samedi 27 janvier 2024

BRETAGNE / AURAY : LA JAMBISATION REVIENS À LA MODE DANS LES REPRÉSAILLES DU TRAFIC DE DROGUES !

 

Auray : une balle dans le genou sur fond de trafic de drogue

C’est la nouvelle mode chez les trafiquants de drogue : la jambisation ou le fait de mettre une balle dans le genou à un rival. 

 Inspirée de la guerre civile irlandaise ou des années de plomb italienne selon certains, elle est surtout issue des séries américaines populaires dans les banlieues, les individus impliqués n’ayant aucune culture historique à part celle délivrée par Netflix et les réseaux sociaux.

Et la jambisation a fait son entrée en Bretagne ! 

 

Le 23 janvier dernier, les forces de l’ordre ont, en effet, arrêté trois individus ayant participé à une opération de représaille sous fond de trafic de drogue. 

Arrestation dans le Morbihan pour deux d’entre eux et… en prison pour le troisième !

C’est en octobre 2023 que l’affaire commence : devant l’hôpital de Quimperlé, un homme de 22 ans est en train de se traîner, le genou transpercé d’une balle. 

Trois hommes l’auraient jambisé à Auray et contraint de monter dans une voiture pour lui voler ses effets personnels dont une sacoche. 

Après investigation, la voiture sera retrouvée à Auray maculée de sang.

 L’enquête réussira à déterminer qui sont les trois comparses et les fonctionnaires de police arrêteront deux individus habitant le Finistère et un troisième originaire des Yvelines.

La messe est dite : les us et coutumes voyoucratique de la région parisienne arrivent en Bretagne.

 

 Le procureur n’a pas précisé le profil des suspects mais il serait fort surprenant que ces derniers soient familialement originaires de la péninsule armoricaine…

Les trois individus dorment désormais en prison.

 
 ET AUSSI
 
 

Vivre ensemble à Nantes. 

Il justifie ses agressions sexuelles en indiquant être sous l’influence de « Djinns maléfiques »

Le tribunal correctionnel de Nantes a récemment été confronté à un nouveau cas de « vivre ensemble » et d’enrichissement culturel impliquant un jeune homme accusé d’agression sexuelle répétée contre une femme à la sortie de son lieu de travail en septembre de l’année dernière. 

Au terme du procès, la décision de non-responsabilité pénale a été prononcée pour le prévenu.

Dans les détails de l’affaire, le 27 septembre 2023, aux alentours de 1 heure du matin, une barmaid quitte son travail à Nantes et ressent une présence inquiétante.

 Elle est abordée par un jeune homme dans la vingtaine qui, malgré ses demandes répétées de le laisser en paix, persiste à la suivre et à l’agresser physiquement à deux reprises. 

Le désarroi de la jeune femme, seule et apeurée, s’est intensifié lorsqu’aucun secours n’a répondu à son appel d’urgence.

 Finalement, un voisin intervient, au moment où les forces de l’ordre arrivent pour appréhender l’agresseur et le transférer à l’hôpital, compte tenu de son état troublant.

Le profil judiciaire du prévenu révèle une condamnation antérieure pour exhibitionnisme, tandis qu’une évaluation psychiatrique indique des symptômes de paranoïa, des hallucinations et un comportement hautement psychotique, incluant des croyances en des entités surnaturelles.

 Bien que le rapport d’expertise confirme une altération significative du jugement du jeune homme, il ne constate pas une absence totale de discernement, suggérant l’impact de substances toxiques sur son état mental.

L’affaire, décrite par le procureur comme se situant à la frontière entre la justice pénale et la nécessité de soins psychiatriques, souligne la gravité de l’agression subie par la victime, qui a résulté en une incapacité temporaire totale de quinze jours.

 « Le jeune homme évoque des hallucinations et un esprit habité par des djinns (esprits maléfiques des légendes arabo-musulmanes) » indique Ouest France.

Le procureur a demandé une peine de prison avec une période de sursis impliquant une obligation de soins et une interdiction de tout contact avec la victime.

En fin de compte, le jeune homme a été déclaré irresponsable pénalement et a été placé en hospitalisation forcée. 

Il sera donc pris en charge par l’argent public, votre argent, et pas expulsé sur la terre des djinns maléfiques.

 

[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire