dimanche 12 janvier 2025

L' EUROCRATURE ET DÉMOCRATIE : QUAND LES EUROCRATES TIENNENT LES PEUPLES !

 



Les sbires du IVe Reich se plaignent d’ingérences ?
On va leur rafraîchir la mémoire !

Les eurotocrates ne supportent pas que Musk donne son avis. 

Ils sont prêts à tout pour le faire taire. 

Menaces, cenSSures, blocages. 

Comme dans les pays qu’ils dominent, où ils musellent leurs opposants.

Ces crapules disposent d’un pouvoir considérable. 

Avec la manipulation des gouvernants, les chantages économiques et la coercition des peuples. 

Et comme la mafia qu’ils sont, ces nuisibles se sont arrogé le droit de mettre à l’amende les mécontents et de racketter les dissidents.

Puisque les truands de la bande à Pustula se plaignent d’ingérences, on va leur rappeler quelques unes de leurs forfaitures les plus connues. 

La moindre n’étant pas d’être partie prenante en Ukraine, sans consulter les électeurs, dans un conflit qui ne les concerne pas et les ruine.

 

Quand l’arroseur est arrosé, il se secoue comme un barbet

Dès l’origine, l’Eurocrature s’annonçait comme la suite logique de la Grande Europe fédérale que voulaient imposer les nazis. 

Avec bien évidemment des Boches à la tête de la nouvelle organisation.

 

Walter Hallstein, ancien officier SS, ancien président des juristes nationaux socialistes, inventeur en 1938 des « directives » supranationales pour gérer les territoires annexés, fut le premier président de l’exécutif européen, appelé « grosse commission ».

 En langage populaire, cela signifie déféquer. 

Un Lacanien pourrait-il nous éclairer sur cette amusante coïncidence ?

Parmi les exploits de Walter, l’hitlérien soi-disant repenti, l’embauche chaque année entre 1958 et 1968 de milliers de Boches, probablement d’anciens nazis recasés, pour 80 % des effectifs.

 Or les activités de la Communauté européenne d’alors ne justifiaient pas autant de bureaucrates.

En fait, la plupart étaient des agents missionnés pour s’incruster dans les rouages des pays « amis », espionner les gouvernements et entretenir des mouvements subversifs chez ceux qui n’étaient pas assez dociles. 

Provoquant l’ire de Charles de Gaulle et sa politique de la « chaise vide » en 1965-66.  

Mais ce n’était pas de l’ingérence.

Les espions de Hallstein étaient aussi mandatés pour phagocyter et pourrir de l’intérieur l’organisation concurrente OECE (organisation européenne de coopération économique) préfiguration de l’UE élargie.

 

En novlangue, l’ingérence s’appelle étroite collaboration

À partir de 1972 et jusqu’en 2005, les référendums se succèdent pour absorber de nouveaux vassaux de la Grosse Commission germanique, et élargir les pouvoirs supranationaux des Boches sur les peuples dominés.

En Irlande et au Danemark, les caciques de Bruxelles interviennent dans la campagne électorale et supervisent le dépouillement. 

Et l’Eurocrature rafle 85 % des voix. Sans ingérence. 

À l’époque, seul Bokassa faisait mieux. 

La Norvège ayant refusé sa mise sous tutelle, la dictature européiste inaugura une nouvelle tactique appliquée ensuite à l’Islande : « Vous avez voté « non » parce que vous n’aviez pas bien compris la question. 

Alors, on va vous faire revoter ! »

Inutile d’épiloguer sur le référendum de 2005, où des merdias subventionnés par des fonds européistes ont mené une campagne hystérique pour le « oui », dénigrant et insultant ceux qui étaient contre.

La consultation populaire fut stoppée après les premiers résultats : France « non » à 55 %, Pays-Bas « non » à 61 %… 

Deux ans plus tard, un bricolage changea l’étiquette de la fiole à poisons sans toucher au contenu. 

Preuve du mépris dans lequel les eurotocrates tiennent les peuples auxquels ils prétendent garantir la démocratie, assurer le plein emploi et la croissance (pour les Boches) et favoriser la paix (contre la Russie).

 

L’UE est une dictature qui détourne le baratin des démocraties, et se mêle des élections nationales

Ceux qui n’ont pas une mémoire de poisson rouge se souviennent que la Merkel venait personnellement en France pour intervenir dans les campagnes électorales. 

Certes, on lui avait conseillé de ne pas se montrer dans les meetings où sa présence était contre-productive, mais elle bénéficiait d’une couverture dithyrambique de tous ses déplacements et propos par les merdias stipendiés. 

Mais ce n’était pas de l’ingérence !

Difficile de nier que, pendant la supercherie de la grippe pangoline, Pustula dont le mari est un ponte de Big Pharma, a engagé sans en avoir statutairement le droit des dépenses de plusieurs milliards d’euros pour acheter des camions de traitements expérimentaux à l’ARN messager.

 

Ensuite, la Grosse Commission de Pustula, a exercé des pressions et des chantages insupportables sur les dirigeants fantoches des États vassaux, dont la France, pour qu’ils obligent les gens à se faire injecter une mixture au mieux inefficace, au pire nocive… 

Et sinon, à leur pourrir la vie en leur interdisant toute activité, distraction, sortie. Mais ce n’était pas de l’ingérence !

Seuls les amnésiques ont oublié les diatribes de Olaf Scholz pour dissuader les Ritals de voter pour Giorgia Meloni. 

Et comment un quarteron de juges teutons invitait leurs collègues latins à embastiller Matteo Salvini coupable d’avoir tenté de repousser l’invasion islamique. 

Mais ce n’était absolument pas de l’ingérence !

 

Qui a oublié comment Pustula la Hyène, qui ne dispose d’aucune légitimité électorale, avait « recadré » Meloni après son élection, l’obligeant sous la menace de sanctions financières, à accueillir encore plus de clandestins et de délinquants. 

Mais ce n’était pas de l’ingérence !

Et les 19 milliards d’euros récemment sucrés à la Hongrie par l’Eurocrature, parce que Orban refusait d’ouvrir ses frontières à l’islam conquérant, ce n’est toujours pas de l’ingérence.

 

Il y a la bonne ingérence qui va dans le sens des canailles, et la mauvaise qui dénonce leurs crapuleries

Ainsi quand le collabo Keir Starmer qui, certes ne sévit plus dans le gang de Bruxelles, joint ses glapissements aux couinements des eurotocrates pour fustiger Musk, on oublie qu’il ne se gênait pas pour faire campagne aux USA contre Trump. 

Mais ça n’a rien à voir avec de l’ingérence.

Pas plus que les Soros, les Davos et les craignos qui financent depuis des décennies des campagnes de subversion, de corruption et d’invasion au détriment des peuples du vieux continent. 

Que le « philanthrope » Bill Gates voulait piquer jusqu’à l’os avec ses faux vaccins.  

Mais, à la différence des interventions d’Elon Musk, tout ça n’est pas de l’ingérence.

 

L’Eurocrature se sent tellement puissante et intouchable qu’elle organise ouvertement la falsification des votes

Quatre pays ont été visés depuis l’année dernière par l’UE qui a participé directement à des dénis de démocratie. 

D’abord en Moldavie, où une campagne déchaînée en faveur de l’adhésion à l’UE a été financée et organisée par les Boches, dans un pays qui n’avait pas les moyens d’un tel battage.

 Mais n’y voyez aucune espèce d’ingérence.

Au soir du dépouillement, le « non » l’avait emporté à 55 %. 

Mais 24 heures plus tard, grâce à des bulletins magiques venus de l’étranger, sans plus de précisions, le « oui » passait à 51 %. 

Et le résultat, inscrit dans la Constitution, devenait irréversible. 

Tu votes contre, tu revotes. 

On te fait voter pour, on ne te demandera plus jamais ton avis.

Ensuite la Géorgie où le peuple a voté contre l’annexion par l’UE et où le gouvernement a, très démocratiquement, repoussé cette éventualité. 

Dès lors, des mouvements illégitimes, apparus par génération spontanée et se réclamant de l’Eurocrature ont tenté de faire un coup d’État façon Maïdan, en occupant la rue, pour renverser le processus électoral.

 

Ces factieux ayant échoué, l’Eurocrature a exigé qu’un nouveau scrutin soit organisé dans un délai d’un an sous son égide, et que des sanctions soient prises immédiatement contre le président et le gouvernement de ce pays.

 Mais ce n’est en aucune façon de l’ingérence.

 

Enfin la Roumanie, où l’élection présidentielle a été suspendue jusqu’aux calendes grecques, « sur les conseils » de l’Eurocrature, parce qu’un candidat patriote et eurosceptique avait de bonnes chances de l’emporter.

 Mais bien entendu, seuls des fachos y voient de l’ingérence.

Cerise sur leur gâteau moisi, l’Allemagne où « nous n’hésiterons pas à annuler les élections si l’AfD l’emporte », dixit le commissaire à la cenSSure, Thierry Bouffon Breton.

Par Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

 

 



 

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