TRIBUNES LIBRES !
Fabien Roussel devient facho : il veut embaucher 60 000 flics !
En voilà encore un qui va se faire des potes à gauche !
Alors que la mode à gauche est dire que la police tue, qu’elle est raciste, fasciste et lepéniste, voilà Fabien Roussel, une des dernières crapules staliniennes d’Europe, qui se souvient d’un seul coup que la sécurité pourrait être une valeur de gauche, et qui se met à faire de la surenchère dans ce domaine.
À notre connaissance, ceux que Roussel appelle les « fachos », le RN et Reconquête, n’ont jamais demandé de telles embauches dans les forces de l’ordre.
On ignore si la conception du chef du Parti communiste – qui n’a même pas réussi à se faire élire député, battu par un RN au premier tour – est de recruter des grands frères des cités dans la police, comme veut le faire Mélenchon, ou bien des policiers plus « français », profil de la Bac (que les Insoumis veulent dissoudre).
On aurait presque envie de féliciter le camarade, si on n’avait pas l’impression qu’il se fout un peu de la gueule des Français en faisant une telle proposition.
Il n’a jamais réclamé le retour de la souveraineté de la France, et donc de ses frontières, et c’est un immigrationniste qui insulte les patriotes quand il réclame le fin de l’immigration.
Or, s’il y a une montée de l’insécurité, c’est à cause de l’immigration.
Finalement, avec Roussel, on revient dans l’économie socialiste, voire communiste.
On fait venir plein d’immigrés, qui multiplient l’insécurité, et pour lutter contre l’insécurité, on embauche plein de policiers.
On pardonnera malgré tout à Roussel ses hypocrites propositions, car nous ne devrons jamais oublier que c’est grâce à sa candidature surprise (il n’était pas candidat en 2017) et à ses 2,28 % que Mélenchon ne s’est pas retrouvé au deuxième tour, en 2022…
Par Paul Le Poulpe
ET AUSSI
Anne Vignot, maire EELV, invite 350 migrants, puis appelle au secours Retailleau
C’est cela aussi, Cocotte, être édile d’une ville… réfléchir avant d’agir ; c’est mieux pour les administrés !
Savez-vous ce qui me fait saliver à coup sûr… hormis un tas de mets succulents de notre cuisine nationale (et d’autres aussi), que ne remplaceront jamais les tas de saloperies que la secte de Soros et ses potes se propose de nous imposer… quand ils auront réussi à ruiner l’agriculture dans le monde entier (sauf ce qui sera nécessaire pour les alimenter décemment eux, les élites autoproclamées de l’univers !) ?
Eh bien c’est tout simplement quand une personnalité (ou prétendue telle) affichée « pro grand-remplacement », accusant systématiquement de racisme tout être osant refuser « l’asile » de millions d’individus, étrangers à nos codes culturels, venus essentiellement pour démanteler nos lois et coutumes humanistes, en les remplaçant par les leurs, archaïques, cruelles et totalement inhumaines…
Et qui, après avoir accueilli à bras ouverts (et plus si affinité… ou pas) un quota annuel de migrants dans sa ville, s’étonne que, trois ans plus tard, sa ville soit devenue la proie d’un système mafieux, sans y voir le moindre début de concordance entre les deux faits ; et cerise sur le gâteau, pour les moqueurs comme moi… elle appelle l’État au secours !
Ignorant manifestement que l’État c’est précisément nous, les millions de citoyens-patriotes, qui refusons de laisser les envahisseurs imposés par les collabos du pouvoir (et annexes) faire leur propre loi au détriment des nôtres, avec la bénédiction de juges indignes, médias vendus et politicards protégeant avant tout leur « carrière » !
Alors, tant pis s’il est très vilain de se moquer des gens dans l’ennui… il est des exceptions, notamment de nos jours, où il semble logique de leur opposer l’énorme responsabilité qu’ils ont eue envers leurs administrés, en leur imposant l’arrivée de « miséreux » venus de loin (au lieu de faire halte chez des voisins de même obédience !) et bien décidés à nous imposer leur propre mode de vie… les médias non subventionnés croulant chaque jour sous de nouvelles preuves aveuglantes pour qui a su préserver son capital neurones !
C’est en effet, en décembre 2021 que la ville de Besançon, décidait d’accueillir dignement les migrants :
La maire et plusieurs élus de sa majorité ont fait le point, ce samedi, sur les politiques mises en œuvre en direction des migrants. Parmi ces actions : la mise en place de parrainages républicains mais aussi la signature prochaine, avec l’État, du Contrat territorial d’accueil et d’intégration des réfugiés (CTAIR).
Il est sûr que si nous n’avons plus guère confiance dans les « zélites » se confondant avec le nombril du monde, quant à leur efficacité pour gérer leur ville, département, région… ou pire (!), nous savons reconnaître qu’en ce qui concerne l’abondante invention de sigles de toutes sortes, souvent pour désigner des assemblages fumeux auxquels peu de monde s’intéressera… là, en effet, ils sont prolixes et inventifs nos « décideurs » !
Quand on voit à quoi sert vraiment celui d’OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français), c’est-à-dire à quasiment rien sinon nous prendre pour des quiches… on peut légitimement s’inquiéter de cette nouvelle lubie, destinée sans aucun doute à nous faire avaler de force la potion « immigration », sans se soucier de notre état d’overdose avancée…
Il s’agit d’une « volonté politique », souligne Anne Vignot, la maire EELV de Besançon : la volonté d’assurer un accueil des migrants « le plus digne possible » et de mener, en la matière, une politique « cohérente » et adaptée.
N.B. Une politique cohérente et adaptée, signifie très clairement pour les EELV et leurs semblables : cohérente avec leur idéologie « humaniste » mais à sens unique, « tout pour les autres ! » ; donc adaptée essentiellement à leur « clientèle préférée » … pendant que « les nôtres » qui devraient aussi être les leurs, et prioritaires… pourront crever la bouche ouverte, après s’être acquittés de leurs impôts et taxes, bien évidemment.
L’objectif, explique Philippe Cremer, conseiller municipal délégué en charge de la question : accompagner les réfugiés à leur arrivée à Besançon, aussi bien en matière de soutien psychologique que d’accès au logement, à la santé, à la culture, à l’emploi ou à l’éducation.
En juin dernier (2021) il y avait à Besançon 146 personnes bénéficiaires de la protection internationale, c’est-à-dire victimes de persécution dans leur pays ou fuyant la guerre et 213 primo-arrivants (des étrangers en situation régulière et signataires d’un contrat d’intégration républicaine).
Ça existe ???
https://www.estrepublicain.fr/politique/2021/12/19/besancon-veut-accueillir-dignement-les-migrants
Comprendre bien évidemment que tout ce cirque est à la charge des citoyens qui accueillent, lesquels récolteront en retour, au mieux des locaux mis à sac, au pire un viol ou un égorgement, au choix ; possiblement les deux, en le demandant poliment !
Si ce n’est pas se foutre du monde !!!
D’après France Bleu Besançon, la mairie écologiste de la capitale bisontine a annoncé le 18 décembre sa volonté d’accueillir 300 à 350 migrants par an sur le territoire de la commune.
Le maire présente cette idée comme un « enrichissement culturel ».
Besançon a déjà accueilli plus de 300 migrants depuis le début de l’année 2021, dont une quarantaine d’Afghans, ce qu’Anne Vignot décrit comme « pas beaucoup ».
Elle assure pourtant qu’il n’y aura pas de submersion migratoire de la ville.
C’est beau la confiance !!! De quelle nationalité déjà, ceux qu’on retrouve très souvent dans les faits divers criminels ?
Trois ans plus tard, sans y voir le moindre rapport, madame la maire en appelle à l’État après que plusieurs commerces de l’agglomération ont été victimes de « tirs d’intimidation » d’un « système mafieux » selon elle.
« Aujourd’hui on a un gang qui lance une forme d’intimidation sur des commerces. Ça ressemble à un système mafieux », a déploré l’élue qui demande des « moyens supplémentaires » aux autorités dans une déclaration à la presse.
Et c’est qui, d’après toi, les mafieux en question, Cocotte ?
Tu n’aurais pas une petite idée ? Ou tu préfères faire semblant de ne pas avoir compris quelles étaient vraiment les causes et les effets ?
Pourtant les médias honnêtes (il en reste encore un peu !) se font forts de largement te renseigner sur la question…
Un p’tit conseil pour la route m’dame Vignot ? Non ; ben tant pis, j’vous le donne quand même car en plus il est double, donc doublement précieux !
Si vous étiez réellement au service de vos administrés… comme vous avez sans doute dû leur promettre pour vous faire élire, vous sauriez qu’un édile, ou quelque « responsable » que ce soit, est avant tout au service des personnes dont il a la charge (et pas seulement ceux qui l’ont élu), qui doivent donc être prioritairement consultés avant tout projet d’envergure qui aurait un impact important pour leur sécurité.
Du coup, au lieu de mettre vos pas dans la ligne sectaire de votre parti, vous auriez fait comme Frédéric Vassy, maire de Châteauneuf-sur-Isère, qui, ainsi qu’il l’avait promis il y a un an, avait clairement annoncé que « si l’obligation de construire 250 logements sociaux (*) sur sa commune pour atteindre le seuil imposé par la loi SRU n’était pas étudiée par l’État, il quitterait ses fonctions en janvier 2025.
(*) On sait tous à qui sont destinés en priorité lesdits « logements sociaux » … vu le nombre de SDF « bien de chez nous ! » qui m eur chaque hiver dans nos rues !!!
Sa demande était la suivante : « Que le ministre du Logement vienne lui-même constater, sur le terrain, que cette obligation est aberrante du fait de nos spécificités. »
Pas de réponse → démission du maire comme promis !
Ça s’appelle le courage de ses opinions, et le respect des promesses faites…
Prenez-en de la graine, Mâme Vignot, ça ne vous fera pas de mal.
Autre exemple probant, démontrant qu’en Autriche aussi, certains citoyens souhaitent mettre un terme à cet afflux imposé de sauvages sans éducation, ni respect, ni reconnaissance…
Régalez-vous des projets de Herbert Kickl, chef du Parti autrichien de la Liberté (FPÖ), visant un accord avec les conservateurs pour former un gouvernement et obtenir la chancellerie pour la première fois.
Il a déclaré samedi vouloir réduire l’asile à “zéro“, dans un discours de politique générale présentant ce qu’il souhaiterait faire s’il accédait à la chancellerie.
“On va construire notre Autriche forteresse à coup de demandes d’asiles rejetées, d’avis d’expulsions et de charters“, a déclaré le chef du parti devant une large foule à Vösendorf, en Basse-Autriche.
“Pour nous, asile veut dire protection tout près de la région en crise“, pas “migration déguisée des peuples, ticket d’entrée dans le système social et accès à la nationalité“, a-t-il ajouté. […]
Petite précision qui réjouira les réfractaires au wokisme déjanté :
Pour Herbert Kickl, un “retour aux deux sexes” est par ailleurs nécessaire, “nos familles” étant “composées du père, de la mère et des enfants”.
Quelles que soient les difficultés et jours sombres qui nous attendent, ce petit vent frais fleurant bon de retour de la liberté dans plusieurs états d’Europe, ne supportant plus les diktats de l’ogresse UE… dont la plupart ne voulaient pas sous cette forme dictatoriale, est bien de nature à nous redonner espoir dans un avenir meilleur !
Par Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
ET ENCORE
Source https://www.bvoltaire.fr/
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ET AUSSI
Le système veut exterminer les dissidents patriotes
La récente mise en garde auprès des commentateurs de Riposte laïque contre leur exaltation débordante – quand il ne s’agit pas évidemment d’individus malfaisants en service commandé pour faire tomber notre site – illustre parfaitement ce que les dissidents subissent en France et ailleurs en Europe et ce, même dans des pays ayant quitté cette hydre monstrueuse :
Tommy Robinson, frappé inlassablement par le pouvoir britannique, en est la preuve accablante.
Elon Musk, régulièrement attaqué chez nous par des collabos pour sa défense de la liberté d’expression, en est une autre preuve.
Charline Vanhoenacker, intellectuellement très pauvre, ne dira pas le contraire qui, sur le Service public payé par les Français, a déclaré : « On a beaucoup parlé de génie en parlant d’Elon Musk, on a oublié de dire que c’était un gros connard. »
Forts d’une histoire totalitaire très riche, les dirigeants européens du système – vaincus dans certains pays comme la Hongrie, mais pour combien de temps ? – entendent ainsi appliquer des méthodes qu’ils condamnent côté face mais approuvent secrètement côté pile.
Aussi, dans la traque des patriotes, on retrouve aisément celle des opposants aux régimes nazi et communistes, avec ce sens de l’organisation si particulier, bien loin d’une répression brouillonne.
Ce qui démontre une intention mûrement réfléchie et planifiée : détruire tout trace identitaire.
Car le système a un programme, et les chasseurs de fausses nouvelles du Service public – une officine propagandiste aux ordres dudit système – n’y feront rien : les faits sont là.
L’exemple des commentaires de Riposte laïque l’atteste implacablement.
Ce qui n’a pas échappé à nos lecteurs qui savent que proposer de faire le djihad dans les rues de Paris vous coûtera beaucoup moins cher devant les tribunaux que de protester sur les toits d’une mosquée en construction.
Pire que de la censure, c’est un véritable entreprise d’extermination qui ne ronge son frein que parce qu’à l’heure d’Internet et des réseaux sociaux cela ferait désordre d’abattre physiquement des masses de patriotes.
Car les patriotes sont plus nombreux qu’il n’y paraît mais éparpillés et privés d’une unité solide, faute de meneurs sincères en lieu et place d’opportunistes qui, à l’occasion, retournent leur veste « toujours du bon côté », comme chantait Jacques Dutronc.
Mais, tout en rongeant leur frein, les marionnettistes du système peuvent envoyer à la mort des autochtones et ce, en France même.
C’est ce qui est arrivé à Robin Cotta, massacré par un diversitaire ultraviolent dans sa cellule malgré des appels au secours ignorés.
Robin, s’il avait appartenu à la diversité, n’aurait jamais connu un tel sort, tout comme Yvan Colonna, dont on peut s’interroger sur la « spontanéité » de sa mort, laquelle ressemble plus à une exécution capitale.
Oui, les patriotes sont en danger de mort aujourd’hui, tandis que les autres, c’est-à-dire les traîtres à leurs origines et les diversitaires, peuvent à peu près tout se permettre.
Ceux-là n’écoperont en effet que de broutilles, depuis l’antifa enragé qui jette des cocktails Molotov sur les forces de l’ordre jusqu’au migrant relaxé après un viol parce qu’il n’avait pas les codes !
Et tous de servir cette idéologie, même les forces de l’ordre qui en sont pourtant les premières victimes.
Nous, patriotes, sommes donc devenus des proies faciles, paralysés que nous sommes par un système capable de nous précipiter dans le gouffre de la précarité, par exemple, en commençant par nous faire perdre notre emploi, puis en nous livrant aux hordes surprotégés qui infestent à peu près tout le territoire national.
De hordes qui ont pu mettre à feu et à sang le pays lors des émeutes de l’été 2023, sans jamais encourir la répression effroyable subie par les Gilets jaunes quelques années auparavant.
Dernier exemple en date de la sauvagerie allogène impunie : Mâcon (Saône-et-Loire), où des violences urbaines se sont produites dans la nuit de samedi à dimanche en toute décontraction.
En France, ceci est le résultat d’une idéologie en incubation depuis 1945, avec la prise du pouvoir culturel par la gauche et les communistes à la Libération.
Puis il y eut Mai 68, quand les petits bourgeois révoltés décidèrent de prendre le pouvoir dans à peu près toutes les strates de la société, préparant le terrain pour François Mitterrand, tombeur de la France d’avant.
Et dans cette France d’avant, il y avait nos traditions, que le système finit d’achever en la personne d’Emmanuel Macron.
Bien sûr, certains tempéreront ce pessimisme en montrant l’engouement pour la réouverture de Notre-Dame ou la ferveur populaire pour l’Histoire de notre Nation.
Hélas, ce ne sont là que des miettes lorsqu’il faudrait reprendre le pouvoir dans l’Éducation nationale, l’enseignement supérieur, la culture, les médias, la justice surtout, toutes choses aux mains de serviteurs zélés et féroces du système.
Alors que faire ? Bien malin – ou malhonnête – serait celui qui prétendrait avoir la solution.
Toutefois, à moins d’une union sacrée, comme celle préconisée par le président de la République Raymond Poincaré en août 1914, nous ne parviendrons à rien.
Et cette union sacrée ne peut être kidnappée par des patriotes de plateau ou de la dernière heure, dont aucun n’est vraiment digne de confiance.
L’union sacrée dont il est question émanera obligatoirement du vrai peuple de France qui devra d’abord prendre ses responsabilités en quittant sa « zone de confort », comme on dit aujourd’hui, et admettre des sacrifices importants bien au-delà des claviers et des écrans. Il convient ici de pas en dire plus afin de nous prémunir contre l’ire du système abject qui nous mutile un peu plus chaque jour.
Remémorons-nous cependant les mots de Clemenceau lors de son discours d’investiture de Président du Conseil du 20 novembre 1917 : « Messieurs, cette victoire, qu’il nous soit permis, à cette heure, de la vivre, par avance, dans la communion de nos cœurs à mesure que nous y puisons plus et plus d’un désintéressement inépuisable qui doit s’achever dans le sublime essor de l’âme française au plus haut de ses plus hauts espoirs. »
Haut les cœurs donc, et courage à tous !
Source et Publications: https://ripostelaique.com
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