mercredi 29 janvier 2025

LES EUROCRATES ONT MANGÉ LEUR PAIN BLANC ! TRUMP PRIVILIGIE LES DISCUTIONS AVEC LES ÉTATS MEMBRES.........

 LU , VU ET ENTENDU !

Front Populaire-Politico : Trump privilégie les discussions bilatérales avec les États membres et lâche l’état-major de l’UE… 

Les eurocrates ont mangé leur pain blanc !

Donald Trump et Marco Rubio, lors d’un meeting de campagne au J.S. Dorton Arena, le 4 novembre 2024, à Raleigh, en Caroline du Nord.©Evan Vucci/AP/SIPA


Par Front Populaire, La Rédaction. 

LE COMMENTAIRE DE JSF – 

 

Cet article, signé de La Rédaction, est paru hier, mardi 28 janvier. 

Inquiétude donc, une de plus, au sein de l’UE.

On suppute, on feint de croire, que l’élection de Donald Trump et son agressivité envers l’Europe, pourtant déjà largement vassale des États-Unis, l’auront réveillée.

 En réalité, ce n’est qu’un élément de plus, et d’importance, qui vient s’ajouter au vent de contestation intra-européen qui s’est peu à peu levé contre les institutions de Bruxelles, faussement appelées « l’Europe » : certains s’y opposent frontalement (comme la Hongrie), d’autres les ignorent si besoin est.

 Un concert de contestations souffle désormais sur elles, et les colères se lèvent de toutes parts. 

Il n’y aura pas de réveil de la technostructure bruxelloise.

 Viendra-t-il des nations ?

 Il serait stupide que la France ne suive pas la dynamique libératoire en cours et qu’elle ne développe pas une politique européenne active, dans un contexte – y compris la « panne » ’allemande – qui lui ouvre de nouvelles et importantes possibilités, au sein de la véritable Europe, celle des États.

 Il faut avoir lu Bainville et Maurras, notamment Kiel et Tanger, bien sûr.

 Mais au prisme des réalités d’aujourd’hui.  

 

Selon Politico, l’administration Trump ferait bien peu de cas de l’état-major européen, à commencer par Ursula von der Leyen. 

Le président américain privilégie des négociations et discussions bilatérales avec les dirigeants des pays de l’UE. Au grand dam de l’eurocratie.

On l’a compris, le mandat de Donald Trump ne sera pas marqué par une grande entente entre les États-Unis et l’Union européenne, contrairement à l’ère Biden, où les européistes prenaient un malin plaisir à suivre les traces du maitre. 

Selon le média Politico, le président américain privilégie les relations bilatérales. Il n’a d’ailleurs invité aucun des principaux représentants de l’UE lors de son investiture le 20 janvier dernier. 

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, la cheffe de la dipliomatie européenne, Kaja Kallas, ou encore le président du Conseil européen, António Costa, ont été laissés sur la touche. 

Donald Trump a préféré inviter la présidente du Conseil des ministres d’Italie, Giorgia Meloni. 

 Autant dire que c’est un véritable camouflet pour l’establishement européiste.

Kaja Kallas n’a pas caché lundi que Bruxelles avait envoyé une invitation ouverte au secrétaire d’État américain Marco Rubio pour qu’il assiste à une réunion régulière des ministres des Affaires étrangères de l’UE, demande ignorée par l’intéressé. 

Elle a déclaré aux journalistes qu’elle lui avait demandé de venir « pour expliquer le point de vue des États-Unis », qui comprend désormais la volonté de prise de contrôle du Groenland.

 Elle a également souligné qu’elle était « disposée à se rendre à Washington dès que possible ».

Selon Politico, c’est moins l’absence de Marco Rubio à cette réunion que le mutisme du secrétaire d’Etat qui interroge et inquiète Bruxelles. 

Certains estiment que l’administration Trump souhaite exclure délibérément l’état-major de l’UE au profit des dirigeants des États membres afin de diviser le continent et d’y régner en maitre. 

Pour le moment, Marco Rubio est déjà activement en contact avec les ministres des Affaires étrangères de Pologne, d’Italie, de Lituanie et de Lettonie, et Donald Trump lui-même a déjà discuté de la question du Groenland directement avec la Première ministre danoise Mette Frederiksen.   

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