TRIBUNES LIBRES !
Il faut en finir avec la double nationalité : quelques preuves…
Double nationalité qui pose de graves problèmes, par définition, de fidélité à la nation
Nous savons ou nous comprenons tous ce que peut être l’amour d’un pays, de sa terre, de sa culture tant nous, qui sommes Français, nous en sommes imprégnés depuis l’enfance à travers nos grands-parents et parents.
Baignés dès l’enfance par la famille, les chansons et par la chance pour beaucoup d’entre nous d’avoir eu des instituteurs et des professeurs passionnés d’histoire.
Qu’en est-il de ceux qui sont arrivés depuis moins de cinquante ans ?
Des naturalisés depuis peu ?
Comment ont-ils donné cet amour de la France à leurs enfants ?
Je n’ai guère de doute sur ceux d’avant-guerre, ceux arrivés après et venant d’Italie, d’Espagne et du Portugal.
Certains sont repartis chez eux pour retrouver leur famille, y construire leur maison et vivre leur retraite après des années de labeur.
Le plus souvent, ils sont restés.
Ils ont fait souche et ont francisé les prénoms des enfants nés en France et leur ont donné l’amour du pays dans lequel ils avaient fait le choix de vivre.
Ils avaient les mêmes racines que nous, les plus anciens, ceux issus de plusieurs générations.
En une génération, l’assimilation était faite.
Qu’en est-il des nouveaux arrivants ? De ces naturalisés de fraîche date ?
Venus de Turquie, d’Afrique du Nord et subsaharienne avec la rancune en poche, la haine de l’ancien colonisateur, la détestation des Blancs comme unique bagage et le désir d’imposer aux Français de cœur et de souche un mode de vie religieux qu’ils ont subi et ont fui.
L’amour d’un pays n’est pas à l’ordre du jour.
Comment d’ailleurs aimer un pays qui se déteste lui-même ?
Aimer une nation dont les élites s’évertuent depuis quarante ans à nier la grandeur, la culture et à enseigner dans les écoles uniquement le prétendu rôle du royaume dans l’esclavage, celui de la République dans la colonisation, sans entrer dans les détails comme l’apport certain sur les pays colonisés à commencer par l’éradication de l’esclavage, des guerres tribales, du cannibalisme, des sacrifices humains, des roitelets sanguinaires, etc.
À peine arrivés, les portables offerts par des ONG, ils n’ont au cœur que l’espérance de trouver les soins gratuits, les revenus rapides, le logement facile qui leur ont été promis au pays du départ par les mafias financées par les familles.
Ils veulent obtenir le confort occidental qu’ils ont vu à la télévision, une vie meilleure.
Bien loin de ce qu’ils vont devoir subir.
Pour les filles, ce sera le plus souvent la prostitution
Pour les hommes – les plus courageux – un travail non déclaré sur des chantiers, dans des boulangeries, des restaurants, comme manœuvres, comme plongeurs, payés avec un lance-pierres et soumis à un patronat qui compense de cette manière les taxes, les impôts, les charges patronales et sociales écrasantes d’un état sangsue.
Une générosité de façade, tout comme celle des gauchistes et autres artistes qui ne subissent pas l’immigration invasive.
Des clandestins comme valeur d’ajustement de comptes d’exploitation.
Ils sont avec l’accord des syndicats de gauche et les partis politiques gauchistes les responsables des baisses de salaires.
Ce que disait très justement Georges Marchais en refusant cette immigration.
Que dirait-il de cette invasion migratoire ?
La gauche a toujours trahi le peuple de France !
Les autres immigrés, les plus nombreux, profitent du système, des aides sociales, de l’AME avec la complicité des mêmes gauchistes et autres faux-culs de droite comme l’UMP/LR et les centristes macronistes.
Sinon, il y a bien longtemps que l’Assemblée nationale aurait succombé aux motions de censure déposées depuis le début du deuxième quinquennat de Macron.
Les nouveaux naturalisés diffusent la haine de la France et choisissent la fidélité à leur pays d’origine.
Une haine qu’ils transmettent à leurs enfants, que l’on retrouve dans les émeutes d’hier et d’aujourd’hui et dans ce que dit cette jeune fille non voilée, moderne et qui ne réalise pas qu’au bled, en Arabie Saoudite, au Qatar, en Iran, elle finirait enfermée sous un niqab ou pendue à une grue.
Je suis contre la double nationalité.
Il faut en finir avec ces « fidélités multiples », ou au choix et en fonction.
Par Gérard Brazon
ET AUSSI
Loi Immigration : l’Oligarchie contre le Peuple Français
Encore une fois l’Oligarchie s’oppose au Peuple. Les 9 “sages “non élus du Conseil constitutionnel s’arrogent le droit de s’opposer à la volonté du Peuple Français.
Avec quelle légitimité ?
La décision du Conseil constitutionnel de censurer la plupart des dispositions restreignant l’immigration était prévisible et prévue.
Les LR et le RN ont probablement commis une erreur en votant la loi après l’avoir fortement amendée.
Il était évident que le président Macron en coopération avec le Conseil constitutionnel reviendrait sur ces dispositions.
L’extrême gauche n’avait pas à s’inquiéter.
L’extrême centre, de mèche avec elle, se ferait un plaisir et un devoir de maintenir les dispositions favorables à l’immigration de travail et de censurer les mesures limitant regroupement familial et immigration de confort.
L’oligarchie qui a pris définitivement le pouvoir en 2017 continue à faire avancer son agenda : continuer à faire entrer plus d’immigrés afin de casser les revendications salariales (y en a-t-il encore ?), et la solidarité nationale : censurer les dispositions limitant la CMU pour les immigrés illégaux permet à terme de faire couler l’hôpital et la Sécurité Sociale.
Nous sommes de plus en plus placés devant le fait accompli.
Notre nouvelle défaite face à l’immigration, alors que 66 % à 80 % des Français selon les sondages veulent la diminuer, prouve une fois de plus que nous n’avons plus le pouvoir.
La démocratie n’est plus qu’un théâtre d’ombres.
Le Conseil constitutionnel dont les membres sont choisis par le président de la République, les présidents du Sénat et de l’Assemblée ne représentent qu’eux-mêmes et les intérêts de leurs amis.
Voici les membres et leurs compétences :
Laurent Fabius : Sciences Po Paris, ENA, Premier ministre socialiste (nommé par Hollande)
Michel Pinault : Licence Droit, HEC, ENA, Conseil d’État (nommé par Larcher)
Corinne Luquiens : Sciences Po Paris, DESS Droit Public, SG Assemblée nationale (nommée par Bartolone)
Jacques Mézard : DESS Droit Privé, Avocat, Sénateur Radical de gauche (nommé par Macron)
François Pillet : Avocat, Sénateur UMP (nommé par Larcher)
Alain Juppé : Normale Sup, Sciences Po Paris, ENA, Premier ministre UMP (nommé par Ferrand)
Jacqueline Gaurault : Professeur Histoire-Géographie, Sénatrice UDF (nommée par Macron)
François Seners : Sciences Po Starsbourg, ENA, Conseil d’État (nommé par Larcher)
Véronique Malbec : École Nationale Magistrature, magistrate (nommée par Ferrand)
Tous sont de gauche ou d’extrême-centre, aucun n’est vraiment de droite et seuls 4 ont une formation juridique poussée.
La question que l’on pouvait se poser auparavant était simple : le Conseil constitutionnel étant politisé, doit-on faire élire ses membres par le Peuple français ?
Celle qui se pose aujourd’hui est plutôt : doit-on avoir un Conseil constitutionnel ?
Une fois de plu,s la Ve République se meurt, la démocratie se meurt et nous ne pouvons que constater notre perte de pouvoir et de souveraineté.
Jusqu’à quand ?
Jusqu’à l’éclatement du pays et la fin de la France telle que nous l’avons connue ?
Par Christophe Bugeau
Source et Publications : https://ripostelaique.com
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