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MÉLENCHON VEUT (AUSSI) DÉTRUIRE NOTRE LANGUE !
Français né au Maroc, notre Robespierre au petit pied (l’original en a perdu la tête !) vient d’annoncer haut et fort son nouveau cheval de bataille : la destruction de la langue française !
Ce n’est pas surprenant : il prend systématiquement parti contre tout ce qui est contraire aux intérêts de la France, et souvent en dépit de tout bon sens…
En premier lieu, évidemment, l’immigration (« une chance pour la France… que deviendrions nous sans ces travailleurs étrangers, nous, Français si paresseux » ?).
Il sait pourtant parfois se souvenir – rarement mais opportunément et quand ça l’arrange -, de ce qui est français (« la République, c’est moi ! »).
Écoutez-le, via son groupe parlementaire LFI, soutenir frénétiquement tout ce qui peut nuire aux intérêts de notre patrie ! Fût-ce dans l’expression, lui et beaucoup de ses sbires ne prononçant plus le nom de la « France », mais « C’PAYS ».
La FRANCE, en effet est un mot qui en écorche plus d’un dans les rangs de l’extrême gauche !
Le pauvre ne se sent pas bien au milieu des Blancs ; il en fait des malaises : « je ne peux pas survivre quand il n’y a que des Blancs aux yeux bleus… c’est au-delà de mes forces »… (propos tenus sur Hit Radio, radio marocaine).
Dans sa recherche éperdue de laisser son nom dans l’Histoire, il rêve d’instaurer une VI° République (rien que ça !), et de succéder ainsi au général de Gaulle, fût-ce en détruisant son pays.
Son dernier combat : s’attaquer à la langue française !
LE CRÉOLE, arme de destruction massive !
Fidèle à ses engagements trotskystes soixante-huitards, ce révolutionnaire de pacotille s’attaque aux fondements mêmes de ce qu’il veut détruire : la France.
La langue participe effectivement de la structure profonde d’une civilisation.
Détruire une langue, c’est faire vaciller un pays sur ses bases, peut-être plus sûrement encore qu’une hypothétique victoire électorale…
Cette attitude n’est pas franchement une surprise.
La langue française est issue d’origines grecques et latines.
Elle a intégré aussi (et elle continue d’intégrer) des compléments d’autres origines culturelles (anglo-saxonnes notamment).
Mais elle n’en est pas
moins « française » et française elle restera.
L’Académie Française est née sous Richelieu.
Elle restera française à l’avenir et ne deviendra pas « Académie Créole » ou « Académie du Volapük » ni même encore « Académie de Francarabie » !
N’écoutez pas cet illuminé destructeur cherchant à supprimer notre langue française par une hypothétique créolisation, terme existant et adapté à la culture métissée entre Afrique, Europe et Dom-Tom.
Le véritable objectif de Mélenchon est de déstabiliser la France, ce pays qu’il hait, pour en ramasser les morceaux, quel que soit son état, et si possible le pire.
Un vrai patriote aurait pu choisir d’autres combats, lesquels ne manquent pourtant pas : la lutte contre la délinquance juvénile et contre l’insécurité, la recherche de nouveaux équilibres économiques, financiers et budgétaires, une meilleure gestion de l’État, etc…
Ses armes contre la France…
– Son arme de prédilection : les élections !
– Ses méthodes ?
=>
Passer des accords électoraux avec des partis politiques assez naïfs,
pour tenter de récolter un maximum de sièges par le jeu des
désistements, combinaisons autorisées par le système électoral.
=>
Soutenir aveuglément et démagogiquement tout ce qui contribue à
aggraver les déséquilibres financiers en s’opposant frénétiquement à
toute recherche d’orthodoxie.
Son objectif final ?
–
Séduire les proies faciles, notamment dans les milieux populaires et
d’origine immigrée, tenter de les rendre haineux de leur pays d’accueil.
Seule contrainte, il faut qu’ils aient le droit de vote, mais peu importe, le travail de sape se répand lentement dans ces milieux populaires, d’où sa volonté de fédérer les partis dits « de gauche » et écologistes.
Mélenchon applique en fait soigneusement ce qu’il a appris au sein de l’OCI (Organisation Communiste Internationaliste), dans les années 70 aux côtés des « lambertistes ».
Le lambertisme enseignait et vulgarisait les modes de prise de pouvoir développés par Trotski, et notamment l’ « entrisme », c’est-à-dire l’infiltration dans toutes les sources informatives et décisionnaires (l’éducation, la presse et l’information, les syndicats, les entreprises…).
Ces sources de pouvoir ont bel et bien subi cette infiltration destructive malsaine depuis mai 68 ; il ne restait plus qu’à s’attaquer à la langue !
Un dernier point…
L’homme étant classé comme « mammifère de l’ordre des primates, doué de langage et de raison »,
si on évacue ces deux dernières qualités, ça laisse encore à Mélenchon
une vaste zone de prospection chez les primates résiduels !
Par Marc Le Stahler

