lundi 20 janvier 2025

QUAND LE SYSTÈME VEUT EXTERMINER LES DISSIDENTS PATRIOTES ........;

 TRIBUNES LIBRES !

Fabien Roussel devient facho : il veut embaucher 60 000 flics !

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En voilà encore un qui va se faire des potes à gauche ! 

Alors que la mode à gauche est dire que la police tue, qu’elle est raciste, fasciste et lepéniste, voilà Fabien Roussel, une des dernières crapules staliniennes d’Europe, qui se souvient d’un seul coup que la sécurité pourrait être une valeur de gauche, et qui se met à faire de la surenchère dans ce domaine.

Edwy Plenel, raciste?

https://www.fdesouche.com/2025/01/19/maintenant-il-faut-des-actes-roussel-demande-a-retailleau-lembauche-de-60-000-policiers-lamelioration-des-controles-aux-frontieres-etc-le-droit-a-la-tranq/

 

À notre connaissance, ceux que Roussel appelle les « fachos », le RN et Reconquête, n’ont jamais demandé de telles embauches dans les forces de l’ordre. 

On ignore si la conception du chef du Parti communiste – qui n’a même pas réussi à se faire élire député, battu par un RN au premier tour – est de recruter des grands frères des cités dans la police, comme veut le faire Mélenchon, ou bien des policiers plus « français », profil de la Bac (que les Insoumis veulent dissoudre).

On aurait presque envie de féliciter le camarade, si on n’avait pas l’impression qu’il se fout un peu de la gueule des Français en faisant une telle proposition. 

Il n’a jamais réclamé le retour de la souveraineté de la France, et donc de ses frontières, et c’est un immigrationniste qui insulte les patriotes quand il réclame le fin de l’immigration. 

Or, s’il y a une montée de l’insécurité, c’est à cause de l’immigration.

Finalement, avec Roussel, on revient dans l’économie socialiste, voire communiste.

 On fait venir plein d’immigrés, qui multiplient l’insécurité, et pour lutter contre l’insécurité, on embauche plein de policiers.

On pardonnera malgré tout à Roussel ses hypocrites propositions, car nous ne devrons jamais oublier que c’est grâce à sa candidature surprise (il n’était pas candidat en 2017) et à ses 2,28 % que Mélenchon ne s’est pas retrouvé au deuxième tour, en 2022…

Par Paul Le Poulpe

 

ET AUSSI

 

Anne Vignot, maire EELV, invite 350 migrants, puis appelle au secours Retailleau

C’est cela aussi, Cocotte, être édile d’une ville… réfléchir avant d’agir ; c’est mieux pour les administrés !

Savez-vous ce qui me fait saliver à coup sûr… hormis un tas de mets succulents de notre cuisine nationale (et d’autres aussi), que ne remplaceront jamais les tas de saloperies que la secte de Soros et ses potes se propose de nous imposer… quand ils auront réussi à ruiner l’agriculture dans le monde entier (sauf ce qui sera nécessaire pour les alimenter décemment eux, les élites autoproclamées de l’univers !) ?

 

Eh bien c’est tout simplement quand une personnalité (ou prétendue telle) affichée « pro grand-remplacement », accusant systématiquement de racisme tout être osant refuser « l’asile » de millions d’individus, étrangers à nos codes culturels, venus essentiellement pour démanteler nos lois et coutumes humanistes, en les remplaçant par les leurs, archaïques, cruelles et totalement inhumaines…

 

Et qui, après avoir accueilli à bras ouverts (et plus si affinité… ou pas) un quota annuel de migrants dans sa ville, s’étonne que, trois ans plus tard, sa ville soit devenue la proie d’un système mafieux, sans y voir le moindre début de concordance entre les deux faits ; et cerise sur le gâteau, pour les moqueurs comme moi… elle appelle l’État au secours !

Ignorant manifestement que l’État c’est précisément nous, les millions de citoyens-patriotes, qui refusons de laisser les envahisseurs imposés par les collabos du pouvoir (et annexes) faire leur propre loi au détriment des nôtres, avec la bénédiction de juges indignes, médias vendus et politicards protégeant avant tout leur « carrière » !

 

Alors, tant pis s’il est très vilain de se moquer des gens dans l’ennui… il est des exceptions, notamment de nos jours, où il semble logique de leur opposer l’énorme responsabilité qu’ils ont eue envers leurs administrés, en leur imposant l’arrivée de « miséreux » venus de loin (au lieu de faire halte chez des voisins de même obédience !) et bien décidés à nous imposer leur propre mode de vie… les médias non subventionnés croulant chaque jour sous de nouvelles preuves aveuglantes pour qui a su préserver son capital neurones !

 

C’est en effet, en décembre 2021 que la ville de Besançon, décidait d’accueillir dignement les migrants :

La maire et plusieurs élus de sa majorité ont fait le point, ce samedi, sur les politiques mises en œuvre en direction des migrants. Parmi ces actions : la mise en place de parrainages républicains mais aussi la signature prochaine, avec l’État, du Contrat territorial d’accueil et d’intégration des réfugiés (CTAIR).

Il est sûr que si nous n’avons plus guère confiance dans les « zélites » se confondant avec le nombril du monde, quant à leur efficacité pour gérer leur ville, département, région… ou pire (!), nous savons reconnaître qu’en ce qui concerne l’abondante invention de sigles de toutes sortes, souvent pour désigner des assemblages fumeux auxquels peu de monde s’intéressera… là, en effet, ils sont prolixes et inventifs nos « décideurs » !

Quand on voit à quoi sert vraiment celui d’OQTF (Obligation de Quitter le Territoire Français), c’est-à-dire à quasiment rien sinon nous prendre pour des quiches… on peut légitimement s’inquiéter de cette nouvelle lubie, destinée sans aucun doute à nous faire avaler de force la potion « immigration », sans se soucier de notre état d’overdose avancée…

Il s’agit d’une « volonté politique », souligne Anne Vignot, la maire EELV de Besançon : la volonté d’assurer un accueil des migrants « le plus digne possible » et de mener, en la matière, une politique « cohérente » et adaptée.

 

N.B. Une politique cohérente et adaptée, signifie très clairement pour les EELV et leurs semblables : cohérente avec leur idéologie « humaniste » mais à sens unique, « tout pour les autres ! » ; donc adaptée essentiellement à leur « clientèle préférée » … pendant que « les nôtres » qui devraient aussi être les leurs, et prioritaires… pourront crever la bouche ouverte, après s’être acquittés de leurs impôts et taxes, bien évidemment.

L’objectif, explique Philippe Cremer, conseiller municipal délégué en charge de la question : accompagner les réfugiés à leur arrivée à Besançon, aussi bien en matière de soutien psychologique que d’accès au logement, à la santé, à la culture, à l’emploi ou à l’éducation

En juin dernier (2021) il y avait à Besançon 146 personnes bénéficiaires de la protection internationale, c’est-à-dire victimes de persécution dans leur pays ou fuyant la guerre et 213 primo-arrivants (des étrangers en situation régulière et signataires d’un contrat d’intégration républicaine).

Ça existe ???

https://www.estrepublicain.fr/politique/2021/12/19/besancon-veut-accueillir-dignement-les-migrants

 

Comprendre bien évidemment que tout ce cirque est à la charge des citoyens qui accueillent, lesquels récolteront en retour, au mieux des locaux mis à sac, au pire un viol ou un égorgement, au choix ; possiblement les deux, en le demandant poliment !

Si ce n’est pas se foutre du monde !!!

D’après France Bleu Besançon, la mairie écologiste de la capitale bisontine a annoncé le 18 décembre sa volonté d’accueillir 300 à 350 migrants par an sur le territoire de la commune.

 Le maire présente cette idée comme un « enrichissement culturel ».

Besançon a déjà accueilli plus de 300 migrants depuis le début de l’année 2021, dont une quarantaine d’Afghans, ce qu’Anne Vignot décrit comme « pas beaucoup ».

 Elle assure pourtant qu’il n’y aura pas de submersion migratoire de la ville.

C’est beau la confiance !!! De quelle nationalité déjà, ceux qu’on retrouve très souvent dans les faits divers criminels ?

https://www.valeursactuelles.com/regions/bourgogne-franche-comte/doubs/besancon/societe/besancon-la-mairie-eelv-veut-accueillir-300-migrants-par-an/

 

Trois ans plus tard, sans y voir le moindre rapport, madame la maire en appelle à l’État après que plusieurs commerces de l’agglomération ont été victimes de « tirs d’intimidation » d’un « système mafieux » selon elle.

« Aujourd’hui on a un gang qui lance une forme d’intimidation sur des commerces. Ça ressemble à un système mafieux », a déploré l’élue qui demande des « moyens supplémentaires » aux autorités dans une déclaration à la presse.

Et c’est qui, d’après toi, les mafieux en question, Cocotte ?

Tu n’aurais pas une petite idée ? Ou tu préfères faire semblant de ne pas avoir compris quelles étaient vraiment les causes et les effets ? 

Pourtant les médias honnêtes (il en reste encore un peu !) se font forts de largement te renseigner sur la question…

Un p’tit conseil pour la route m’dame Vignot ? Non ; ben tant pis, j’vous le donne quand même car en plus il est double, donc doublement précieux !

Si vous étiez réellement au service de vos administrés… comme vous avez sans doute dû leur promettre pour vous faire élire, vous sauriez qu’un édile, ou quelque « responsable » que ce soit, est avant tout au service des personnes dont il a la charge (et pas seulement ceux qui l’ont élu), qui doivent donc être prioritairement consultés avant tout projet d’envergure qui aurait un impact important pour leur sécurité.

Du coup, au lieu de mettre vos pas dans la ligne sectaire de votre parti, vous auriez fait comme Frédéric Vassy, maire de Châteauneuf-sur-Isère, qui, ainsi qu’il l’avait promis il y a un an, avait clairement annoncé que « si l’obligation de construire 250 logements sociaux (*) sur sa commune pour atteindre le seuil imposé par la loi SRU n’était pas étudiée par l’État, il quitterait ses fonctions en janvier 2025.

(*) On sait tous à qui sont destinés en priorité lesdits « logements sociaux » … vu le nombre de SDF « bien de chez nous ! » qui m eur chaque hiver dans nos rues !!!

Sa demande était la suivante : « Que le ministre du Logement vienne lui-même constater, sur le terrain, que cette obligation est aberrante du fait de nos spécificités. »

https://www.ledauphine.com/politique/2025/01/17/force-de-creer-250-logements-sociaux-le-maire-d-un-village-dromois-demissionne

Pas de réponse → démission du maire comme promis !

Ça s’appelle le courage de ses opinions, et le respect des promesses faites…

Prenez-en de la graine, Mâme Vignot, ça ne vous fera pas de mal.

 

Autre exemple probant, démontrant qu’en Autriche aussi, certains citoyens souhaitent mettre un terme à cet afflux imposé de sauvages sans éducation, ni respect, ni reconnaissance…

Régalez-vous des projets de Herbert Kickl, chef du Parti autrichien de la Liberté (FPÖ), visant un accord avec les conservateurs pour former un gouvernement et obtenir la chancellerie pour la première fois.

Il a déclaré samedi vouloir réduire l’asile à “zéro“, dans un discours de politique générale présentant ce qu’il souhaiterait faire s’il accédait à la chancellerie.

On va construire notre Autriche forteresse à coup de demandes d’asiles rejetées, d’avis d’expulsions et de charters“, a déclaré le chef du parti devant une large foule à Vösendorf, en Basse-Autriche.

Pour nous, asile veut dire protection tout près de la région en crise“, pas “migration déguisée des peuples, ticket d’entrée dans le système social et accès à la nationalité, a-t-il ajouté. […]

 

Petite précision qui réjouira les réfractaires au wokisme déjanté :

Pour Herbert Kickl, un “retour aux deux sexesest par ailleurs nécessaire,nos familles” étant “composées du père, de la mère et des enfants”.

https://actu.orange.fr/monde/en-autriche-herbert-kickl-prone-quot-l-asile-zero-quot-CNT000002h4Qvi.html

 

Quelles que soient les difficultés et jours sombres qui nous attendent, ce petit vent frais fleurant bon de retour de la liberté dans plusieurs états d’Europe, ne supportant plus les diktats de l’ogresse UE… dont la plupart ne voulaient pas sous cette forme dictatoriale, est bien de nature à nous redonner espoir dans un avenir meilleur !

Par Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression

 

 ET ENCORE 

 

Mark Zuckerberg vire ses « vérificateurs », qui ont trop « censuré »

Capture écran Mark Zuckerberg sur Facebook
Capture écran Mark Zuckerberg sur Facebook

Mardi 7 janvier. Mark Zuckerberg diffuse une vidéo doublée d’un communiqué écrit, annonçant que sa société Meta va opérer des changements dans la politique de modération des contenus de ses réseaux sociaux Facebook et Instagram, comme l'annonçait récemment BV

Il declare aussi qu’en conséquence, il met fin aux contrats passés avec ses partenaires vérificateurs d’information (fact checkers) partout dans le monde. 

Ces contrats, qui avaient été passés en 2016 (au moment de la première élection de Donald Trump), devaient être prorogés en 2026.

Messieurs les censeurs, bonsoir !

Pour le patron de Meta, les médias vérificateurs ont trop « censuré » et sont « politiquement orientés ». En fait, Mark Zuckerberg avait déjà commencé à faire un mea culpa, l’été dernier. 

En pleine campagne présidentielle américaine, dans un courrier adressé au Congrès américain et daté du 26 août, il révélait que l’administration Biden avait « fait pression sur [ses] équipes pendant des mois pour qu’elles censurent certains contenus liés au Covid-19 ». Il ajoutait que cette « pression du gouvernement était une erreur […] Je regrette que nous n’ayons pas été plus francs à ce sujet. » 

À l’évidence, le patron de Meta considère, aujourd’hui, que c’est le système de la vérification qui est en cause, dans son principe même. A-t-il senti que la réélection de Donald Trump ouvrait une nouvelle ère dans laquelle le système de contrôle des contenus en ligne par des médias très marqués à gauche serait une contre-publicité susceptible de fragiliser l’existence même de Meta ? 

Quoi qu’il en soit, dans sa vidéo du 7 octobre, il annonce le remplacement des partenariats avec des médias vérificateurs par un système de notes d’internautes. Système qui ressemble furieusement, sur son principe, à ce qu’a mis en place Elon Musk depuis qu’il a repris Twitter, devenu X.` 

Il annonce aussi un changement d’orientation tous azimuts qui remet, par exemple, en cause les programmes de « diversité » dont sont si friands les milieux wokistes. Explication : « Le paysage juridique et politique autour des efforts de diversité, d’équité et d’inclusion aux États-Unis est en train de changer. » 

 Le vent tourne, Mark Zuckerberg vire donc de bord, estimant que ses réseaux doivent correspondre aux attentes de l’air du temps.

Policiers et juges à la fois

Exit, donc, ces fact checkers qui géraient, ces dernières années, l’ensemble du système de contrôle des contenus diffusés sur Facebook et Instagram. 

Meta leur sous-traitait la « vérification » des informations, au sens très large, donc pas seulement leur véracité mais aussi leur contextualisation, les mots employés, leur « validité » dans un registre politiquement correct… celui-là même que Mark Zuckerberg juge, aujourd’hui, « politiquement orienté ». 

Mais la mission des vérificateurs allait plus loin, puisqu'au-delà de « l’enquête de police », ils sont aussi juges. À eux de décider si sanction il doit y avoir et laquelle, le catalogue allant du simple avertissement à la suppression du compte en passant par de nombreuses peines intermédiaires.

 Bref, tout un système avec lequel le fondateur de Facebook veut désormais rompre parce qu’il a trop « censuré ».

Qui sont ces vérificateurs aujourd’hui répudiés pour avoir collaboré avec trop de zèle ? 

Des dizaines de sociétés de presse intervenant dans la plupart des pays du monde, à l’exception de la Chine, de la Corée du Nord, de la Fédération de Russie et autres États dits BRICS. Ces médias sont regroupés au sein de l’International Fact-Checking Network (IFCN), un réseau spécialisé dans la vérification, créé en 2015 par l’organisation non gouvernementale américaine Poynter.

 En France, Le Monde a fait partie des vérificateurs jusqu’en 2022 via Les Décodeurs, une organisation dédiée.

Et quatre organisations font partie intégrante de l’IFCN : Libération, qui a créé son propre service baptisé CheckNews, 20 Minutes Fake off, France 24 observateurs, Les Surligneurs et l’agence de presse AFP avec un service spécifique employant une centaine de personnes dans le monde : AFP Factuel. Autant de contingents de vérificateurs qui gonflaient, jusqu’à aujourd’hui, les effectifs, le chiffre d’affaires et le pouvoir d’influence de ses médias. 

Une « diversification » juteuse, donc, et entièrement et grassement financée par Meta. 

Combien cela leur rapporte-t-il ? Difficile à savoir, même si Libération avance un gain total de 245.000 dollars en 2018 pour 249 articles vérifiés et entrés dans la base de Facebook, soit un millier de dollars par article.

Liberticides décontractés

Mais ces jackpots risquent fort de se transformer, désormais, en autant de plans sociaux. Ce qui explique les réactions qui ont immédiatement suivi la sortie vidéo de Mark Zuckerberg.

 L’IFCN s’est fendue, le 9 janvier, d’une lettre ouverte au patron de Meta où un « Cher Monsieur Zuckerberg » précède un long plaidoyer qui relate neuf ans de fact-checking pour en tirer un bilan évidemment aussi riche que flatteur, « un grand pas en avant pour encourager l'exactitude factuelle en ligne », et se défendre des reproches du destinataire : « Les médias fact-checkers ont toujours travaillé sans biais politiques. Les attaques qui suggèrent le contraire viennent souvent de personnes qui pensent qu’elles devraient pouvoir mentir sans être réfutées ou contredites. »

 Contactés par BV, Libération n'a pas daigné répondre et l'AFP nous a renvoyé à la lettre ouverte de l'IFCN, refusant tout commentaire.

D’autres, qui ne sont pas ou plus impliqués dans l’affaire et ne risquent donc rien, se montrent beaucoup plus virulents, justifiant au passage, par cette hargne, l’accusation de censeurs « politiquement orientés » que leur adresse Mark Zuckerberg.

 Ses propos seraient « une reprise parfaite du discours d’Elon Musk et de Donald Trump », selon Julien Pain, rédacteur en chef à France Télévisions et ancien partenaire de Meta pour le fact-checking avec Vrai ou Faux

Et pour le directeur général de Reporters sans frontières, Thibaut Bruttin, « au-delà de la "muskification" de Meta et de Mark Zuckerberg, cette annonce montre bien le changement de paradigme : les rares avancées par Facebook vis-à-vis du fact-checking, pas toujours efficaces, qui avaient été consenties jusqu’ici vont disparaître ».

Il y a plus de deux siècles, déjà, les censeurs d'alors, autoproclamés défenseurs de la liberté, nous expliquaient déjà qu’il ne devrait pas y avoir « de liberté pour les ennemis de la liberté ». 

Y aurait-il dans l’air, en cette aube de 2025, un petit fumet de Thermidor ?


 

Source https://www.bvoltaire.fr/

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ET AUSSI

Le système veut exterminer les dissidents patriotes

La récente mise en garde auprès des commentateurs de Riposte laïque contre leur exaltation débordante – quand il ne s’agit pas évidemment d’individus malfaisants en service commandé pour faire tomber notre site – illustre parfaitement ce que les dissidents subissent en France et ailleurs en Europe et ce, même dans des pays ayant quitté cette hydre monstrueuse : 

Tommy Robinson, frappé inlassablement par le pouvoir britannique, en est la preuve accablante.

 

Elon Musk, régulièrement attaqué chez nous par des collabos pour sa défense de la liberté d’expression, en est une autre preuve. 

Charline Vanhoenacker, intellectuellement très pauvre, ne dira pas le contraire qui, sur le Service public payé par les Français, a déclaré : « On a beaucoup parlé de génie en parlant d’Elon Musk, on a oublié de dire que c’était un gros connard. »

 

Forts d’une histoire totalitaire très riche, les dirigeants européens du système – vaincus dans certains pays comme la Hongrie, mais pour combien de temps ? – entendent ainsi appliquer des méthodes qu’ils condamnent côté face mais approuvent secrètement côté pile. 

Aussi, dans la traque des patriotes, on retrouve aisément celle des opposants aux régimes nazi et communistes, avec ce sens de l’organisation si particulier, bien loin d’une répression brouillonne. 

Ce qui démontre une intention mûrement réfléchie et planifiée : détruire tout trace identitaire.

Car le système a un programme, et les chasseurs de fausses nouvelles du Service public – une officine propagandiste aux ordres dudit système – n’y feront rien : les faits sont là. 

L’exemple des commentaires de Riposte laïque l’atteste implacablement. 

Ce qui n’a pas échappé à nos lecteurs qui savent que proposer de faire le djihad dans les rues de Paris vous coûtera beaucoup moins cher devant les tribunaux que de protester sur les toits d’une mosquée en construction.

Pire que de la censure, c’est un véritable entreprise d’extermination qui ne ronge son frein que parce qu’à l’heure d’Internet et des réseaux sociaux cela ferait désordre d’abattre physiquement des masses de patriotes. 

Car les patriotes sont plus nombreux qu’il n’y paraît mais éparpillés et privés d’une unité solide, faute de meneurs sincères en lieu et place d’opportunistes qui, à l’occasion, retournent leur veste « toujours du bon côté », comme chantait Jacques Dutronc.

Mais, tout en rongeant leur frein, les marionnettistes du système peuvent envoyer à la mort des autochtones et ce, en France même.

 C’est ce qui est arrivé à Robin Cotta, massacré par un diversitaire ultraviolent dans sa cellule malgré des appels au secours ignorés.

 Robin, s’il avait appartenu à la diversité, n’aurait jamais connu un tel sort, tout comme Yvan Colonna, dont on peut s’interroger sur la « spontanéité » de sa mort, laquelle ressemble plus à une exécution capitale.

Oui, les patriotes sont en danger de mort aujourd’hui, tandis que les autres, c’est-à-dire les traîtres à leurs origines et les diversitaires, peuvent à peu près tout se permettre. 

Ceux-là n’écoperont en effet que de broutilles, depuis l’antifa enragé qui jette des cocktails Molotov sur les forces de l’ordre jusqu’au migrant relaxé après un viol parce qu’il n’avait pas les codes !

 Et tous de servir cette idéologie, même les forces de l’ordre qui en sont pourtant les premières victimes.

Nous, patriotes, sommes donc devenus des proies faciles, paralysés que nous sommes par un système capable de nous précipiter dans le gouffre de la précarité, par exemple, en commençant par nous faire perdre notre emploi, puis en nous livrant aux hordes surprotégés qui infestent à peu près tout le territoire national. 

De hordes qui ont pu mettre à feu et à sang le pays lors des émeutes de l’été 2023, sans jamais encourir la répression effroyable subie par les Gilets jaunes quelques années auparavant. 

Dernier exemple en date de la sauvagerie allogène impunie : Mâcon (Saône-et-Loire), où des violences urbaines se sont produites dans la nuit de samedi à dimanche en toute décontraction.

En France, ceci est le résultat d’une idéologie en incubation depuis 1945, avec la prise du pouvoir culturel par la gauche et les communistes à la Libération. 

Puis il y eut Mai 68, quand les petits bourgeois révoltés décidèrent de prendre le pouvoir dans à peu près toutes les strates de la société, préparant le terrain pour François Mitterrand, tombeur de la France d’avant. 

Et dans cette France d’avant, il y avait nos traditions, que le système finit d’achever en la personne d’Emmanuel Macron.

Bien sûr, certains tempéreront ce pessimisme en montrant l’engouement pour la réouverture de Notre-Dame ou la ferveur populaire pour l’Histoire de notre Nation. 

Hélas, ce ne sont là que des miettes lorsqu’il faudrait reprendre le pouvoir dans l’Éducation nationale, l’enseignement supérieur, la culture, les médias, la justice surtout, toutes choses aux mains de serviteurs zélés et féroces du système.

Alors que faire ? Bien malin – ou malhonnête – serait celui qui prétendrait avoir la solution. 

Toutefois, à moins d’une union sacrée, comme celle préconisée par le président de la République Raymond Poincaré en août 1914, nous ne parviendrons à rien.

 Et cette union sacrée ne peut être kidnappée par des patriotes de plateau ou de la dernière heure, dont aucun n’est vraiment digne de confiance. 

L’union sacrée dont il est question émanera obligatoirement du vrai peuple de France qui devra d’abord prendre ses responsabilités en quittant sa « zone de confort », comme on dit aujourd’hui, et admettre des sacrifices importants bien au-delà des claviers et des écrans. Il convient ici de pas en dire plus afin de nous prémunir contre l’ire du système abject qui nous mutile un peu plus chaque jour.

Remémorons-nous cependant les mots de Clemenceau lors de son discours d’investiture de Président du Conseil du 20 novembre 1917 : « Messieurs, cette victoire, qu’il nous soit permis, à cette heure, de la vivre, par avance, dans la communion de nos cœurs à mesure que nous y puisons plus et plus d’un désintéressement inépuisable qui doit s’achever dans le sublime essor de l’âme française au plus haut de ses plus hauts espoirs. »

Haut les cœurs donc, et courage à tous !

 


 

 Source et Publications:    https://ripostelaique.com

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