jeudi 16 janvier 2025

QU' A BIEN PU NÉGOCIER MARINE LE PEN POUR NE PAS CENSUER LE 1er MINISTRE FRANÇOIS BAYROU ???

Qu’a bien pu négocier Marine pour ne pas censurer Bayrou ?

Traumatisé par le renvoi du crétin des Alpes dans ses foyers, le guignol des Pyrénées a la trouille de se faire congédier et une ambition démesurée : Tenir un peu plus longtemps que son prédécesseur. 

Mais comme il sait que son job de ramasse miettes de Macronescu sera éphémère, il a prudemment gardé sa place de maire de Pau.

Pourquoi s’en faire ?

 Avec les jets privés de la flotte présidentielle , Pau n’est qu’à une heure vingt minutes de Paris. 

Avec le Falcon 7X, son taxi habituel, un aller-retour ne coûte que 15.000 € sans les frais d’escale.

 Le prix brut de l’heure de vol annoncé par un site gouvernemental est de 4742 euros.

Ces 15.000 euros dilapidés à chaque voyage aux frais du contribuable, lui ôtent toute crédibilité lorsqu’il prétend présenter un budget avec des « concessions budgétaires», comprendre des sacrifices supplémentaires exigés des Français

 

Une partie des gauchards voudraient bien revenir à la gamelle, mais cette fois, il ne suffit plus de voter pour Hollandouille comme en 2012, ils veulent mieux que ça

Bayrou de secours de Fripounette, cherchait désespérément une majorité introuvable, jusqu’à ce que les socialauds répondent à ses appels du pied. 

Avec l’augmentation des prix du caviar, du foie gras, du champagne millésimé et des homards géants, ils ont comme tout le monde, des difficultés à boucler leurs fins de mois.

Depuis plusieurs jours, les socialopes palabrent avec le gouvernement pour trouver un accord de non censure, en échange d’une renégociation de la réforme des retraites et de quelques concessions budgétaires.

Pour les retraites, François la Combine a annoncé une remise en chantier de cette réforme qui aurait pu obliger les vieux schnoques qui ont encore un boulot, à bosser un peu plus longtemps. 

Mais la gauche cossarde par nature, en a fait un préalable en forme d’ultime atome avant l’explosion sociale.

En bon centriste ménageant la chèvre et le chou, Bayrou Doudou a décidé de ne rien décider. 

Il va faire appel à des experts et des comités Théolé. 

 Ainsi une «mission flash» (késako ?) est dévolue à la Cour des mécomptes de la ripoublique, pour obtenir fissa des chiffres « indiscutables». Sans blague ? 

Après quoi, une délégation permanente sera créée avec les partenaires sociaux, pour papoter pendant trois mois.

Ça peut marcher. Provisoirement. 

Vu que la haute fonction publique et les syndicats sont engorgés de profiteurs de gauche qui veulent continuer à se gaver à s’en faire péter la panse. 

En attendant, les diktats 69.3 de la Bornée sont maintenus. 

Et comme ça, Bayrou voilée gagne du temps, jusqu’à la prochaine dissolution début juillet.

Ces magouilles d’arrière cuisine seraient intéressantes, si elles permettaient d’isoler l’ex député Jankul Merluchon avec son troupeau de femmes obèses et de voyous bêtes et analphabètes. Fâchés à mort avec les « sociaux traîtres ». 

Lesquels font semblant de ne pas voir que Bayrou Bignoles veut les rouler dans la farine. 

Car leur intérêt est de faire exploser le NFP et de marginaliser LFI. 

Sauve qui peut, chacun pour soi !

 

Réformer l’État et le budget, c’est comme demander à un pieux mufti de raser sa mosquée au bulldozer

Depuis un demi siècle que les UMPS et leurs comparses centristes sont au pouvoir, il bavochent sur les réformes indispensables qu’ils ne veulent surtout pas réaliser, car cela amenuiserait leurs privilèges.

Dans un excès de franchise, ou plutôt de cynisme, la girouette béarnaise (ne cherchez pas ça dans le Kama Soutra !) affirme que « tous les partis de gouvernement, sans exception, ont une responsabilité dans le surendettement de la France. » 

Pour une fois qu’on ne glaviote pas sur le FN-RN, c’est toujours bon à prendre.

Mais les mesures que préconise le bordelier (gentilé des habitants de Bordères) est pire qu’un emplâtre sur une jambe de bois. 

Puisqu’il se lance dans une fuite en avant avec un déficit public de 5,4% du PIB en 2025, supérieur aux « seulement » 5% de la Bornée.

Et il rabaisse la prévision de croissance à 0,9% cette année contre 1,1% l’an dernier.

Après un tel effort, inspiré tel un athlète olympique qui reprend son souffle, le bègue cacochyme reconnaît que « cette dette est une épée de Damoclès au dessus de notre pays et de notre modèle social ». 

 Et cette fois, mélangeant les torchons, les serviettes et les slips de bain, il enjoint à tous les partis d’opposition de cesser de demander des dépenses supplémentaires, « ce qui produit un tango fatal qui nous conduit au bord du précipice. » (sic)

Quel langage ! 

Ce vieux cochon aurait-il visionné « Dernier tango à Paris » et se prendrait-il pour Marlon Brando sodomisant la pulpeuse Maria Schneider ? 

Pour Marianne, c’est déjà fait. 

Ils l’ont tous enculée. 

En gang bangs depuis Giscard.

 

Freiner les dépenses, mais pas pour les politicards

Dans une envolée aussi surréaliste que crapuleuse, Bayrou de trottinette annonce la création d’un fonds spécial supplémentaire dédié à la réforme de l’État, comprendre encore plus d’impôts, de charges, de taxes, de redevances et de normes sanctionnées par des prunes.

Le pyrénéen suggère la création d’une « banque de la démocratie », pour que les partis ne dépendent plus de banques privées et que leur financement passe par des organismes publics, placés sous le contrôle du gouvernement. 

C’est un marqueur typique des États totalitaires. Puisque le pouvoir peut ainsi choisir ses opposants, et refuser le droit d’exister à ceux qui ne lui conviennent pas. 

C’est le cas au Venezuela du dictateur Maduro, une démocratie exemplaire selon Jankul Merluchon.

Et comme Bayrou Flaquettes ne prend pas de risques, le pognon sera géré par une IA. Laquelle ? Celle de Musk ? Du chat qui pète ? De Micromou ? 

On n’en saura pas plus. 

Qui a déjà essayé de recentrer un centriste ?

Autre marronnier fleuri : La proportionnelle aux législatives

Mais attention, pas la proportionnelle intégrale à tour unique, obligeant les partis à annoncer avant le scrutin avec qui ils pourraient s’allier pour former un gouvernement. Trop facile. 

Et ça les priverait du délicat plaisir des embrouilles et des magouilles contre nature comme l’an dernier.

Sa proportionnelle s’inspire du pâté d’alouette et de cheval. Moitié-moitié. Une alouette pour un cheval.

 Quelques retouches cosmétiques pour des sièges perdus d’avance, même après redécoupage des circonscriptions. 

Mais pour l’essentiel, on ne change rien. Les rentes de situation sont trop juteuses pour en priver les copains.

Bayrou de tracteur, carré dans ses boniments, se vautre dans les truismes. Du genre : « Le pluralisme est légitime. 

» Avant d’annoncer les véritables intentions de son supérieur hiérarchique : « Le pluralisme doit être organisé et contrôlé. » La prochaine fois, Macronescu ne se laissera pas déborder par des électrons libres. Trop libres à son goût.

 

Surtout éviter les sujets qui fâchent, comme le contrôle de l’immigration, en donnant l’impression qu’on maîtrise

Bayrou Bignoles a affirmé sa « conviction profonde » (comme s’il en avait une sur quelque thème que ce soit) que l’immigration est une affaire de proportion. 

Un exotique ça va, cinquante bonjour les dégâts. Belle découverte ! 

Ornée d’une rhétorique catatonique : « il faut éviter de mettre en péril la cohésion de la nation, réactiver le comité interministériel de contrôle de l’immigration et mieux user de notre aide au développement. »

 Combien de fois a-t-on déjà entendu ces radotages ?

Et pour finir en beauté, il annonce rouvrir les cahiers de doléances des Gilets Jaunes enterrés par Macronescu en 2019 après son simulacre de débat national où le psychopathe éborgneur parlait tout seul et n’écoutait rien ni personne.

 

La motion de censure a peu de chances d’être adoptée puisque le RN a annoncé que, cette fois, il ne la voterait pas. 

Pour donner sa chance à Bayrou. Sans rien en contrepartie ? 

L’héritière de Montretout devrait demander conseil à Donald sur l’art de la négociation. 

Ah oui, c’est vrai, elle n’est pas invitée.

 Mais elle peut toujours acheter son bouquin.

Par Christian Navis

https://fascismedefrance.blogspot.com/

 


 

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