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Le scoop de l’année : Sarah Knafo, agent du Mossad coachée par Attali
Notre ami Jean-Yves Le Gallou, fondateur des inimitables Bobards d’Or, aurait de quoi, si les auteurs n’étaient pas d’illustres inconnus, avoir de sérieux clients pour sa prochaine édition.
Lequel d’entre nous n’a pas entendu, lors de la candidature d’Eric Zemmour à la présidentielle 2022, des sous-entendus surprenants, pour ne pas dire révoltants.
Selon les uns, le président de Reconquête aurait été l’homme des mondialistes et donc de Macron, mais aussi du « juif » Bolloré – c’est ainsi que Vincent est appelé dans certains milieux – pour diviser le camp patriote, affaiblir Marine Le Pen et permettre la victoire d’Emmanuel Macron.
Le fait qu’Eric Zemmour ait été la seule cible du système pendant toute la campagne et que Marine Le Pen ait été totalement préservée n’a pas ébranlé le discours conspirationniste de personnages qu’on retrouvait souvent dans la mouvance patriote.
On a aussi entendu pis que pendre sur les origines du président de Reconquête, mais aussi sur celles de Sarah Knafo, pour voir derrière la candidature d’Eric, impulsée par sa compagne, la patte du Mossad, d’Israël et du complot juif mondial.
Qui n’a pas entendu, dans des réunions patriotes, cette hypothèse développée avec beaucoup de conviction par des militants par ailleurs sincères.
Pour être honnête, nous avons connu d’autres patriotes, hostiles à la cause juive tout au long de leurs combats passés, admettre avoir été séduits par le discours patriotique de Reconquête, et avoir voté pour le candidat.
Mais le moins qu’on puisse dire est qu’Eric Zemmour et Sarah Knafo ne sont pas ménagés par les élites juives et par les Juifs de gauche.
Personne n’a oublié la multitude de procès intentés par la Licra et l’UEJF, ni les calomnies du rabbin Korsia et du Crif, interdisant carrément aux Juifs de voter pour un homme qui osait déranger la version officielle sur Vichy.
Que dire de la haine de BHL, qui transpire dans cette vidéo où Eric l’accuse, avec justesse, d’alimenter l’antisémitisme par sa morgue et son mépris de la France.
À présent que, suite à une répartition des rôles entre eux, qu’Eric Zemmour a expliqué, lors de sa dernière invitation chez Pascal Praud, c’est plutôt Sarah Knafo qui est en avant dans les médias.
Disons-le, elle crève l’écran à chacune de ses apparitions, ce qui, naturellement, exaspère ceux qui voient à travers elle une personne de la communauté juive plutôt qu’une Française patriote, voire nationaliste, qui tient exactement le même discours que son compagnon sur ses trois combats essentiels, l’invasion migratoire, l’islamisation de la France et le racket fiscal.
Alors comment faire pour détruire une image qui progresse dans l’opinion ?
Bien évidemment, Sarah étant une belle femme qui a eu une vie avant de rencontrer Eric Zemmour, quelques vantards pathologiques prétendent l’avoir séduite avant Eric, ce qui ne passionne pas les foules, et les rend encore plus minables.
Mais une autre rumeur bruisse dans les réseaux sociaux, qui n’est pas faite pour la rendre encore plus sympathique, mais au contraire pour semer le trouble.
Sous le prétexte que Sarah Knafo aurait rencontré Jacques Attali lorsqu’elle préparait de grands concours, on suppute qu’elle serait coachée par le même conseiller occulte, par ailleurs juif, lui aussi, et que, ajoutée au juif Soros, la compagne d’Eric Zemmour ne serait qu’un instrument des mondialistes sionistes pour mettre la main sur la France.
Rumeur bis
Pourtant, quand on se rappelle cet échange mémorable où Eric Zemmour avait été sublime face à Jacques Attali tenant un discours immigrationniste et mondialiste suffisant et arrogant, on mesure l’océan qui sépare ces deux personnes, par ailleurs juives.
Faut-il rappeler qu’en Israël – où Eric Zemmour est arrivé en tête lors du vote des Français de l’étranger – il y a Netanyahou, mais aussi toute une gauche pro-palestinienne.
Il suffit également d’écouter les merveilleuses répliques de Sarah Knafo sur différents plateaux de télévision où elle est de plus en plus souvent invitée, et où elle fait progresser les audiences, comme le faisait son compagnon à chacune de ses apparitions.
C’est aux antipodes des discours des élites mondialisées, dont Attali est une caricature.
Il suffit d’écouter encore une fois ce socialiste comparer la France à un hôtel, où tout le monde descend quand il le veut, et repart quand il le souhaite, pour mesurer qu’il n’y a vraiment rien de commun entre la vision du monde de l’insupportable et suffisant conseiller politique et celle de Sarah Knafo et Eric Zemmour.
D’autres expliquent leur connivence supposée par leur vision, qui serait commune parce que tous deux juifs, du conflit israélo-palestinien, après le 7 octobre 2023.
Là encore, grosse erreur.
Reconquête soutient sans réserve Benjamin Netanyahou et la politique israélienne à Gaza et en Judée-Samarie.
Eric s’est déplacé dès le lendemain des crimes du Hamas, quand il s’agissait d’amener son soutien à une population meurtrie.
Or, que dit le soumis Attali ?
Comme tous les gauchistes, il accuse le Premier ministre israélien d’être responsable des événements, et surtout réclame la création d’un Etat palestinien, solution récusée par Sarah Knafo et Eric Zemmour, quand ils sont sur les plateaux de télévision.
À juste titre, Reconquête a compris qu’Israël, la France et les pays européens étaient confrontés au même ennemi, les islamistes, au profil semblable, qu’ils évoluent à Gaza ou dans le 93.
Et bien sûr, ils en tirent les conclusions qui s’imposent, et proposent les solutions politiques à la hauteur des enjeux, en France.
Tout le contraire d’un Attali qui veut toujours plus d’immigration dans notre pays, méprise les Français qui s’y opposent, et raconte que l’islam a toujours fait partie de la culture européenne, quand Eric et Sarah disent que c’est incompatible avec la France.
Que dire de la victoire de Donald Trump, que Reconquête a été le seul parti à soutenir totalement, en France, si ce n’est que le programme du nouveau président est proche des thèses développées par Eric Zemmour et Sarah Knafo, mais aux antipodes des souhaits d’Attali et des hommes de Davos, qui avaient tout misé sur Kamala Harris et une société wokiste ouverte à tous vents à l’immigration, en attisant par ailleurs la guerre en Ukraine et voulant imposer à Israël un Etat palestinien.
Par ailleurs, nous pensons Sarah Knafo comme Eric Zemmour suffisamment intelligents, fins et subtils pour être capables de rencontrer Jacques Attali et d’échanger librement sur la situation politique française, européenne et mondiale, après la victoire de Donald Trump.
Discuter, voire déjeuner avec un adversaire politique, voire même un ennemi, n’est pas une trahison, mais la preuve d’une grande maturité.
Ne soyons pas candides, tout le monde parle avec tout le monde dans ce milieu, même si parfois certaines rencontres doivent demeurer secrètes.
Mais ceux qui véhiculent que Sarah, et donc Eric, pourraient être « coachés » par Attali, comme s’ils avaient besoin de lui pour déterminer leur ligne, sont au mieux des imbéciles, s’ils y croient sincèrement, au pire des malveillants prêts à tout pour briser Reconquête.
Et dans ce registre, il ne manque pas de volontaires sur l’ensemble de l’échiquier politique…
Source : https://ripostelaique.com
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