dimanche 31 décembre 2023

LE PARTI DE LA FRANCE EN BRETAGNE VOUS SOUHAITE DE BONNES AGAPPES POUR LES FÉTES DU NOUVEL AN !

 

 


 LE PARTI DE LA FRANCE / BRETAGNE VOUS SOUHAITE UNE TRÈS BONNE ANNÉE 2024 

ET AUSSI  DE   REVOIR TOUS LES  VRAIS NATIONALISTES SUR CE SITE !


 






                        Et surtout n' oubliez pas !



BON RÉVEILLON DE LA SAINT-SYLVESTRE ! ÉVITEZ LES SUJETS QUI FÂCHENT ........

 

Réveillon de la Saint-Sylvestre : comment éviter tous les sujets qui fâchent…

31 Décembre 2023, 14:17pm

Publié par Thomas Joly

L’actualité est si brûlante qu’il peut arriver que ça chauffe au réveillon, malgré la magie de Noël qui opère au-delà du 25 décembre.

 D’où ce viatique censé éviter à nos lecteurs, leurs familles et leurs amis de clore la soirée en se tapant dessus à grands coups de dinde et que la soirée ne dégénère en concours de marrons.

L’actualité étrangère, tout d’abord. L’Ukraine et la Russie ? 

Il y a des pour et des contre. 

Et pour tout arranger, les positions transcendent les courants politiques. 

Au sein de la mouvance droitière, par exemple : chez les amis de Bernard Antony et de son mouvement Chrétienté-Solidarité, on est plus ukrainien que le président Volodymyr Zelensky lui-même.

 Mais chez leurs possibles convives d’un soir, ceux du GRECE, l’école de pensée d’Alain de Benoist, la lecture est inverse : le salut viendra de l’Est et des démocratie populistes et illibérales. 

Et si on parlait plutôt des oreillons de Jordan, le petit dernier ?

En cas de ton qui monte, en même temps que le taux de vodka dans le sang, il n’est pas forcément approprié de tenter de faire dériver le débat sur le Proche-Orient. 

Là aussi, la « grande famille nationale » affiche autant de divisions. Israël a ses sectateurs ; mais les Palestiniens aussi, même ceux du Hamas. 

Comme Félicie, aurait ajouté le regretté Fernandel. 

Pas la peine, non plus, de faire le malin en déclarant que les défenseurs des Ukrainiens et des Israéliens ne font que manger dans la main des Américains, ça pourrait dégénérer. 

Surtout quand la partie ici incriminée rétorquera que c’est toujours mieux que de faire de même dans celle des Russes. 

Dans la foulée, les uns se feront défenseurs de l’Occident et les autres de l’Europe. 

Et là, la maîtresse de maison n’aura plus qu’aller se suicider en cuisine en avalant des torchons.

Le sujet Zemmour est aussi à éviter, l’homme ayant encore ses adeptes.

 Marine Le Pen aussi, mais elle a les députés en plus. 

Un terrain qui est donc à la fois éminemment glissant et hautement inflammable. 

À moins d’avoir parié que les invités ne finissent par improviser un concours de frisbee avec leurs assiettes.

Après, si toutefois vous avez choisi une soirée à thèmes, genre kamikaze, par exemple, il est toujours possible de se rabattre sur ces vieux classiques que sont la peine de mort, l’avortement, la corrida et la cause animalière. 

Mais, en la circonstance, le doigté s’impose et tout dépend des options philosophiques et politiques de vos convives. 

À gauche, on est généralement contre la peine de mort et pour l’avortement.

 À droite, ce serait plutôt le contraire.

Attention, donc, à ne pas vous mélanger les pinceaux.

Dans le même registre, on évitera aussi d’autres polémiques tout aussi explosives : OM contre PSG, Beatles contre Rolling Stones, fromage ou dessert, Delon ou Belmondo, slip ou caleçon. 

Certains petits futés croiront aussi bien faire en proposant un toast à la santé de Gérard Depardieu, histoire de réconcilier tout le monde. 

Très mauvais choix, car notre Gégé national, c’est à la fois l’ami de Vladimir Poutine mais encore celui du défunt Fidel Castro. 

Pis : c’est aussi l’homme de Sous le soleil de Satan (1987), film de Maurice Pialat, inspiré du roman de Georges Bernanos ; mais ce sont aussi Les Valseuses (1974), de Bertrand Blier. 

Ces deux films ont tous deux leurs fans ; seulement voilà, ce ne sont pas forcément les mêmes. ¡Caramba! encore raté !

Bon, le plus simple consiste encore à réveillonner avec madame (ou monsieur) en jouant au Scrabble™. 

Mais en évitant les mots qui fâchent, toutefois. 

Et en laissant les enfants à l’écart des discussions des grands, même si ,chez eux, les sujets de discorde sont au moins aussi nombreux : Playstation ou Nintendo ? 

Allez, tout le monde au lit ! car « demain est un autre jour », comme on dit dans Autant en emporte le vent (1939), de Victor Fleming. 

Mais là aussi, attention, dans cette ode cinématographique au vieux Sud esclavagiste, il y a du pour et du contre. 

On n’en sort pas.

Par Nicolas Gauthier

Source : http://bvoltaire.fr

 


 

MYTHES ET LÉGENDES ÉCOLOGISTES ! UNE LUTTE À MENER CONTRE LES ESCROCS QUI NOUS TERRORISENT ........

 

 

TRIBUNE LIBRE !
 

Benoît Rittaud, Mythes et légendes écologistes

De plus en plus, ceux qui ne croient pas les théories « climat » du GIEC sont traités de « complotistes », d’« extrême droite »  et je sais que,  il y a 30 ans, beaucoup de scientifiques honnêtes ne mettaient pas ces théories en doute car ils ne s’étaient pas penchés sur la question.

 De vrais scientifiques – pour qui science n’est pas consensus mais bien recherche de la meilleure explication possible – se sont mis à l’oeuvre.

 

De formation purement littéraire, j’écoute mon mathématicien astronome et – sans devoir être capable de comprendre les textes scientifiques qu’il comprend – j’apprends. J’apprends surtout grâce à des livres faciles à lire, livres que je recommande à toute personne désireuse de s’instruire.

 

Ainsi, Benoît Rittaud complète dans son livre ce que présente Christian Gerondeau dans Le Climat par les chiffres et je ne puis que conseiller ces lectures ; elles sont complémentaires.

Rittaud ne s’étonne pas devant le fait que, en cette époque où presque toutes les récoltes ont pu être faites, les gens paniquent au moindre caprice de la météo.

 L’explication est donnée par le paradoxe de Durkheim (1894) : quand une société parvient à diminuer le nombre de crimes, des actes auparavant tolérés deviennent criminels.

 Il en va de même pour le climat. … à mesure que notre indépendance au temps qu’il fait augmente, notre fébrilité augmente aussi, si bien que de plus en plus d’événements particuliers sont susceptibles d’attirer notre attention – il y a toujours beaucoup plus d’événements s’écartant un peu de la moyenne que d’événements s’en écartant beaucoup. (p.32)

Ajoutons que le travail de géophysiciens remettant en question la responsabilité humaine dans le réchauffement actuel – il est léger et réel en Europe – n’est pas présenté dans les médias…

 

Il existe même une proposition – de juillet 2023 – de créer « un délit de contradiction ou de minimisation de l’existence de la crise écologique et de son origine anthropique dans l’espace public » (p. 57). 

Cette proposition  fait penser au totalitarisme qui doit créer une adhésion profonde, réelle, des citoyens dociles qui n’oseraient mettre en doute les paroles de l’autorité, citoyens qui vont jusqu’à les renforcer grâce aux médias qui répètent chaque jour les mêmes « faits effrayants ».

Ces « faits effrayants » créent désespoir, rage, nihilisme chez les jeunes. Prof aimant ses élèves, je ne supporte pas de voir tant de visages sombres et j’insiste : lisez Rittaud, lisez Gerondeau, faites-les lire par toute personne désirant connaître le vrai ! 

Votre inquiétude ne portera plus sur le climat mais sur la lutte à mener contre les escrocs qui nous terrorisent avec le beau temps, escrocs que nous finançons pour résoudre des problèmes imaginaires…

 

Par Mia Vossen     https://ripostelaique.com




THAÏS D' ESCUFON UNE FEMME LIBRE ET SON FRANC-PARLER........... LA VÉRITÉ , RIEN QUE LA VÉRITÉ !

 TRIBUNE LIBRE !

Thaïs : “le principal danger pour les femmes ce sont les immigrés africains, noirs et arabes” !

 

 

Thaïs d’Escufon, dont je reçois les mails je ne sais pourquoi, a un franc-parler tout à fait remarquable.

Je dois avouer que parfois elle m’agace secrètement, par exemple quand elle parle de la psychologie des relations hommes-femmes, ou quand elle dit que toutes les femmes sont devenues capricieuses et qu’elle va nous donner le secret du bonheur. 

On aimerait bien… 

Mais s’il y avait une recette, cela se saurait, Thaïs.

Mais là où je l’applaudis totalement, c’est lorsqu’elle nous raconte comment elle a fait regretter à BFM TV de l’avoir invitée le 18 décembre dernier.

Il s’agissait de Claire, cette jeune femme qui a été violée dans le hall de son immeuble en plein après-midi par un migrant bronzé qui était sous OQTF depuis… trois ans ! 

Oui, depuis trois ans.

Où était Moussa pendant ce temps-là ? Il avait piscine ? 

Et Claire de dire avec une justesse imparable : si l’OQTF avait été exécutée, elle n’aurait pas été violée (du moins pas par ce type-là. 

Car au rythme où vont les viols, nous les femmes allons toutes être violées dans les mois et les années qui viennent, si rien n’est fait pour éloigner « le sentiment d’insécurité »…).

Thaïs d’Escufon sur le plateau se trouve confrontée à tous les clichés imaginables dont une gôche qui nous prend pour des c… pardon des imbéciles patentés, nous rebat les oreilles sans se rendre compte que nous ne supportons plus ces mensonges plus gros qu’eux : “fopastigmatiser” l’immigration sinon on fait le lit du RN, l’immigration n’est pour rien dans ce viol, etc.

Alors Thaïs qui est venue pour dire ce qu’elle pense et rien d’autre, comme elle en a l’habitude, déclare : « Le principal danger pour les femmes, ce sont les immigrés africains, noirs et arabes ! »

Un cataclysme épouvantable serait tombé sur le plateau accompagné de la foudre, du tonnerre et d’une bombe à neutrons que cela n’aurait pas été pire. 

Tout le monde était pétrifié.

Et Thaïs d’enfoncer le clou par des chiffres : en Île-de-France 93 % des agressions sexuelles dans les transports sont le fait d’étrangers. 

 

Chiffres du ministère de l’Intérieur en 2019. Et depuis cela n’a fait qu’empirer.

Après cela, Thaïs d’Escufon quitte le plateau. 

Mais alors, une porte s’ouvre sur son passage et un homme furibard apparaît. Il hurle. Il lui reproche de n’avoir donné que son ressenti alors qu’elle a donné des chiffres, et d’avoir dit des « choses extrêmes ». 

Des choses extrêmes, les chiffres du ministère de l’Intérieur ?… Et il ajoute : « Si j’avais su, je ne vous aurais jamais invitée !

 Vous ne reviendrez jamais ! ». 

Comme on voit, à BFM TV, ce sont des gens très tolérants, et très bien élevés surtout avec les femmes qu’ils invitent. 

De vrais gentlemans.

Thaïs d’Escufon apprend quatre jours après que la Dilcrah (délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti LGBTQIA + tout le clavier de l’ordi), porte plainte contre elle car ses propos sont intolérables.

 On peut conseiller à la Dilcrah de plutôt porter plainte contre le ministère de l’Intérieur et ses chiffres, qui ont appuyé et confirmé les propos de Thaïs…

Nous le savons bien, nous les femmes (sauf les gôchistes immigrationnistes qui mentent comme des arracheuses de dents et regardent ailleurs quand une femme est violée), nous le savons, dans nos têtes et dans nos cœurs, que ceux qui nous posent le plus de problèmes, nous pourchassent le plus sans honte et sans vergogne dans tous les lieux publics avec leurs yeux exécrables, leurs mains collantes, leur armes létales, sont des étrangers.

En ce qui me concerne je le sais depuis l’âge de dix ans, mais j’en paraissais huit. 

J’habitais alors un quartier extrêmement résidentiel mais traversé hélas pendant un an par des Nord-Africains (ce passage intempestif fut corrigé l’année suivante), et sur le chemin de mon école chic, en uniforme avec béret sur la tête et gants aux mains, j’ai enduré leurs essais de me mettre la main aux fesses, leurs regards collants, poisseux, et leurs propositions  hallucinantes (une pitit’ p’omenade avec moi mamoizelle ?) auxquelles par chance ou par hasard j’ai toujours réussi à échapper. Je louvoyais d’un trottoir à l’autre, prête à fuir à toutes jambes à tout instant. 

Mes parents je crois ne réalisaient pas le danger auquel j’étais exposée.

Aussi je peux dire que je sais. 

Je sais que, pour trop d’entre eux, ils n’ont pas du tout nos codes, pas notre éducation, pas nos principes, pas notre urbanité en tous lieux en tous temps, pas nos valeurs, et surtout qu’ils sont dangereux. 

Très dangereux. 

Que pour trop d’entre eux la femme française est une marchandise, un objet sexuel, rien d’autre.

Comme sont très dangereux tous ces collabos qui nous trahissent, qui ne voient rien venir, ne savent rien, et surtout idéologues pourris jusqu’à la moelle, ne veulent rien voir rien savoir, même pas les chiffres du ministère de l’Intérieur.

Alors bravo Thaïs d’Escufon d’avoir dit tout haut ce que toutes les femmes normales pensent tout bas. Bravo d’avoir pris la défense de Claire et par là même de toutes les femmes violées tous les jours par des malfaisants qui n’ont rien d’autre à faire en France et ne devraient pas y être. 

Et honte à la Dilcrah, ce machin subventionné par les rares sous de ceux « qui ne sont rien » et honte à BFM TV. 

 

Mais patience et longueur de temps font plus que force ni que rage…

 

Par Sophie Durand    https://ripostelaique.com

 

 

Soutien à Thaïs d’Escufon poursuivie par la DILCRAH

23 Déc 2023 | Non classé | 0 commentaires

Le Parti de la France apporte son soutien à Thaïs d’Escufon, poursuivie par la DILCRAH, officine anti-française, pour avoir déclaré le 18 décembre dernier, sur le plateau de la chaîne gouvernementale BFMTV, cette évidence : « Le principal danger pour les femmes, ce sont les hommes immigrés, africains, noirs et arabes ! »

Alors qu’elle devrait être massivement soutenue par l’ensemble de celles qui se disent féministes, celles-ci sont évidemment muettes et même furieuses qu’une femme ait osé dire publiquement que les prédateurs extra-européens étaient le plus grand fléau pour les femmes dans notre pays.

Le Parti de la France est favorable au rétablissement de la liberté d’expression, dans tous les domaines, n’en déplaise aux censeurs politiques.

Thomas Joly –

 Président du Parti de la France

 



PATRICK BUISSON, HISTORIEN DE LA DÉCADENCE DE L' OCCIDENT ! ( MATHIEU BOCK-CÔTÉ )

 

Mathieu Bock-Côté : « Patrick Buisson, historien de la décadence de l’Occident »


PAR MATHIEU BOCK-CÔTÉ.

COMMENTAIRE – 

Cette chronique de Mathieu Bock-Côté est parue dans Le Figaro d’hier matin (30.09) et il nous paraît qu’elle est à classer, elle aussi, du côté des bons jours. 

Patrick Buisson était des nôtres, même, et peut-être surtout, s’il avait osé lancer ses filets vers d’autres eaux que celles de nos cercles restreints. 

Du côté du pouvoir et au plus haut niveau. Au sens maurrassien, il a, comme Maurras ne l’a jamais cessé, tenté « le coup ». 

Le coup salvateur. Sarkozy n’était pas de taille, politique et humaine, à assumer la politique dont Buisson rêvait. 

Mathieu Bock-Côté sait fort bien de quoi était faite la pensée et la volonté de Patrick Buisson.

 Son analyse est fine, ses références sont justes, ses remarques propres sont judicieuses. Patrick Buisson ne sous-estimait pas l’ampleur de la décadence qui atteint ce qu’on appelait, à juste titre, jadis, l’Occident. 

Fût-ce au prix de rudes batailles, d’abord sur lui-même, fût-ce par un retour à ce que Pierre Boutang appelait « un nouvel âge des héros », il ne le donnait pas pour perdu. 

Il apercevait l’épuisement du grand cycle révolutionnaire et décadent des trois ou quatre derniers siècles et il y trouvait des signes et des raisons d’espérance.

 Pour résister à la décadence, il nous faut croire qu’il avait raison. L’Histoire, ensuite, tranchera. Il est toujours hasardeux et, en tout cas, déshonorant de miser sur la défaite !  

    

 

 « S’il était à sa manière monarchiste, c’était moins par coquetterie réactionnaire que parce qu’il pensait qu’une autorité verticale est constitutive de la constitution mentale d’un peuple. 

Sans quoi il est condamné à l’aplatissement historique. « 

 

CHRONIQUE – 

Patrick Buisson le savait, l’homme n’est que de passage sur terre, et lui s’était donné pour mission, pendant son bref séjour en ce monde, de renouer le fil de la transmission française.

La mesquinerie de la presse de gauche au moment de la mort de Patrick Buisson n’aura surpris que ceux qui n’ont pas encore compris qu’elle carbure à la haine idéologique : l’homme fut présenté de la plus vile manière pour qu’on en garde le plus mauvais souvenir, en s’assurant que, jusqu’à la tombe, on l’associe à « l’extrême droite », dont il n’aurait seulement été qu’un militant plus doué que les autres.

Patrick Buisson lui faisait peur : on lui prêtait le pouvoir d’hypnotiser les puissants et de libérer les plus basses passions des masses, à la manière d’un théoricien méphistophélique. 

Deux commissaires politiques qui avaient voulu l’exécuter médiatiquement n’avaient-elles pas intitulé leur ouvrage Le Mauvais Génie ? 

 La gauche idéologique ne s’imagine pas d’adversaires légitimes, seulement des ennemis à éradiquer. 

Et cela, Patrick Buisson le savait : il ne se faisait aucune illusion à son endroit. 

La référence fondatrice de la gauche n’est pas 1789, mais 1793 – il n’est pas certain qu’il aurait dissocié les deux dates.

Si j’ai pris la peine de rappeler cela, alors que je tiens surtout à rendre hommage à Patrick Buisson, c’est qu’il est nécessaire de démonter sa légende médiatique et de s’affranchir du fantasme qui le précédait pour retrouver l’authentique penseur qu’il était – on pourrait parler d’un penseur intégral, dans la mesure où il fut tout à la fois historien, philosophe, politologue, éditorialiste, journaliste et conseiller politique, chacun de ces engagements renvoyant aux autres, et à la vision du monde qu’il élaborait et explorait tout à la fois.

 

Conseiller du prince

Patrick Buisson était étranger au contractualisme moderne, il ne voyait pas la société comme une série d’atomes autodéterminés, mais dans la longue durée, et croyait qu’on ne pouvait, en excellent lecteur de Philippe Ariès qu’il était, qu’on ne peut comprendre un peuple qu’en explorant sa mentalité, et les différentes couches de sens à travers lesquelles elle s’était sédimentée pour former une culture.

 Patrick Buisson était à sa manière un héritier de l’école des Annales, sans toutefois partager son dédain pour le politique.

Car Buisson était aussi, et peut-être d’abord, un disciple de Raoul Girardet, à qui nous devons la redécouverte de l’étude des mythes politiques, en lesquels il voyait tout le contraire d’une matière inerte. 

Buisson croyait les mythes agissants, car il voyait l’homme non seulement comme un animal politique, mais comme un animal symbolique, cherchant toujours dans la cité une transcendance que la modernité tend à vouloir neutraliser. 

Surtout, il croyait possible d’agir sur les hommes en activant les mythes, en libérant les énergies qu’ils contiennent.

C’est seulement en ayant cela à l’esprit qu’on comprendra son rapport aux sondages.

 Il ne s’agissait pas pour lui d’explorer la surface de l’opinion, et les humeurs changeantes des masses, mais d’explorer les structures profondes de l’imaginaire des peuples, et leurs attentes informulées, car souvent informulables dans les paramètres de la modernité progressiste. 

Le politique avait dès lors la mission de traduire ces aspirations, dans une perspective étrangère à la rationalité technocratique. Buisson pouvait alors se faire conseiller du prince et vrai stratège.

Une nouvelle chute métaphysique

C’est dans La Cause du peuple qu’il a exprimé sa philosophie politique.

 Car Buisson croyait l’homme moderne fondamentalement carencé, arraché aux structures profondes qui lui permettraient traditionnellement d’accéder à la plénitude de l’existence terrestre.

 Il n’était pas sans raison fasciné par Gustave Thibon. S’il était à sa manière monarchiste, c’était moins par coquetterie réactionnaire que parce qu’il pensait qu’une autorité verticale est constitutive de la constitution mentale d’un peuple. Sans quoi il est condamné à l’aplatissement historique. 

N’était-ce pas aussi la conviction du général de Gaulle ?

Dans ses derniers livres, il s’est voulu l’historien de la décadence de l’Occident, qu’il assimilait presque à une nouvelle chute métaphysique.

 Buisson racontait le déracinement d’une civilisation s’étant rendue coupable d’interruption volontaire de transmission culturelle par névrose hédoniste. 

Il n’était toutefois pas loin de croire qu’une minorité créatrice, en rupture avec l’hubris moderne, portait en elle les éléments d’une prochaine renaissance, pour peu qu’elle s’affranchisse des abstractions désincarnantes.

Le temps ne lui a pas été accordé d’aller au bout de son œuvre, mais à qui ce temps est-il vraiment accordé ?

 Buisson le savait, l’homme n’est que de passage sur terre, et lui s’était donné pour mission, pendant son bref séjour en ce monde, de renouer le fil de la transmission française. 

Fidèle jusqu’au bout à sa vision, à ses convictions intimes, il est en droit, où qu’il se trouve aujourd’hui, de se dire mission accomplie.

 D’autres prendront la suite. 

Par Mathieu Bock-Côté


 

Mathieu Bock-Côté est docteur en sociologie, chargé de cours aux HEC à Montréal et chroniqueur au Journal de Montréal et à Radio-Canada.

 Ses travaux portent principalement sur le multiculturalisme, les mutations de la démocratie contemporaine et la question nationale québécoise. 

Il est l’auteur d’Exercices politiques (éd. VLB, 2013), de Fin de cycle: aux origines du malaise politique québécois(éd. Boréal, 2012) et de La dénationalisation tranquille (éd. Boréal, 2007).

 Ses derniers livres : Le multiculturalisme comme religion politique, aux éditions du Cerf [2016] – le Le Nouveau Régime(Boréal, 2017) – Et La Révolution racialiste et autres virus idéologiques, Presses de la Cité, avril 2021, 240 p., 20 €.

FAISONS FACE ! LE COMMUNIQUÉ D' ÉRIC ZEMMOUR ......

 

Chère amie, cher ami,  

Je vous écris ces quelques mots à l’aube d’un grand combat.

 Vous le savez, l’année 2024 sera décisive. 

 Avec Marion et grâce à votre mobilisation, nous jetons toutes nos forces dans la bataille des européennes.

Nous abordons ce scrutin avec confiance, parce que nous savons que nos fondations sont chaque jour plus solides.

 L’année qui vient de s’écouler en a fait la démonstration éclatante.

Souvenez-vous : il y a bientôt un an, en janvier dernier, nous commencions l’année en atteignant, pour la deuxième fois de suite, plus de 100 000 adhérents à jour de cotisation.

C’est cette base militante exceptionnelle qui nous a permis, tout au long de l’année, d’occuper le terrain et d’imposer nos thèmes, nos solutions avec ferveur et enthousiasme.

Nous avons notamment eu la joie de nous retrouver cet été, à l’occasion des fêtes de la Violette ou de la Moisson, ou lors de l’université d’été en septembre dernier.

Ces grandes fêtes populaires, rendez-vous politiques désormais incontournables d’une France qui ne dira jamais son dernier mot, sont l’âme de notre mouvement. 

Dans les années à venir, elles redeviendront l’apanage d’une droite qui, parce qu’elle n’a pas oublié qu’elle doit tout au peuple français, ne cessera jamais de lutter pour sa survie.

La vie de notre mouvement ne se résume pas à ces joyeuses retrouvailles. 

Tout au long de l’année, votre mobilisation sur le terrain n’a pas cessé de porter ses fruits :

  • Annulation de conférences islamistes à Cabannes, Grenoble, Lyon, etc.
  • Annulation d’un projet de centre d’accueil pour migrants à Callac.

En un an, vous avez montré au monde que la politique ne se résume ni au confort des ors de la République ni aux plateaux de télévision, et que c’est sur le terrain qu’avec du courage et de l’abnégation, on obtient de vrais résultats.

Le grand succès des Parents vigilants en est la preuve et c’est l’une de mes grandes fiertés cette année. 

 À la chute du niveau scolaire, à la tyrannie du wokisme et à l’islamisation de nos écoles, il fallait apporter une réponse concrète, sur le terrain, adaptée à chaque école et à chaque situation.

Nous l’avons fait, remportant l’adhésion de plus de 60 000 parents et le soutien de plus de 400 professeurs.

 

Nous avons obtenu pratiquement chaque semaine des victoires concrètes :

  • l’annulation de spectacles Queers pour des enfants,
  • la suppression par Netflix d’un dessin animé pour enfants propageant la transsexualité,
  • l’abandon de l’enrôlement de lycéens par leur professeur dans une association d’aide aux migrants,
  • et tant d’autres choses encore.  

Ces succès ont été récompensés lors des élections des représentants des parents d’élèves, avec 3500 élus obtenus en septembre, et je veux vous en féliciter.

Cette année, Reconquête a également répondu présent partout où la civilisation occidentale était menacée. 

 En octobre, Marion Maréchal et moi-même nous sommes rendus en Arménie et en Israël, où les forces islamistes avancent leurs pions.

En France, en Europe et partout dans le monde, là où est notre devoir et là où nous pouvons défendre l’intérêt des Français et de notre civilisation, nous faisons face, nous ne baissons pas les yeux.

Tout cela, chère amie, cher ami, n’est possible que grâce à vous. 

C’est votre engagement, tout au long de l’année, qui nous permet d’avancer. 

Dans tous les départements de France, vous avez tracté, collé, diffusé ou soutenu généreusement nos idées avec détermination et opiniâtreté.

Du fond du cœur, je vous en remercie.

Nous avons subi les émeutes, nous avons vécu Lampedusa, nous avons vu le Hamas et nous avons pleuré Thomas, Dominique Bernard et tant d’autres avant eux. 

Cette actualité pourrait nous faire baisser les bras ; au contraire, elle nous oblige à agir.

Alors ne perdez pas espoir : les Français commencent, grâce à vous, à relever la tête. Je suis fier d’être le président d’un parti de Français lucides.

C’est donc avec détermination que je vous donne rendez-vous dès maintenant, pour lancer notre campagne.

Vous pouvez compter sur moi comme je sais pouvoir compter sur vous : Reconquête ne reculera pas.

À très bientôt,

Éric Zemmour

 

 

samedi 30 décembre 2023

LE FAIT DE PARLER DE RACISME ANTI-BLANCS EST DÉJÀ CONSIDÉRÉ COMME DU RACISME ANTI-NOIR ! ( XAVIER JÉSU )

 TRIBUNE LIBRE !

JE N’EN PEUX PLUS DE CES PUBS WOKE



AUJOURD’HUI ENCORE, ET PLUS QUE JAMAIS…VIVE LA RÉPUBLIQUE, 
VIVE L’UNION des PATRIOTES et surtout…VIVE LA FRANCE !
__________________________

Aujourd‘hui, je suis en colère, j’enrage, je tempête, je grogne, je fulmine, je peste contre les agences publicitaires. 

Et au final, je broie du noir, je broie du créole, je broie du subsaharien.

Plus une seule (ou presque) publicité sur Facebook, à la télé, sur les affiches, sans y voir une coiffure à la Jimmy Hendrix ou, au pire, à la Assa Traoré.

 Que l’on ne voie pas la moindre once de racisme dans ce propos ; je sais très bien que l’extrême gauche est toujours à l’affût de la moindre phrase qu’elle pourrait interpréter à sa façon pour vous trainer devant la 17ème chambre correctionnelle. 

Mais là, reconnaissez qu’on frôle franchement l’overdose au risque de ne plus pouvoir s’en relever. 

Mais peut-être, suis-je dans l’erreur et dans un réel déni de réalité ?


Cherchons donc un peu :

D’après le « centre d’observation de la Société », « La seule enquête publiée sur le sujet est un sondage réalisé par la Sofres pour le Conseil Représentatif des Associations Noires en 2007.

 Résultat : 3,2 % de la population se déclarait « noire », autant qu’« arabo-berbère », 1,4 % s’estimait « métis », 0,5 % « asiatique », 0,2 % « indo-pakistanais » et 1 % « autre ».

 Au total, notre pays comptait 90 % de « blancs » et 10 % de « non-blancs ». 

Depuis 15 ans, la part de non-blancs a probablement augmenté, sous l’effet de la hausse de la population immigrée, plus élevée que la population totale, de 8,3 % à 10,3 % entre 2007 et 2022. 

Si on additionne l’ensemble des immigrés originaires d’Afrique subsaharienne, leurs descendants ainsi que la population noire des Dom ou de cette origine pour l’année 2019, on obtient environ 6 % de personnes noires. »

Donc, si je comprends bien : 75% de personnes noires dans les publicités sont censées représenter 6% de cette même population dans la réalité (et encore, je minimise volontairement le chiffre de la représentation dans les publicités pour m’éviter les foudres de quelques décoloniaux violents qu’on peut retrouver dans les milices d’extrême gauche) !

Mais alors où sont passés nos amis asiatiques qui pourraient aussi revendiquer une présence bien plus importante dans ces publicités ? 

Certes, ils n’ont pas d’organisations de « Voyous & Co » comme « La Bande à Assa » pour réclamer, du haut ses pompes Louboutin à 1000 balles, des droits à la délinquance et s’imposer dans le monde médiatique comme les vrais représentants de peuples opprimés et victimes éternelles de la colonisation par les blancs (et tout ceci un genou à terre et le poing droit levé).

Les Chinois, les Vietnamiens, les Japonais et plus généralement toutes les personnes issues de l’Asie centrale, de l’Est et du Sud-est ne hurlent pas et ne passent pas leur temps à se victimiser : ils travaillent, s’entraident, élèvent leurs enfants dans le respect de la famille et des anciens.

 Oh certes, ils ont aussi leurs voyous, mais dans les mêmes proportions que les « DeSouche ».

En voyant le sondage ci-dessus qui date de 2007, je me souvenais que Michael Jackson faisait tout pour se blanchir la peau.

 Il est mort en 2009, soit il y a 14 ans.

 Personne ne disait rien à cette époque. 

C’était la star mondiale.

 Aujourd’hui, il serait banni du clan des néo-racistes Black Live Matter et de leurs succursales françaises comme la LDNA (Ligue de Défense Noire Africaine qui voulait aller “cracher” sur la tombe du “criminel raciste” de Gaulle en 2020).

 En 2023, on dirait à ce pauvre Michael que s’il est devenu pédophile, c’est parce qu’il était passé « du côté des suprémacistes blancs ».

 D’ailleurs, la grande mode, à cette époque, chez les femmes noires, c’était de se lisser les cheveux en utilisant des produits hyper-toxiques.

 Personne ne leur imposait de le faire, et surtout pas les blancs ! Aujourd’hui, on dirait que leurs chevelures très frisées (le terme crépu étant devenu péjoratif …), soit un nouveau marqueur de lutte pour une reconnaissance du peuple noir ; phénomène étrange quand on sait que le pasteur Martin Luther King « exigeait que l’on juge ses enfants sur leur caractère et non sur leur couleur de peau ».

Les progressistes, ou du moins ceux qui se définissent ainsi, ont une telle détestation du monde occidental blanc qu’ils s’imposent leur vision du monde de demain à la manière de Mélenchon qui parle maintenant de « Peuple humain » ! 

C’est vous dire s’il est sur la voie du remplacisme à grande échelle.

 Il fricote avec les islamistes et nous vend sa créolisation. 

Et les agences de publicité se vautrent dedans car elles pensent ne pas faire l’objet de critiques pour discrimination. 

Sauf qu’elles le font maintenant en sens inverse et que cela devient aussi gros que le nez au milieu de la figure. 

Un jour, le boomerang reviendra sur elles.

L’expression « racisme anti-blanc » peine à émerger, même s’il apparait dans de nombreux domaines, parfois ouvertement et en toute impunité (n’est-ce pas, Madame Abdul-Malak ?)

Mais vous le savez aussi bien que moi : 

« Le fait de parler de racisme anti-Blanc est déjà considéré comme du racisme anti-Noir!! »

Quoi qu’il arrive, nous n’oublierons jamais le massacre du 7 octobre 2023 perpétré en Israël par les terroristes du HAMAS.

 

 

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 Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur donc en aucun cas Observatoire du MENSONGE

Article(s) à lire :

Le grand Woke des « Dégradistes*** »

Au-delà des mots !

ISRAÊL VEUT DÉTRUIRE ET ANÉANTIR LE HAMAS ! MACRON VEUT EXFILTRER LES CERVEAUX DU MASSACRE 7 OCTOBRE ???

 

Vers une exfiltration des terroristes du 7 octobre… avec l’aide de la France ?

Par Frédéric Martin-Lassez



C’est un article qui en dit long à la fois sur une certaine presse et le pouvoir macronien.

 Chez l’une comme chez l’autre, l’ambiguïté règne en maître. Le 20 décembre, le journal Le Mondenous apprenait s’être procuré un document confidentiel « élaboré par Abdelaziz Al-Sager, le directeur d’un centre de réflexion saoudien, le Gulf Research Center (…) dans la foulée d’une rencontre, le 19 novembre à Riyad, entre M. Al-Sager et Anne Grillo, la directrice du département Afrique du Nord et Moyen-Orient au Quai d’Orsay ».

Un plan de sortie de crise à Gaza qui aurait été « transmis au ministère des Affaires étrangères français » et dont Le Monde se charge de faire la promotion discrète. 

Un très bon choix. 

Pas de doute que ce quotidien de référence, à l’envergure internationale, sait transmettre les bons éléments de langage.

 Ainsi, l’article nous indique que le plan prévoit de transférer « les chefs militaires » du Hamas vers Alger. 

Après cette exfiltration des « cadres du mouvement islamiste » serait suggéré le déploiement d’une force de maintien de la paix arabe dans Gaza.


Exfiltrer les cerveaux du 7 octobre

Question : qui sont les intéressés dont l’évacuation serait une « des pistes pour arrêter les hostilités » ? « Probablement Mohammed Deif, le commandant des Brigades Ezzedine Al-Qassam, la branche armée du mouvement islamiste, et possiblement aussi Yahya Sinouar, le chef du Hamas à Gaza, très proche de l’aile militaire », nous indique le journal. 

Ces individus sont donc des « chefs militaires », des « cadres du mouvement ».

 Une description dont les pudeurs sémantiques démontrent les capacités du Monde à s’approprier le langage nuancé qui convient aux actions diplomatiques.

Car si leur nom ne vous dit rien, sachez que les principaux instigateurs des scènes d’horreur qui se sont déroulées dans les localités attaquées par le Hamas, ce sont eux.

 Les civils israéliens brûlés vifs, les femmes violées et mutilées, les bébés tués dans leur berceau et parfois décapités, ce sont eux. 

Les responsables de dizaines de morts français et des prises d’otages, ce sont eux. Ceux que le journal Le Monde appelle les « cadres du mouvement » sans, à aucun moment dans l’article, employer le terme de « terroristes » ni mentionner leur responsabilité dans la planification des raids génocidaires lancés sur le territoire israélien.

Yahya Sinouar et Mohammed Deif sont actuellement traqués dans la bande de Gaza par l’armée israélienne qui a mis leur tête à prix en offrant des centaines de milliers de dollars à qui donnerait des informations sur l’endroit où ils se trouvent. 

En octobre dernier, le porte-parole de l’armée israélienne, le lieutenant-colonel Richard Hecht, avait dit de Sinouar qu’il était « un homme mort qui marche ».

Dans un langage moins diplomatique que Le MondeFox News rappelait récemment que Sinouar est surnommé le « boucher de Khan Younès » (sa ville de naissance à Gaza) en raison de « ses méthodes de torture violentes et cruelles contre ses ennemis »

Sinouar et Deif sont considérés comme « les pires tueurs de la bande de Gaza » et sont désormais « les terroristes les plus recherchés par Israël », ajoutait le média américain.

 

Plan de paix ou plan de com’ ?

C’est donc au moment où la presse internationale se fait l’écho de cette traque que surgit l’information concernant un possible plan franco-saoudien d’exfiltration de ces individus vers l’Algérie. 

Curieux timing médiatique.

Autre proposition, nous rapporte Le Monde : la « création d’un « conseil de transition » conjoint réunissant les principaux partis de Gaza (Hamas, Jihad islamique et Fatah), chargé de gérer l’enclave pendant quatre ans et d’organiser des scrutins présidentiel et parlementaire ».

Depuis le début du conflit, le Premier ministre israélien a toujours été très clair sur les objectifs de guerre de son gouvernement : « Éliminer le Hamas et garantir qu’après sa disparition, aucun élément qui soutient le terrorisme, éduque ses enfants au terrorisme et paie les terroristes ou leurs familles ne contrôlera Gaza. » 

Un objectif confirmé par Benyamin Netanyahou le jour même de la parution de l’article du Monde.

 Là encore, étonnant timing.

 « Nous poursuivons la guerre jusqu’au bout », a déclaré le Premier ministre, lors d’une conférence de presse«

 Cela continuera jusqu’à ce que le Hamas soit détruit – jusqu’à la victoire. » « Quiconque pense que nous allons arrêter est déconnecté de la réalité », a-t-il ajouté.

 « Tous les terroristes du Hamas, du premier au dernier, sont des morts-vivants. Ils n’ont que deux options : se rendre ou mourir. »

Et pourtant, malgré ces objectifs répétés, le document cité par Le Monde indique que le plan devrait « contribuer à l’élaboration d’une vision commune acceptable par toutes les parties »

Toutes les parties sauf… Israël, manifestement ! 

Le Quai d’Orsay est-il alors « déconnecté de la réalité », pour reprendre les propos de Netanyahou ? Peut-être. 

À moins que ce plan de paix ne soit, avant tout, un plan de com’ à destination d’un certain nombre de capitales et de la rue arabe.

La présentation par Le Monde de l’élaboration du document est suffisamment ambiguë pour suggérer l’implication d’une représentante du Quai, mais sans en dire plus afin de maintenir un flou artistique sur les intentions françaises. 

Une stratégie caractéristique d’Emmanuel Macron, qui pourrait bien être tenté de se refaire une santé diplomatique au Moyen-Orient en faisant passer le message qu’à l’inverse des Américains, il est prêt à donner au Hamas toute sa place dans le cadre d’un règlement négocié.

 Une ouverture d’esprit qui irait jusqu’à sauver la peau des responsables des atrocités du 7 octobre ?

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@alexdelvalle3
 “L’#islam de France est aux mains des #FrèresMusulmans, du #Tabligh indo-pakistanais, des réseaux marocains, algériens (Grande Mosquée de Paris), turcs (#milligorus) et des #Salafistes… 
Bref, il n’y a pas d’#islam officiel France aujourd’hui compatible avec les valeurs de la République !
 Et cette bombe à retardement géocivilisationnelle ne sera pas désactivée avec l’interdiction des #imams étrangers car les Frères musulmans et les autres mouvances intégristes turques ou salafistes ont aussi des imams français et ont infiltré tant le CFCM que le FORIF… 
 
 

70 À 80 % DE MUSULMANS DANS LES PRISONS FRANÇAISES !

 

Le Chiffre : 70-80 %

Le Chiffre 70-80 %
 

C’est, selon le recteur de la Grande Mosquée de Paris, la proportion des musulmans parmi les détenus dans les prisons françaises aujourd’hui. 

Chems-Eddine Hafiz, interrogé par Mizane TV, a réclamé un « Plan Marshall » pour les aumôniers musulmans qui manquent de moyens, notamment dans les prisons, car, a-t-il dit, « on sait très bien aujourd’hui que dans les prisons, on dit, il y a 70-80 % de musulmans ». 

 Cette estimation recoupe un rapport parlementaire français de 2014, et dépasse la fourchette établie par le Washington Post en 2008, et par le Guardian, quotidien de gauche britannique en 2016, qui eux proposaient 60-70 %. 

Cela ne doit pas conduire à stigmatiser l’islam. 

D’autres facteurs entrent en jeu, dont les statistiques françaises ne facilitent pas la mesure. 

La nationalité compte : 39 % des délinquants interpellés à Lyon et 55 % à Marseille sont étrangers, et en Ile-de-France 63 % des agressions sexuelles et 93 % des vols commis dans les transports en commun sont le fait d’étrangers. 

L’origine ethnique a son importance : Hugues Lagrange, directeur de recherches au CNRS affirmait en 2010 que « les adolescents éduqués dans des familles du Sahel sont 3 à 4 fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus ». 

Quant à l’anthropologue Didier Fassin, il avançait, lui, en 2016 que « 77 % des personnes détenues appartiennent à des minorités ethniques ». 

Ces données sont sérieuses mais il ne faut essentialiser ni l’ethnie, ni la nationalité, ni la religion : le phénomène qui relie ces trois adjuvants à la délinquance aujourd’hui en France est l’immigration.

 

Source : https://reinformation.tv/ 

 

Souriez ,c' est vous qui payez les frais d' entretien ....... 

 

 

ET AUSSI

 

L’islam est le danger qui guette l’humanité dans les années à venir

Au nom d’Allah, le Clément et le Miséricordieux :


« Ceux des croyants qui restent tranquillement chez eux, sans y être astreints par une incapacité quelconque, ne peuvent être considérés comme égaux aux croyants qui, dans le combat qu’ils mènent au service de Dieu, s’exposent aux dangers corps et biens.

 Aussi Dieu tient–Il en plus grande estime ceux qui Lui sacrifient leurs biens et leurs personnes. 

Et bien que les promesses divines s’étendent aux uns et aux autres, un rang infiniment supérieur est réservé aux combattants, ainsi qu’une récompense sans limite. Dieu les élèvera de plusieurs degrés auprès de Lui et leur accordera pardon et miséricorde. Dieu est Clément et Miséricordieux » ( sourate 4, versets 95-96).

« En vérité, Dieu a acheté aux croyants leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis, en vue de défendre Sa Cause: tuer et se faire tuer. 

C’est une promesse authentique qu’Il a prise sur Lui–même dans la Thora, l’Évangile et le Coran. Et qui est plus fidèle à sa promesse que le Seigneur? Réjouissez–vous donc de l’échange que vous avez effectué! N’est–ce pas que c’est là le comble de la félicité?» ( sourate 9, verset 111).


Le Prophète de l’islam a dit: « Quiconque délaissera le djihad Dieu l’avilira, le réduira à la misère, et anéantira sa foi ».
La ilah ila Allah! Allah Akbar!

Le désert de la fertilité islamique n’est pas une légende mais un fait réel qui a empaqueté les peuples qui ont été irradiés par son mirage, et pris dans un tourbillon de haine destructive et d’arriération.


Le racisme qui est une des bases de cette légende islamique devenue une réalité quotidienne pour plus d’un milliard et demi d’individus sur terre, est la conséquence de la suprématie de l’islam qui fait qu’en cette occasion des fêtes de fin d’année, les groupes islamistes djihadistes ont assassiné froidement plus de deux cents ( 200) chrétiens lors de la messe du 24 décembre, la veille de Noël, au centre du Nigéria dans l’état du Plateau.

 Ces victimes de la sauvagerie islamique ont été enterrés collectivement. Pour les adeptes d’Allah Akbar, ces nigérians chrétiens sont des sous-êtres humains qui ne méritent pas de vivre.

Ces massacres mettent à nu, une fois de plus, la barbarie qui amine l’islam et ses suiveurs, et qu’ils ne sont pas des mensonges fabriqués par ceux qui sont atteints d’islamophobie (la peur de l’islam) comme le prétendent les défenseurs de la religion de paix et d’amour.


Les islamistes nigérians sont en train de commettre un véritable génocide contre les chrétiens afin de les contraindre à fuir, et ainsi, ils pourront prendre possession de leurs biens. 

Cette technique djihadiste est connue depuis treize siècles, et porte un nom: c’est la razzia et l’appât du gain facile.
Et pendant ce temps, le pape François est aux abonnés absents. 

Il préfère consacrer son temps aux naufragés de la misère islamique que de défendre ses ouailles.

 En se couchant devant l’islam, il donne le feu vert aux massacres des chrétiens à travers le monde, car son silence prouve qu’il a faussé compagnie à Jésus pour se mettre au service d’Allah Akbar.

Quel crédit, peut-on donner à un pape islamophile qui oublie où il crèche?


Finalement, ce pape, n’est-il pas au service de l’islamisation du monde comme le préconisent le coran et les hadiths ? Son souhait, n’est-il pas qu’il soit au paradis d’Allah le jour Dernier, en compagnie des soixante-douze houris, ces vierges célestes, aux seins arrondis, aux yeux noirs et à la peau aussi blanche que la neige de minuit ? Il sera alors le bienvenu, assis pas si éloigné du Trône.


L’attitude du pape François est comparable à celle de l’Occident qui est en train de se coucher devant l’islam en lui laissant les portes grandes ouvertes de son territoire tout en payant rubis sur ongles sa soumission future.

En contrôlant les âmes et en verrouillant d’avantage des espaces d’expressions, la religion de paix et d’amour conduit au boulevard de la barbarie qui est pire que le nazisme et le fascisme réunis.
L’islam se distingue par rapport aux autres religions par la mise à mort de tout mahométan qui le quitte. 

A vrai dire, le goulag n’est pas une invention de Staline mais d’Allah et de son émissaire sur terre Mahomet, et ça, il faut le répéter matin et soir. La dhimma en est le parfait exemple qui dure depuis l’époque abbasside. Depuis le IX siècle.

Qui peut prétendre que l’islam a été dépassé en horreur ? Hitler sûrement pas, car il s’est inspiré lui-même d’Allah, grâce à son ami le grand Mufti de Jérusalem, Al-Husseini.


Sauver l’apostat de l’Enfer en le menaçant de mort sur terre, c’est sauver Allah, comme si ce dernier était incapable de se défendre par lui-même, par conséquent, il lui faut des coupeurs de têtes qui veillent à son existence, afin qu’il ne soit pas vite oublié.


Mohamed, l’émissaire d’Allah, n’avait-il pas utilisé les saalïks (les bandits et les coupeurs de route) pour imposer sa religion de paix et de tolérance ?

Le sexe et le butin de guerre ne sont-ils pas les ingrédients qui font saliver les prétendants au paradis d’Allah?
Allah et son ami Mohamed Ibn Abdellah continuent de vivre par l’épée. Rien que par l’épée !
Car le même moyen de les faire vivre, encore et encore, c’est le recours permanent à la menace de mort, la peur des tourments de la tombe et de l’enfer qui doivent guider chaque jour les habitants des pays qui disent : Allah a dit, Mohamed a dit.


Par la peur, ‘j’existe’, tel est le slogan perpétuel d’Allah Akbar !

Effectivement, les musulmans ont élargi leurs frontières en occupant par l’épée d’Allah (seif Allah), des pays et en y effaçant toute trace des civilisations antérieures. Ils ont imposé leur langue, leur religion et asphyxié ces populations par les impôts (dijia), sans aucune considération pour leur vie ni pour leurs conditions socio-économiques.


Ils ont imposé la dhimmitude aux gens du Livre (Juifs, chrétiens et sabéens) en les parquant dans des ghettos. Et en plus, Allah les a déshumanisés en les animalisant dans le coran.

En mode de gouvernance au nom d’Allah, ils ont érigé le meurtre, le génocide, l’invasion, le pillage, la destruction, la captivité de jeunes femmes pour leur servir d’esclaves sexuelles. En un mot, l’islam se résume au ventre et au bas-ventre. Le butin de guerre et le sexe à profusion sont les deux ingrédients qui font carburer les adeptes de la Kaaba, ici-bas et dans l’au-delà.


Pour encourager les musulmans à suivre sa voie, Allah, lui-même, a décrété dans le coran qu’ils sont la meilleure des communautés existantes sur terre depuis la Création. 

Et c’est pour cette unique raison, qu’ils continuent à vivre hors du temps en suivant le beau modèle de Médine. Ce beau modèle, a-t-il réellement existé? Le doute est permis!

Les politiciens des cinquante-sept pays musulmans et les gardiens du temple de l’islam (l’autorité religieuse) oppriment par leur conservatisme et leur soif de pouvoir toute idée de réforme de leur religion. Sans aucune explication en s’appuyant uniquement sur des versets, ils rejettent les sciences modernes qui ont permis aux autres nations de faire des pas de géant.


Que peut-on attendre d’une religion dont les ‘savants’ enseignent encore que la terre est plate et statique, conformément au coran, en dénigrant tous les arguments scientifiques avérés ?


« Et quant à la terre, Nous l’avons étalée et y avons placé des montagnes (immobiles) et y avons fait pousser toute chose harmonieusement proportionnée » ( sourate 15, verset 19).
(Lire aussi la sourate 2, versets 22, 144 et 187, sourate 18, versets 47 et 86, sourate 20, verset 53, sourate 22, verset 61, sourate 31, verset 29, sourate 39, verset 5, sourate 43, verset 10, sourate 50, verset 7, sourate 51, verset 48, sourate 71, verset 6).

Peut-on faire confiance à leurs ‘ sciences islamiques’ qui défient la raison et le bon sens paysan ? Sûrement pas, car ils restent bloqués mentalement au IXe siècle.


Une religion qui continue à enseigner à ses adeptes que le mariage pré-pubère est halal en 2023, peut-on la considérer comme humaniste comme le vendent les idiots utiles occidentaux sous l’influence de la dhimmitude ?
Et les ‘savants islamiques’ martèlent que la pédophilie est licite selon la charia, parce que Mahomet s’est marié avec Aïcha, la mère des croyants, à six ans et a consommé le mariage lorsqu’elle a atteint l’âge de neuf ans. Il n’y a pas moins de vingt-un (21) hadiths qui relatent ce mariage. 

Et même Allah, dans la sourate 65 (le divorce), verset 4, le confirme.
Aïcha, La femme-gamine de Mahomet, n’est autre que la fille de Abu Bakr Seddiq, son compagnon de route et le premier calife ‘bien guidé’.

Tout est permis en islam surtout entre amis (entre-nous, c’est l’endogamie), car Allah a autorisé la pédophilie bannie par l’ensemble de l’humanité, depuis fort longtemps. 

Ceux qui la pratiquent encore, sont considérés comme des pervers et lourdement condamnés dans les pays normaux.
Et pourtant, cette immoralité est encore vantée en islam.`


Et les ‘sachants’ des musulmans n’hésitent pas un instant à se réfugier en Occident mécréant quand ils sont en désaccord avec les pouvoirs politiques de leur pays respectifs tout en continuant à propager le virus de la haine islamique contre ceux qui les ont sauvés de la mort. Allah les a armés de la taqîya pour tromper les infidèles gaouris (porcs) comme ils le crient sur tous les toits.

Quant aux intellectuels et aux politiciens musulmans, ils sont l’incarnation du mensonge et du déni pour briller au milieu de l’ignorance sacralisée.


Les sans-dents musulmans que la misère et la mal vie poussent à s’installer en Occident, aux pays des mécréants, parfois au péril de leur vie, mais une fois, logés et nourris par la bienveillance des kouffars, ils réclament l’application de la charia oubliant qu’ils ne sont pas à Dar-Al-Islam. 

Ces derniers continuent à nager dans les marécages de la schizophrénie. 

Et ils sont dangereux pour l’Occident, car ils sont facilement manipulables. Ils sont une bombe à retardement qui peut exploser à tout moment. Il est temps que l’Occident y prenne conscience du danger auquel il risque de faire face, sinon son existence même serait en péril, en accueillant ces perdus de l’histoire humaine.

Un jour ou l’autre, les kouffars, doivent se réveiller pour ne plus subir la déferlante islamique, car leur bienfaisance a trop duré face à des gens qui n’ont même pas la reconnaissance du vent et qui veulent les dépouiller de leur pays et de leur identité.
Vaille que vaille!
Le pogrom qui s’est déroulé le 7 octobre 2023, le long de la bande de Gaza, en Israël, ne serait-il pas la fin de cet aveuglement ?

Quelle est-elle cette hypocrisie qui anime les allahistes qui pensent qu’ils sont les anoblis suprématistes d’Allah et en même temps ses soldats sur terre pour appliquer son idéologie criminelle et raciste, par le sabre ?
Alors à quand le réveil des kouffars, car la farce islamique ne peut plus continuer indéfiniment ?
En tant qu’apostat, connaissant l’islam de l’intérieur, je peux affirmer que les légendes et les mythes sont les bases de la religion que j’ai héritée de mes ancêtres ces oubliés de l’histoire et que j’ai dû abandonner avec fracas malgré les inconvénients auxquels j’ai dû faire face.

Mon père et ma mère n’ont jamais su que j’ai faussé compagnie au beau modèle de Médine, tout en continuant à les aimer intensément. Maintenant qu’ils sont partis, je me sens libre de continuer le combat afin que la vérité éclate et que les musulmans ouvrent les yeux sur l’absurdité dans laquelle ils sont emprisonnés depuis près de 1300 ans.

 Par un héritage religieux invérifiable qui les a mis hors du temps, ils sont devenus des colonisés mentaux, incapables de se remettre en cause et encore moins de douter.

Cela fait exactement cinquante ans que mon combat contre la barbarie islamique a débuté. 

Parfois, j’ai eu des doutes, des incertitudes, des découragements, des angoisses en me disant intérieurement : « Est-ce que je fais fausse route ? ». 

Durant la décennie noire en Algérie, j’ai frôlé la mort, j’ai voulu tout arrêter, car j’avais pensé par moments que ce combat était inutile. Je me suis senti seul, car autour de moi, on disait que ce que l’on vivait, n’était pas la faute à l’islam.

 Les Algériens dans leur grande majorité ne voulaient pas voir ce que les islamistes faisaient.

 Pourtant, ils violaient, ils égorgeaient, ils rackettaient au nom d’Allah. Malgré toutes ces horreurs, l’islam était innocenté et il le continue à l’être par cela mêmes qui ont subi ses atrocités. 

On avait incriminé plutôt l’armée qui avait lutté courageusement contre le fléau de la barbarie islamique.

Même en Occident, certaines voix autorisées venant principalement de la gauche, avaient considérés les islamistes algériens comme des combattants de la liberté. D’ailleurs, ces islamistes avaient établi leurs bases-arrières en Europe et notamment en France, au vu et au su des faiseurs d’opinions de la bien-pensance.

 Cette complaisance a été permise au nom des droits de l’homme qui ont accouché de la lâcheté occidentale avérée qui est sans équivoque dans l’histoire, vis-à-vis de l’islam.

Et ce discours de bienveillance à l’égard des islamistes développés par les Occidentaux, est à l’œuvre en vue de disculper les hordes sauvages du Hamas afin de cacher leurs horribles crimes perpétrés le 7 octobre 2023 contre des enfants, des femmes, des hommes israéliens sans défense.


Les ‘combattants de la liberté’ du Hamas ont violé, tué et kidnappé des bébés, des femmes, des personnes âgées sans état d’âme en criant Allah Akbar.

Hamas est ses ‘fameux combattants de la liberté’ sont les vrais responsables de la tragédie que vivent les palestiniens de Gaza, car Israël mène un combat existentiel pour son devenir.

 Ce combat est une question de vie ou de mort pour Israël. Toute autre discussion n’est que la masturbation de l’esprit, surtout en Occident où certaines voix veulent se donner une bonne conscience. 

Ou plutôt se refaire une virginité. Basta, les masques sont tombés!
Que faut-il de plus pour que l’humanité toute entière ouvre les yeux sur le danger de l’islam auquel elle doit faite face à l’avenir ?

Pour le nazisme, le fascisme, l’inventaire a été fait. Pour le communisme, cet inventaire reste à faire, car la gauche refuse pour le moment de l’envisager de peur de perdre son magistère du bien.
Quant à l’islam, est-ce que cet inventaire verra le jour, un jour ?

 Est-ce que le travail des apostats infusera dans la société islamique pour la réveiller de son profond sommeil ?

 Car cet inventaire sera ou ne sera pas fait que par les musulmans, eux-mêmes. Toute autre réflexion sur cet inventaire venant de la part des non musulmans, sera voué à l’échec.
 

L’espoir est encore permis, alors je dis bonnes fêtes de fin d’année à l’ensemble de l’humanité.

Par Hamdane Ammar

 

ET AUSSI 




Les islamo-Palestiniens vont-il conquérir les Champs-Élysées le 31 décembre ?

 

C’est formidable, ce 26 décembre 2023, de valeureux soutiens djihadistes du Hamas ont lancé depuis Trappes un appel à se rendre sur les Champs-Élysées le 31 décembre 2023 à minuit.

Je ne doute pas que ce rassemblement sera un grand succès.

Ils veulent libérer non seulement Gaza, non seulement toute la Palestine (ce qui implique juste la destruction d’Israël), mais également toute la France du racisme et de l’islamophobie.

Beau programme !

Alors pourquoi est-ce que cela m’enchante tant ?

J’espère que notre télévision française et notamment le service public leur donneront toute la publicité qu’ils méritent, afin que toute cette angoisse soit transmise à tous les Français.

Je pense même que Laurent Ruquier et Léa Salamé pourraient être mis à contribution en excellents présentateurs de cette manifestation grandiose le soir du nouvel an.

Il y a une chose que ces valeureux musulmans soutiens des terroristes n’ont, semble-t-il, pas comprise.

En effet, depuis le 7 octobre 2023, et les massacres du Hamas en Israël, suivis par le meurtre de Thomas, suivis par le meurtre de ce professeur à Arras, suivis par toutes ces agressions, tous ces viols et toutes ces violences, les Français ont, semble-t-il, commencé à sentir ce que pourrait être le danger islamique pour eux. Et quelque chose commence à changer dans leur tête.

2023 a, en ce sens, été une année charnière.

Ce 31 décembre 2023, les Champs-Élysées seront transformés en une terre de Djihad.

Les soutiens du Hamas vont défiler en conquérants de la nouvelle année, des Champs-Élysées et de toute la France.

Les touristes qui vont s’y risquer vont, de même que les quelques Français qui y seront, se rendre compte par eux-mêmes de ce qu’est un réveillon en terre islamique (sauf bien évidemment quelques indécrottables gauchistes, irrécupérables).

Il serait, à mon sens, intéressant que la préfecture lance un appel aux autres de ne pas s’y rendre, et notamment aux touristes.

Je pense donc que malgré leur cris de victoire et la joie de les voir défiler sur les Champs-Élysées, comme les Allemands en 1940, beaucoup de Français vont ressentir un petit frisson, ce qui sera probablement de bon augure pour la prochaine élections.

Est-ce qu’après leur passage les Champs-Élysées ressembleront à Gaza ?

Après tout, tout est possible avec ces lascars.

On peut rêver en attendant 2024…

Par Albert Nollet   

 

Source et Publications  :  https://ripostelaique.com/