TRIBUNE LIBRE !
Covid 19 : Les juges et l’assassin, de Gérard Davet et Fabrice Lhomme
C’est une rétrospective du covid-19 et de ses 170.000 victimes françaises.
Les patients qu’on a refusé de soigner faute de pass sanitaire, et ceux atteints de graves séquelles après une vaccination forcée en violation du code de Nuremberg.
Ceux qui ont crié très fort. Les autres, on les oublie.
Tout ça pour combien de complices ? SVP regardez ailleurs !
Gérard Davet et Fabrice Lhomme dénoncent des dérives effrayantes au sommet de l’État dans un livre-enquête sur la gestion du covid « Les juges et l’assassin ».
Mais ils n’attaquent pas frontalement Big Pharma, filiale du Nouvel Ordre Mondial. Trop risqué.
On se souvient de Claire Séverac.
Et puis il y a des limites à la fronde de plumitifs de gauche jabotant dans le système.
La cour de justice de la ripoublique a enquêté avec ordre de ne rien trouver
Pendant cinq ans, des hauts magistrats ont exhumé un million de documents enterrés, entendu plusieurs centaines de suspects et de témoins, et mis en cause trois ministres directement impliqués.
De ces investigations, paraît-il sérieuses, il n’est rien sorti.
Ni responsables ni coupables.
Jurisprudence Fabius « sang contaminé ».
Telle sera la conclusion du rapport remis à Macronescu le 28 novembre 2024.
Le procureur général chargé des réquisitions a demandé, comme on pouvait s’y attendre, un non-lieu général.
La crise du covid a été gérée admirablement, et les anciens ministres de la Santé, Agnès Buzyn et Olivier Véran, ainsi que le Premier ministre de l’époque, Édouard Philippe, n’ont commis aucune faute.
Pour un peu, on demanderait que soit ouverte une cagnotte pour les dédommager de toutes les médisances qu’il ont subies.
En haut lieu, on reconnaît quelques « erreurs sans conséquences, inévitables vu le contexte »
Premier point discutable : Lorsque la grippe pangoline a débarqué début 2020, elle aurait pris tout le monde par surprise. C’est faux !
Le 12 mars 2019, des virologues de l’Université de Barcelone avaient trouvé des traces du SARS-Covid dans des échantillons d’eaux usées, près de 9 mois avant sa soi-disant découverte en Chine à Wuhan.
Où opérait le laboratoire français P4 suspecté d’avoir été utilisé par les Chinois dans leurs recherches en matière de guerre bactériologique.
En octobre 2019, l’Université de Sienne avait relevé la présence d’anticorps contre le Covid-19 chez quatre patients, suggérant qu’ils avaient été infectés en septembre et que le virus circulait déjà dans 5 régions d’Italie !
Or l’OMS n’a été alertée que début 2020, alors qu’on disposait de rapports détaillés dans des revues médicales.
Peut-être pourrait-on demander les raisons de ces lenteurs à Bill Gates, Soros et Jacques Attali qui avaient prévu une pandémie liée à un virus respiratoire qui pourrait faire disparaître la moitié des humains et permettrait d’instaurer enfin un gouvernement mondial. Les écrits restent…
Deuxième point contestable : L’appareil d’État était préparé à toute éventualité et aurait agi pour le mieux. C’est faux !
L’intérêt général est passé loin derrière les profits des nababs de Big Pharma.
Même si des juristes, qu’il faudrait croire sur parole, affirment que les faits, les erreurs, les retards et les manquements relevés n’ont pas une qualification pénale, et l’auront d’autant moins qu’on refuse qu’ils soient jugés…
L’enquête de Davet et Lhomme a révélé des failles béantes dans l’organisation sanitaire hexagonale, étouffée par sa propre bureaucratie.
Ces failles seraient moins celles d’une administration lymphatique avec des décideurs irrésolus, que d’un engorgement de la technocratie produisant un tsunami de textes hors-sol, sans évaluer leur emprise sur le réel.
Courant 2019, ayant sans doute le don de double vue, des hauts fonctionnaires et des parlementaires avaient pondu plusieurs rapports, envisageant une pandémie et les moyens de l’endiguer.
La grippe H1N1 qui avait coûté 382,7 millions d’euros à l’État en pure perte les avait peut-être traumatisés ?
Troisième point critiquable : On aurait fait au mieux avec ce qu’on avait. C’est faux !
La pénurie en stocks de masques était connue.
Et au lieu de remédier à ce manque, on a détruit ceux qu’on avait.
Connerie ou sabotage délibéré ? Ce point n’intéresse pas les juges.
Les autorités avaient décidé de suspendre les commandes hospitalières pour faire des économies (sic).
Comme si bien gérer l’argent public était au programme du Mozart de la finance !
Le 20 mars, alors qu’on commence à prononcer le mot « pandémie » très exagéré pour désigner une épidémie de grippe sévère, mais pas exceptionnelle, le gouvernement découvre que les 584 millions de masques qu’on a en stock seraient périmés.
Bonne occasion pour en commander d’autres…
Encore une entourloupe, car la date de péremption qui a été trafiquée suite à une directive de l’UE, est indicative, pas impérative.
Le professeur Maurice-Pierre Planel, adjoint au directeur général de la santé, alerte Matignon qui tarde à réagir.
Et c’est trop tard quand on découvre le pot aux roses.
On a détruit plus de 500 millions de masques utilisables.
Et ça continue avec les errements des autorités qui, après avoir affirmé l’inutilité des masques et les avoir interdits, les rendent obligatoires, pour que Big Pharma puisse se sucrer dessus.
Un simple pourboire toutefois, comparé aux milliards de profits générés par des traitement expérimentaux à ARNm, usurpant l’étiquette de « vaccins. »
L’affaire des masques, une tragi-comédie qui a coûté bonbon
Le 9 mars 2020, le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, médecin comme je suis cosmonaute, émet une circulaire disant que le port du masque n’est pas recommandé.
Le 12 mars, Macronescu toubib comme je suis scaphandrier préconise la généralisation du masque pour tout le monde.
Le lendemain, Édouard Philippe, docteur comme je suis acrobate de cirque, déclare que le masque ne sert à rien.
C’est méchant (et un peu raciste aussi ?) de se gausser de Sibeth Ndiaye qui avait déclaré à la télé le 17 mars que le masque était inutile et qu’elle-même ne saurait pas comment l’installer sur son nez…
Longtemps après, on a appris que ses propos correspondaient aux éléments de langage que ses collègues du gouvernement lui avaient imposés.
Pour masquer le fait qu’il n’y avait plus de masques en stock.
Dans ce carrousel de décision ubuesques, en mars 2020, une pharmacienne de Nice fut condamnée pour avoir vendu des masques à des clients qui n’étaient pas des soignants.
Quand, quelques semaines après, ne pas avoir de masque devenait un délit inconstitutionnel, car non voté par le Parlement, puni d’une amende de 135 euros.
Même gabegie dans la pétaudière avec les gants et flacons de gel arrivés à la date de péremption sans être utilisés…
Pas étonnant. Santé Publique France chargée de la gestion des ressources, ne compte que 3 professionnels de santé sur les 34 membres de son conseil d’administration.
Mais des associatifs et des politicards en veux-tu en voilà…
Et dans son personnel, moins de scientifiques que de gratte-papiers syndiqués qui, pendant les années covid, refusaient de travailler durant les week-end et pendant les ponts.
Mêmes aberrations avec l’hydroxychloroquine.
Interdite par Buzyn le 13 janvier 2020 alors qu’elle était utilisée sans souci depuis les années 1930, afin de ne pas concurrencer les faux vaccins hors de prix, elle sera à nouveau autorisée le 9 avril par Macronescu après avoir rencontré Raoult, puis à nouveau interdite le 27 mai.
Sous la pression de ses sponsors de Big Pharma qui lui ont remonté les bretelles pour le manque à gagner qu’il leur occasionnait ?
À l’abri des poursuites, Macronescu ne risque rien.
Le bouquin n’a pu que fustiger son incroyable désinvolture.
Son incompétence. Et ses caprices erratiques.
Donnant le nom des juges mais pas celui de l’assassin.
Le gouvernement de l’époque a infantilisé et terrorisé les citoyens, trompé les élus, brimé et persécuté les vrais médecins, et obligé tout le monde à suivre des instructions contradictoires dans une incohérence absolue.
Il faut croire que les Francarabiens ont aimé ça.
Puisqu’ils en ont repris une dose en 2022.
Par Christian Navis
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