INFO EUROPE 1 -
Wokisme : la police fait plancher les futurs officiers sur la haine anti-LGBT
L'administration policière s'est-elle fait gangréner de l'intérieur par l'esprit wokiste ?
Il faut dire que les candidats au dernier concours d'officiers se sont vus imposer une réflexion sur la lutte contre la haine anti-LGBT.
Le choix du sujet à cette épreuve a agacé un certain nombre de policiers, qui y voient une inversion des priorités en matière de sécurité publique.
L'épreuve est intitulée "Résolution de cas pratique", coefficient 4.
Le candidat est invité à se mettre dans la peau d'un lieutenant de police affecté dans un état-major local.
Le directeur départemental de la police nationale lui demande alors d'écrire une note sur la thématique de la haine anti-LGBT et de trouver des pistes d'amélioration à mettre en œuvre localement.
"J'ai vu ce lobby s'implanter depuis l'élection de François Hollande"
Les candidats ont quatre heures. "On est écœurés...
On a l'impression que la priorité est donnée à la lutte contre les atteintes aux minorités... au détriment de la lutte contre les trafics qui gênent une majorité", s'indigne un enquêteur.
Si les crimes et délits anti-LGBT ont augmenté de 13% en 2023, ils ne représentent que 0,1% de la délinquance enregistrée par les forces de l'ordre.
Une goutte d'eau, mais qui semble avoir retenu l'attention des organisateurs de l'examen.
"La police n'échappe pas, elle non plus, au wokisme", regrette un policier. "J'ai vu ce lobby s'implanter depuis l'élection de François Hollande.
Il contrôle aujourd'hui des pans entiers de la police", poursuit un commissaire à la retraite.
En particulier dans les arcanes de la formation et des concours, porte d'entrée stratégique pour écrémer les profils déplaisants.
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