[POINT DE VUE]
L’immigration afghane, moteur des violences sexuelles en Europe

Partout en Europe, les ressortissants afghans sont les mis en cause les plus surreprésentés dans les crimes sexuels et pédophiles. Dans sa dernière étude, l’Institut pour la justice a exploré la cause de cette spécificité criminelle.
Jamais soumises par les Britanniques, les Soviétiques, puis les Américains, les montagnes d’Afghanistan sont encore aujourd’hui parmi les lieux les plus reculés du monde.
L'immigration afghane est récente.
L’INSEE ne recensait que 1.600 Afghans en France, en 2007.
Pourtant, 18 ans plus tard, le nombre total d’Afghans en France a dépassé les 100.000, soit une augmentation de 6.150 % !
La faute à un phénomène migratoire qui a touché toute l’Europe, à commencer par l’Allemagne, qui compte aujourd’hui 425.000 Afghans sur son territoire.
Une arrivée aussi massive, combinée à un écart culturel aussi béant, allait naturellement poser des difficultés spécifiques sur le plan criminel.
Pourtant, aucun de nos dirigeants ne les avait visiblement anticipées…
Il est temps de faire le point.
Surreprésentation dans les crimes sexuels et pédophiles
Sans surprise, les statistiques (notamment d’Allemagne, Italie ou Danemark) permettent d’abord de remarquer une surreprésentation générale des Afghans dans toutes les grandes catégories de crimes et délits.
Mais une spécificité retient l’attention : la surreprésentation des Afghans (et des Pakistanais) dépasse celle de tous les autres groupes pour les crimes sexuels et pédophiles.
Pour la pédocriminalité en Italie, par exemple, les Afghans et les Pakistanais sont huit fois plus susceptibles d’être mis en cause que les Italiens, contre quatre fois plus pour les Africains subsahariens et trois fois plus pour les Maghrébins.
En Allemagne, ils sont quinze fois plus susceptibles de commettre des viols que les Allemands.
Cette surreprésentation statistique est facilement observée dans les faits divers. Des affaires marquantes ont ainsi concerné des viols de mineurs par des Afghans comme à Croisilles, à Saint-Brieuc ou encore, récemment, dans le Jura.
Le même constat peut être fait en Allemagne ou en Autriche, sans parler du Royaume-Uni où des Pakistanais sont notoirement à l’origine des « grooming gangs ».
Alors, comment expliquer une telle spécificité criminelle ?
Le Bacha Bazi, une « pratique culturelle » criminelle
Lors de son intervention militaire en 2001, l’Occident a découvert le « Bacha Bazi », une pratique pédophile ignoble, considérée comme un crime grave en Occident, mais allègrement pratiquée par les forces armées afghanes.
Devenu signe de prestige social, le « Bacha Bazi » consiste à acheter des jeunes garçons, à les habiller en femmes, puis à les utiliser comme esclaves sexuels.
Cette pratique ancestrale est ambiguë, sur le plan légal : si les talibans l’interdisent depuis leur prise de pouvoir, le Code pénal afghan ne l’avait rendue illégale qu’en 2018, témoignant d’une large pratique avant et après cette date.
Et dans les faits, en 2020, seules quatre affaires de bacha bazi ont été poursuivies par le ministère public afghan.
Il est naturellement très difficile de quantifier ce crime, qui varie selon les nombreuses ethnies qui peuplent l’Afghanistan, mais deux témoignages recueillis par des médias américains permettent de réaliser qu’il est véritablement courant : en 2002, le LA Times interrogeait un professeur de médecine de Kandahar qui estimait que la moitié des hommes de la ville avaient, à un moment de leur vie, des relations sexuelles avec des hommes ou des garçons.
Une estimation cohérente avec le témoignage du journaliste Joel Brinkley, récipiendaire du prix Pulitzer, selon lequel jusqu’à la moitié des hommes pachtounes étaient « bacha bazi »…
L’arrivée massive d’Afghans depuis 2015 est emblématique de la naïveté des Européens et de l’irresponsabilité de leurs élus (en témoignent, par exemple, les déclarations de Sandrine Rousseau sur l’accueil de terroristes afghans).
Pourtant, face à un phénomène criminel d’une telle ampleur, la solution la plus simple serait probablement la meilleure : à quand une interdiction générale de l’accueil des ressortissants afghans en Europe, comme l’ont récemment décidé les États-Unis ?
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