vendredi 1 août 2025

LA GUERRE DE GAZA ET LE BILAN DE L' OCCIDENT ! LE MENSONGE ET LA RÉALITÉ !



 

 REVUE DE PRESSE !


Le mensonge et la réalité

     

La guerre de Gaza, bien que dévastatrice en soi, a révélé quelque chose de plus profond et de plus inquiétant que la tragédie immédiate du Moyen-Orient.

 Elle a mis à nu le déclin interne de l’Occident : la domination de la pensée post-moderne, l’échec de l’intégration, la tolérance à l’égard des haines importées et une vulnérabilité troublante à la désinformation financée par l’étranger.

 Ce qui a commencé comme un conflit lointain s’est rapidement transformé en chaos dans nos rues, nos campus et nos institutions. 

L’antisémitisme monte en flèche. L’extrémisme prospère. 

Tout cela est sous-tendu par l’exploitation de nos libertés par ceux qui cherchent à nous détruire de l’intérieur.

L’érosion de la clarté morale au sein des institutions occidentales, révélée par la guerre de Gaza, est profondément enracinée dans le déclin intellectuel causé par la pensée postmoderne. 

Au cœur de cette crise se trouve le passage d’une vérité objective à une idéologie subjective, où les faits sont subordonnés aux sentiments et où le jugement moral est remplacé par une hiérarchie de victimes perçues.
Le post-modernisme, apparu au milieu du 20e siècle, a remis en question le concept même de vérité objective. Il soutient que toutes les connaissances sont socialement construites, que les relations de pouvoir influencent tous les récits et que les valeurs universelles servent d’outils d’oppression. Dans la vision post-moderne du monde, il n’y a ni héros ni méchants, seulement des perspectives concurrentes.
Lorsqu’il est appliqué à un conflit, en particulier à un conflit aussi moralement grave que la guerre entre Israël et le Hamas, le post-modernisme exige une fausse équivalence. Nous aboutissons ainsi à une grotesque inversion de la réalité : un groupe terroriste qui viole, décapite et enlève des civils est présenté comme un mouvement de résistance légitime, tandis que l’État démocratique qui se défend est considéré comme génocidaire.

Le nombre de morts à Gaza en est un parfait exemple. 

Plutôt que d’analyser simplement les données dont nous disposons, tout un secteur universitaire se consacre à « prouver » que le nombre de morts est plus élevé, simplement parce que leurs sentiments leur disent qu’il devrait l’être. 

C’est ainsi que l’on assiste à la publication d’une multitude de rapports académiques méthodologiquement non fiables qui augmentent le nombre de morts, sur la base d’une recherche bancale visant à tirer de fausses conclusions, avec des résultats prédéterminés bien avant le début de la recherche.

 Les médias se font l’écho de ces études, si bien que les fausses données inondent l’écosystème de la discussion.


Cette situation est symptomatique de l’effondrement intellectuel du monde universitaire occidental. 

Les campus imprégnés d’idéologie post-moderne n’enseignent plus aux étudiants comment penser, mais ce qu’ils doivent ressentir.

 La pensée critique, qui était autrefois le fondement même de l’éducation libérale, a été remplacée par la théorie critique, qui considère chaque question sous l’angle de la race, du pouvoir et de l’oppression. 

La vérité n’est pas déterminée par la logique ou les preuves, mais par celui qui peut revendiquer le statut de victime le plus important. 

 

Dans ce paradigme, les Juifs sont considérés comme des oppresseurs simplement parce qu’Israël existe et réussit, en dépit de leurs souffrances historiques et de leur statut de minorité.

Cet état d’esprit a donné naissance à des foules sur les campus qui scandent « intifada » et « mondialisation de la résistance » sans comprendre (ou peut-être sans se soucier) de ce que ces slogans impliquent.

 Il alimente le journaliste qui insiste sur le fait que le « contexte » justifie les atrocités, et l’ONG qui répète les bilans des morts du Hamas sans la moindre critique des sources.

  Le post-modernisme a érodé nos défenses épistémologiques : notre capacité à distinguer la vérité de la propagande, la justice de la barbarie.


Il a également corrompu notre vocabulaire moral.

 Des termes comme « génocide », “colonialisme” et « apartheid » sont désormais utilisés non pas comme des concepts juridiques ou historiques sérieux, mais comme des outils pour attaquer l’Occident et défendre ses ennemis.

 Comme pour les études fallacieuses sur le nombre de morts, dans le cadre post-moderne, ces étiquettes ne sont pas destinées à être prouvées : elles sont destinées à sembler vraies, surtout lorsqu’elles sont prononcées par quelqu’un qui a la bonne identité ou la bonne position idéologique.


C’est pourquoi les faits n’ont plus d’importance.

 Le Hamas peut publier une vidéo de propagande et celle-ci se répand plus rapidement que toute réfutation de la part des FDI. 

Le viol et le massacre de civils israéliens sont minimisés, tandis que la simple accusation de riposte disproportionnée devient l’histoire dominante.

 Dans une culture post-moderne, l’émotion l’emporte souvent sur les preuves.

 Le récit est tout, et s’il convient à l’agenda idéologique, il devient sacré et intouchable.

Le résultat final est une culture désarmée face au mal. 

Lorsque la moralité est uniquement définie par le pouvoir, les victimes qui possèdent une forme quelconque de pouvoir (les Juifs, Israël, l’Occident) sont transformées en méchants.


C’est là le nœud du problème : nous n’assistons pas seulement à une attaque contre Israël.


Il s’agit d’une attaque contre l’Occident.


Elle a été amplifiée par le multiculturalisme, qui a été mis en œuvre sans exigence de valeurs communes. 

Nous voyons aujourd’hui l’Occident colonisé par des communautés parallèles dans lesquelles les idéologies anti-occidentales et anti-juives ont couvé pendant des décennies avant de s’enflammer après l’étincelle de Gaza. 

L’immigration de masse sans véritable assimilation a créé des sociétés fracturées, malheureuses des deux côtés du débat. 

Cette semaine encore, nous avons assisté à des manifestations anti-immigration honteuses et violentes en Espagne, en Grande-Bretagne, en Pologne et en Irlande. 

Nos sociétés sont fracturées, ce qui rend impossible la réponse à une attaque contre les valeurs occidentales, car ces valeurs ne sont plus entièrement partagées.


Cette confusion morale n’a jamais été aussi évidente que sur les campus universitaires américains. 

Les universités qui s’enorgueillissaient d’être des centres de libre pensée sont devenues des pépinières de haine. 

À Harvard, Columbia et Cornell, les étudiants ont célébré les atrocités commises par le Hamas, imputant à Israël la responsabilité du massacre du 7 octobre. 

Les administrateurs, terrifiés à l’idée d’offenser les activistes, ont répondu par la lâcheté. 

La frontière entre protestation et sympathie pour la terreur s’est estompée et les étudiants juifs ont été laissés à l’abandon.

Cela n’est pas arrivé par hasard ; pendant des décennies, les opérations d’information soviétiques ont poussé la ligne post-moderne vers des compagnons de route de gauche dans les universités.

 La propagande russe continue d’encourager, d’amplifier et d’attaquer les failles de nos sociétés.

La corruption a également été achetée et payée ces dernières années. 

Les milliards qataris ont inondé les universités occidentales, créant des alliés idéologiques sur les campus.
 

Il en résulte des départements universitaires qui fonctionnent davantage comme des outils de propagande : un paradigme intellectuel critique en ruine, des universitaires financièrement compromis qui façonnent les récits des fonctionnaires et des médias, et des groupes d’étudiants comme Students for Justice in Palestine (SJP) qui peuvent organiser des rassemblements « Day of Rage » dans les heures qui suivent les atrocités commises par le Hamas. 

Nos universités, et les institutions publiques et médiatiques qu’elles informent, ont légitimé la haine sous la bannière de la justice sociale.

En dehors des campus, la situation n’est pas meilleure. 

Les villes occidentales ont été inondées de marches pro-palestiniennes, dont beaucoup se sont rapidement transformées en rassemblements pro-Hamas (et servent les objectifs stratégiques du Hamas même s’ils ne sont pas explicitement énoncés). 

 

De Paris à Berlin, de Londres à Sydney, nous avons assisté à un violent théâtre de rue. 

Des foules ont scandé des slogans antisémites et islamistes, fait l’éloge du terrorisme et, dans certains cas, appelé ouvertement à gazer les Juifs.

 Les manifestants ont brandi des drapeaux du Hezbollah, scandé des slogans djihadistes et, dans certains cas, versé du sang. 

En Californie, un vieil homme juif a été tué par un manifestant. 

Des attentats terroristes contre l’ambassade d’Israël ont été déjoués à Londres.

 Deux membres du personnel de l’ambassade d’Israël ont été abattus devant le Musée juif de Washington, D.C.
 

Voici le point essentiel : il ne s’agit pas seulement de débordements marginaux. 

S’il y a des drapeaux nazis lors d’un rassemblement, il s’agit d’un rassemblement nazi. 

La même norme devrait être appliquée aux manifestations palestiniennes : tout antisémitisme en fait des rassemblements antisémites.

L’ouverture de l’Occident est devenue son talon d’Achille. 

Les adversaires l’ont bien compris. 

L’Iran, le Hamas, le Qatar, la Russie et leurs compagnons de route exploitent nos libertés avec une précision chirurgicale. 

Ils inondent nos médias sociaux de mensonges, financent nos institutions, radicalisent nos jeunes et nos populations immigrées, divisent le reste, puis se contentent d’observer nos sociétés s’effondrer de l’intérieur.
 

Même le droit international a été militarisé. 

L’Afrique du Sud, reprenant la rhétorique du Hamas, a poursuivi Israël devant la Cour internationale de justice pour de fausses accusations de génocide.

 Il s’agissait là d’un acte de guerre juridique pur et simple : une tentative d’utiliser les institutions juridiques pour délégitimer une démocratie libérale qui se défendait contre le terrorisme.

 En accueillant ces plaintes, la CIJ a accordé au Hamas la victoire de propagande antisémite et négatrice de l’Holocauste qu’il recherchait.


Il ne s’agit pas seulement d’Israël. 

Ce n’est jamais le cas. 

Comme le montre l’histoire, lorsque l’antisémitisme explose, c’est la démocratie elle-même qui est menacée. 

 Les Juifs sont le canari dans la mine de charbon. 

Si nous ne pouvons pas les protéger, nous n’avons pas réussi à protéger l’intégrité morale de notre société.

Le conflit de Gaza a mis en évidence les lignes de faille.

 Il a démontré que les démocraties occidentales sont en danger non pas parce que nous sommes faibles, mais parce que nous sommes devenus complaisants.

 L’antisémitisme aujourd’hui répandu dans nos rues est le reflet de la santé nationale. 

Comme l’a dit Jonathan Tobin, « si, en tant que société, nous ne sommes pas capables de nous lever et de protéger nos communautés juives, nous sommes foutus ».


Comment riposter ? Comment défendre les valeurs qui ont fait la force de nos sociétés ? 

Comment une société divisée et composée d’étrangers peut-elle rétablir la liberté, la raison, la tolérance et la vérité lorsqu’un tsunami de propagande malveillante et de financement étranger nous submerge ?


L’exemple parfait de ces dernières 24 heures : la désinformation sur Gaza a conduit vingt gouvernements occidentaux à exiger qu’Israël cesse immédiatement le feu, alors même que le Hamas est le parti qui a rejeté la dernière proposition d’accord de cessez-le-feu.


Je crains que nous ne soyons perdus. 

Nos gouvernements sont incapables de reconnaître le problème, et encore moins de concevoir une solution. 

Nous ignorons l’avertissement du canari et la mine entière s’effondre autour de nous.

 

Ancien officier de l’armée aéroportée.
Aujourd’hui chercheur et spécialiste du Moyen-Orient.

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier : ANDREW FOX


Traduit d l’Américain par DEEPL
 
 
 
 
ET AUSSI
 
 
Le 24 juillet 2025, la France a annoncé qu'en septembre elle reconnaîtrait l'existence d'un « État palestinien ». 
Le président Emmanuel Macron a présenté cette décision comme un acte de « justice » et de « paix ».
 En réalité, cette reconnaissance relève de la fiction géopolitique. 
 
Une fois de plus, la France se retrouve du mauvais côté de l'histoire.
 
 Ni du côté des droits de l'homme, ni du côté de la paix.
 
 Mais du côté du mensonge, du déshonneur et de la collaboration avec les ennemis de l'humanité. 
 
Photo : Macron rencontre le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, à l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, le 25 septembre 2024. (Photo de Ludovic Marin/AFP via Getty Images)

 

 

Le 24 juillet 2025, la France a annoncé qu'en septembre elle reconnaîtrait l'existence d'un « État palestinien ». 

Le président Emmanuel Macron a présenté cette décision comme un acte de « justice » et de « paix ».

 En réalité, cette reconnaissance constitue une fiction géopolitique, contraire au droit international, en contradiction flagrante avec la réalité du terrain et profondément préjudiciable au plan moral.

 

1. Quel État ?

Le droit international — et notamment l'article premier de la Convention de Montevideo de 1933 — précise qu'un État doit être doté : d'une population permanente, d'un territoire défini, d'un gouvernement effectif et de la capacité d'entretenir des relations avec d'autres États.

 Aucune des deux entités politiques palestiniennes ne remplit ces critères.

L'Autorité palestinienne (AP) incarnée par Mahmoud Abbas représente un vestige administratif insignifiant, ostensiblement corrompu, honni par son peuple et dépourvu de légitimité démocratique. 

Aucune élection présidentielle n'a eu lieu depuis 2005. 

L'AP n'est souveraine que sur une partie de la Cisjordanie, et même là, n'opère qu'avec le consentement d'Israël et sous l'étroite surveillance de l'armée israélienne, dont elle dépend pour sa propre sécurité.

La bande de Gaza de son côté est contrôlée par l'organisation islamiste Hamas, désignée comme groupe terroriste par l'Union européenne, les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, l'Australie et le Japon.

 Le Hamas, auteur du massacre du 7 octobre 2023, n'est pas un acteur étatique, mais une milice théocratique. 

Le Hamas n'est pas seulement en guerre contre Israël, mais aussi contre le Fatah, mouvement à la tête duquel se trouve Mahmoud Abbas. 

 

En 2007, le Hamas a violemment expulsé l'Autorité palestinienne de la bande de Gaza et cette guerre civile intra-palestinienne a fait des centaines de morts au fil des ans.

L' « État palestinien » que la France prétend reconnaître ne possède ni gouvernement unifié, ni monopole de l'usage légitime de la force, ni souveraineté effective. Il n'existe que sur le papier dans les bureaux de quelques représentations diplomatiques – pas dans la réalité.

 

2. Quel territoire ?

Reconnaître un État implique de reconnaître son contrôle sur un territoire, fut-il contesté à la marge. 

Sur ce point encore, la confusion règne.

 Car les revendications territoriales palestiniennes sont loin d'être cohérentes. 

Les lignes d'armistice de 1949 (souvent appelées à tort « frontières de 1967 ») n'ont jamais été reconnues comme frontières internationales, ni par Israël ni par les principales résolutions de l'ONU, notamment la résolution 242 du Conseil de sécurité de 1967. 

Cette résolution appelle au retrait jusqu'à des « frontières sûres et reconnues », mais laisse leur définition ouverte.

Le Hamas, en revanche, rejette toute idée de coexistence avec Israël. 

Sa Charte fondatrice de 1988 (révisée en 2017) appelle explicitement à la destruction d'Israël, et la révision de 2017 revendique tout le territoire « du Jourdain à l'est à la Méditerranée à l'ouest » – c'est-à-dire tout Israël, la Cisjordanie et Gaza. 

Cette vision implique nécessairement l'éradication de l'État d'Israël et le déplacement – ou l'extermination – de sa population.

Reconnaître un État sans territoire défini – et dont les revendications territoriales impliquent un nettoyage ethnique – revient à légitimer un projet génocidaire.

 

3. Quelle autorité ?

Depuis le lancement par Israël de l'opération « Épées de Fer » en réponse au massacre djihadiste du 7 octobre 2023, le Hamas a perdu le contrôle de vastes portions de la bande de Gaza.

L'armée israélienne y mène désormais des opérations quotidiennes, démantelant systématiquement l'infrastructure militaire et l'appareil administratif du Hamas.

 Le prétendu « gouvernement » du Hamas ne dispose plus de ministères opérationnels, de budget ni de capacités logistiques significatives. 

Ses dirigeants sont morts, en exil ou en fuite.

 

En Cisjordanie, l'Autorité palestinienne a perdu toute crédibilité. 

L'immense majorité de la population la tient pour corrompue, autoritaire et soumise à Israël.

 Elle ne contrôle ni les frontières ni les ressources.

 Elle peine à maintenir l'ordre public et des villes comme Jénine et Naplouse sont aujourd'hui le bastion de factions paramilitaires sans foi ni loi.

En résumé, aucune Autorité Palestinienne n'exerce un contrôle souverain sur une quelconque portion de territoire.

 

Une fiction juridique, un désastre moral

En droit international, la reconnaissance d'un État est un acte souverain, discrétionnaire, mais non arbitraire.

 Il part du principe que des faits objectifs démontrent l'existence d'un véritable État au sens juridique du terme.

 En reconnaissant un « État palestinien » qui ne répond à aucun des critères établis, la France déroge au droit international. 

 

La déclaration de Macron ne s'inscrit pas dans un registre juridique ; il s'agit d'un geste politique, idéologique et électoral, déguisé en acte diplomatique.

Le moment choisi ne fait qu'aggraver le problème. 

Un an et huit mois après les atrocités du 7 octobre 2023 – actes de barbarie visant des civils, dont des femmes, des enfants, des personnes âgées et même des bébés – cette reconnaissance est une prime offerte au terrorisme.

 Elle n'offre aucun bénéfice humanitaire. 

 

Comme l' a déclaré le président américain Donald Trump : « Ce que dit Macron est sans importance, cela ne changera rien. » 

Le seul résultat concret est la légitimation politique d'un mouvement djihadiste, antisémite et génocidaire.

Pour ceux qui doutent encore de cette réalité, les dirigeants du Hamas ont exprimé leurs objectifs avec une clarté effrayante. 

Dans une interview accordée le 24 octobre 2023 à la chaîne de télévision libanaise LBC, Ghazi Hamad, membre du bureau politique du Hamas, a déclaré :

« Nous devons donner une leçon à Israël, et nous le ferons encore et encore.

Le déluge d'Al-Aqsa n'est que la première fois, et il y en aura une deuxième, une troisième, puis une quatrième, car nous avons la détermination, la volonté et les capacités de nous battre. »

Lorsqu'on lui a demandé si cela impliquait l'anéantissement d'Israël, il a répondu sans hésitation : « Oui, bien sûr. »

Une fois de plus, la France se retrouve du mauvais côté de l'histoire.

 Ni du côté des droits de l'homme, ni du côté de la paix. 

Mais du côté du mensonge, du déshonneur et de la collaboration avec les ennemis de l'humanité.


Par Drieu Godefridi est juriste (Université Saint-Louis, Université de Louvain), philosophe (Université Saint-Louis, Université de Louvain) et docteur en théorie du droit (Paris IV-Sorbonne).

Entrepreneur, il est PDG d'un groupe européen d'enseignement privé et administrateur de PAN Médias Group.

Il est l'auteur de The Green Reich (2020).

 
 

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