jeudi 3 juillet 2025

MÉLENCHON VEUT AUSSI DÉTRUIRE LA LANGUE FRANÇAISE ! ( MARC LE STAHLER )

 

Français né au Maroc, notre Robespierre au petit pied (l’original en a perdu la tête !) vient d’annoncer haut et fort son nouveau cheval de bataille : la destruction de la langue française !

Ce n’est pas surprenant : il prend systématiquement parti contre tout ce qui est contraire aux intérêts de la France, et souvent en dépit de tout bon sens…

En premier lieu, évidemment, l’immigration (« une chance pour la France… que deviendrions nous sans ces travailleurs étrangers, nous, Français si paresseux » ?). 

Il sait pourtant parfois se souvenir – rarement mais  opportunément et quand ça l’arrange -, de ce qui est français (« la République, c’est moi ! »).

Écoutez-le, via son groupe parlementaire LFI, soutenir frénétiquement tout ce qui peut nuire aux intérêts de notre patrie ! Fût-ce dans l’expression, lui et beaucoup de ses sbires ne prononçant plus le nom de la « France », mais « C’PAYS ». 


La FRANCE, en effet est un mot qui en écorche plus d’un dans les rangs de l’extrême  gauche !  

Le pauvre ne se sent pas bien au milieu des Blancs ; il en fait des malaises : « je ne peux pas survivre quand il n’y a que des Blancs aux yeux bleus… c’est au-delà de mes forces »… (propos tenus sur Hit Radio, radio marocaine).

Dans sa recherche éperdue de laisser son nom dans l’Histoire, il rêve d’instaurer une VI° République (rien que ça !), et de succéder ainsi au général de Gaulle, fût-ce en détruisant son pays.

Son dernier combat : s’attaquer à la langue française ! 

Fidèle à ses engagements trotskystes soixante-huitards, ce révolutionnaire de pacotille s’attaque aux fondements mêmes de ce qu’il veut détruire : la France.

La langue participe effectivement de la structure profonde d’une civilisation. 

Détruire une langue, c’est faire vaciller un pays sur ses bases, peut-être plus sûrement encore qu’une hypothétique victoire électorale…

Cette attitude n’est pas franchement une surprise.

La langue française est issue d’origines grecques et latines. 

Elle a intégré aussi (et elle continue d’intégrer) des compléments d’autres origines culturelles (anglo-saxonnes notamment).

 Mais elle n’en est pas moins « française » et française elle restera. 

 

L’Académie Française est née sous Richelieu. 

Elle restera française à l’avenir et ne deviendra pas « Académie Créole » ou « Académie du Volapük » ni même encore « Académie de Francarabie » !

 

N’écoutez pas cet illuminé destructeur cherchant à  supprimer notre langue française par une hypothétique créolisation, terme existant et adapté à la culture métissée entre Afrique, Europe et Dom-Tom.  

Le véritable objectif de Mélenchon est de  déstabiliser la France, ce pays qu’il hait, pour en ramasser les morceaux, quel que soit son état, et si possible le pire.

Un  vrai patriote aurait pu choisir d’autres combats, lesquels ne manquent pourtant pas : la lutte contre la délinquance juvénile et contre l’insécurité, la recherche de nouveaux équilibres économiques, financiers et budgétaires, une meilleure gestion de l’État, etc…

Ses armes contre la France…

– Son arme de prédilection : les élections ! 


– Ses méthodes ? 


=> Passer des accords électoraux avec des partis politiques assez naïfs, pour tenter de récolter un maximum de sièges par le jeu des désistements, combinaisons autorisées par le système électoral. 


=> Soutenir aveuglément et démagogiquement tout ce qui contribue à aggraver les déséquilibres financiers en s’opposant frénétiquement à toute recherche d’orthodoxie.

 

Son objectif final ?

– Séduire les proies faciles, notamment dans les milieux populaires et d’origine immigrée, tenter de les rendre haineux de leur pays d’accueil.

 Seule contrainte, il faut qu’ils aient le droit de vote, mais peu importe, le travail de sape se répand lentement dans ces milieux populaires, d’où sa volonté de fédérer les partis dits « de gauche » et écologistes. 

Mélenchon applique en fait soigneusement ce qu’il a appris au sein de l’OCI (Organisation Communiste Internationaliste), dans les années 70 aux côtés des « lambertistes ».

Le lambertisme enseignait et vulgarisait les modes de prise de pouvoir développés par Trotski, et notamment l’ « entrisme », c’est-à-dire l’infiltration dans toutes les sources informatives et décisionnaires (l’éducation, la presse et l’information, les syndicats, les entreprises…).

Ces sources de pouvoir ont bel et bien subi cette infiltration destructive malsaine depuis mai 68 ; il ne restait plus qu’à s’attaquer à la langue ! 

L’homme étant classé comme « mammifère de l’ordre des primates, doué de langage et de raison », si on évacue ces deux dernières qualités, ça laisse encore à Mélenchon une vaste zone de prospection chez les primates résiduels !

DPE : L' ÉCOLOGIE PUNITIVE EN ACTION ! RETOUR EN ARRIÈRE ? APRÈS LES ÉOLIENNES , LES ZFE , LE DPE ???

 TWITTER :

Canicule : le paradoxe des bâtisses anciennes 
 
Les maisons anciennes sont plus fraîches mais ces bâtisses centenaires qui résistent à la chaleur sont aussi les + sévèrement notées par les normes idéologiques, bête noire du diagnostic de performance énergétique, les murs en pierre deviennent des havres de fraicheur. 
 
Faut il choisir entre écologie technocratique punitive et bon sens?
 

[ÉDITO]

 DPE : en plus d’être punitive, l’écologie est injuste… avec les bâtiments anciens !

On les traite de passoires thermiques.
 Mais c'est le bâti moderne qui, par canicule, devient bouilloire thermique.
DPE Diagnostic de Performance Energétique

 

La canicule se termine. L’heure est au bilan. 

Et, ô surprise, force est de constater que « l’ancien » résiste le plus souvent mieux aux fortes chaleurs que les bâtiments modernes.

La mairie de Paris a d’ailleurs indiqué les églises de la capitale comme autant d’îlots de fraîcheur.

 Le député LFI Éric Coquerel a remercié le recteur de la mosquée de Saint-Ouen pour avoir ouvert exceptionnellement son lieu de culte climatisé. 

Il pourrait adresser la même marque de reconnaissance aux prêtres qui laissent ouvertes les leurs toute l’année.

L’inertie de la pierre (par exemple) empêche la chaleur d'entrer trop vite et, quand celle-ci finit par gagner la maison, l’épisode de canicule est généralement passé, chacun peut donc aller se rafraîchir dehors.

 La pierre étant poreuse, elle retient, par ailleurs, une humidité qu'elle restitue par forte chaleur. 

À l’inverse, un enseignant, dans Le Monde, témoigne : « Je suis actuellement dans ma salle de classe avec quelques élèves de 4e.

 Il fait déjà très chaud. 

Une chose m'inquiète, le collège est neuf... 

Il a été imaginé avec de grandes baies vitrées et l'air ne circule pas dans le bâtiment. Il faut vraiment se poser la question du bâti scolaire dans les années à venir ! » 

 Les lycées napoléoniens ne souffrent pas, eux, des mêmes inconvénients.

On découvre aussi que la gare de Nantes, inaugurée en 2020, au prix de plus d’une centaine de millions, a des vitres partout… et a été obligée de fermer sa mezzanine.

 Une ville réputée écolo ! On nous bassine depuis des dizaines d’années avec le dérèglement climatique mais on ne l’anticipe pas. 

On fait même moins bien, en la matière, que nos aïeuls. 

Il est vrai qu’un hubris fou nous a conduits à faire table rase de l’expérience passée. 

Avec les résultats que l’on voit.

 Des grands-parents témoignent : leurs enfants, jeunes parents, ont quitté leur appartement ultramoderne classement DPE A pour trouver refuge et relative fraîcheur avec leurs bébés dans la maison familiale plus que centenaire dont le DPE n’a jamais été évalué mais dont tout porte à croire, eu égard aux critères, qu’il serait très mauvais.

 

Injustice

Car l’énorme injustice est là : on accuse ces vieilles maisons d’être des passoires thermiques quand, l’été, elles sont souvent les seules à ne pas se muer en bouilloires du même nom.

Le bâti ancien - qui n’est pas exonéré, sauf à être classé bâtiment historique - est « globalement dévalorisé » par la méthode de calcul du diagnostic de performance énergétique (DPE) actuel, comme on peut le lire dans la proposition de loi de deux sénateurs, votée en mars dernier, et aujourd’hui en attente à l’Assemblée. 

Deux tiers des logements anciens, c’est-à-dire construits avant 1948, sont classés E, F ou G au titre du DPE.

 Sept millions de logements anciens sont étiquetés passoires thermiques et, donc, condamnés à une décote en cas de vente et à l'interdiction progressive de leur mise en location.

À titre de comparaison, plus de deux tiers des logements construits après 2013 sont classés B ou C. 

Le DPE, avec ses préconisations de travaux, peut d’ailleurs tourner au fiasco : mettre du polystyrène pour isoler le torchis, par exemple, est sur le plan hygrométrique catastrophique, comme le souligne auprès de BV le sénateur PS de Moselle Michaël Weber, l'un des porteurs du projet de loi. 

Oui, le DPE, en plus de grever le marché immobilier et ruiner les propriétaires, met en danger le patrimoine français.

 

Après les ZFE et les éoliennes... les DPE

Le diagnostic de performance énergétique existe depuis fin 2006.

 Il a été rendu obligatoire pas la loi pour accompagner toutes les transactions immobilières, d’abord pour les ventes, puis pour les locations.

 Ce DPE est issu d'une directive européenne.

Depuis 2011, les annonces immobilières doivent afficher le diagnostic dès la mise en vente.

 Avec la loi Climat et Résilience de 2021, le DPE est devenu opposable, c’est-à-dire que l’acheteur ou le locataire peut attaquer le vendeur ou le bailleur en justice si le DPE est erroné. 

Année après année - G,F,E… -, on remonte l’alphabet à l’envers : plus le temps passe, plus les critères pour qu’un bien soit louable se durcissent.

 

Pour Alexandre Jardin, ces DPE sont une « catastrophe sociale »

 C’est son nouveau cheval - ou zèbre… - de bataille, après les ZFE et les éoliennes : la Trinité, en somme, de l’écologie punitive érigée en dogme de foi.

 Si, au moins, celle-ci était efficace. 

Mais elle est d’une bêtise crasse.

 
Picture of Gabrielle Cluzel
Par Gabrielle Cluzel
Directrice de la rédaction de BV, éditorialiste 
 

DONALD TRUMP EN VISITE AU CENTRE DE DÉTENTION ET D' EXPULSION D' ALCATRAZ !


QUAND ON VEUT , ON PEUT .....

 

TRIBUNE LIBRE

Trump visite l’Alligator Alcatraz : le nouveau centre de détention entouré de 30 000 alligators

dans Etats-Unis / International

  par 2 juillet 2025 

Trump visite l'Alligator Alcatraz : le centre de détention entouré de 30 000 alligators.

Le tout nouveau centre de détention et d’expulsion d’immigrants illégaux a ouvert ses portes au cœur des Everglades de Floride, le 1er juillet.

Il s’agit d’un ensemble de bâtiments temporaires, suffisamment grand pour accueillir jusqu’à 3 000 immigrants illégaux et 1 000 gardiens et employés, qui se dresse désormais à proximité d’une piste d’atterrissage de 3 100 mètres de long et 45 mètres de large.

 L’installation a été financée en grande partie par le Département de la Sécurité intérieure.

« Pensez à ce que vous avez ici », a déclaré le gouverneur de Floride Ron DeSantis lors d’une table ronde organisée à l’occasion de l’inauguration du centre le 1er juillet. 

« Ils arrivent ici, l’administration confirme qu’ils ont déjà reçu un ordre d’expulsion. 

Nous les conduisons à 600 mètres de la piste, et ils s’envolent. »

« C’est un guichet unique, et cet aéroport, implanté depuis longtemps, est l’endroit idéal et sécurisé. Cela va faire toute la différence. »

 

centre de détention et d'expulsion d'immigrants illégaux

 

Etat d’urgence concernant l’immigration illégale

Le président Donald Trump a visité « l’Alligator Alcatraz » qui a été inauguré sur le site de l’aéroport d’entraînement et de transition Dade-Collier à Ochopee, en Floride, le 1er juillet 2025. 

Le site est situé dans un marécage isolé, peuplé d’alligators, de crocodiles et de pythons, ce qui lui vaut d’être comparé à la tristement célèbre prison d’Alcatraz en raison de l’impossibilité de s’en évader.

Kevin Guthrie, directeur exécutif de la Division de gestion des urgences de Floride, a célébré l’ouverture comme un autre exemple de « l’expertise logistique » de la Floride pour répondre rapidement à une urgence, en adaptant ce qu’ils ont appris de la reconstruction des infrastructures après les ouragans.

DeSantis a déclaré l’état d’urgence concernant l’immigration illégale, accordant à Kevin Guthrie des pouvoirs exceptionnels pour reprendre en main l’aérodrome du comté de Miami-Dade et lancer la construction.

« Plus de 13 fournisseurs différents se sont mobilisés pour résoudre ce problème en huit jours. 

Il s’agit d’un véritable partenariat avec l’ensemble du secteur privé », a déclaré Guthrie lors de la table ronde. 

« Grâce à vous, au sein de ces conseils, nous avons construit en seulement huit jours un centre de détention entièrement conforme aux normes, pouvant accueillir jusqu’à 3 000 personnes, avec la possibilité d’ajouter des capacités supplémentaires. 

 Si vous nous le demandez, le centre comprend plus de 14 000 mètres carrés de logements. 

Sa structure entièrement en aluminium est conçue pour résister à des vents de 177 km/h, soit une catégorie 2 haut de gamme. »

L’établissement est également équipé d’un village du personnel, de systèmes d’alimentation électrique redondants, de la climatisation, de la capacité de servir trois repas chauds par jour, d’un centre médical ouvert 24h/24 et 7j/7, d’une pharmacie, d’une blanchisserie, d’un soutien juridique et religieux et d’espaces de loisirs.

 

Barrière naturelle

Surnommé « Alligator Alcatraz », le complexe est situé près de l’autoroute 41, à plus de 80 km à l’ouest du centre-ville de Miami, entouré de plus de 8 500 mètres de barbelés et à plus de 16 km des Everglades. 

Il compte plus de 400 agents de sécurité, dont 200 hommes et femmes de la Garde nationale de Floride sous le commandement du major-général John Haas, et dispose de plus de 200 caméras de surveillance.

Le procureur général de Floride, James Uthmeier, l’a appelé « Alligator Alcatraz » en raison de sa barrière naturelle. 

Si l’Alcatraz de San Francisco est une véritable île, sa version floridienne sera une île asphaltée entourée d’un marais grouillant d’alligators américains et d’autres animaux dangereux.

Officiellement connu sous le nom d’aéroport de formation et de transition Dade-Collier, le site a été construit au début des années 1970 dans les limites de la réserve nationale de Big Cypress.

 

Selon le Service des parcs nationaux, cette réserve abrite environ 30 000 alligators.

 On y trouve également une population de crocodiles américains, des pythons birmans invasifs – connus pour se nourrir d’alligators –, des serpents venimeux indigènes tels que le crotale pygmée crépusculaire , le crotale diamantin de l’Est, le serpent corail et le mocassin de Floride, ainsi que plus de 30 panthères de Floride répertoriées. 

On y trouve également des plantes, des araignées, des moustiques et d’autres insectes vénéneux.

« L’idée de rouvrir l’Alcatraz original nous plaît », a déclaré Uthmeier. 

« Je ne sais pas si c’est possible, mais on s’est dit : « On a notre propre Alcatraz naturel au milieu des Everglades, avec une superbe piste d’atterrissage et un périmètre magnifique. 

Alors, faisons en sorte que ça se réalise. » »

 

« Mieux vaut que les immigrés illégaux choisissent de rentrer volontairement chez eux »

Ils ont également été rejoints par la secrétaire à la Sécurité intérieure, Kristi Noem, qui, en plus de saluer le travail de la Floride, a exhorté les immigrants illégaux à utiliser l’application Home App des douanes et de la protection des frontières pour choisir de rentrer chez eux aux frais du gouvernement fédéral.

DeSantis a confirmé l’offre de Noem.

« Pourquoi vouloir passer par Alligator Alcatraz si on peut rentrer chez soi tout seul ? » a-t-il demandé. « 

Je pense que beaucoup de gens vont prendre cette décision. »

La Floride a ouvrir un second centre de détention pour immigrés illégaux, le Sunshine State, qui ambitionne de pouvoir détenir 5 000 ressortissants étrangers en voie d’expulsion.

Par Pierre-Alain Depauw

 

Source :   https://www.medias-presse.info/trump


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Une petite place ?



POLITIQUE : LA GAUCHE EN MODE PANIQUE .. ...ILS SAVENT QU'LS VONT ÉCHOUER !


Chronique de l’échec annoncé : la gauche, cette tragédie en trois actes

À lire Mediapart, on croirait entendre un dramaturge de province se lamenter dans un théâtre vide : « Tous les rôles sont distribués, mais aucun acteur ne veut monter sur scène.  

» Le papier que l’organe de plénitude morale vient de consacrer à la « primaire de la gauche » est un pur chef-d’œuvre de shadenfreude inversée, tant la plainte y prend le pas sur le constat, et tant l’amertume s’y mêle à l’aveuglement.

 

À Bagneux, ce mercredi 2 juillet, l’événement devait être « historique ». 

Ce fut un enterrement sans cercueil. 

L’espace Léo-Ferré, ô ironie, a accueilli une procession de chefs de groupuscules à la dérive, chacun bardé de certitudes, tous assis dans l’attente d’une union qui ne vient jamais. 

Pas de LFI. Pas de communistes. 

Pas même les lyriques centristes de Place publique. 

Sans journalistes, écrit le propre plumitif de Mediapart, « la salle aurait été bien vide ».

 Le propos est cruellement juste, et le journaliste n’a même pas la lucidité de le remarquer.

Lucie Castets, telle une prêtresse de pacotille, ressuscite les formules vides d’un Nouveau Front Populaire déjà exsangue, en posant pour la photo comme on enterre une illusion.

 Tout est là : la mise en scène à défaut de pouvoir, la convocation de la société civile comme substitut à la souveraineté populaire, et ce goût maladif de la gauche contemporaine pour les cercles, les collectifs, les tables rondes, c’est-à-dire les labyrinthes sans centre.

 

Car derrière les grands mots, « dynamique », « citoyenneté », « explosion de progressisme », il n’y a rien. 

Ou plutôt, il y a Sandrine Rousseau, en gilet de jogging mental, nous promettant une primaire « cérémonie d’ouverture des JO ». 

On ne sait si l’on doit rire ou pleurer. 

 On se souvient du ridicule des comités antilibéraux de 2006, et l’on voit les mêmes, vingt ans plus tard, reproduire les mêmes figures, avec la même impuissance, les mêmes « alertes », les mêmes formules d’auto-encouragement. 

« Il faut faire mieux la prochaine fois », souffle un vieux militant. 

C’est un aveu : ils savent qu’ils vont échouer, mais préfèrent le faire ensemble.

Mediapart, dans tout cela, gémit comme une nourrice délaissée, assistant, impuissante, à la désunion de ses enfants.

 Il n’y a plus de programme, plus d’incarnation, plus d’élan. 

Il ne reste que la convocation de l’exemple new-yorkais d’un Zohran Mamdani, qui n’a strictement aucun équivalent en France, mais qui sert de caution exotique à une gauche qui ne sait plus regarder son propre peuple. 

Car telle est la vérité nue : la gauche actuelle hait le pays réel.

 Elle hait ses prudences, ses traditions, son ancrage.

 Elle hait les provinces, les terroirs, les classes moyennes. 

Elle rêve de minorités agissantes, de transidentités mobilisables, de citoyennetés sans frontières.

 Et pendant ce temps, la France gronde.

Dans ce désert politique, les figures de proue, Mélenchon et Glucksmann, rivalisent de morgue. 

L’un décrète la rupture, l’autre la dépasse. 

Ni l’un ni l’autre ne veut de cette union dont ils savent qu’elle signifierait leur propre dilution.

 L’un, prophète en robe de bure, fuit tout compromis.

 L’autre, cravaté comme un premier de la classe, rêve d’un PS moral, pro-européen, sans fureur ni saveur. Entre les deux, un espace se réduit comme peau de chagrin. 

 Il n’y a plus d’utopie, seulement une petite combinazione, une tambouille à l’ancienne, servie avec les trémolos d’antan.

Alors que faire ? Médire, à défaut de pouvoir unir. Reprocher au PCF de ne pas s’asseoir à la table. 

Reprocher à LFI de ne pas signer la charte.

 Reprocher à Glucksmann de s’être cru capable d’exister seul.

 On voit défiler les noms comme autant de héros fatigués d’un théâtre sans public : Tondelier, Ruffin, Autain, Faure. 

Tous veulent incarner, mais aucun ne porte.

 Tous veulent parler « au pays », mais aucun ne vit dans ses entrailles.

 

Et Mediapart, fidèle à sa vocation de greffier de la vertu, continue de chroniquer cette décomposition comme on consigne les symptômes d’un corps malade, sans jamais nommer le mal. 

Le réel leur échappe, et c’est tant mieux.

 Car c’est précisément cette gauche-là, moraliste, stérile, narcissique, qui nourrit depuis trente ans la montée de l’autre camp.

 Ils croient à une dynamique, ils inventent une clarté, ils composent des alliances imaginaires. Pendant ce temps, le peuple vote, et il ne les regarde plus.

Par   Balbino Katz — chroniqueur des vents et des marées —

 

[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine





INSÉCURITÉ : LES CAMBRIOLAGES SE MULTIPLIENT ! ENTRE PEUR , RUSE ET SYSTÈME D...........



REVUE DE PRESSE !

Cambriolages estivaux : entre peur, ruses et systèmes D, les Français en alerte à l’approche des vacances

Alors que les congés d’été approchent, une inquiétude tenace hante les esprits : le cambriolage. 

 Près d’un Français sur trois a déjà été victime d’un vol à domicile, et cette menace influence jusqu’à la manière de partir en vacances. 

Entre fausses caméras, pancartes trompeuses et surveillance numérique réduite, les stratégies de dissuasion se multiplient… souvent à défaut de véritables protections.

Une peur profondément ancrée

À l’heure des valises bouclées et des locations estivales réservées, un chiffre glace : 78 % des Français redoutent un cambriolage pendant leur absence selon un sondage Depanneo. 

Cette peur n’est pas théorique. 

Un tiers des Français a déjà subi un cambriolage, dont 13 % durant des vacances. Et près d’un quart d’entre eux (23 %) a déjà écourté ou annulé un séjour par crainte de retrouver son domicile fracturé.

Sans surprise, ceux qui ont déjà vécu ce traumatisme sont les plus affectés : 91 % des victimes passées confient désormais redouter systématiquement de nouvelles intrusions.

 

Maisons plus exposées, villes plus touchées

L’étude souligne que les maisons individuelles sont davantage ciblées que les appartements (32 % contre 28 %). Et les zones urbaines denses restent les plus exposées (40 % de victimes), contre 34 % en périphérie et 24 % en zone rurale.

Ces données recoupent les statistiques officielles de l’INSEE et du SSMSI, qui classent chaque année les villes les plus touchées par les cambriolages (classement disponible dans le rapport complet).

 

Le règne de la fausse sécurité

Face à cette menace, les Français redoublent d’ingéniosité… parfois à défaut de moyens techniques. 

Ainsi, près de la moitié d’entre eux (48 %) a déjà mis en place de faux dispositifs de sécurité. Parmi les plus populaires :

  • fausses caméras (20 %),
  • panneaux “Chien méchant” sans chien (15 %),
  • simulation de présence par éclairage ou musique via domotique (22 %),
  • diffusion d’aboiements (5 %).

 

Les moins de 35 ans sont particulièrement adeptes de ces méthodes (60 % contre 35 % chez les plus de 50 ans), révélant un rapport plus créatif – mais pas nécessairement plus sûr – à la protection du domicile.

Si 43 % des Français sont équipés d’un système de sécurité (dont 21 % par abonnement), ils sont 90 % parmi eux à déclarer se sentir mieux protégés.

 L’effet psychologique est donc réel, même si l’efficacité dépend de la qualité du dispositif.

Les voisins, derniers remparts

Malgré les technologies, la vigilance de voisinage reste précieuse. 69 % des Français y font confiance. Mais les modalités varient :

  • 28 % laissent leurs clés sans hésiter (surtout en milieu rural),
  • 31 % préfèrent que leurs voisins se limitent à surveiller l’extérieur.

À cela s’ajoutent les patrouilles de police ou de gendarmerie dans le cadre de l’Opération Tranquillité Vacances, dispositif bien connu (37 %) mais peu utilisé (26 %).

 

Réseaux sociaux : prudence numérique

Les voleurs scrutent aussi nos habitudes numériques. Et les Français l’ont compris :

  • 43 % ne déclarent pas leur départ en ligne,
  • 29 % attendent le retour pour poster leurs photos de vacances,
  • 21 % désactivent la géolocalisation de leurs publications.

Une vigilance bienvenue, notamment chez les plus jeunes, souvent surreprésentés sur les réseaux, mais pas toujours les plus prudents.

Ce que révèle cette enquête, c’est moins une panique qu’un climat de méfiance généralisée, où l’insécurité ressentie conduit à des stratégies de contournement, des bricolages technologiques et une mobilisation communautaire.

Mais derrière les pancartes dissuasives et les aboiements simulés, c’est une réalité bien tangible que rappelle cette étude : les Français n’ont plus tout à fait confiance dans la capacité de l’État à les protéger, ni chez eux, ni pendant leurs absences. 

Et ce malaise, lui, ne prend pas de vacances.


[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

L' ÉCOLOGIE ET UNE NOUVELLE CONNERIE.........

 REVUE DE PRESSE !

La climatisation est d’extrême droite et les écolo-gauchistes sont d’une extrême connerie !

 

À propos de la climatisation, on peut certes se poser des questions sur sa nécessité dans certains cas, sachant que beaucoup d’entre nous s’en sont longtemps passé pendant des années. 

Mais on ne peut nier son caractère indispensable dans nombre de situations, à moins d’être stupide, voire une ordure eugéniste rêvant par exemple d’exterminer nos anciens qui « coûtent un pognon de dingue » à la société progressiste dégénérée et que l’absence de climatisation dans les Ehpad et ailleurs pourrait envoyer vérifier plus vite si Dieu existe !

Aussi, lorsque Marine Le Pen, soutenue dans sa démarche par Éric Ciotti, propose un « plan climatisation » visant à équiper en priorité les « écoles, hôpitaux et maisons de retraite », on ne peut qu’aller dans son sens car son plan s’adresse en priorité aux plus fragiles.

Il n’en fallait pas plus pour que la horde gauchiste s’ébroue, l’autre Marine (Tondelier) en tête, la femme qu’il ne faut surtout pas regarder dans les yeux si on a peur du vide !

« La France : subit une canicule historique. Le programme écologique de Marine Le Pen : acheter des climatiseurs », a donc publié sur X la diva cacophonique écologiste. 

On notera au passage sa « parfaite maîtrise » de la ponctuation, car que viennent faire les « : » dans la première phrase ? Sans doute une approche antifasciste du français, lequel devrait bientôt disparaître selon les vœux de son copain islamo-apoplectique Mélenchon !

https://x.com/marinetondelier/status/1939687538030981256

 

Donc, à en croire la logique déjantée de ces verdâtres, qui pensent mener un combat écologique en fustigeant le patriarcat blanc, le racisme, l’islamophobie, le christianisme, l’extrême droite of course, etc., et en défendant toutes les causes les plus hors-sujet, les climatiseurs devraient tous être repeints en noir, comme les chemises qu’ils affectionnent particulièrement puisqu’ils les mettent à toutes les sauces. 

Tant il est vrai que chaque acheteur de climatiseur, une fois l’objet du délit en sa possession, entonne de sa voix rance :

« Climatiseur nous voilà !


Devant toi, le sauveur de la France,
Nous jurons, nous, tes gars,
De servir et de suivre tes pas,
 

Climatiseur nous voilà ! »

Mais derrière l’absurdité néo-écologique – étant entendu que l’écologie est une affaire trop importante pour la confier à des écologistes, reprenant la phrase fameuse de Clemenceau à propos de la guerre et des militaires –, il y a une volonté autodestructrice, à savoir abolir l’humanité à défaut de la faire évoluer.

 Et tout est bon pour ces détraqués de la feuille verte pour mener à bien ce plan : annihiler notre culture et notre identité.

Tout anéantir en réalité afin que ne subsistent plus sur Terre que le koala du Périgord et le cacatoès du bois de Boulogne ! 

Ce qui leur causera cependant des nervous breakdowm car, parmi l’humanité qu’ils veulent faire disparaître, il y a leurs protégés allogènes. Un véritable dilemme cornélien verdâtre !

Ainsi, proposer de sauver nos aînés devenus fragiles – et qui ont tout de même un peu trimé pour avoir ce modeste droit de finir leur vie à 20° dans leur chambre plutôt que 40 – relèverait d’une manigance crypto-fasciste dangereuse capable d’ébranler – et ce n’est plus un oxymore, hélas –  la totalitaire démocratie gauchiste. 

Ne parlons même pas de ces              « infâmes » enfants et surtout bébés blancs qui naissent tous esclavagistes, racistes et pollueurs et qu’un rappeur à l’intelligence pétrolière – c’est-à-dire brute et non raffinée ! – voulait tous tuer, ce qui ferait des économies de climatiseurs, convenons-en !

On pourrait en rire, se dire qu’il y a toujours eu des illuminés ici et là, mais il n’y a pas de quoi rire, car les écologistes sont l’un des navires de l’armada gauchiste qui, dans son entier, participe activement à la mort de notre Nation.

Après les bouchons débiles accrochés aux bouteilles comme des morpions ailleurs, voici venu le temps de la haine des climatisés. 

 

Décidément, avec les écologistes, on n’est jamais à cours d’une idée lumineuse, ou tragique, c’est selon…

 

    ET AUSSI

 

Les écolo-gauchistes veulent interdire à Riposte laïque et la « fachosphère » de parler des faits divers !

En plus de criminaliser les adeptes de la climatisation – des fachos, selon sœur Tondue du tofu, autrement appelée Tondelière ! –, voici qu’avec d’autres complices gauchistes les écolos, aussi écologiques que moi je suis brodeuse sur soie, se sont trouvé une nouvelle marotte, et pas n’importe laquelle : censurer la vérité des faits divers dans les médias, rien de moins :

Amendement de l’écologiste Taillé-Polian sur le texte audiovisuel public : il « mène une réflexion éditoriale sur la place qu’occupent les faits divers dans la couverture de l’actualité. » Et oui, l’exposé sommaire parle bien des meurtres de Lola et de Thomas. pic.twitter.com/Q4b9YGQFMA

— David Delorme-Ⓜ️onsarrat (@David_Del_Mon) July 1, 2025

 

Ainsi, un amendement parlementaire a été déposé le 25 juin dernier par le groupe écolo-négationniste contre les faits divers utilisés par l’extrême devinez quoi pour créer une « panique morale » autour de l’immigration, rapporte le site Fdesouche. 

C’est un comble de parler de morale pour ces naufragés de la conscience !

Avec leur fanatisme coutumier, les écolo-craqués regrettent ainsi qu’on ait trop causé des meurtres racistes anti-Blancs de Lola, en 2022 à Paris, ou encore de Thomas, à Crépol en en 2023.

 Bien entendu, dans cette logique immonde de refus du réel, les médias récalcitrants, hors du cercle de soumission vivre-ensembliste, en prennent pour leur grade, sans oublier nous autres de la fachosphère.

 Le martyr vécu par une Philippine ne les touche donc pas, ces brouteurs de luzerne !

 Peut-être même que certains des plus tarés d’entre eux se sont réjouis de la mort de cette jeune femme catholique, donc coupable par définition, dans leur grille de lecture wokiste !

Pour ces amis de l’Autre – et, par voie de conséquence, ennemis de l’Autochtone –, dénoncer ces crimes abjects relèverait d’une vision sécuritaire et identitaire, rien de moins ! 

 On comprend mieux, dans ces conditions, qu’ils fustigent le terme d’« ensauvagement » dans leurs récriminations. 

 Terme qui colle à une réalité tragique : les agressions diversitaires sont légion et, à force, ça commence à se voir. Il faut donc légiférer. « Puisque nous ne pouvons pas changer la réalité, changeons les yeux qui voient la réalité », écrivait le romancier Níkos Kazantzákis. 

Grâce aux écolos-falsificateurs et à la gauche en général, nous y sommes.

https://www.fdesouche.com/2025/07/02/des-deputes-ecologiste-et-de-gauche-veulent-limiter-limpact-mediatique-des-faits-divers-dans-les-medias-publics-le-texte-cite-les-meurtres-de-lola-et-de-thomas/

 

Ces mêmes adorateurs de la haine de soi n’hésitent plus à tenter de détruire des œuvres majeures de l’art occidental, voire des monuments commémorant la boucherie de 1914-1918, comme celui, unique en son genre, de Gentioux-Pigerolles dans la Creuse, le maculant d’insanités, tels les noms de Nahel Merzouk et Adama Traoré – deux agneaux immaculés de la sainte église de l’Autre ! –, ou d’un drapeau palestinien.

Déjà, le 22 mars dernier, tout en cochonnant les rues de la capitale, ces mêmes écologistes défilaient contre le racisme et le fascisme, parce que l’extrême droite ça détruit « à la fois nos vies et la planète »

Étant donné le niveau de réflexion de cette engeance-là – atteignant des profondeurs inatteignables pour le Nautilus du capitaine Nemo –, il est inutile d’essayer de leur démontrer l’absurdité d’un pareil raisonnement.

Mais entre nous, leur programme relève d’à peu près tout sauf de l’écologie réelle, il suffit de les écouter pour s’en convaincre, si besoin est : « Nous sommes là en soutien de tous les gens qui se battent contre les discriminations racistes, islamophobes, antisémites, LGBTophobes. 

Ce combat pour une société plus juste et égalitaire, sur une planète vivable, est partie intégrante de la lutte écolo. »

 Et qu’est-ce qu’il en à battre, l’orang-outang, des LGBT et de l’extrême droite ?  

Est-ce que l’ours blanc se balade lui aussi à quatre pattes dans les rues de Paris, tenant en laisse un spécimen étrange d’humanoïde en bas résilles hurlant « Mon voile, mon choix » ? Bande de timbrés !

https://reporterre.net/Face-au-fascisme-les-ecologistes-mobilises-veulent-porter-leur-voix

 

Ces défenseurs assumés des terroristes antifas – qui, lorsqu’ils brûlent des bagnoles et des poubelles, réussissent ce tour de force écolo-mystique de ne rien polluer ! – inondent les esprits atrophiés d’une jeunesse abrutie par des écrans et pas trop éduquée par les livres, ce truc en papier qui assassine des arbres !

 D’ici à ce qu’un écolo-dégénéré reprenne le slogan d’un certain Henri Prades, il n’y a pas loin : « Pour sauver un arbre, mangez un castor ! »

Cerise sur le gâteau vert et immangeable, dans cet amendement collabo, Égalité et Réconciliation, Fdesouche et – devinez quoi ? – Riposte laïque sont cités, symboles, selon ces pointures gauchistes, de « la montée en puissance de la “fachosphèreˮ »

Ils ont oublié oumma.com dans leurs incantations, mais ça doit être à l’insu de leur plein gré !

https://x.comDavid_Del_Mon/status/1940132621692154006

On devrait obliger les tracts écolos à porter la mention suivante : « Nuit gravement à la santé mentale ! » 

Au moins, leur amendement démontre qu’il y a bien un lien entre la diversité et le crime, sinon ils n’auraient pas pris la peine de s’exciter autant la carotte et le navet !

Attendons donc la prochaine sortie écologique au soja fermenté, on ne sera pas déçu !

Par Charles Demassieux

 

Source :  https://ripostelaique.com

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