TRIBUNES LIBRES !
Sandrine Rousseau et les agriculteurs bretons : ça va péter !
Tout le monde connait l’irrésistible attrait que la grande dame (à vue de nez 1,60 m au garrot) Sandrine Rousseau (que des malotrus de ma connaissance ont surnommée Sardine Ruisseau… c’est vrai que ça fait bien rigoler dans les chaumières !) exerce auprès des foules, notamment masculines…
Personne, comme elle, ne sait à ce point se faire très vite des amis, dès qu’elle ouvre la bouche pour abreuver les foules de ses oracles ; et plus précisément chez les « forçats de la Terre », qui triment (tellement plus que les politiques élus !) pour des picaillons, pour nous nourrir… dans la plus grande indifférence, voire parfois le mépris, des imbéciles qui n’ont toujours pas compris que les pourris qui mènent le monde manigancent pour, demain nous faire bouffer des insectes et autres saloperies, directement issus de leurs cerveaux atrophiés.
Le pire étant que Sandrine est une élue du peuple (finalement le pire ce sont sans doute ses électeurs !), elle a donc l’Assemblée Nationale pour s’exprimer… on pourrait même presque dire pour « vomir » ses diatribes à propos des hommes (blancs) qu’elle souhaite voir déconstruits, à l’image de son homme… conséquence directe de vivre au quotidien avec une foldingue qui manifestement n’a pas le gaz à tous les étages !
Forcément écolo, mais de la pire manière, Sandrine a le chic pour se faire des amis chez les agriculteurs, bien évidemment plus proches de Dame Nature, la terre, puisque chaque jour ils ont les mains dedans… pendant que dame Rousseau entre deux guignolades, éructe ses insanités à leur encontre… ce qui ne manque pas de les faire réagir.
Il n’y a pas si longtemps (juin 2023), c’est dans l’Aude où je réside, que Sandrine et sa grande pote Marine Tondelier, dite « La Tondelière » (j’aurais tellement aimé aller leur faire la bise si j’avais été prévenue à temps !) sont venues au-devant des agriculteurs et viticulteurs du cru, prétendant leur expliquer leur métier…
Le moins qu’on puisse dire c’est que « ça ne s’est pas trop bien passé » …
Les détails, ici :https://ripostelaique.com/la-rousseau-et-la-tondelier-traitees-de-grosses-salopes-grosses-vraiment.html
Un tantinet « agacée » par leur ingrate réaction et la grossièreté de leur accueil… l’un d’entre eux ayant eu le malheur de lui conseiller « d’aller faire la soupe » … ajoutant un qualificatif qui n’a pas plus à la donzelle, il semblerait qu’elle leur en garde toujours rancune si l’on en croit ses dernières sorties à leur encontre, prétendant notamment, « qu’elle n’en a rien à péter des agriculteurs ! » (Joli dans la bouche d’une femme, de surcroit « élue du peuple » !)
Résultat immédiat : levée de boucliers contre la toquée !
https://www.youtube.com/watch?v=EHZXMFSalaE&t=4s
Avec La Rousseau, on n’est jamais sûr de rien ; de quoi sérieusement se poser parfois la question, après une nouvelle frasque, « est-ce qu’elle le fait exprès ? » … comme par exemple lorsque, très peu de temps après avoir tonitrué « qu’elle n’en avait rien à « péter » de la rentabilité des agriculteurs » (*) … on apprend que madame souhaite installer sa résidence secondaire dans le Finistère, en plein secteur agricole !
(*) Pour mémoire, le revenu moyen agricole a chuté de 40 % au cours des trente dernières années, selon l’Insee, et 18 % d’entre eux se situent sous le seuil de pauvreté !
Rien à voir avec le salaire de Madame la députée !
Et elle s’étonne que sa sortie « dérange » ! Y a pas à dire, elle a vraiment un grain, et un gros en plus !
Cette foldingue viendrait s’installer en Camargue, près d’une manadière, habillée chaque jour en rouge !!!
C’est du même tonneau !
https://ripostelaique.com/sandrine-rousseau-elle-le-fait-expres-ou-elle-est-vraiment-conne.html
Dans un communiqué commun Jérôme Despey, président du Salon International de l’Agriculture, Jacques Chazalet, président du Sommet de l’Élevage et Didier Lucas, président du SPACE, se sont indignés :
« Le monde agricole a des valeurs, Madame Rousseau n’en a plus. Le monde agricole respecte le travail, Madame Rousseau non. Le monde agricole nourrit ses concitoyens en produits de qualité, Madame Rousseau les nourrit en haines recuites et anathèmes inutiles, estiment les trois présidents.
Avoir un mandat au nom du peuple ce n’est pas l’insulter ! »
Pour autant, il semblerait que contrairement à elle, les agriculteurs bretons, du moins certains, pratiquent spontanément le pardon… puisqu’ils viennent de mettre au point un genre de « comité d’accueil » devant la maison que Sandrine est en train d’acquérir…
Il faut tout de même préciser qu’il y aurait même un concours entre deux comités différents :
1/ Du côté de ceux qui clament, avec raison : « Comment peut-on vomir sur la profession agricole et venir s’installer dans une maison qui est entourée par des fermes ? ».
Le déversement de bennes de fumier devant sa résidence est notamment envisagé…
2/ L’autre option, pour ceux dotés d’un caractère léger, préférant combattre l’intruse sur son propre terrain, la bouffonnerie, il était carrément question d’organiser hier, 8 août, un méga barbecue, mais pas n’importe où ; exactement devant la future résidence secondaire de Sandrine :
De la viande rouge pour chasser Sandrine Rousseau. Les agriculteurs de Bretagne se sont donné rendez-vous ce vendredi 8 août dès 19 h devant la résidence secondaire qu’est en train d’acheter la députée écologiste dans le Finistère.
C’est Patrik Sastre-Coader, éleveur de moutons en agriculture biologique et futur voisin de la femme politique, qui est l’organisateur de cet évènement.
Il a d’ailleurs posté sur Facebook l’affiche annonçant les réjouissances :
Laquelle a récolté, outre les encouragements des citoyens outrés des propos de la Rousseau, quelques remarques venimeuses, venant à n’en pas douter des fameux électeurs de Sandrine…
No comment !
Petit reportage en provenance de My Journal.fr :
Les odeurs de grillades flottent dans l’air du soir, mêlées au vent marin. Mais derrière cette apparente convivialité, c’est une braise de colère qui crépite.
À quelques mètres d’une propriété récemment acquise par la députée écologiste Sandrine Rousseau, un barbecue géant s’est tenu ce vendredi à partir de 19h, à l’initiative d’un collectif d’agriculteurs bretons.
Plus qu’un simple rassemblement rural, c’est un cri politique. Un feu de bois pour répondre à des paroles jugées méprisantes.
Une riposte symbolique, mais intense, face à ce que certains perçoivent comme une écologie déconnectée des réalités rurales.
« En voyant les premières flammes lécher les grilles installées face à la mer, Clémence, 33 ans, fille d’éleveurs laitiers, a murmuré : “Maman, pourquoi faut-il faire griller des saucisses pour que les politiques sentent enfin notre détresse ?” »
https://myjournal.fr/barbecue-agriculteurs-sandrine-rousseau-dineault/
Heu, juste une petite remarque les gars : les grillades c’étaient bien « avant » le fumier… sinon l’odeur a dû incommoder les participants, mettant un bémol olfactif aux réjouissances si prometteuses…
Par ailleurs la question se pose de savoir si, au beau milieu des réjouissances, certains ne se seraient pas laissés aller à scander de manière très audible : « Va faire la soupe salope ! » ?
Quelque chose me dit que la belle histoire d’amour entre Sandrine et les agriculteurs, n‘est pas terminée…
Notamment si elle ne fait pas rapidement son mea culpa, les animaux de basse-cours, porcheries, étables… du voisinage, pourraient bien chaque nuit, la lui souhaiter « très bonne » à leur façon…
Ça et les bennes à purin, il y a de quoi me mettre en joie pendant plusieurs heures, chaque fois que j’y pense.
Par Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
Pour ceux qui en aurait soupé du prénom Sandrine, j’aimerais signaler qu’il serait de la plus haute injustice de coller toutes les « Sandrine » dans le même sac que la « Rousseau » ; pour preuve, une autre Sandrine, tellement plus drôle (si, si, c’est possible !) que l’énergumène écolo, avait, il y a quelques années, presque réussi à faire s’étrangler de rire le futur président de Reconquête, Eric Zemmour qui chaque semaine sur Paris Première s’en payait une bonne tranche devant les chants, facéties, imitations de…
Sandrine Sarroche, à ne pas confondre avec l’autre bouffonne ; jugez sur pièce :
VIDÉO: https://www.youtube.com/watch?v=2SsaflvWh1Y&t=2s
Boutons hors de nos places les chevaliers braillards de l’antifascisme d’opérette
Dans le monde binaire des homo eructus, il y a d’un côté les « gentils », c’est-à-dire eux, les chevaliers braillards de l’antifascisme d’opérette, au blason coupé de gueules (rouge) et de sable (noir), veillant aux créneaux pour la défense de la veuve Anesthésie ; et de l’autre les « méchants », hordes mercenaires à la solde du grand vilain capital, ramassis de nazis-fascistes-racistes-suprémacistes blancs-islamophobes-homophobes répugnants.
Au fil de leurs interventions, sur les ondes, les réseaux sociaux ou dans l’espace public, l’histoire ne cesse de bégayer.
La magie (noire) de leur verbe n’en finit plus de ressusciter l’entre-deux-guerres.
À les en croire, comme aux « heures les plus sombres de notre histoire », la bête immonde, cornaquée par des milliardaires à la Bolloré ou à la Stérin, s’infiltrerait partout.
Elle gagnerait en visibilité, en assurance, en malfaisance.
Jusqu’à l’Assemblée nationale où Bayrou-Daladier copinerait avec Bardella-Vallat.
En fait, si les groupies des joueurs de pipeau « éléfiste » sont souvent jeunes en âge, leur pensée formatée, elle, est fortement faisandée.
Elle est vieille comme Hérode-Mélenchon.
Elle grésille sous l’action des lampes « audion » qui amplifient le signal des postes à galène.
Depuis l’aube du XXe siècle, en effet, la lignée de clones robespierro-léninistes à laquelle appartiennent ces sombres hérauts du totalitarisme est de tous les combats « émancipateurs », « anticolonialistes », « antifascistes », « inclusifs »…
À grand renfort d’injures et d’horions, au nom de l’ »autodéfense » (car ainsi font les « antifas ») !
Aussi leur mémoire de Mathusalem rouges se brouille-t-elle.
Le temps se distord. Les souvenirs, les images, les combats s’entrechoquent, se mélangent.
Les poupons de pépé Baudruchon, en plus d’être cons, sont gâteux.
Sous la faible lueur d’une lampe à acétylène, ils tremblotent, ils ruminent, ils radotent.
Ils nous servent la même soupe à la grimace « épuratrice ».
Elle est rance, imbuvable, indigeste.
Elle pue la profanation de sépultures, le taguage de monuments, le vandalisme, les coups de poing et de trique, la tyrannie, la rééducation…
Elle est à gerber !
Cependant, l’agueusie est suffisamment répandue parmi nos semblables pour que nombre d’entre eux la prennent encore pour un breuvage miraculeux et s’en délectent, jusqu’à la lie !
Oui, les chevaliers braillards de l’antifascisme d’opérette sont vieux, très vieux.
Mais, ne nous y trompons pas, ils ont encore un avenir et un réel pouvoir de nuisance.
Nous ne pouvons donc relâcher nos efforts.
Sans faiblir, pied à pied, à Plouha, en Bretagne (voir l’article précédent, ci-dessous) comme partout en France, nous devons, inlassablement, dénoncer, combattre leurs idées, démonter leurs mots, leurs argumentaires, montrer leur ridicule, leur nocivité, leur perversité et opposer notre détermination à leurs entreprises de terreur rouge.
Nous devons participer à leur ringardisation et contribuer, avec l’ensemble du front du refus du cauchemar « éléfiste », à leur disparition future dans les tréfonds des poubelles de l’histoire, bien profond.
Par Roland Hélie
http://synthesenationale.hautetfort.com/
La Rousseau qui n’en a rien à péter ( joli langage de la part d’une député) de la rentabilité des agriculteurs qui gagnent une misère en se tuant au travail, vient les narguer en se payant une résidence secondaire , sans rien faire que de toucher un confortable salaire juste par des discours visiblement plus rentables!
En tout cas, le monde paysan contrairement aux écolo-dingos et autres antifas, ne pratique pas la violence physique !
Leur barbecue est finalement bon enfant si j’ose dire…
Un peu plus rude sera le déversement de fumier devant son domicile secondaire (tiens je croyais que le domicile secondaire n’était pas très écolo !).
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