jeudi 14 août 2025

ÇA VA EXPLOSER ! LE MOZART DE LA FINANCE NOUS A RUINÉ À JAMAIS ........

 


Ca va exploser, 22% des Français sont déjà dans le rouge le 15 du mois

Et 50% d’entre eux peinent à équilibrer leurs comptes en fin de mois. 

Tout empire à grande vitesse. 

Le nombre de pauvres ne cesse d’augmenter en France, alors que l’extrême pauvreté a été divisée par trois en trente ans dans le monde.

J’ai toujours pensé que le peuple se révolterait à cause de l’immigration de masse qui bouleverse son quotidien, mais c’est le déclassement vers le bas qui le mettra dans la rue. 

Le Mozart de la finance nous a ruinés à jamais.

 

Nous avons 10 millions de pauvres et notre immigration de masse est majoritairement composée de déshérités illettrés, ce qui aggrave la situation.

 La croissance ne suit plus, alors que le nombre d’assistés ne cesse de croitre à raison de 500 000 arrivées par an au minimum. L’immigration du travail ne représentant que 10% du total.

 

La part du social dans les revenus d’un immigré qui travaille est de 22%. 

Celle d’un natif est de 7% (Insee)

La France paie le choix suicidaire de devenir une société de services. 

Elle a tué son industrie, qui ne représente plus que 10% de son PIB. 

Elle a tué son agriculture exportatrice, avec des normes intenables et en livrant nos paysans à une concurrence déloyale.

 

En 1975, notre pays savait tout faire et exportait.

 Aujourd’hui, il importe tout et accueille toute la misère du monde.

Un nivellement par le bas compensé par l’emprunt. 

Mais tout a une fin.

 

Pendant les Trente Glorieuses, le niveau de vie augmentait de 4% par an, grâce à une croissance à la chinoise. 

La France travaillait autant que ses voisins. 

Le niveau de vie avait doublé entre 1960 et 1980 et reposait sur une croissance réelle, donc une véritable création de richesses.

Aujourd’hui, après le choc des 35 heures et la retraite à 60 ans, qu’elle n’a jamais pu résorber, la France travaille 300 heures de moins que ses voisins chaque année et doit compenser la baisse de niveau de vie par l’emprunt perpétuel. 

Nous en sommes à 3400 milliards de dettes, soit près de 50 000 euros par citoyen, bébés compris. 

 

Toute famille de quatre personnes est endettée de 200 000 euros. 

Un très bel apport personnel pour construire une maison !

 Malheureusement, chaque bébé nait avec une dette de 50 000 euros dans son berceau.

 Et bien entendu, les fossoyeurs de la nation ne sont ni responsables ni coupables. 

Refrain connu.

Cette dette écrasante, c’est de la dynamite, car quand les intérêts atteignent 70 milliards par an, soit 2,5 points de PIB alors que la croissance tourne à 0,5%, la situation devient incontrôlable, donc socialement explosive.

 

Dans une tribune du Figaro, un collectif dénonce le projet de la future PPE, programmation pluriannuelle de l’énergie, qui va entrainer un désastre social sans précédent en ruinant les entreprises.

66422 entreprises ont mis la clé sous le porte en 2024.

Un record depuis la crise de 2008. 

Et que prépare le gouvernement ? 

Une PPE de 300 milliards qui va saboter l’avenir énergétique de la France et conduire à un doublement de la facture d’électricité pour les TPE et PME.

« Transporteurs, agriculteurs, pêcheurs et commerçants seront condamnés à mort »

« Un boulanger voit déjà sa facture grimper à 120 000 euros, le double en trois ans »

 

Quant aux particuliers, ils ne seront pas oubliés, même si des mesures d’accompagnement soulageront les plus démunis. 

De toutes façons, le chômage va être exponentiel avec la cascade de faillites qui s’annonce.

 

Quelle est donc cette PPE suicidaire ?

Elle prévoit 20 000 éoliennes terrestres, 50 parcs offshore et un parc solaire multiplié par cinq.

Notre électricité décarbonée grâce au nucléaire, sera fragilisée par les énergies renouvelables intermittentes mais subventionnées, qui sont prioritaires sur le réseau. 

On stoppera les centrales nucléaires au bénéfice du renouvelable quand celui-ci produira suffisamment, bénéficiant des bonnes dispositions d’Hélios et d’Eole. 

 

En clair, on produit à perte et on vend à perte, mais le trou est comblé par le contribuable. 

 Plus on produit d’électricité, plus le prix de gros s’effondre et plus il faut compenser pour maintenir la marge des investisseurs dans le renouvelable.

C’est une économie à 100% artificielle qui va liquider nos entreprises. 

 L’Etat organise la précarité énergétique alors que la France était leader dans le nucléaire, en fournissant une électricité propre, abondante et pilotable, contrairement au renouvelable anti-économique au possible.

 

Notre compétitivité ne cesse de baisser depuis 2019, elle va s’effondrer.

Il faut être fou pour vouloir torpiller le meilleur réseau électrique d’Europe, en donnant la priorité au renouvelable sur le nucléaire.

 

Ce que réclame le collectif avant de lancer cette PPE suicidaire :

– l’arrêt immédiat de tout décret sur la PPE

– la fin de tout financement public pour l’éolien et le solaire

– l’organisation d’un vrai débat démocratique à l’Assemblée sur notre avenir énergétique

– ne lancer que les projets ayant un réel sans économique, écologique et énergétique

 

Cette tribune parle d’or. 

Mais quand des centaines de milliards sont en jeu et que des géants mondiaux du renouvelable sont aux commandes, pouvant acheter n’importe quel gêneur opposé à leur projet, totalement anti-économique mais éminemment juteux grâce aux subventions illimitées des Etats, je crains que ce débat ne soit qu’un énième duel entre le pot de fer et le pot de terre. 

La France en sortira encore plus ruinée, mais il y a longtemps qu’il n’y a plus de véritables hommes d’Etat aux commandes.

Cette PPE est un projet de plus dans l’entreprise de démolition de la France, à laquelle se consacre Macron depuis huit ans. 

 

Il n’aime ni la France ni son peuple.

Par Jacques Guillemain

 

 


 

ET AUSSI

 

Deux derniers principes de l’ingénierie sociale : bio-pouvoir et abolition des frontières

Deux premiers articles ont déjà été publiés sur ce thème :

11è principe. Le management est la science de l’organisation consciente des groupes.

 D’où l’art de désorganiser les groupes, diviser pour régner. 

Au sein de l’organisation humaine, tout repose sur l’organisation de groupes : la famille, le village, les amis, les collègues, la classe sociale, le parti, le syndicat, la nation, l’ethnie … 

Un bon leader sait comment paralyser un groupe ennemi, prélude à sa dislocation, puis à sa disparition. La partie cachée du management et du politique, c’est l’art de désorganiser les groupes, l’art d’atomiser, de morceler, de fragmenter les collectifs. 

 

En politique, la maîtrise de cet art est plus importante que les idées elles-mêmes, et que le débat sur ces idées. Pour rendre impossible l’expression de telle idée, il suffit de désorganiser le groupe qui la soutient. 

La censure indirecte, par désorganisation, par découragement, par démotivation du groupe, est une stratégie efficace. 

Qui sait organiser et désorganiser les groupes humains détient le pouvoir suprême. 

Car il détient le pouvoir de faire exister ou non les idées. Donc le pouvoir de produire ou d’éteindre les comportements.

Désorganiser est synonyme d’individualiser, dépolitiser, faire perdre le sens du collectif, rompre la solidarité et la cohésion. 

Faire entrer dans la consommation et le Spectacle. 

Autrement dit, pour désorganiser un groupe, il suffit de féminiser et juvéniliser son système de valeurs, et de tuer le Père, autorité transcendante. 

Féminisation d’abord. Les femmes se réservent le droit d’être hors- la-loi, de ne pas entrer dans le jeu des contraintes sociales, de refuser l’organisation structurée des groupes.

 Ce refus du politique les conduit à chercher du sens dans la sphère de l’intime, de l’érotisme et du fusionnel.

 Les courants féministes refusent le pouvoir existant et font du deuxième sexe une contre-société. 

Une société féminine se constitue, sorte d’alter ego de la société officielle. 

Appuyer sur cette propension féminine, persuader un groupe d’adopter des valeurs plus féminines, orientées vers l’intime et la sexualité, permet de dépolitiser un groupe, et de rendre son organisation impossible, donc de faire disparaître ses idées à plus ou moins long terme.

La juvénilisation nous met sur la pente de l’infantilisation, et d’une régression vers des processus immatures, marqués par l’émotionnel, l’irrationnel, et la pensée magique. 

A un certain moment de la vie, advient la capacité mentale de se représenter un système articulé de places différenciées, l’aptitude à distinguer et articuler entre les places des hommes et des femmes d’une part, entre les parents et les enfants d’autre part, et par extension entre les jeunes et les vieux. 

 C’est le moment où s’intériorise la structure mentale primordiale au fondement de toute vie humaine socialisée et organisée. 

C’est le moment où on dépasse le complexe d’Oedipe, caractérisé par l’attachement sexualisé d’un enfant au parent de sexe opposé et l’opposition au parent de même sexe.

 Attaquer le système de distinctions primordiales d’un groupe, entre genres, hommes-femmes, entre générations, parents-enfants, c’est attaquer sa faculté à constituer un modèle, un plan, c’est faire basculer ce groupe dans l’impotence organisationnelle, c’est réduire ce groupe à des individus juxtaposés, incapables de communiquer et de coopérer. Tout cela facilite l’expression de l’individualisme.

 Au niveau comportemental concret, cela se traduit par une culture du spontané, de l’impulsif, du viscéral, du versatile, du flexible, et de la recherche de résultats immédiats.

 D’où une incapacité à la concentration, à la planification, et à l’élaboration de stratégies sur le long terme.

La féminisation, la juvénilisation, l’individualisme, deviennent dominants dans la société, surtout dans les classes populaires (petite bourgeoisie, classes moyennes, prolétariat). 

Ils provoquent des tendances sociétales pathologiques : dévaluation de la virilité, survalorisation de la féminité, enfant-roi hyperactif, mépris pour les anciens. Et au total, impuissance organisationnelle totale.

12è principe. Le principe du biopouvoir est le plus effrayant, le plus terrifiant.

Au-delà du pouvoir sur les esprits, l’ingénierie sociale recherche un contrôle direct de la vie, au sens biologique du terme.

 Par sa rhétorique, par son art de convaincre, l’ingénierie sociale s’affirme comme l’incapacité à vivre et laisser vivre sans intervenir sur le cours des choses. 

Cet interventionnisme traduit un projet politique, le projet porté par le mondialisme.

 Les conséquences pour la vie, au sens biologique du terme, seront pires que le nazisme et le stalinisme réunis. 

En effet, l’ingénierie sociale mondialiste se place sous le signe du Gestell, concept travaillé par Heidegger, philosophe allemand (1889-1976).

Le Gestell, c’est à dire l’essence du code qui fait la civilisation technologique, un arraisonnement, une sommation, une mise à disposition. 

La possibilité de tout faire de tout. La possibilité de faire entrer la réalité dans une combinatoire sans fin. 

Aujourd’hui, cette possibilité ne concerne plus seulement la matière inanimée, mais encore la matière vivante. 

Cette mise à disposition de tout pour tout signifie plasticité, flexibilité, possibilité de réécriture complète du donné naturel, contrôle total sur ce donné naturel, minéral, végétal, animal, environnemental, ou subjectif. 

Un quadrillage technologique intégral du réel, un maillage exterminateur consistant à ne pas laisser le moindre atome intouché, substituant au monde vécu sa version retravaillée, retouchée, un simulacre du monde vécu. 

Le Gestell, ou la rationalisation scientifique du vivant, est l’outil définitif du pouvoir politique. Le vivant peut être intégralement quantifié, numérisé, explicité, chosifié.

 Le vivant peut devenir objet d’une gestion sérielle, production industrielle, programmable et conditionnable dès l’origine, donc docile. Ainsi, l’ingénierie sociale domine dans le génie génétique, le piratage de l’ADN, dans l’eugénisme, dans le clonage, les chimères, les croisements hybrides de matériel génétique humain et animal. 

Point ultime : le téléchargement de la conscience dans le cyber espace. Les théoriciens du Transhumanisme soutiennent ces recherches, Thimoty Leary, Ray Kurzweil …

 Le transhumanisme, idéologie issue de la contre-culture et du New Age, deux courants nés du contrôle social moderne.

La vie à l’état naturel pose problème au pouvoir, car il y a toujours en elle quelque chose qui échappe au contrôle.

Le Gestell est la réécriture intégrale du réel pour en fournir une version mieux contrôlée, idéalisée, perfectionnée.

 Le Gestell est l’horizon de pratiquement tous les pouvoirs politiques depuis l’avènement des sociétés de masse, Mésopotamie, Egypte pharaonique. 

Le Gestell est le fil conducteur de tous les grands utopistes, qui se sont toujours mis spontanément au service du Prince, de Platon aux Transhumanistes, en passant par Machiavel.

 Ces utopistes cherchent à réduire l’existence à un processus automatisé, univoque, d’où la contradiction et l’incertitude sont évacuées.

 Cela ne marche jamais, parce que nous sommes « encore » en vie. Il y a vie au sens biologique à partir du moment où il y a un épiderme, une peau, c’est à dire la perception d’une distinction entre une intériorité, l’intériorité de la créature, et une extériorité, l’environnement.

L’intégrité de l’être biologique fait qu’il est difficile de le contrôler intégralement, ou alors avec des séquelles pathologiques, et une destruction du système à terme. 

Les systèmes vivants dysfonctionnent quand ils sont totalement sous contrôle. 

Plus on monte dans l’évolution, et plus cette intériorité-intégrité du vivant est forte, jusqu’à aboutir à la possibilité de faire des cachotteries à l’égard de l’extérieur. 

C’est ce qu’on appelle l’intimité mentale, psychologique, qui peut aller jusqu’au mensonge. Cette possibilité propre au vivant de cacher des choses au regard extérieur est insupportable pour le pouvoir, qui y voit une forme de résistance à son exercice inquisiteur. Personne n’a un droit de regard total sur la créature.

 D’où une imprévisibilité du biologique, d’où une incertitude. 

L’abolition du biologique, c’est à dire du principe même de toute frontière et limite, d’une part, et le transfert de toute conscience dans le numérique, d’autre part, devraient permettre l’abolition de cette incertitude, et le succès du plan mondialiste : l’accès intégral à l’intériorité, la transgression intégrale de l’intégrité de la créature, la possibilité d’en finir avec toute forme de cachotterie, le contrôle total de toute forme de vie consciente.

Dans ces conditions, il peut y avoir une extermination du biologique, au bénéfice d’une forme de « vie simulée » dans le numérique.

 Changement anthropologique de l’homme. Réalisation du « crime parfait ». 

L’extermination de l’incertitude liée au vrai réel, la matière vivante, au bénéfice d’une simulation du réel, une réalité virtuelle parfaitement contrôlée.
 

L’accès du pouvoir à l’intimité psychologique des citoyens est pour bientôt. Le passage de l’identité physique à l’identité numérique s’impose de plus en plus dans tous les milieux, à cause du développement de l’Internet. 

Des résistants dénoncent les atteintes aux libertés individuelles, au nom de la sécurité et de la santé. Il faut donc faire accepter par la population les technologies utilisées, la biométrie, la vidéosurveillance, les contrôles.
 

Le plus grand génocide de l’Histoire a déjà commencé, le génocide de la biosphère entière. Les riches détruisent la planète.

 Le Gestell consiste à jouer avec la vie de millions, de milliards d’êtres humains.

 Ce jeu géopolitique prend deux formes : la recombinaison libre des frontières d’une part, le contrôle démographique, d’autre part. L’abolition des frontières, c’est le règne de la mort, tant au plan biologique que psychique.

 Il n’y a de vie psychique, c’est à dire de production de sens, que dans l’incertitude et l’affrontement à un quelque chose qui résiste, à un réel quelconque, une frontière, une limite. Selon le plan mondialiste, les frontières, les limites ne résistent plus. 

Alors, les principes mêmes d’identité, de distinction, et d’élaboration sémantique vacillent. Elaboration sémantique, c’est à dire élaboration de lexicologie et de linguistique.

D’où l’effondrement du système sur lui-même, ou alors sa survie dans un espace du « zombie », à mi-chemin entre la vie et la mort. Le rêve directeur est la création d’une forme de vie totalement plastique et flexible, l’esclave idéal, dont l’identité n’a plus d’attaches, plus d’origines, et peut être réécrite à volonté.

Seul, un contrôle démographique drastique permettra d’élaborer cette Humanité zombifiée. Tous les moyens sont bons pour parvenir à la dépopulation, empêchement des naissances, meurtre de masse prémédité : guerres, épidémies, mal bouffe, crises diverses. 

Le biopouvoir gouverne par l’entretien d’une menace permanente sur la survie physique des populations, menace réelle ou non, mais toujours efficace. 

Définir un ennemi, une menace extérieure, est un geste fondateur de la politique. Un ennemi, une menace extérieure, réels ou non. Et pour les dirigeants mondialistes du type Macron, un homme mort, dix hommes morts, cent hommes morts, un million d’hommes morts, un milliard d’hommes morts, c’est de la poussière. L’humain est de la vulgaire matière que l’on peut écraser conne une fourmi. Eux peuvent assassiner X, Y, OU Z sans scrupule. 

C’est ça l’humanisme moderne.
 

Les rescapés doivent accompagner leur mort de mortifications. Car curieusement, dans ce monde de la folie, un culte du vivant est symétrique du culte de la mort : l’animalisme, l’antispécisme imposent des continences et des pénitences aux prédateurs mauvais de la planète que nous sommes.

Dans Fausses pandémies, vrais mensonges, Corinne Lalo écrit : « Les experts militaires reconnaissent volontiers qu’ils savent fabriquer des épidémies artificielles avec des virus génétiquement modifiés et des neurotoxines chimiques ou électromagnétiques.
 

Dans ce cas, des nanoparticules neurotoxiques sont diffusées par divers vecteurs, tandis que les tests PCR détectent les traces d’un éventuel virus saisonnier en circulation.
 

Les technologies du futur sont encouragées sans discernement et sans examen des conséquences néfastes potentielles. 

Parmi elles, on trouve le CRISPER-Cas 9, les nanotechnologies, les vaccins transmissibles, les OGM, l’origami ADN, la thérapie génique, les virus chimériques, le clonage, etc ».

Par Jean Saunier d’après des chercheurs

Source :     https://ripostelaique.com

 


 

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