samedi 9 août 2025

LE CAS PIERRE - OLIVIER KLEITZ : UNE HONTE NATIONALE ET UN SCANDALE D' ÉTAT ........

 TRIBUNES LIBRES !

Pierre-Olivier Kleitz : le soldat que la République française a laissé mourir

Le 18 mai 2024, dans une cellule de la prison de Fresnes, un homme s’est pendu. 

Il s’appelait Pierre-Olivier Kleitz.

33 ans. Infirmier militaire décoré

 Huit années de service au Mali, au Tchad, au sein de la Croix-Rouge et du SAMU militaire. 

Un soldat qui avait soigné, sauvé, parfois sous le feu. 

Mais pour la justice française, il n’était plus qu’un dossier à instruire, un suspect à enfermer. 

Et pour l’État, il ne méritait même pas la vigilance élémentaire qui aurait pu lui sauver la vie.

 

L’incident au Tchad : la légitime défense reconnue… puis ignorée

Septembre 2023.

 En mission au Tchad, Pierre-Olivier Kleitz est agressé dans le camp français de Faya-Largeau par un soldat tchadien armé d’un scalpel, puis de ciseaux.

 L’attaque est confirmée sur place par les autorités locales. 

Le militaire français tire pour se défendre. L’agresseur meurt. 

 Au Tchad, l’affaire est classée sans suite. 

L’acte est reconnu comme relevant de la légitime défense. Pierre-Olivier rentre en France libre.

Mais quelques mois plus tard, la justice française rouvre le dossier. 

Le 26 avril 2024, il est interpellé à son domicile comme un criminel.

 Le 14 mai, il est placé en détention provisoire pour homicide volontaire. 

La raison ? Une réinterprétation des faits par le parquet.

Selon le parquet chargé de l’enquête, les blessures du Français, bénignes, auraient pu « être auto-infligées » car ils n’ont trouvé « aucune trace de sang, et seul le profil génétique du mis en examen a été retrouvé sur le scalpel ». 

En outre, « le défunt tchadien a manifestement été victime de tirs mortels dans le dos et alors qu’il se dirigeait vers la sortie ». 

Pierre-Olivier Kleitz souffrait de stress post-traumatique sévère, diagnostiqué après ses missions au Mali. 

Des experts psychiatres avaient alerté sur la nécessité d’un suivi médical et sur le danger que représentait un enfermement. 

Malgré cela, il est incarcéré à Fresnes, seul dans une cellule non sécurisée, sans surveillance renforcée, alors même qu’un des motifs invoqués pour justifier sa détention était… de « le protéger de lui-même ».

Le 16 mai, il appelle son père : « Papa, sors-moi de là… c’est l’enfer ». 

Deux jours plus tard, on le retrouve pendu.

 

Une famille en quête de vérité

Depuis ce drame, ses parents se battent. 

Christine Elion et Michel Kleitz ont déposé plainte contre X pour homicide involontaire et mise en danger de la vie d’autrui. 

Ils demandent la saisine de l’Inspection générale de la justice. 

Ils ont écrit aux ministères, sollicité des rendez-vous. 

Le ministère des Armées a exprimé son soutien.

 La Justice, elle, n’a rien répondu. Le silence, comme un second abandon.

 

L’avocat de la famille, Me Patrick Ramaël, dénonce des « dysfonctionnements graves » et un processus judiciaire opaque. 

Il souligne qu’après un refus initial de placement en détention, le juge est revenu sur sa décision en changeant le motif.

Ce drame illustre, une fois encore, un phénomène que trop de familles connaissent : la justice française se montre implacable envers ceux qui servent le pays, tout en se montrant étrangement clémente envers des délinquants multirécidivistes ou des criminels importés par l’immigration de masse. 

Dans nos prisons, certains purgent leur peine comme dans un « centre de vacances » ; d’autres, comme Pierre-Olivier Kleitz, y trouvent la mort.

Ce n’est pas un simple fait divers.

 C’est un scandale d’État. 

Un soldat loyal est mort, non sur un champ de bataille, mais dans une cellule française, abandonné par ceux qu’il avait protégés.

 

 Sa mémoire impose que la lumière soit faite.

 Et que cesse cette justice à deux vitesses qui broie les siens et relâche les pires.

Par Yann Vallerie

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 


 

Conversation



TWITTER 

Je veux que cette histoire soit connue de tous.
 
 Je veux qu’elle éclate.
 
 Qu’elle sorte de l’ombre car ce qui est arrivé à Pierre-Olivier Kleitz est une honte nationale, un scandale d’État. 
 
 Le 18 mai 2024, Pierre-Olivier Kleitz, infirmier militaire, 33 ans, décoré, respecté, s’est pendu dans sa cellule à la prison de Fresnes.
 
 Il était soldat, il avait risqué sa vie pour la France. 
 
Il avait servi au sein de la Croix-Rouge, sauvé des camarades, fait son devoir mais la justice française l’a broyé. 
 
 En septembre 2023, en mission au Tchad, Pierre-Olivier est attaqué par un soldat tchadien armé de ciseaux et d’un scalpel.
 
Il se défend. Il tire. 
 
L’agresseur meurt mais les faits sont clairs.
 
 Là-bas, sur place, les autorités tchadiennes reconnaissent qu’il s’agit d’un acte de légitime défense. 
 
Aucune charge n’est retenue.
 
 Il est autorisé à rentrer en France, libre. 
 
L’affaire est classée. Mais quelques mois plus tard, la justice française décide de s’en mêler et de le faire tomber.
 
 Le 14 mai 2024, il est interpellé à son domicile comme un vulgaire criminel.
 
 Placé en garde à vue, traité comme un assassin. 
 
Puis incarcéré à Fresnes, en détention provisoire, pour homicide volontaire. 
 
À aucun moment, la justice ne tient compte de sa situation médicale. 
 
Pourtant, plusieurs expertises psychiatriques soulignent un stress post-traumatique sévère lié à ses missions. 
 
Tous les médecins disent la même chose, cet homme a besoin d’un suivi adapté, mais sûrement pas de la prison. 
 
Il est placé seul, dans une cellule non sécurisée, sans codétenu, ni surveillance. 
 
Une cellule avec des barreaux au lit. 
 
Le 16 mai, il appelle son père. Il lui dit : « Papa, sors-moi de là… c’est l’enfer. »
 
 Le 18 mai, il se pend. Sa famille, effondrée mais digne, se bat depuis pour obtenir justice.
 
 Elle a porté plainte contre X pour homicide involontaire et mise en danger de la vie d’autrui.
 
 Elle a écrit à tous les ministères, alerté toutes les autorités. 
 
Aucune réponse. Aucun appel. Aucune explication. Rien. Le mépris total. 
 
 Quelques articles ont été publiés sur cette affaire. 
 
Mais aucun grand média national n’en a parlé. 
 
Aucune chaîne de télé. Aucun débat. Rien. 
 
Le silence. L’effacement. L’oubli organisé. 
 
 Ce silence ne doit pas été toléré. Je refuse qu’on efface ce que Pierre-Olivier a vécu. 
 
Je refuse qu’on enterre ce drame comme un fait divers de plus. 
 
Ce n’est pas un accident, ni une erreur judiciaire.
 
 C’est une maltraitance. Un acharnement.
 
 Une injustice d’État.   Pierre-Olivier Kleitz a été maltraité par la justice française.
 
 Jeté en prison. Abandonné. Méprisé. 
 
Condamné sans procès. Et ce n’est pas un cas isolé.
 
Nos soldats, nos policiers, nos gendarmes, nos pompiers sont de plus en plus traités comme des dangers publics par une magistrature qui use et abuse de son autorité et qui a perdu tout bon sens.
 
Ces hommes et ces femmes risquent leur vie pour protéger la nôtre, et lorsqu’ils sont en difficulté, en souffrance, ou confrontés à une situation extrême, ils sont lâchés, humiliés, écrasés. 
 
 La justice française, dans trop de cas, est devenue une machine à punir les bons et à relâcher les pires. 
 
Elle est devenue politique, idéologique, déconnectée de la réalité.
 
 Elle n’applique plus la justice, elle protège les uns, elle détruit les autres et aujourd’hui, elle a du sang sur les mains. 
 
 Je m’adresse à ceux qui me suivent et qui croient encore à l’honneur, à la vérité, à la justice. 
Ne laissez pas cette histoire disparaître. 
 
Parlez-en.
 Partagez le nom de Pierre-Olivier Kleitz.
 
Montrez son visage. Faites circuler son histoire.
 
 Soutenez sa famille. Exigez des comptes. Nous devons refuser cette justice à 2 vitesses. 
 
Nous devons nous lever contre l’acharnement judiciaire envers ceux qui défendent la France.
 
 Pierre-Olivier est mort car la République l’a abandonné. 
 
Sa mémoire ne doit pas s’éteindre. 
Elle doit éclairer. 
Elle doit réveiller. 
Elle doit servir.
 Justice pour lui. 
 
Vérité pour sa famille. 
 
Respect et soutien à tous ceux qui portent l’uniforme et que l’on maltraite.
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Écrivain,Conférencière  Patriote engagée pour la France  et les droits des femmes, contre l’extrémisme ,l’islamisme, l’antisémitisme et les discriminations !
 





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