TRIBUNES LIBRES !
Assassinat d’Elias : marre du discours de l’excuse pour les jeunes criminels !
Elias avait 14 ans.
Les excuses à peine déguisées se multiplient depuis l’agression puis la mort du jeune Elias – « pour refus d’obtempérer au vol légitime d’un téléphone portable », diraient les raclures d’ultragauche ! –, assassiné par deux racailles devant le stade Jules-Noël dans le 14e arrondissement de Paris, un quartier que j’ai habité pendant mes études et où j’ai même travaillé un temps, et qui, déjà à l’époque, posait quelques problèmes de vivre-ensemble.
Comprenez : la diversité y foutait le bordel, pour parler avec des fleurs !
Ainsi, ce dimanche, sur les plateaux de télé, des « spécialistes » de tout et de rien ou des « éducateurs » idéologiquement gauchisés tentaient de nous faire une fois de plus avaler le désœuvrement d’une certaine jeunesse, oubliant prudemment de dire que cette jeunesse en question est élevée dans la haine des règles occidentales, quand on ne lui inculque pas religieusement qu’elle a tous les droits, car elle suit le « beau modèle ».
Côté enfance problématique, j’ai personnellement vécu ma jeunesse sous l’emprise d’une génitrice perverse à souhait, dont la famille est à son image : lâche, calculatrice, amorale et courant, pour certains spécimens, au secours de migrants mais qui me laisseraient volontiers crever de faim.
Dieu merci, j’ai pas trop faim en ce moment, en plus je fais régime !
Pour autant, suis-je devenu un dealer, un braqueur, un violeur, un tueur ? Non, tout simplement parce que j’ai fait jouer ma conscience et que j’ai surtout eu cette chance inouïe de naître sous les cieux de la civilisation occidentale et particulièrement chrétienne.
Une civilisation qui, quoi qu’en disent les uns et les autres, est nettement supérieure à tout ce que l’humanité a jusqu’à présent proposé. Ceux qui en doutent doivent se demander pourquoi la philosophie, la science et les arts se sont épanouis dans cette civilisation plus que partout ailleurs.
D’ailleurs les grands esprits des autres cultures l’ont souvent été grâce à la civilisation occidentale, au sein de laquelle ils sont nés ou sont venus étudier.
Mais aujourd’hui il est de bon ton d’injurier et agresser notre héritage, ce qui produit des monstres capables de tuer un jeune garçon pour lui voler son téléphone !
Autre excuse, le désœuvrement.
C’est encore faire injure à tous ces enfants d’éleveurs et agriculteurs, sans le sou et qui, pourtant, ne dévastent pas tout sur le passage, acceptent au contraire leur sort et tâchent de s’en sortir par un travail acharné et ce, dès leur plus jeune âge.
C’est insulter en général les gens modestes que de croire que la pauvreté conduit inévitablement au crime. Michel Onfray est devenu philosophe, pas gangster, et ses parents étaient pourtant pauvres.
C’est pourquoi je ne crois pas un instant aux excuses oiseuses avancées par les défenseurs de ces « minorités » ultraviolentes qui, peut-être, tuent et saccagent pour le seul plaisir de tuer et saccager.
Autre fausse excuse : les jeux vidéo, Internet, les films, etc. Désolé de parler encore de moi, mais lorsque j’ai vu Orange mécanique pour la première fois au cinéma, je ne suis pas sorti de la séance en me précipitant pour massacrer un clochard, comme dans l’une des scènes du long-métrage de Kubrick.
Il faut un terreau favorable pour poignarder un gamin afin de lui voler son téléphone, tout comme il en faut pour jeter des hydrocarbures sur un chien ou un chat avant d’y mettre le feu, ce qui s’est déjà vu dans les cités radieuses !
Une certaine jeunesse est ainsi douée d’une nette psychopathie qui la prive de la moindre morale et la conduit à des actes abjects et criminels.
Cette jeunesse en question est souvent issue d’une culture religieuse particulière et ce n’est pas un hasard. En effet, l’islam est une religion violente, il suffit d’ouvrir un Coran pour le comprendre.
Et les propos d’Alexis de Tocqueville sont encore de nos jours tout à fait d’actualité : « La doctrine selon laquelle le premier de tous les devoirs religieux est d’obéir aveuglement au Prophète et que la guerre sainte est la première de toutes les bonnes œuvres se retrouve à chaque page et presque à chaque mot du Coran.
Les tendances violentes et sensuelles du Coran frappent tellement les yeux que je ne conçois pas qu’elles échappent à un homme de bon sens » (Lettre à son cousin Louis de Kergorlay).
On me rétorquera que la violence n’est pas exclusive de l’islam.
Certes, mais l’islam est très incitatif en la matière. Voyez comment, en France, sont traités par exemple ses détracteurs si on compare cela aux détracteurs du christianisme ou du judaïsme.
Il faut aussi évoquer sans tabou la violence subsaharienne exportée en Occident et à laquelle on ne saurait donner comme seule explication la pauvreté, même s’il ne s’agit pas de la nier.
Mais pour cela, il y a une réponse malhonnête toute prête : « C’est de la faute de la colonisation ! »
Dans tous les cas, ces éléments ethnico-religieux obligent à se poser cette question interdite : la vie en commun est-elle possible avec tant de différences résolument incompatibles avec l’Occident ?
La mort d’Elias, on la doit enfin à une justice complice puisque ses assassins étaient déjà très connus des services de police et se baladaient cependant tranquillement dans les rues de la capitale en quête d’un nouveau délit, la mort dans ce cas.
Il faut donc arrêter de parler d’un « sentiment d’impunité » car, comme avec l’insécurité, ce n’est pas un sentiment mais une réalité entretenue par les juges rouges, qui se déchaînent par ailleurs sur les patriotes.
Quand on a dit tout ça, que nous reste-t-il comme recours ? Il en existe mais je ne peux en évoquer aucun ici parce que si certains ont le droit de vie et de mort sur nous, nous, nous n’avons que le droit de nous taire au risque de subir l’ire de la fausse justice.
Là encore, je sais de quoi je parle…
Par Charles Demassieux
ET AUSSI
Pour le Figaro, les assassins d’Elias, 14 ans, s’appellent Léo et John…
Vendredi 25 janvier, Elias, 14 ans, a été tué d’un coup de couteau par deux mineurs de 16 et 17 ans qui tentaient de lui voler son téléphone portable.
François Bayrou a fait le service minimum sur X : « Il allait à l’entraînement de foot.
Deux mineurs plus âgés veulent le racketter, voler son portable. Ils l’ont poignardé à l’épaule, il a succombé à sa blessure.
Ces lignes sont insupportables à écrire ».
Les médias ont repris comme un seul homme l’expression « poignardé à l’épaule » pour éviter « poignardé au cou » qui donnerait trop d’indication sur l’origine des assassins. L’utilisation d’un couteau dit déjà clairement les choses.
François Bayrou a également condamné un « sentiment d’impunité » et une « violence adolescente ». Parler de « sentiment d’impunité » est aussi putassier que de parler de « sentiment d’insécurité », alors qu’il s’agit d’insécurité et d’impunité réelles.
L’impunité dont jouissent les auteurs mineurs de ces crimes est quasi totale.
Quant aux prénoms des « mineurs », on l’apprendra sans doute plus tard par une indiscrétion d’une « source proche du dossier ».
On pourra par ailleurs reprocher au Premier ministre d’essentialiser une classe d’âge en parlant de « violence adolescente », laissant entendre que tous les adolescents sont par nature violents, alors que certains seulement le sont, de par leur religion et leur QI de moule.
Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a annoncé, également sur X, qu’il allait réunir lundi à Paris « l’ensemble des procureurs généraux et des procureurs de la République, placés sous (son) autorité, afin de leur donner les instructions de politique pénale à mettre en œuvre ».
Une circulaire sera publiée le soir même où il leur « assignera deux priorités qui permettront d’apporter une réponse pénale rapide et ferme », a-t-il précisé.
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau s’est quant à lui dit « horrifié par cette violence gratuite, résultat d’une perte de repères et de l’effondrement de l’autorité ».
Là aussi, pas le moindre indice sur l’origine des meurtriers.
La présidente de la région Île-de-France, Valérie Pécresse, s’est dite « révoltée (…) par cette tragédie qui n’est pas un fait divers mais relève, par sa répétition et sa nature, d’un fait de société ».
Elle a réclamé un « choc d’autorité », alors que sa famille politique n’a à aucun moment dénoncé l’immigration de masse qui submerge la France depuis 40 ans.
Selon le parquet, les deux adolescents interpellés « étaient déjà connus de la justice ».
Ils avaient été présentés à la justice le 30 octobre dernier pour des faits de vol commis avec violence et avaient l’interdiction d’entrer en contact l’un avec l’autre.
Selon Le Figaro, qui a changé les prénoms, ils se prénommeraient Léo et John.
On aurait préféré Kevin et Mattéo…
À gauche, silence radio, bien entendu.
D’autant plus que le jeune Elias était sans doute d’origine juive.
On notera qu’en Allemagne, les « antifas » ont perturbé la cérémonie rendue en hommage aux deux personnes, un petit garçon de 2 ans et un homme de 41 ans, tuées mercredi 22 janvier par un clandestin afghan, qualifiant les membres des familles et leurs proches de « fascistes ».
Ce samedi sur CNews, le rédacteur en chef de Valeurs actuelles, Geoffroy Lejeune, donnait aux téléspectateurs ce conseil : « Si vous êtes rackettés pour votre portable, votre carte bleue, votre clé de voiture, donnez tout sans résister, les codes, tout. Sinon, vous ne savez pas comment ça peut finir. »
Conseils de petit Blanc bien sage à d’autres petits Blancs bien sages, dhimmis à donf.
On peut imaginer, en renversant les rôles, que les conseils de l’imam du coin à ses ouailles ne seraient pas tout à fait de la même farine.
Je vous les laisse deviner :
Riposte Laïque a 16 procès en cours pour 2025, inutile d’en rajouter un 17e.
Par Henri Dubost
Source et Publications : https://ripostelaique.com/
ET AUSSI
Source : https://www.bvoltaire.fr/
ET AUSSI
Avec un Trump, Elias, Philippine, Kylian, Robin seraient toujours vivants
Et les Français continuent de perdre leurs enfants, souvent assassinés dans des circonstances semblables, et presque toujours par les mêmes assassins, des racailles musulmanes.
Philippine Le Noir de Karlan avait 19 ans, elle a été kidnappée en plein jour par un multirécidiviste sous OQTF, un Marocain prénommé Taha, qui n’avait rien à faire en France, mais qui y était, et qui a même pu s’enfuir en Suisse.
Kylian Binard avait 17 ans, c’était un jeune champion de boxe, qui a été assassiné à la sortie d’une boite de nuit par un Algérien de 24 ans.
Robin Cotta avait 22 ans, il n’avait rien à faire en prison, mais il y a été mis pour une histoire de fausse ordonnance.
Il a été mis en cellule avec un psychopathe algérien, Abdelhalim, qui l’a égorgé en prison.
Elias avait 14 ans, il sortait d’un entrainement de football, et a refusé de donner son portable à deux racailles connues des services de police, que le Figaro appellera John et Léo.
Les médias parlent d’un coup de couteau à l’épaule, qui aurait été mortel, pour ne pas parler d’un égorgement, bien plus probable.
A chaque fois, des jeunes Français qui tombent à cause de l’impuissance de l’Etat à les protéger, à cause de l’invasion migratoire, et à cause des ordures de gauche qui, non seulement l’encouragent, mais protègent les assassins, presque toujours musulmans, en refusant de changer les lois protégeant les mineurs.
Aux Etats-Unis, Trump signe décrets sur décrets, en France, rien ne bouge, il paraît que Trump est un fasciste et que nous sommes en démocratie.
Mais si Trump dirigeait la France, Philippine, Kylian, Robin et Elias seraient toujours vivants…
Source et Publication : https://pierrecassen.ripostelaique.com/2025/01/27/
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