TRIBUNE LIBRE !
Tesla : L’UE permet à Musk de gagner des milliards supplémentaires
Les roitelets de l’Eurocrature voudraient museler Elon Musk, mais ils ne font pas le poids contre ses ressources technologiques et financières.
Faute de mieux, ils enjoignent à leurs suiveurs de déserter X.
Mais comme ils sont bancals du côté cérébral, ils pondent des normes anti CO2 délirantes qui concourent à enrichir encore plus Elon !
Si le pouvoir rend fou, le pouvoir absolu rend absolument fou
Les oligarques de l’Eurocrature ont décidé d’infliger 15 milliards d’euros d’amendes aux constructeurs européens d’automobiles à moteur thermique, pour non respect de leurs objectifs de réduction des émission de CO2.
Alors que cette industrie traverse une grave crise, menaçant des centaines de milliers d’emplois et la perte d’importantes ressources fiscales pour un pays en faillite comme le Francistan.
Depuis le 1er janvier 2025, les constructeurs sont tenus de produire des véhicules avec un taux d’émission maximum de dioxyde de carbone de 93,6 grammes au kilomètre.
Soit par rapport à 2024, 20 % de moins d’un seul coup.
Bien entendu, les décideurs sont des fonctionnaires qui ignorent tout de la mécanique automobile et du fonctionnement d’une entreprise.
Et des politicards prêts à se vendre aux écolos, afin de grappiller quelques-unes de leurs voix aux élections.
Tout ça fait le bonheur de Tesla qui a récupéré des « droits à polluer » et les revend aux fabricants de voitures thermiques.
Avec un joli bénéfice au passage.
Mais la transaction leur revient quand même moins cher que le racket des gratte-papiers et des maniaques écolo-gauchistes.
Le groupe Stellantis avec ses 15 marques dont PSA, Alfa Roméo, Fiat et Chrysler, ainsi que Toyota-Lexus, Ford, Mazda et Subaru ont décidé d’acheter des crédits d’émissions de CO2 à Tesla pour éviter des amendes astronomiques.
Cette opportunité est une échappatoire pour le présent, et une assurance dans un futur proche où les potentats de Bruxelles ont annoncé leurs intentions d’accroître encore leurs exigences.
La phase suivante est déjà programmée.
Quand l’euro digital sera en place, chaque Européen devra respecter son quota de CO² faute de quoi la punition, en plus de la prune, ira jusqu’au blocage de ses comptes bancaires.
Et des amendes supplémentaires pour les rouvrir.
Tant que les peuples ne se révolteront pas, pourquoi se priver ?
Au plan économique et social, c’est une aberration
Le règlement CAFE acronyme de Corporate Average Fuel Economy a porté le maximum – provisoire – de CO2/km à 93,6 grammes.
Quand une cylindrée modeste comme la Clio basique en émet 120.
Au-delà du chiffre magique de 93,6, une amende de 50 à 60.000 euros sera appliquée pour chaque gramme excédentaire.
Soit 12.700 euros HT pour ta Clio de riche.
Tu passes à la caisse ou tu vas à la casse selon tes moyens !
Mais achtung mein führer !
Une savante péréquation permet d’adapter les barèmes punitifs à chaque constructeur, selon des critères arbitraires qui nous échappent. Ainsi, Audi, BMW, Mercedes, Opel, Porsche et Volkswagen bénéficieront de taux préférentiels et de dérogations.
– Ya das ist gut ! Danke frau Pustula !
– Ya, ya, on fa fou dresser gochons de vranzais !
Enfin, pour ne pas avoir l’air de trop favoriser les Boches, la Grosse Commission a déféqué un texte validant les dispositions Francistanaises sur les voitures de collection, moins pourchassées que les autres.
Ce régime de terrorisme automobile a permis à Tesla d’empocher 11 milliards de dollars depuis 2009, suivant une croissance quasi exponentielle.
Atteignant 1,8 milliard en 2023 et 2,7 en 2024.
Les prévisions les plus réalistes avancent plus de 3 milliards en 2025.
En ce début d’année, Elon a déjà fourgué à ses concurrents pour 428 millions de dollars de crédits d’autorisation d’émissions de CO2.
Et ce n’est qu’un début.
Puisque d’ici 2035, il ne devrait plus y avoir de nouvelles voitures thermiques sur le marché.
Dix ans, c’est vite passé.
Espérons qu’Elon continuera à faire bon usage de sa fortune en sapant l’autorité des cenSSeurs, et en contrant les dictateurs de poche de l’Eurocrature.
De leur côté, les autocrates francarabiques collabos dans l’âme, renforcent les odieuses réglementations européistes.
En interdisant aux « gens d’en bas qui ne sont rien » d’accéder aux centres-villes, et en les empêchant de se rendre à leur boulot, pour les obliger à acheter de l’électrique.
Ou s’ils n’ont pas les moyens, en les forçant à utiliser les transports en commun.
Là où il y en a. Et où ils ne sont pas des coupe-gorge.
Et s’ils dépriment, on en fera des assistés. Les oligarques les adorent.
Pour une aumône, ils tendent la sébile sans se révolter.
Ces diktats protègent les Boches et favorisent la concurrence étrangère, tout particulièrement chinoise.
Les eurotocrates marchent complètement à côté de leurs pompes.
D’un côté, il y a les prédicateurs écolo-gauchistes, idéologues bornés, crétins psychorigides, et déchets sociaux qui trouvent une compensation à la médiocrité de leur pauvre vie en emmerdant les autres. Avec pour alibi, le noble objectif de sauver la planète qui n’a rien demandé.
Et d’un autre côté, on trouve des technocrates complètement hors-sol, ignorant les lois de l’offre et de la demande, qui s’imaginent que les décisions d’achat des consommateurs peuvent être fixées dans l’anonymat feutré de leurs bureaux capitonnés.
Et impulsées par des restrictions, des menaces et des punitions, comme dans l’ex-URSS et aujourd’hui encore en Corée du Nord.
Les règles absurdes du IVe Reich conduisent à faire subventionner par leurs concurrents Tesla et les constructeurs chinois, pour éviter le racket des écolos.
Mais en plus, la jungle des règlements impitoyables sur les véhicules thermiques se montre scandaleusement laxiste avec les autos électriques.
Sur le plan des garanties des constructeurs, châssis et batteries, nib.
Et au niveau de la sécurité routière, nada.
Le tas de ferraille qu’on te vend à prix d’or pourra quand même te servir de cercueil.
Comment des ingénieurs peuvent-ils se soumettre aux caprices d’une mongolienne illettrée qui voit le CO2 et le reconnaît à l’odeur ?
Très peu de voix dans la communauté scientifique s’insurgent contre les diktats de la Kommandantur, qui ne reposent sur aucune base sérieuse.
Ont-ils peur ou ont-ils été achetés ?
Partant de l’idée fausse que le CO² serait dangereux, les oppresseurs ont décidé d’en réduire l’émission pour les voitures.
Comme ils essaient d’empêcher les vaches de péter en mêlant à leur alimentation des additifs chimiques dont on ignore la nocivité sur la santé des consommateurs.
En attendant, sur une décision de Macronescu qui a l’air de s’y connaître, on enfoncera des plugs dans le cul des bovidés.
Le dioxyde carbone n’est pas un poison
Bien au contraire, il est indispensable à la vie !
C’est l’aliment de base des plantes. Avec l’eau et le rayonnement solaire.
Sans CO2 il n’y aurait pas de plantes et une grande partie de l’atmosphère que nous respirons ne se renouvellerait plus.
D’ailleurs, si la concentration de CO2 dans l’atmosphère a légèrement augmenté au cours du siècle dernier, aujourd’hui le niveau est stable.
Au temps des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million) soit 25 fois la concentration actuelle.
Ce fut pourtant l’époque d’une flore et d’une faune géantes d’une extraordinaire diversité.
Ce n’est pas un hasard si des agriculteurs en serres y injectent trois fois plus de CO2 qu’il n’y en a dans l’atmosphère.
Résultat observable : les plantes poussent plus vite, elles résistent mieux aux maladies et aux insectes, leurs fruits sont plus gros, et grâce à une photosynthèse plus efficace, elles consomment moins d’eau.
Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l’ordre de 400 ppm, conduirait inexorablement à l’extinction d’une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s’en nourrissent.
Avec à l’horizon 2100 la famine pour la plupart des humains.
Malgré le véganisme prôné par des réchauffards herbivores à la mine de papier mâché.
Par Christian Navis
Source : https://climatorealist.blogspot.com/
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