TRIBUNE LIBRE !
Certains coraniques s’intègrent pour mieux nous désintégrer !
Trois portraits saisissants, dans des contextes distincts et à des époques différentes, abondent le proverbe « chassez le naturel, il revient au galop » dont la paternité revient au poète romain Horace.
Huda, la gravure de mode, une belle fleur vénéneuse
De son vrai nom Huda Kattani, 41 ans, est une américano-irakienne née en Oklahoma au temps d’avant Trump, quand les services de l’immigration laissaient passer sans méfiance tous les mahométans.
Après tout, l’Arabie ne se disait-elle pas la grande amie des USA ?
Huda est un parangon d’intégration des personnes bien assimilées à la société occidentale, mais dont les pensées sont phagocytées par le fanatisme islamique et l’antisémitisme.
Même s’il a été démontré que le génome le plus proche des Séfarades est celui des Irakiens.
Des Israéliens éclairés les appellent « nos cousins » avec une certaine ironie.
Cette personne est étasunienne par droit du sol, sans avoir renoncé au passeport irakien transmis par ses parents.
Elle aurait entamé des études en finance à l’université du Michigan, épousé un chrétien, puis créé son entreprise dans le droit fil du rêve américain.
Donc intégrée ?
Elle ne porte ni le hijab, ni le tchador, ni le haïk, ni la burqa.
Et ses photos la représentent avec les cheveux libres.
Parfois, pour les besoins de sa publicité, elle adopte un petit air canaille.
De quoi faire se retourner son prophète dans sa tombe ?
Pas vraiment, car par le biais son subconscient, Huda lui est restée soumise.
Après un parcours professionnel peu gratifiant, elle lance en 2010 à 27 ans, sur Internet avec ses sœurs, une entreprise vouée à la beauté des femmes qui ne sont pas séquestrées par un patriarche.
D’abord des conseils de maquillage, puis une ligne de cosmétiques, dont Kim Kardashian a assuré le succès en portant ses faux cils.
Avec sa société basée à Dubaï, Huda s’est diversifiée en proposant des palettes de fards à paupières, des rouges à lèvres, des crayons à lèvres, des surligneurs, des fonds de teint et des anti-cernes.
Forte de 54 millions d’abonnés sur Instagram, et de revenus en proportion, elle ne colle pas au cliché de l’ex-colonisée surexploitée en quête de revanche sociale.
Mais quand elle se lâche, son atavisme refait surface, éclaboussant d’inepties l’obscurantisme de son inculture.
« Israël est derrière la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale, le 11 septembre 2001 et le 7 octobre 2023 (…)
Les Juifs ont voulu que tout cela arrive ».
Propos tenus début août 2025 dans une vidéo sur ses réseaux sociaux par cette femme si bien intégrée.
Inspirée par le protocole des sages de Sion ?
De nombreux internautes ont appelé au boycott de ses produits aux USA, et en France où ils sont vendus dans les magasins Sephora.
Accusée d’antisémitisme, Huda Kattani s’est défendue en expliquant qu’elle ne cautionnait pas la haine contre les Juifs mais exprimait seulement des opinions critiques sur Israël.
Qui peut la croire ?
Djamila Bouhired la poseuse de bombes qui posait en fille de roi
Bou Pacha était son nom de guerre.
Elle a assassiné une douzaine de jeunes Français à Alger, entre 1955 et 1957.
Les pseudo-intellectuels germanopratins de l’époque, philosophes à la ramasse, romanciers abscons sans lecteurs et faune artistique cosmopolite du cinéma, du théâtre et de la chansonnette, lui avaient attribué le pseudo-emphatique de « Jeanne d’Arc algérienne ».
La justice préféra ignorer ces félons.
Étudiante studieuse, vêtue à l’occidentale avec style mais sans provocation, son physique de belle brune lui permet de se prétendre Espagnole.
Elle fréquente des bars où se retrouve une partie de la jeunesse européenne.
Au moment où, en 1955 à 19 ans, elle intègre le réseau de poseurs de bombes de Yacef Saâdi.
Un caïd terroriste à la couverture idéale, boulanger dans la casbah, qui roulait les Pathos dans la farine en entreposant armes et explosifs dans son arrière boutique.
Djamila se fond dans le décor, repère les lieux, discute et plaisante avec ses futures victimes, et oublie un sac piégé dans des cafés et autres lieux publics.
Elle recrute et cornaque aussi des complices.
Certaines sont des européennes, enseignantes ou postières communistes maquées à un mahométan, qui exsudent la haine de la France.
Parfois plusieurs bombes explosent dans le même secteur à quelques minutes d’intervalle pour désorganiser les secours et faire encore plus de victimes dans les mouvements de panique.
Le nombre des morts qu’on lui attribue avec certitude est de l’ordre d’une dizaine, mais celui des blessés graves amputés d’un membre est beaucoup plus important.
Difficile d’être très précis.
Nos archives militaires de l’époque ont disparu.
Il ne reste que de rares coupures de presse.
Avant d’accuser la France de crimes contre l’humanité, le ganelon Macronescu aurait pu consulter Wikipédia, pourtant pro-fellagha, qui a listé les principaux attentats et assassinats commis en Algérie.
Presque tous sur des victimes civiles.
Écoles, lycées, musées, cinémas, bars, restaurants et dancings, médecins, pompiers, flics et militaires isolés, fermiers, artisans, commerçants, quidams dans la rue…
Pour la petite histoire, Djamila arrêtée en 1957 et condamnée à mort échappera à la sentence, car elle s’est miraculeusement retrouvée en cloque en prison.
La rumeur prétend que son avocat Jacques Vergès, qu’elle épousera par la suite après une conversion de façade à l’islam, ne se serait pas trop fait prier pour lui rendre ce petit service.
Oussama le massacreur qui aimait le gin, le whisky et la vodka
Avant d’être le terroriste que l’on sait, Oussama ben Laden avait vécu et étudié en Occident, épousé une Britannique et exerçait son métier d’ingénieur sans attirer l’attention.
En costard cravate au bureau, en salopette sur les chantiers, en tweed de gentleman farmer le week end.
En dehors de son pays, il levait le coude, appréciant les mélanges à base de gin et de vodka.
Par contre, il consommait le whisky nature.
Ce n’étaient pas des entorses à sa foi, puisque son pédo-prophète avait négligé de mentionner ces breuvages haram dans son « mein korampf ».
La rumeur prétend qu’il aurait été secoué par la mort accidentelle de son fils préféré, interprétant ce drame familial comme une punition divine en raison de sa vie dissolue.
Un mufti wahhabite aurait alors profité de son état dépressif pour le ramener dans les voies de la « vraie religion ».
Conte oriental ou mythe reconstruit par la suite pour l’édification des foules, qui saura la part de vérité ?
Par contre, il est établi qu’en 1979 il avait coopéré avec le prince Turki al-Fayçal, chef ses services secrets saoudiens, pour faire plonger des membres de sa famille impliqués dans l’attentat à la grande mosquée de la Mecque.
Reprochant aux « gardiens des lieux saints » de vivre dans le luxe et la luxure et prônant le retour à l’islam médiéval.
Un fanatisme que le futur chef d’al-Qaïda n’avait pas encore fait sien.
Qui aurait imaginé alors le grand mamamouchi qu’il allait devenir lorsqu’il se porta au secours des Afghans contre l’URSS en 1980 ?
Avec au départ l’appui des services spéciaux d’Arabie et le concours des gribouilles de la CIA qui n’avaient pas compris que les djihadistes étaient un péril pour le monde libre, bien pire que les Soviets.
Conclusion l’habit ne fait pas plus le moine que la gandoura ne fait le mufti
Les barbus touffus porteurs de kamis, encombrés de femmes bâchées, sont plus repérables que leurs frères portant jeans et blousons.
Mais au moins, ces islamistes ostentatoires arborent un uniforme qui les désigne comme les ennemis de l’Occident.
Entre provocations à l’égard des koufars et signes de reconnaissance entre eux, ils se revendiquent comme cibles et leaders pour la guerre sainte.
Dans leur langage, futurs martyrs du djihad.
Le Français moyen, gavé d’irénisme par les médias, est d’une cécité suicidaire.
Il ne remarque pas la taqîya de certains imams télévisuels se disant tolérants, démocrates et même féministes.
Il n’entend pas le double langage des Frères musulmans infiltrés.
Il est subjugué par la classe de prétendus islamologues, affublés de costumes sur mesure avec parfois gilet et cravate.
Recteurs de mosquées et conférenciers qui dispensent des propos lénifiants, et dont Tariq Ramadan fut un archétype.
Par Christian Navis
Source : https://climatorealist.blogspot.com/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire