lundi 18 août 2025

QUI METTRA UN COUP DE PIED DANS LA FOURMILIÈRE ?

 


REVUE DE PRESSE !

[VOS COMMENTAIRES] 

« Qui mettra un coup de pied dans la fourmilière ? »

« On a du mal à comprendre que notre pays puisse déposer son destin entre les mains d'un quarteron de faux juristes. »
conseil constitutionnel

Pour Jean-caillou, « quand l’État nous veut du bien, il faut se méfier ; en général, il nous fait du mal »

Notre commentateur ne mâche pas ses mots : « La haute fonction publique abrite les virtuoses de l’hypocrisie. » 

 Comment lui reprocher sa colère et sa lassitude ?

Entre le Conseil constitutionnel qui bloque les réformes et le Conseil d’État qui valide l’utilisation de l’écriture inclusive à l'université, on se demande, comme MaryB, s’« il y a une compétition entre les deux à qui fera la plus grosse bêtise ? » 

Pour Paul Aubrin, « il faut organiser un référendum pour préciser les prérogatives exactes du Conseil constitutionnel : le texte de la Constitution strictement et rien d’autre »

Une idée qui ne semble pas si folle, quand ce dernier prend le contre-pied du vote de l’Assemblée nationale au sujet de la loi Duplomb en la censurant partiellement

SKoh6371 « [a] vraiment du mal à comprendre qu’un pays autrefois exemple de rationalité puisse déposer son destin entre les mains d’un quarteron de faux juristes et faux scientifiques nommés selon le bon vouloir d’un dirigeant irrationnel lui aussi »

Notre commentateur est tellement remonté que, pour lui, « ce pays est failli, sauf sursaut de dernière minute qui permettrait de balayer cette nomenclature sectaire et incapable ».

 

On voudrait vraiment penser le contraire, mais quand un Marocain allume sa cigarette à la flamme du Soldat inconnu, la Justice fait le choix du laxisme, et c’est tout un symbole.

 D’ailleurs, Wasp « [est] davantage révolté par le jugement que par le délit ».

 Oiseaudenuit, lui, s’interroge : « Condamné 28 fois, donc on arrive à 29 ; à 30, il aura une médaille ? 

Donc, il reste et Nicolas n’aura qu’à bosser plus pour continuer à l’entretenir. »

 

  Larry Post est lui aussi désabusé par tant de mansuétude et remarque que « quand on veut serrer la vis, c’est tout de suite.

 À ce train-là, bientôt, nous verrons des côtelettes de mouton griller à la flamme ! » 

Au-delà du symbole, et pour rester dans le registre animalier, avec l'affaire des poules de la présidente de l'Assemblée nationale (elle a, depuis, démenti), nos commentateurs préfèrent en rire pour ne pas en pleurer. 

Mitsub est ébahi : « Comment ceci est-il possible ?

 Des poulets qui gardent les poules, je pensais que c’était le contraire ! » 

 PF78, lui, reste pragmatique : « Est-ce que la police municipale pourrait venir arroser chez moi pendant mes vacances ; après tout, je suis aussi un citoyen français (et en plus, étant inconnu, je n’ai pas besoin d’être exemplaire).

 La République a bien dit : les citoyens naissent égaux en droit, elle n’a pas dit après. »

Nos commentateurs n’ont rien contre les poules et encore moins contre les poulets, mais le problème, c’est que, comme le dit Loubiarnès, « le Français [a l’impression d’être lui aussi] un volatile à plumer, et qui en redemande… » 

 

 Forcément, quand BV vous demande si vous accepteriez d’être moins remboursé pour réduire le déficit de la Sécurité sociale, nombreux réagissent comme Scolopandre : « Elle est bien, bonne celle-là ! » et constatent que « c’est encore ceux qui cotisent qui sont les dindons de la farce ».

 Pour Placidus, « autant demander à une dinde si elle veut être sacrifiée lors de Thanksgiving ! 

 D’ailleurs, pour lui, faire des économies et maintenir l’AME sont incompatibles. 

D’autre part, les bénéfices du système de protection sociale doivent être réservés à ceux qui cotisent ou ont cotisé. »

  Bruno abonde dans le même sens : « Un système avec de plus en plus de bénéficiaires et de moins en moins de cotisants est condamné à la faillite.

 Pas besoin d’être prix Nobel d’économie pour comprendre cela. »

Faut-il se méfier, quand l’État nous veut du bien ?

 Comme Jean-Caillou, on se le demande, et comme JdesSaule, « on aimerait croire que c’est de l’incompétence, mais, à ce niveau-là, ça ressemble plus à du sabotage qu’à de la mauvaise gestion ».

 Sans compter qu’en attendant, un professeur du King’s College met en garde la France sur les risques d’une potentielle guerre civile.

 Pour Sycophante, le constat est terrible : « Nos institutions sont défaillantes, notre Justice est défaillante, nos politiques sont défaillants… Tout le monde fait ce constat en France, et il faut un professeur britannique pour le mettre en exergue ! Une première leçon par J. D. Vance… une seconde par David Betz… 

À quand la troisième, pour provoquer un réveil ? 

Et pendant ce temps, les voyous de banlieue continuent à faire ce qu’ils veulent. » 

Comme lui, on se demande « qui mettra un coup de pied dans la fourmilière ».

 
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Source :   Boulevard Voltaire     https://www.bvoltaire.fr

 
ET AUSSI 

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@alainpaulweber
 
Rima Hassan doit être déchue de la nationalité française !
 
 « Rima Hassan veut donc une révolution en France.
 
 Elle l'a écrit sur Twitter/X. 
 
 Cette élue pyromane doit évidemment penser à son rêve, c'est à dire à une révolution islamique.
 
 Car son but est commun à celui de Jean Luc Mélenchon, à savoir le chaos et la prise du pouvoir. 
 
 Tous ses Tweets sont des slogans du Hamas et des menaces.
 
 Elle diffuse de la propagande islamiste en France. 
 
 Son action est subversive. 
 
Elle veut renverser nos valeurs et l'ordre établi en France. Pour tenter d'y parvenir, elle a réimplanté la haine et l'antisémitisme dans toute l'Europe, elle colle des cibles dans le dos de nos amis Juifs et de certains députés, elle fait l'apologie du terrorisme, elle mobilise les masses des banlieues, elle nie le droit à exister d'Israël, tout ceci dans la plus grande impunité, avec des portes grandes ouvertes au Parlement européen et dans des médias et un président de la République qui cède à sa volonté s'agissant de la reconnaissance d'un État palestinien. 
 
 Mais que risque t-elle après une quinzaine de plaintes déposées contre elle et de nombreuses pétitions ? 
 
 Dans la France d'un pouvoir qui se soumet et qui tremble, elle ne risque toujours rien.
 
 Alors, je partage cette lettre ouverte rédigée par une femme et publiée sur X. 
 
 Lettre ouverte À Rima Hassan : la haine du Juif Madame, Il y a des mots qui pèsent plus lourd que des pierres.
 
 Quand vous osez affirmer que les Européens auraient dû créer un État juif « en Europe », vous ne racontez pas l’Histoire. 
 
Vous la déformez pour présenter Israël comme une punition infligée aux Palestiniens. 
 
Ce n’est pas seulement faux, c’est indigne. 
 
Et cela ne sert qu’un seul but : alimenter la haine du Juif.
 
 Israël n’est pas un caprice européen de l’après-guerre. 
 
C’est le fruit d’un projet politique ancien, porté dès la fin du XIXᵉ siècle, enraciné sur une terre où le peuple juif a toujours existé. 
 
En 1947, l’ONU a voté la création de deux États.
 
 Ce sont les pays arabes qui ont refusé et déclenché la guerre. 
Votre récit efface cette vérité. 
 
 Vous oubliez aussi qu’Israël n’est pas composé que de Juifs venus d’Europe. 
 
Près de la moitié de sa population est issue des pays arabes. Maroc, Algérie, Égypte, Irak, Yémen… 
 
Des centaines de milliers de Juifs ont été expulsés, humiliés, dépouillés, et n’ont trouvé refuge qu’en Israël. 
 
Dire qu’Israël est une invention européenne, c’est les effacer, c’est cracher une seconde fois sur leur histoire.
 
 Quand vous expliquez que « l’action du Hamas est légitime du point de vue du droit international » avant d’admettre à contre-cœur que les massacres du 7 octobre sont des crimes de guerre, vous franchissez une ligne rouge. 
 
Vous transformez la barbarie en débat juridique. 
 
Vous offrez aux assassins le luxe d’une justification.
 
 Quand vous défilez aux côtés de drapeaux du Hamas et de portraits de ses chefs, vous envoyez un signal clair : vous n’êtes pas une militante de la paix, vous êtes la collaborationniste du Hamas. 
 
Une élue de la République qui donne un écho républicain à la propagande terroriste. 
 
 Votre discours n’est pas la voix des Palestiniens. Il n’est pas un cri pour la paix. 
 
C’est le langage d’une complaisance dangereuse, qui recycle, sous couvert d’antisionisme, la vieille haine antisémite. 
 
Alors permettez-moi de vous le dire avec clarté : vous avez choisi le rôle le plus infâme qui soit, celui de servir de relais aux mots et aux méthodes des terroristes.
 
 Rima Hassan, vous ne serez pas l’avocate des opprimés : vous resterez dans l’Histoire comme la collaborationniste du Hamas, et le déshonneur portera votre nom.
 
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