TRIBUNE LIBRE !
lundi, 18 août 2025
PARTOUT EN FRANCE, LA CRAPULE PULLULE !
Pieter Kerstens
Et ce ne sont pas les déclarations de bon sens, mais lénifiantes, du Ministre de l’Intérieur Bruneau Retailleau qui ont amélioré la situation depuis des mois.
Quand Madame Belloubet, ancienne Garde des Sceaux, prétendait que les adolescents de 13 ans étaient « irresponsables pénalement » (car effectivement ce sont les parents qui sont toujours responsables de tous les actes de leurs enfants), soit elle ignorait la réalité, soit elle faisait preuve d’angélisme ou bien elle considérait ses concitoyens comme des imbéciles.
S’il est exact que l’enfant jusqu’à 3 ans est incapable de discerner le Bien du Mal ou le Bon du Mauvais, il ressent quand même la différence entre la douleur et la douceur du bien-être.
Mais à partir du plus jeune âge et dès 4-5 ans, les enfants sont réceptifs et capables de distinction, ce qui a conduit certains dirigeants, nombre de responsables et chefs politiques dans le monde à embrigader et à séparer les enfants de leurs parents, afin de les endoctriner et formater leurs esprits à diverses idéologies, hors de toute morale.
Notre devoir de mémoire nous impose les souvenirs des « Pfimfe » et « Hitlerjugend » allemands de la Seconde Guerre mondiale, des enfants-soldats africains lors des conflits tribaux pré ou postcoloniaux, comme au Kenya avec la révolte des Mau-Mau, au Nigéria en 1968, au Congo ex-Belge ou en Somalie avec les milices Al-Chabab, par exemple.
En Extrême-Orient, quand les Khmers Rouges ont envahi Phnom-Penh le 17 avril 1975, toutes les gôches européennes se sont extasiées devant la jeunesse des bataillons communistes,
Composés de soldats de 10-18 ans qui, par la suite, ont démontré leurs capacités sanguinaires à éliminer plus de 2 millions de leurs parents à coups de pelles et de faucilles, sans aucune émotion, au nom de l’Angkor Vat, réelle dictature sanglante de Pol Pot et de Khieu Samphan.
Pas une manifestation, pétition ou condamnation des ces barbaries, de la part des prétendus « humanistes » et « démocrates » qui, aujourd’hui encore, se posent en donneurs de leçons et injurient les opposants à leurs utopies, chimères et idéologies nauséabondes.
Lors de mon premier séjour à Damas en décembre 2014, j’ai eu le privilège de regarder une vidéo produite par Daesh dans laquelle une petite fille de 7-8 ans était embrigadée, dans un camp de formation militaire destiné aux enfants, et qui déclarait tranquillement, avec un joli sourire, que son plus beau rêve serait de pouvoir tuer un « croisé » (un infidèle chrétien).
Quand j’entends les adeptes des Droits de l’Hommiste, les Bisounours de la Justice et tous les défenseurs des assassins et meurtriers mineurs nous déclarer que ces enfants sont « irresponsables » et « victimes » de la Société qui les aurait persécutés ou frustrés, je leur réponds fermement et avec détermination qu’il faut mettre ces crapules hors d’état de nuire.
Ils ont eu le choix de leur décision longtemps avant de passer aux actes.
Partout sur notre Planète, les conflits ont aussi engendré le recrutement d’adolescents et d’enfants qui deviennent de réels prédateurs irrécupérables, car devenus totalement étrangers aux valeurs de civilisation ou réfractaires à toute forme de discipline, de respect ou de civisme,
quels que soient leurs milieux familiaux et origines ethniques.
On a pu le constater depuis des décennies au Brésil où les favelas sont des couveuses de haine, des maternelles du crimes, des écoles pour délinquants diplômés et constituent des gisements fertiles pour les études des criminologues et juristes du monde entier.
En France, les bilans publiés par le Ministère de l’Intérieur laissent apparaitre, année après année, une très sérieuse augmentation des délits et des crimes.
Agressions à main-armée, vols à la tire, vols à la roulotte, menaces, chantages, viols, cambriolages et surtout les bagarres et les rixes où les couteaux sont utilisés en permanence.
Selon Alain Bauer, professeur de criminologie au CNAM : « La Justice peine à s’adapter à l’exigence d’une réponse rapide et efficace sur un certain nombre de difficultés identifiées depuis longtemps, comme le trafic de drogues, source de nombreux phénomènes de délinquance (…)
La France est un cas atypique, avec une augmentation rapide de la violence ces dernières années et des vols, du fait de bandes extraordinairement professionnelles, prédatrices et venues de l’étranger. »
Face à l’anarchie qui gagne, que font alors les voyous, les médias dits d’informations et que fait le gouvernement ?
Les voyous jubilent.
Les avocats des « grands frères » (les caïds) ont transmis leur diagnostic :
les ministres de l’Intérieur aboient à la télé, mais leurs morsures sont légères.
Tout va bien, on continue !
Parce que les pleureuses humanistes affirment également : « la prison est criminogène ». Applaudissements dans les banlieues…où les multirécidivistes pullulent.
Et les médias en remettent une couche : c’est mal de politiser les faits divers.
Ils édulcorent et minimisent.
La sécurité des Français passe au second plan et sous la loi du silence.
Quant au gouvernement, lui, il récite la même rengaine en vogue depuis des décennies : inadmissible…intolérable…insupportable…inacceptable… » et préfère en revenir au réchauffement climatique, à la diminution du déficit public ou encore aux dégâts dus aux inondations, sujets plus préoccupants qui captivent les masses.
Mais plus grave encore serait qu’à la suite multiple des agressions quotidiennes au couteau, les citoyens envisagent de s’organiser en milices d’auto-défense !
Pour la mise hors d’état de nuire des délinquants juvéniles, il fut une époque où existaient des structures spécialisées : les maisons de redressement, baptisées « les hauts murs », établissements chargés de la rééducation des jeunes délinquants. Pourquoi les avoir supprimés ?
Parce que les apôtres « Droits-de-l’Hommiste », aveuglés par les dogmes des Lumières et pétris par des utopies progressistes, nous ont imposé leurs lois liberticides et des règlements interdisant la moindre contestation de leurs erreurs que nos concitoyens payent fort cher et même souvent de leur vie.
Dans les médias et surtout sur les plateaux de télévisions, on entend les Ministres Darmanin et Retailleau annoncer des mesures de bon-sens, des réformes plus répressives, des modifications ou des remises en cause de normes laxistes ou encore des appels à plus de fermeté …paroles, paroles…paroles…la population attend des actes concrets.
Qu’ils soient délinquants, criminels, terroristes, ou Djihadistes, majeurs ou mineurs, hommes ou femmes, européens ou eurasiens, salafistes ou hindouistes, végétariens ou claustrophobes, les coupables doivent subir un juste châtiment, être condamnés et emprisonnés.
Pas de pitié pour les sauvageons, la racaille et la crapule qui polluent notre quotidien.
« La vie pour les innocents. La mort pour les assassins ! »
19:22 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens |
Source : http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2025/08/18/
jmlb
Je me souviens su Slogan : LA VALISE OU LE CERCUEIL !
Peut-être pourrions-nous le remettre au goût du jour pour ce genre d' individus ?
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