TRIBUNES LIBRES !
Ardèche : des mineurs mettent le souk dans un petit village de 250 habitants !
On se croyait encore passablement tranquilles dans la plupart des petits villages de France mais maintenant c’est fini.
Français qui espériez, en quittant les villes, trouver le calme à la campagne, sachez-le, cela n’existe plus !
Le maire de Saint-André-en-Vivarais, Antoine-Alexandre Cavroy, vient de signer un arrêté municipal instaurant le couvre-feu dans son village de 210 habitants.
Dans ce village, les moins de 18 ans n’auront plus le droit de traîner dans la rue entre 22 h et 6 h du matin.
Oui, vous lisez bien.
Vous laissez vos enfants de moins de 18 ans traîner dans la rue, vous ?
Moi non. Qu’ont-ils à y faire ? Rien.
Mes enfants n’étaient dans la rue que pour une excellente raison à cette heure là : aller à une réunion exceptionnelle par exemple.
Mais les cours particuliers de maths ou de violon, les entraînements sportifs, n’ont plus lieu après 22 h.
Et de plus les parents « normaux » encadrent solidement les mineurs pour toute sortie, les déposant eux-mêmes et les reprenant à l’heure dite.
Cela ne paraîtra bizarre qu’aux esprits chagrins, woke, ou hors sol. Tous les parents de ma connaissance font de même.
Car quelle bonne raison a un enfant de moins de 18 ans de traîner dans la rue passé 22 heures, je vous le demande ?
A moins de s’occuper au charmant jeu d’enlever les panneaux de signalisation ? Ce qui équivaut à jouer avec la sécurité routière.
Surtout comme c’est le cas à Saint-André, quand il s’agit d’un stop sur la départementale qui traverse le village.
Ou de taguer des bâtiments flambants neufs ?
Ce qui finit par nous coûter bien cher.
Ou de dealer. On n’ose à peine y penser…
Il semble que la plupart des Français soit d’accord avec cette mesure de couvre-feu. Mais c’est oublier la LDH, toujours fidèle à elle-même.
Elle a attaqué une mesure du même genre à Triel, estimant que cela discriminait les mineurs.
Cédric Aoun, maire de Triel-sur-Seine, sans étiquette, vient de prendre la décision d’instaurer un couvre-feu nocturne pour les mineurs et « cela suscite une vive polémique dans la commune et au-delà » nous dit le très dans l’air du temps laxiste Info Yvelines.
Enfin, à la LDH au moins, car elle s’est toujours crue missionnée pour dire le bien et le mal à tort et à travers.
On reconnaît bien là la LDH.
Dès le début du mois de juillet, l’arrêté municipal de Triel interdit aux moins de 18 ans de circuler seuls entre 23h et 5h du matin, sauf s’ils disposent d’une autorisation parentale spécifique.
Cette mesure a été prise en réaction à une recrudescence d’incivilités nocturnes.
La LDH examine quelles suites juridiques elle va donner à ces affaires de Triel.
Le tribunal administratif de Versailles, qui a déjà annulé un arrêté anti- rassemblement, saisi en référé, s’est réuni le 7 août et doit rendre un verdict aujourd’hui sur le couvre-feu.
Pour la LDH, le couvre-feu porte atteinte à la liberté fondamentale d’aller et venir des jeunes mineurs et serait discriminant.
Ben voyons.
Dès le berceau liberté de dealer, de taguer, de refuser d’obtempérer, de traîner dans la rue ?
On croirait entendre Nahel, ou Assa Traoré.
Les mineurs qui sont sérieux dans leurs études ou leur travail se moquent bien du couvre-feu.
C’est pour eux que c’est discriminant, en les mettant dans le même panier que les autres.
Les opposants au couvre-feu se lancent dans de savantes argumentations sur la légalité, la proportionnalité, il faudrait que ces mesures soient adaptées, strictement nécessaires au maintien de l’ordre public et bla-bla-bla.
Ces arguties ne font que rendre le débat profondément ennuyeux dans le but d’empêcher les tenants de l’ordre, justement, de réclamer cet ordre.
Disons-le tout de suite : la majorité des Français (67%) ont sur le sujet des idées « à l’ancienne », cela n’a pas changé : ils sont pour le couvre-feu, pour une bonne fessée à tous les mineurs coupables de troubles, une interdiction de sortir tard le soir ou la nuit, la suppression des allocations aux parents qui n’éduquent pas leurs enfants, étant un minimum.
Et on ne peut s’empêcher d’applaudir le Jarl, (pseudo qui signifie chef de guerre en scandinave) qui raconte dans son livre comment il y a vingt ans il était venu dans son village, appelé par le maire, pour remettre de l’ordre sans ménagement, en cassant la figure des parents qui laissaient leurs enfants faire n’importe quoi, et en donnant une raclée mémorable à ces enfants.
Il y en a qui ne comprennent que la force, et une bonne fessée, bien qu’interdite de nos jours, n’a jamais fait de mal à personne, au contraire.
N’en déplaise à la LDH et à tous les permissifs dont on aimerait presque que leur vie personnelle soit elle aussi perturbée par tous les mineurs arrogants et racailleux qui mettent le bazar la nuit, pour le plus grand malheur des honnêtes gens.
Par Sophie Durand
ET AUSSI
J’ai 18 ans, je milite au RNJ et à Némésis et j’ai été agressée par des gauchistes deux fois en 3 mois
Riposte Laïque : Vous êtes une jeune patriote, peu de nos lecteurs vous connaissent.
Pouvez-vous vous présenter rapidement ?
Éléonore Ranchin :
Je suis née en 2007 à Montréal.
À la rentrée, j’intègre une première année de licence en droit.
Je suis issue d’une famille engagée : mon père est un ancien militaire, actuellement cadre, ancien porte-parole et candidat aux cantonales pour Nicolas Dupont-Aignan ; ma mère, ancienne hôtesse de l’air.
J’ai un frère et une sœur.
J’ai grandi en Touraine avant de rejoindre la région parisienne.
Riposte Laïque : Quels sont actuellement vos engagements politiques ou associatifs, et qu’est-ce qui vous a conduit à ces choix militants ?
Éléonore Ranchin :
Je milite au sein du Rassemblement National et du collectif Némésis.
Je m’implique aussi dans des actions associatives non politiques, comme à l’Ordre de Malte.
Chaque année, j’organise avec des élèves de mon ancien établissement l’envoi de cartes de vœux aux militaires qui passent les fêtes loin de leurs familles.
Ma motivation est simple : défendre
nos valeurs, nos traditions et la liberté d’expression face aux
violences et aux intimidations.
Et ces violences ne sont pas théoriques, elles m’ont frappée de plein fouet, physiquement et politiquement, dans une indifférence quasi totale des autorités.
Riposte Laïque : Ces choix ont-ils eu des conséquences dans vos relations familiales ou amicales ?
Éléonore Ranchin : Oui. Certains anciens amis m’ont traitée de raciste, fachiste ou nazie.
Dans ma famille, une tante a même interdit à mes cousines de me parler.
Ce n’est pas juste un désaccord : en France aujourd’hui, s’afficher patriote peut vous faire perdre des proches.
Riposte Laïque : Vous avez été victime d’une première agression en mars. Pouvez-vous nous dire ce qu’il s’est passé, et s’il y a eu des suites ?
Éléonore Ranchin :
En mars, en allant à mon établissement scolaire qui se trouvait dans le
16ème arrondissement, un homme m’a interceptée, bloquée dans un
passage, étranglée, avant de s’enfuir grâce à un passant qui se rendait à
son travail en criant « siamo tutti antifasciste ».
J’ai eu 12 jours
d’ITT.
L’enquête a été classée en seulement deux mois ce que je
déplore car je juge que cette enquête a été bien trop courte compte-tenu
des faits, faute d’images, car la mairie refuse d’installer des caméras
dans cette zone pourtant connue pour d’autres agressions.
Quand la sécurité est sacrifiée sur l’autel d’idéologies municipales, c’est déjà une responsabilité politique.
Riposte Laïque : Cela a-t-il changé votre quotidien ? Avez-vous peur maintenant dans la rue ?
Éléonore Ranchin :
Oui. Pendant des semaines, j’ai évité mon chemin habituel, changé mes
horaires.
Aujourd’hui encore, je panique parfois en croisant des profils militants d’extrême gauche.
Mais ce qui nourrit le plus cette peur, c’est de savoir que l’État, qui devrait me protéger, a choisi de ne rien faire.
Riposte Laïque : Début juin, vous avez été agressée à nouveau par une vingtaine d’antifas.
Quelles ont été les conséquences physiques et pourquoi, selon vous, cet acharnement ?
Éléonore Ranchin :
J’ai eu la lèvre ouverte sur plusieurs centimètres, le frein de la
lèvre supérieur sectionné, et de nombreux bleus car, au sol, j’ai reçu
de multiples coups au visage.
Je pense que cet acharnement vient de
ma visibilité militante et du fait que je ne cède pas aux menaces bien
que je ne le comprenne toujours pas bien.
Mais il faut dire les choses : si mes agresseurs agissent avec autant d’assurance, c’est parce qu’ils savent qu’ils ne risquent rien.
Quand une agression filmée, avec témoins, reste impunie deux mois après, ce n’est plus de la lenteur : c’est un signal de tolérance envoyé par les autorités.
Riposte Laïque : Certains agresseurs seraient identifiés, mais il n’y a pas eu d’arrestation.
Pensez-vous qu’ils soient protégés ?
Éléonore Ranchin : Oui. Nous avons fourni aux policiers le nom et les liens militants d’une antifa présente sur place, proche de réseaux connus.
Elle n’a jamais été auditionnée.
Cela prouve qu’il existe une impunité politique pour certaines violences, à condition qu’elles visent les “bons” ennemis.
Riposte Laïque : Après deux agressions, n’avez-vous pas envie d’arrêter pour préserver votre sécurité ?
Éléonore Ranchin :
Non. Arrêter serait leur donner raison.
Je refuse de disparaître de l’espace public parce que l’État est défaillant.
Mais soyons clairs, si je dois organiser seule ma sécurité, c’est parce que le ministère de l’Intérieur et la préfecture de police ne font pas leur travail.
Leur inaction les rend indirectement complices.
Riposte Laïque : Sur qui pouvez-vous compter et quelles mesures avez-vous prises ?
Éléonore Ranchin :
Sur des amis qui suivent ma localisation 24h/24.
Je limite mes déplacements seule et m’arrange pour être accompagnée dans certains quartiers.
C’est le monde à l’envers : une adolescente doit vivre sous surveillance privée parce que l’État refuse de protéger ses citoyens les plus exposés.
Enfin, je veux que les Français sachent que ce qui m’est arrivé peut arriver à n’importe qui.
Quand on s’attaque à deux jeunes femmes, en plein jour, en plein Paris, et qu’aucune arrestation n’a lieu deux mois après, ce n’est pas un problème de moyens : c’est un choix politique.
L’État a les noms, les vidéos, les témoignages, mais choisit l’inaction.
Il envoie ainsi un message clair : certaines violences sont tolérées, à condition qu’elles visent les « mauvais » citoyens.
Je continuerai à me battre, mais il est temps que les autorités se rappellent que protéger les victimes n’est pas optionnel, c’est leur devoir.
Propos recueillis par Jeanne Bourdillon
Source et Publications : https://ripostelaique.com/
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