la fin du quinquennat (84 milliards prévus en 2027).

Les évolutions de la masse salariale publique fournissent, elles aussi, un bon indicateur quant au souci porté à la gestion financière publique.

Lors du quinquennat de Nicolas Sarkozy, la masse salariale des administrations publiques avait baissé de 13,9 % en volume ; alors qu’elle n’avait augmenté « que » de 3,4 % sous François Hollande, la masse salariale publique a déjà bondi, en volume, de presque 10 % depuis l’élection d’Emmanuel Macron (+ 9,7 % entre 2017 et 2024).

L’an prochain, les effectifs de l’État (+ 6695 postes) et de ses opérateurs (+ 1578 postes) augmenteront encore, en contradiction avec les engagements pris dans le projet de loi de programmation des finances publiques (LPFP) pour les années 2023 à 2027…— 

LE POUVOIR AURAI-T-IL PEUR DES PATRIOTES ? UNE LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE !

Le pouvoir s’en prend aux patriotes !

Shutterstock

Un couple qui collait des affiches en hommage à Thomas a été arrêté, mis en garde-à-vue, pendant que leur appartement était perquisitionné. 

 Leur coffre a été ouvert et tout leur argent liquide (cadeaux de mariage, etc) a été emporté ! 

Leur crime ?

 Avoir été émus du meurtre de Thomas et avoir décidé de lui rendre hommage en alertant la population par des affiches.

C’est clair désormais : l’État et la Justice, qui manifestent depuis 40 ans la plus grande lâcheté – voire de la complicité parfois – avec ceux qui haïssent la France, ont choisi de taper fort… sur les patriotes !

Le signal envoyé est terrible : laissez-vous vous faire envahir, violer, massacrer ! Et si vous souhaitez vous défendre… nous vous emprisonnerons !

C’est terrible, c’est dictatorial, et c’est le signe d’une panique monstre à la tête de l’État.

Oui, depuis l’assassinat de Thomas, le pouvoir est en panique. 

Il leur a fallu 10 jours pour comprendre que c’était un crime qui ne passait pas…

 Il leur a fallu plus de 10 jours pour faire leur habituelle minute de silence… 

Ils ne comprennent rien, sont complètement déconnectés des réalités de la France, et prétendent nous régenter…

Le véritable problème, c’est qu’ils nous amènent droit à la catastrophe.

 Nous le savions depuis 40 ans. 

 Les Responsables........


Mais aujourd’hui, alors que les fractures s’accumulent, nous en avons la triste confirmation.

Nous avons beau alerter, crier, annoncer et prévenir, rien ne sera fait, tout restera sur la même trajectoire mortifère qui mène la France dans le gouffre. 

Et les Français avec.

 


 

DR

L’avocat Thibault de Montbrial a publié chez nos confrères de Valeurs Actuelles une lettre ouverte au chef de l’exécutif. 

Nous en reproduisons ici les meilleurs passages.

 

 

Monsieur le président de la République,

La France est désormais au bord du gouffre.  Et je ne peux pas m’y résoudre…

Nous ne pouvons plus nous permettre une seule minute de déni ni de relativisme.  

Cette lâcheté intellectuelle vient masquer le réel, à laquelle nos dirigeants ont cédé depuis des décennies avec des antiennes selon lesquelles la violence aurait toujours existé, ou que la France est une terre d’immigration par nature, ou encore que l’intégration ne se passait pas si mal.

 La lâcheté et les renoncements, grands ou petits, ont fait tant de mal.

Monsieur le président de la République, je reçois des témoignages venus de partout pour m’alerter. 

Je pense à cet ancien Premier ministre, qui avait demandé la liste des cent familles les plus criminogènes du pays et qui me confiait qu’elle ne comportait que des noms de gens issus du Maghreb ou de l’Afrique subsaharienne. 

Je pense à ce procureur général, si inquiet de l’islamisation des prisons. 

J’entends ces maires qui soulignent l’explosion du communautarisme. 

Et je compatis aux récits quotidiens de ces policiers et gendarmes, tous effarés de la déliquescence dans laquelle notre pays s’abîme et face à laquelle ils constituent le dernier rempart.

Il n’y a pour la France plus de saisons : elle ne connaît que l’hiver de la délinquance, l’hiver de l’immigration, l’hiver de l’islamisme. 

Les coups mortels, meurtres ou tentatives de meurtre n’ont jamais été aussi élevés depuis que ces chiffres sont collectés. (…) 

Que dire de l’intégrité des enseignants, à qui on demande l’impossible, menacés jusque dans leurs classes par des élèves ou leurs parents, et dont deux ont été assassinés par des jeunes terroristes islamistes en trois ans ?

Un programme en trois volets me paraît indispensable.

  • ​Stopper immédiatement l’immigration incontrôlée, par des mesures techniques rapides puis en rendant la parole aux Français sur ce sujet régalien. Ni la loi sur l’immigration débattue actuellement au Parlement ni vos revirements sur le référendum ne sont à la hauteur des enjeux. Le coût social, culturel et sécuritaire de l’immigration est aujourd’hui objectivement insupportable. L’islamisme doit être entravé vigoureusement.
  •  
  • ​Donner à nos forces de sécurité le cadre pour reprendre en main les zones de non-droit, prévenir et le cas échéant réprimer de nouvelles émeutes. Il nous faut procéder à des opérations de police vigoureuses, avec bouclages de zones suivis de ratissage. L’État doit assumer sa force légitime, en faisant appliquer la loi dans toute sa rigueur. Bien sûr, et surtout après toutes ces années de faiblesse, les délinquants vont s’opposer. Il faudra tenir, soutenir les policiers et gendarmes engagés sur le terrain et enjoindre à l’institution judiciaire de se montrer implacable.
  •  
  • Enfin, renforcer l’autorité judiciaire justement, dont les réponses apparaissent chaque jour plus décalées au regard de la situation exceptionnelle que nous traversons : restaurons les courtes peines de prison, construisons les 30.000 places de prison qui nous manquent avec des établissements à niveaux de sécurité (et donc à coûts) différents selon la dangerosité des détenus, appliquons des peines planchers pour les agresseurs des représentants de l’État et des élus.

 

Sur le cadre institutionnel, trois mesures rapides à mettre en œuvre me semblent indispensables.

  • Sortir temporairement de Schengen et reprendre le contrôle de nos frontières.
  •  
  • ​Suspendre les conventions avec les institutions supranationales qui nous limitent sur les sujets régaliens.
  •  
  •  Seules la France et l’Allemagne ont, en Europe, le poids politique pour le faire. Faisons-le.
  •  
  •  Nul doute que de nombreux États européens nous en sauront gré et nous emboîteront le pas.
  • Sur le plan diplomatique, instaurer une véritable politique d’autorité avec les pays d’émigration, en particulier l’Algérie, et durcir fortement les règles d’accès à la nationalité.

 

 Source t Publication :  https://lalettrepatriote.com/

 

 


 ET AUSSI


UN JEUNE COUPLE EN GARDE À VUE POUR DES TAGS EN L’HONNEUR DE THOMAS : LA POLICE CONFISQUE MÊME LEURS ÉCONOMIES

Lundi 27 novembre, huit jeunes militants patriotes sont interpellés à Lyon. Il leur est reproché le collage de plusieurs affiches et la réalisation de graffitis intitulés :

« Thomas 16 ans tué par des barbares »

« Thomas tué car blanc »

« Justice pour Thomas »

Ces affiches leur ont valu d’être placés en garde à vue, perquisitionnés et poursuivis pour provocation publique à la haine et à la violence en raison de la race, et dégradations en réunion.


Parmi eux, des jeunes mariés, Adam et Chloé, se sont vus saisir toutes leurs économies qu’ils avaient rassemblées depuis 4 ans dans le but de construire une maison.

Ces arrestations abusives font écho au harcèlement judiciaire dont font l’objet les militants patriotes qui veulent honorer Thomas, jeune Français de 16 ans assassiné par une bande de racailles d’origine immigrée.


Plutôt que de comprendre la colère justifiée des Français qui refusent le massacre généralisé de leur peuple, Gérald Darmanin et le gouvernement tentent de museler ceux qui refusent de se taire.

L’ASLA apporte son soutien juridique et financier à Adam et Chloé qui ont tenté pacifiquement de mobiliser l’opinion publique sur le meurtre anti-blanc dont Thomas a été victime.

Le harcèlement et la répression dont font l’objet ces militants patriotes doit cesser.


Ils ont besoin de votre aide et de votre soutien !


Aidez-nous à les aider en faisant un don.

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ASLA | L'Association de Soutien aux Lanceurs d'Alerte

 

 

 

 

Capture Cnews

Nous reproduisons ici le texte intégral de l’éditorial prononcé par Laurence Ferrari sur CNEWS le 28 novembre 2023.

Ainsi donc il n’y aurait pas dans l’air un petit parfum de guerre civile. 

La France serait toujours ce pays de cocagne où il fait bon vivre, où les jeunes pourraient danser dans les bals populaires avec insouciance et légèreté, où toutes les communautés qui composent la belle nation française vivraient dans une harmonie heureuse et pacifique.

Désolée, mais cette image d’Épinal ne correspond plus à la réalité de ce que vivent nos compatriotes.

Ces Français de tous horizons qui ont été choqués, révoltés par la mort du jeune Thomas à Crépol, qui – non, désolée – ne sont pas d’extrême-droite et qui en ont marre de se faire insulter et montrer du doigt par cette gauche bien-pensante qui nous a conduits, par son laxisme et sa lâcheté, à la situation présente ; cette voix, que l’on entend sourdre dur pays profond, c’est peut-être celle de la France des clochers et des campagnes, mais c’est aussi celle des braves gens qui habitent les quartiers populaires aussi, ceux qui se lèvent tôt le matin pour aller bosser, ceux qui n’en peuvent plus de la délinquance et des agressions gratuites.

La violence, elle est là, bien réelle, nonobstant les rodomontades de ceux qui nous gouvernent et qui ont mis plus de dix jours à tourner casaque et à comprendre enfin l’onde de choc provoquée par la mort de Thomas.

Il est temps de se réveiller, en espérant qu’il ne soit pas déjà trop tard. 

 


 



BRETAGNE / ENSAUVAGEMENT : UNE BANDE DIGNE DE LA MAFIA SÉMERAIT LA TERREUR .......



 

Une bande sèmerait la terreur en Bretagne depuis… une prison !

On se souvient de ces représailles en terre bretonne dignes de la mafia contre la société Poêles et compagnie et d’autres honnêtes commerçants qui seraient dirigées par un couple, Quentin H et Elodie M, ayant des accointances avec le Maroc et avec des bandes du secteur d’Angers.

 L’affaire rebondit et est révélée par nos confrères de l’Eclaireur de Châteaubriant. 

Selon l’hebdomadaire, de nouvelles exactions seraient organisées depuis la maison d’arrêt de Nantes par le commanditaire des premières !

Le jeudi 23 novembre, l’homme de main du couple, un jeune homme de 20 ans, a été maintenu en détention par la justice d’appel et l’audience a été l’occasion d’un beau déballage en règle. 

Les débats ont notamment permis de révéler l’étendue du système de terreur mis en place par la bande : outre les incendies et les exactions dans les magasins Poêles et compagnie à Châteaubriant et La Mézière, outre le litige avec leur ancien propriétaire, le couple, notamment le mari, et leurs sbires sont désormais suspectés d’avoir des responsabilités dans d’autres faits divers : 11 mars dernier : porte d’une succursale Poêle et compagnie de nouveau fracturée, Redon : deux individus mis en fuite, des traces d’hydrocarbure relevées, Concarneau : incendie de l’enseigne Yesss électrique (le gérant de la société aurait déclaré être en litige avec une entreprise ressemblant étrangement à l’une des entreprises du couple), Guérande : dégradation sur un véhicule.  

Le commanditaire, décidément très branché “allumettes” aurait même menacé un voisin d’incendie à cause du comportement de son… chien !

Mais ces nouveaux faits ont été commis alors que les principaux suspects étaient incarcérés. Mystère résolu ! 

La justice s’apercevant que Quentin H continuerait à diriger des opérations depuis sa cellule à l’aide d’un co-détenu bien connu des services de police !

D’origine asiatique, Quentin H. a fait le tour des médias il y a quelques années, indiquant vouloir faire partie des “1000 Européens les plus riches”.

Ce phénomène de représailles et d’incendie criminels sur fond de racket et de vengeance employant des voyous de cité était inconnu en Bretagne jusqu’alors. 

Désormais des moeurs sauvages dignes de la mafia ou de pays à demi civilisés touchent notre péninsule.

 
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Ils voulaient cibler un « villages de campagne » : interpellés à Brest, six hommes, dont un Palestinien, appartenant à la mouvance jihadiste renvoyés devant la cour d'assises des mineurs (Màj) 
 

 
 
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ET AUSSI

Saint-Brieuc. Accusés de trafic de stupéfiants, enlèvement et violences aggravées…ils ressortent libres sous contrôle judiciaire du tribunal en attente de leur jugement

« Justice » française, bis. Accusés de trafic de stupéfiants, enlèvement et violences aggravées…deux individus sont ressortis libres sous contrôle judiciaire du tribunal de Saint-Brieuc, cette semaine.

« Les deux prévenus faisaient pourtant l’objet d’un mandat de dépôt prononcé à l’issue de leur comparution immédiate vendredi 20 octobre.

 Ils attendaient donc leur audience en prison, pour trafic de stupéfiants, enlèvement et violences aggravées, et devaient être jugés, comme un troisième protagoniste du trafic démantelé à Rostrenen et Loudéac, ce mardi 28 novembre 2023 par le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc » indique Le Télégramme.

Mais le quatrième prévenu manquant à l’appel, en raison d’une demande acceptée de pouvoir préparer son dossier, bien plus chargé que les autres, le tribunal a décidé de renvoyer l’audience au 9 janvier 2024

. Et de laisser libre en attendant les deux individus qui étaient pourtant en prison depuis octobre, suite à une importante opération de Gendarmerie, une nouvelle fois mise à l’eau donc. . 

Ils ont, d’ici là, interdiction de se présenter dans les Côtes-d’Armor et dans le Morbihan, de quitter le territoire, devront répondre aux sollicitations de la justice et pointer deux fois par semaine au commissariat.

Seul le troisième prévenu reste en prison du fait de sa condamnation..;dans une autre affaire.

Une mansuétude judiciaire dont n’ont pas bénéficié les six jeunes manifestants de Romans sur Isère, actuellement en détention provisoire pour avoir exprimé leur colère suite à l’assasinat du jeune Thomas à Crépol.

 Une mansuétude dont ont bénéficié néanmoins plusieurs individus en Bretagne ces derniers jours, et notamment cet individu ayant renversé et trainé sur la route un policier et qui a été condamné…à 75h dr travaux d’intérêt généraux.

Sans une réforme profonde et radicale du système judiciaire français et de la magistrature, le sentiment d’une justice à deux vitesses et non rendue au nom du peuple français devrait aller crescendo parmi la population.

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ET AUSSI

Xavier Raufer : Délinquance, terrorisme…Comment réagir ?

Comment analyser la flambée de violence qui ensanglante notre pays ? 

Quels sont les liens entre délinquance et terrorisme ? 

Y a t’il des liens entre la politique migratoire et la délinquance ? 

Comment l’état pourrait il réagir ? 

Xavier Raufer est criminologue…Il répond en direct à toutes les questions des internautes sans langue de bois !

 VIDÉO:   https://www.youtube.com/watch?v=j4CZCuZSw5c

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COMMENTAIRE :

  1. Cette ”flambée de violence” (qui ensanglante notre pays) est due à ”des Jeunes” musulmans d’origine étrangère donc: il ne faut pas donner la ”nationalité française” aux musulmans puisque les non-musulmans ”nés en Algérie” n’ont pas la ”nationalité algérienne”…

    Après avoir obtenu ”l’indépendance” de ”leur” pays: Les Algériens ont ”nationalisé ” les biens des non-musulmans et, maintenant, ils achètent des propriétés, en France, avec l’argent de la corruption! 

    Je rappelle que les Algériens, après avoir signé les ”Accords d’Evian”(le 19 mars 1962) ont profité que nos soldats ”gardaient le fusil au pied” pour massacrer 5.000 non-musulmans ”innocents” à Oran (le 5 juillet 1962) et 150.000 harkis ”désarmés” et leur famille, qu’ils ont enlevé 3.000 non-musulmans qui se promenaient dans les rues de leur ville ou le long des plages, qu’ils les ont transportés dans des soi-disant ”camps de prisonniers” où ils étaient violés, torturés, vidés de leur sang et dont la dépouille n’a pas été restituée à leur famille…qu’ils ont chassé TOUS les non-musulmans de leur pays natal en leur disant: ”La valise ou le cercueil”!…

 

REJOIGNEZ LES CITOYENS VIGILANTS DE VOS VILLES  !

 


@MarionMarechal
 
Ce n’est pas moi qui oppose ces deux France. 
Aujourd’hui, c’est une France communautarisée, islamisée, issue de l’immigration, qui s’oppose à la France historique. 

               http://pdfbretagne.blogspot.fr/


            Mail : pdfbretagne@orange.fr