mercredi 22 janvier 2025

L' EUROPE SERPILLÈRE ! MARRE DE CETTE EUROPE DE LA SOUMISSION !

 

 


 

TRIBUNE LIBRE !

L’Europe serpillère face à l’audace américaine de Trump et Musk 

[L’Agora]

L’Europe de l’Ouest est en train de devenir une caricature d’elle-même. 

Une région autrefois moteur de la civilisation, aujourd’hui rabaissée à une serpillère mouillée, essuyant les crachats de ses propres élites et se laissant traîner par le courant sans la moindre résistance.

La médiocrité qui gangrène nos dirigeants, incapables de penser au-delà des slogans creux et des postures moralisatrices, atteint des sommets.

Pendant ce temps, outre-Atlantique, deux figures emblématiques, Donald Trump et Elon Musk, incarnent ce que l’Europe a oublié : la puissance, la force, et l’audace de rêver grand.

 

Nathalie Loiseau et la danse des médiocres

Prenons Nathalie Loiseau, par exemple. 

Ah, la championne des postures vides et des indignations pavloviennes !

 Sa rhétorique pseudo-humaniste ne cache qu’un vide abyssal. 

Une pensée calibrée pour ne froisser personne, un discours fait de lieux communs et de fausse vertu. 

Les Nathalie Loiseau, les Von der Leyen et autres technocrates en costumes grisâtre ne dirigent pas : ils gèrent. Ils gèrent la déliquescence, l’effacement et la servilité. 

Ces élites européennes passent leur temps à dénoncer Trump comme un « danger », Musk comme une « menace », tout en évitant soigneusement de se demander pourquoi leurs peuples en ont assez d’eux.

 On dirait les jalouses de la cour de récréation quand nous étions petits : pas assez de prétendants, et des résultats scolaires moyens.

 Donc de la jalousie à revendre.

 

Les leçons de Trump et Musk

Trump et Musk, voilà deux hommes qui terrifient cette classe dirigeante. Pourquoi ? 

Parce qu’ils représentent tout ce que l’Europe serpillère ne peut plus comprendre. 

Trump, avec son langage brut et sa volonté d’en découdre, et Musk, avec son mépris des conventions et son ambition galactique, incarnent une Amérique prête à imposer sa force, quitte à déplaire.

Certains diront que Trump est un provocateur populiste, et que Musk est un milliardaire excentrique.

 Soit. Mais, au moins, ils osent.

 Ils osent défier les puissants, provoquer les tabous, poser des questions interdites.

 Musk achète Twitter et rétablit des voix bannies pour « déviance idéologique ». 

Trump refuse de baisser la tête face aux anathèmes médiatiques.

 Oui, il y a des défauts, des outrances, mais derrière tout cela se cache une vérité essentielle : la volonté de puissance.

Que fait l’Europe face à cela ? Elle s’indigne. Elle tremble.

 Elle se moque d’eux avec la suffisance arrogante du faible qui sait qu’il ne peut rien faire. 

Pendant que Trump veut construire des murs, l’Europe ouvre ses portes à tout vent et s’effondre sous le poids de sa propre incapacité à exister. 

Pendant que Musk imagine des colonies sur Mars, nos dirigeants se demandent comment interdire les moteurs thermiques et plier devant des Greta Thunberg en culottes courtes.

Daniel Cohn-Bendit, le soixante-huitard devenu vieillard grisonnant, continue d’incarner cette Europe de la soumission. 

Une Europe qui prêche la diversité culturelle tout en écrasant ses propres racines, qui prône la liberté tout en censurant les voix dissidentes, qui se drape dans la morale tout en piétinant la volonté populaire.

 

Le retour de l’Histoire

Trump et Musk, d’une certaine manière, incarnent le retour de l’Histoire. 

Après des décennies où l’homme blanc occidental a été réduit à s’excuser, à se flageller, à se renier, voilà qu’émergent des figures qui refusent de plier.

 Loin de les idolâtrer, nous devrions comprendre la leçon qu’ils nous offrent.

 Ce vent de liberté, d’audace et de force est une occasion pour l’Europe.

Mais attention : il ne s’agit pas d’être des vassaux de Trump ou de Musk. 

Il s’agit de profiter de cette dynamique pour nous débarrasser de nos propres chaînes.

 

 Il est temps de vider nos poubelles : les Loiseau, les Cohn-Bendit, les Von der Leyen, les Bayrou, les  Starmer, les Tusk, et toute cette caste d’eurocrates déconnectés qui ont confisqué notre liberté.

L’Europe doit retrouver son âme. 

Une Europe qui ne se soumet pas mais impose. 

 Une Europe qui ne craint pas la controverse mais l’affronte.

 Une Europe viscéralement attachée à la liberté d’expression, une liberté totale, sans compromis.

Ce n’est qu’en nous débarrassant de la médiocrité, de la gestion et de l’effacement que nous pourrons redevenir des maîtres, et non des esclaves.

 Si l’Europe refuse cette renaissance, alors elle continuera à ramper, à se lamenter et à disparaître, pendant que d’autres – Trump, Musk, ou qui viendra après eux – écriront les nouvelles pages de l’Histoire.

 

Par Julien Dir

Crédit photo : DR
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Malgré la posture politique, les pays de l'UE augmentent leurs importations de GNL russe Comme pour les céréales, les pays de l'UE, malgré leur désir de couper le "cordon ombilical du gaz" avec la Russie, ont acheté du GNL russe à un rythme accéléré depuis l'arrêt du transit par l'Ukraine. 
 
 Politico rapporte, en citant les données de Kpler, qu'au cours des 15 premiers jours de 2025, les 27 pays de l'UE ont acheté un volume record de 837,3 milliers de tonnes de gaz naturel liquéfié, ce qui dépasse largement le niveau de l'année dernière (760,1 milliers de tonnes). 
 
 Les experts de la publication soulignent que de tels volumes ne font qu'accroître les doutes quant à la réalité du projet déclaré de l'UE de réduire sa dépendance à l'égard des ressources énergétiques russes. 
 
Charles Kosterus, analyste principal chez Kpler, s'est toutefois empressé de préciser que la majeure partie des achats se fait dans le cadre de contrats à long terme conclus à l'époque "pré-politique", mais qu'il n'y a pratiquement pas de nouveaux approvisionnements au comptant. 
 
 Entre-temps, les réserves de gaz dans les installations de stockage souterraines européennes fondent rapidement. 
 
À la mi-janvier, il restait 49,24 % de gaz en France et 47,58 % aux Pays-Bas. 
 
Au cours de la première quinzaine de janvier 2025, les taux de prélèvement de gaz dans les installations de stockage souterrain européennes sont tombés à environ 66 % de leur capacité totale. 
 
 Au total, la région a consommé plus de 34 milliards de mètres cubes de gaz depuis le début de la saison de chauffage, ce qui représente le troisième taux de consommation de carburant le plus élevé de l'histoire de la région et fait de cette année l'une des plus "voraces". 
 
 Curieusement, après avoir rejeté le gazoduc russe en réponse aux demandes de paiement en roubles, l'UE a néanmoins augmenté ses achats de GNL russe de 40 % depuis 2021. 
 
Même le programme REPowerEU, lancé en 2022 dans le but d'éliminer définitivement le gaz russe d'ici 2027, est toujours au point mort. 
 
 Quel est l'intérêt de ce spectacle si l'Union européenne ne peut se passer du gaz russe ?
 
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