REVUE DE PRESSE !
Délires woke et réalité : pour 76 % des Français, « il n’y a que deux sexes, féminin et masculin »
Les délires de certains activistes gauchistes et la propagande « woke » que nous avons dénoncés sur Breizh-Info depuis plusieurs années ont du mal à parvenir à leurs fins en France, malgré l’appui des institutions et de la plupart des médias « mainstream ».
En effet, un sondage CSA pour CNEWS, le JDD et Europe 1 dont les résultats ont été publiés le 25 janvier a rapporté que, pour 76 % des Français, « il n’y a que deux sexes, féminin et masculin ».
Cette enquête d’opinion a été réalisée les 23 et 24 janvier auprès d’un peu plus de 1 000 adultes.
Source : CNews
Plus précisément, les résultats du sondage ont montré que cette affirmation sur l’existence de deux sexes uniquement était davantage partagée par les hommes (78 %) que par les femmes (74 %).
Contrairement à d’autres sujets, les différentes générations partagent un constat similaire, les 50-64 ans étant la classe d’âge où la proportion de « Oui » est la plus forte (77 %).
Même particularité concernant l’analyse des réponses en fonction de la catégorie socioprofessionnelle des répondants : l’affirmation selon laquelle « il n’y a que deux sexes, féminin et masculin » est approuvé par 75 % des CSP+, 79 % des CSP- et 75 % des inactifs.
Pour trouver des réponses plus nuancées, il faut s’intéresser aux affinités politiques des personnes interrogées.
Du côté de la gauche dans son ensemble, 58 % des sympathisants considèrent qu’« il n’y a que deux sexes, féminin et masculin ».
Ce sont manifestement les personnes proches des idées d’Europe Écologie-Les Verts qui sont les plus perméables aux questions « d’identité de genre » puisque seulement une minorité d’entre eux (48 %) est d’accord avec l’affirmation du sondage.
Le travail de « déconstruction » semble avoir moins porté ses fruits chez les soutiens du Parti socialiste, parmi lesquels 56 % estiment encore, malgré la propagande, que l’on ne peut distinguer que des hommes et des femmes.
De l’autre bord du spectre politique, l’ambiance est bien différente : les électeurs se présentant comme « de droite » sont 86 % à affirmer cette existence de deux sexes uniquement.
Une proportion qui atteint 92 % parmi la catégorie dénommée maladroitement « extrême droite » par les sondeurs.
Chez les personnes indiquant être proches des idées du RN, l’approbation de cette affirmation est de 90 %.
Source : CNews
Les résultats de ce sondage interviennent à un moment où la vague « woke » connaît un coup d’arrêt outre-Atlantique avec l’abandon des politiques DEI (« diversité, équité et inclusion ») par plusieurs grandes entreprises américaines.
Un virage d’une partie du monde économique qui a été accompagné ces derniers jours par un virage politique avec l’élection de Donald Trump.
Comme l’a rappelé CNews, le nouveau président des États-Unis a, quelques minutes après son investiture, déclaré que « à compter d’aujourd’hui » il ne reconnaissait que « deux genres, homme et femme ».
Selon les chiffres du Williams Institute de l’université de Californie, les USA compteraient 1,3 million d’adultes et 300 000 adolescents s’identifiant comme transgenres.
Morlaix : les « Marseillais » bénéficient d’une « bonne intégration »
En Bretagne, quand on pense drogue, on songe tout de suite à Nantes et à Rennes.
Pourtant les petites villes et les communes rurales sont de plus en plus concernées par le narcotrafic.
C’est le cas de Morlaix qui connaît des séries de tirs, au grand désespoir du maire Jean-Paul Vermot (PS).
« Dès 2021, les autorités ont vu apparaître un “four“ (point de vente) dans le quartier de la Madeleine. « On appelait les guetteurs les “Marseillais“, relate le maire, Jean-Paul Vermot.
Ils faisaient aussi du rodéo à scooter, les yeux rougis par la drogue.
Quand je suis allé les voir, l’un d’eux m’a dit : “On va te cramer toi, tes gosses et ta mairie“.»
« C’est la cocaïne, monsieur le maire. »
Dans le hall d’une des tours Bakounine, blocs de béton de sep étages, le maire tombe sur les tarifs et les produits affichés dans le hall. « C’est quoi “zipette“ », demande Jeau-Paul Vermot à un policier. «
C’est la cocaïne, monsieur le maire. » (Le Point, 9 janvier 2025). Dans Le Peuple breton (janvier 2025), Gael Briand va droit au but : « La question que nous devons nous poser, c’est comment accueillir l’étranger ».
Sa réponse : « une bonne intégration évite les problèmes connexes (santé, misère, délinquance potentielle).
» Eh bien !, à Morlaix, « l’étranger » est bien accueilli puisque les « Marseillais » (sic) ont pu trouver du travail, donc un revenu ; reste à savoir si cela permet d’éviter les « problèmes connexes », en particulier la « délinquance potentielle ».
« Quand ça arrive chez nous … »
Au Pellerin (près de Nantes), les dealers se sont installés sur le parking d’une résidence.
« Ils y reconstituent un point de deal tel qu’ils le fantasment : un canapé pour accueillir les clients, devant une ruelle où ils sont servis discrètement.
Les jeunes jettent les canettes dans les bacs à fleurs, forcent les habitants à garder les volets fermés.
« Par mimétisme, ils ont voulu recréer un four comme à Dervallières ou à Bellevue » (quartiers de Nantes concernés par la drogue), pense Philippe Berthou, maire adjoint à la sécurité, ex-policier à la bac de Nantes.
La mairie dépêche un camion pour embarquer le canapé. « On l’a fichu à la déchetterie, raconte le maire du Pellerin, François Brillaud de Laujardière.
Les jeunes couraient après, ils s’en sont plaints ! » « Dans les petites communes confrontées à cela il y a un moment de sidération, de latence. », observe Philippe Berthou, à la mairie du Pellerin.
« On n’y est pas préparé, renchérit le maire, François Brillaud de Laujardière. On voit ça à la télé en se disant “les pauvres !“ Et puis quand ça arrive chez nous … » (Le Point, 9 janvier 2025).
Par Bernard Morvan
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Ensauvagement, Vie Pratique
Ensauvagement.
Attention aux arnaques à la livraison Mondial Relay !
Les diverses arnaques et autres escroqueries sont déjà très nombreuses en France mais une nouvelle a fait son apparition ces derniers mois.
Il s’agit de l’arnaque à la livraison Mondial Relay.
Cette dernière s’est notamment propagée durant les fêtes de fin d’année.
Pour parvenir à leurs fins, les escrocs ciblent de véritables clients réguliers de Mondial Relay et les contactent en leur signifiant un problème dans la livraison d’un colis.
Le mensonge sert alors de prétexte pour dérober les données bancaires des victimes.
Dans un premier temps, celles-ci reçoivent un faux SMS leur indiquant plusieurs problèmes potentiels : le colis en question ne peut rentrer dans leur boîte aux lettres, il est nécessaire de réserver un nouveau créneau de livraison ou un problème logistique a empêché la livraison à la date fixée.
Dans tous les cas, les clients ciblés sont ensuite invités dans le SMS reçu à choisir un nouveau créneau de livraison.
Le lien proposé dans le message est tout simplement frauduleux.
Principale difficulté pour détecter cette arnaque : le faux lien dirige vers une page imitant très bien le site officiel de Mondial Relay, police d’écriture et logo à l’appui.
Une fois mise en confiance, la victime est incitée à renseigner son adresse e-mail et son numéro de téléphone pour choisir un nouveau créneau de livraison.
Mais, selon Le Journal du Net, elle doit également renseigner son identité, son adresse et ses coordonnées bancaires au prétexte de « procéder à la réexpédition du colis dû à l’échec de la précédente livraison ».
Les personnes ayant recours aux services de Mondial Relay sont donc invitées à être sur leurs gardes.
Parmi les recommandations à suivre pour détecter une éventuelle arnaque, il est utile de vérifier l’URL du site proposé dans le SMS et de le comparer à celui du site officiel du service d’expédition.
Autre signe devant alerter, la demande de paiement pour le renvoi d’un colis n’a pas lieu d’être. Enfin, si les arnaqueurs utilisent des numéros de colis à six chiffres, ceux utilisés par Mondial Relay en contiennent huit.
Toutes les personnes ayant identifié une telle escroquerie sont invitées à la signaler sur le site Cybermalveillance.gouv.fr. Il est également conseillé de supprimer le SMS reçu.
Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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