Islamistes de Noisy et gauchistes de l’Allier : même combat contre la liberté d’expression
Il paraît qu’il est interdit de dessiner le prophète Mahomet. Pour avoir transgressé cette règle, les dessinateurs de Charlie Hebdo et d’autres victimes co-latérales ont été froidement abattus par les frères Kouachi dans les locaux de Charlie Hebdo.
D’autres profanateurs ont été menacés de mort, ou victimes d’attentats, comme Salman Rushdie, pour avoir osé utiliser une liberté artistique que les islamistes leur interdisait.
Dans un autre registre, à Noisy-le-Sec, commune islamisée de Seine-Saint-Denis, nous avons vu le maire communiste Olivier Sarrabeyrouse se coucher lamentablement à la première menace des disciples d’Allah, qui s’opposaient à la diffusion du film « Barbie », jugé haram par les fanatiques musulmans de la ville.
Mais dans l’Allier, nous avons d’autres spécimens aussi dangereux pour la liberté d’expression.
Nous parlons de deux islamo-collabos de compétition, bien évidemment défenseurs de la cause palestinienne, les nommés Laurent Indrusiak, chef de la CGT du département, et le gourou des gauchistes, l’inquiétant professeur d’histoire Vincent Présumey, dangereux idéologue local.
Ils nous démontrent qu’il n’y a pas besoin d’être musulman pour s’opposer à la liberté d’expression, il suffit de se revendiquer du combat contre l’extrême droite, et d’expliquer aux masses qu’il faut interdire des spectacles, parce que leur concepteur véhiculerait une idéologie dangereuse, et surtout contraire à la leur.
Ainsi, nous avons vu ces ayatollahs tout faire pour essayer d’interdire le spectacle Murmures de la Cité, diffusé du 11 au 13 juillet à Moulins, sous le prétexte qu’il véhiculerait un roman national qui ne correspondrait pas à leur volonté de déconstruire l’histoire de notre pays.
Et nous avons vu, hier, à Hérisson, un commando d’une trentaine de nervis de gauche intimider des familles qui venaient assister à une pièce de Boris Vian, proposée par une association de bénévoles qui retapent des châteaux et proposent des spectacles de rue gratuits.
Nous avons, en 2025, dans une France qui se vante d’être le pays de la liberté, une nouvelle alliance entre islamistes et gauchistes, un nouveau pacte germano-soviétique, qui se met en place, avec le même objectif : interdire toute expression dissidente, que ce soit celle des esprits libres qui osent critiquer l’islam, ou celle des dissidents qui osent défendre la France contre les mondialistes qui veulent la détruire.
Il y a dix ans, Riposte Laïque et Résistance républicaine organisaient les Assises de la Liberté d’expression.
L’occasion de rendre un hommage à notre ami disparu René Marchand, qui expliqua, avec son brio habituel, que l’islam était incompatible avec la liberté.
Et pour conclure le discours de Philippe Milliau, fondateur et président de TV-Libertés, toujours aussi brillant, qui expliqua le rôle des médias alternatifs pour défendre la liberté d’expression.
Dix ans plus tard, ce combat est plus nécessaire que jamais, avec aux islamistes, aux macronistes et aux gauchistes, trois totalitarismes qui veulent faire taire les dissidents par tous les moyens.
V
ous pouvez compter sur Riposte Laïque pour le mener tous les jours, avec tous les patriotes disponibles pour cela.
Source : https://ripostelaique.com/islamistes-de-noisy-et-gauchistes-de-lallier
ET AUSSI
Ah, s’ils n’avaient pas Vincent Bolloré !
Le billet de Philippe Bilger

Vincent Bolloré est devenu l’ennemi idéal : milliardaire, catholique, conservateur, il concentre sur lui toutes les obsessions de la gauche médiatique.
Mais cette diabolisation mécanique dit plus de la paresse du débat public que de l’homme lui-même.
Il y a des polémiques et des dénonciations qui font rire par leur caractère systématique, des obsessions qui amusent.
Je ne cesse de me réjouir de la constance avec laquelle Vincent Bolloré tient lieu de sujet universel quand on n’a plus rien à dire.
D’abord lui, évidemment, puis ceux qui travaillent avec lui ou dans un univers qu’il possède.
Vincent Bolloré est stigmatisé avec une pauvreté d’argumentation qui confine au néant.
Il est milliardaire, il est conservateur et a le front de vouloir communiquer ses idées et les défendre.
J’oubliais le grief fondamental : il est catholique et va régulièrement à la messe.
Son entourage est décrit comme s’il s’agissait d’une coterie adepte de mauvais coups.
Les chroniqueurs qui participent à des débats sur CNews, avec une totale liberté, sont considérés comme des assujettis à Vincent Bolloré et ont beau protester du contraire, ils ne sont pas crus.
Le pire advient quand ils ont le culot, en plus, d’estimer, voire d’admirer Vincent Bolloré.
Il ne fait pas bon en France louer si peu que ce soit les personnalités richissimes, même quand elles doivent tout à elles-mêmes, mais émettre un jugement favorable à Vincent Bolloré relève du péché mortel.
La seule manière pour Vincent Bolloré d’échapper à cette hostilité réflexe, créatrice d’un consensus médiocre, est de voir ce courant délétère se détourner de lui pour accabler, aussi mécaniquement, un autre milliardaire, Pierre-Edouard Stérin, gangrené par ce double vice aux yeux de la majorité des médias : il est également catholique et prétend, offense suprême, en tirer les conséquences dans la vie intellectuelle, politique et médiatique.
Il est évidemment intolérable qu’une personnalité non pourvue de la carte de gauche ait de telles ambitions.
Matthieu Pigasse, lui, peut tout se permettre : il pense bien.
Ah, s’ils n’avaient pas Vincent Bolloré !
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Celui-ci ne sert pas seulement à nourrir en permanence un procès contre lui et ceux qui sont fiers de travailler sous son égide, de près ou de loin.
Il permet aussi à ses adversaires d’être immédiatement crédités d’une aura et d’une indiscutable légitimité dès lors qu’ils se posent en anti-Bolloré.
Cette grâce octroyée d’autorité, comme s’il s’agissait du seul critère pertinent, bénéficie à des personnalités certes estimables comme Olivier Legrain, « L’anti-Bolloré » (Le Nouvel Obs).
Sa volonté exclusive de soutenir des médias de gauche et d’aider à leur création sur un mode très généreux et très opératoire ne démontre rien par elle-même, sinon son appétence pour l’idéologie de gauche et d’extrême gauche.
Dans l’article élogieux qui lui est consacré par Véronique Groussard, on voit bien tout ce dont elle le crédite parce qu’il est de gauche et donc par essence remarquable.
En revanche, elle ne nous démontre pas le caractère nocif de l’information et de la liberté selon Vincent Bolloré et n’interroge pas le fond de la vision d’Olivier Legrain, de sorte qu’en conclusion, on connaît les projets de celui-ci, son idéologie, ses hostilités, mais rien de ce qui l’autoriserait à se poser en modèle par rapport à Vincent Bolloré.
CNews est à droite, n’est pas à gauche. Oui, et alors ?
Ah, s’ils n’avaient pas Vincent Bolloré !
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