jeudi 2 janvier 2025

MÉDIAS : LES VOEUX DU PRÉSIDENT , ON N' A PAS ÉTÉ DÉÇU.........

 TRIBUNES LIBRES !

Il ne fallait rien attendre des voeux présidentiels et on n’a pas été déçu

 

Que fallait-il attendre des vœux présidentiels ? Rien. 

Personne n’a donc été déçu, on se demandait d’ailleurs ce que le président pourrait bien avoir à dire après l’échec de l’ensemble de tout ce qui peut faire une présidence ?

 Ses vœux ont d’ailleurs été les plus courts de sa carrière. 

 La dissolution n’a pas été une bonne chose, dit-il. 

Si justement, elle a permis qu’il n’ait plus de majorité et que son pouvoir de nuisance en soit amoindri. 

Elle a créé de la division parmi les Français ? 

Comme si les divisions n’étaient pas déjà là, puisque pour toute forme de dialogue et de démocratie, des groupes identifiés, à gauche et très à gauche, ont comme unique méthode, casser, hurler, brûler, intimider… à l’image d’un Delogu, menaçant dans le verbe, d’une Rima Hassan, objet de plaintes pour apologie du terrorisme, ou de groupuscules violents, représentatifs de personne, qui collent leurs mains au bitume ou saccagent des œuvres d’art.

Et Macron d’utiliser sa dernière ficelle, puisqu’il n’a plus de majorité et qu’il sait qu’il n’en retrouvera jamais plus, c’est fini.

 Il va demander au peuple de trancher, sans toutefois préciser sous quelle forme. 

On reconnaît bien là toute la duplicité du personnage, qui avait fait remplir des cahiers de doléances pour ne jamais en tenir compte. 

Mais il ne proposera jamais de référendum sur l’immigration, sur la sortie de la France des machins européens, sur la guerre en Ukraine, sur la réforme des retraites, ou sur tout ce qui fait partie de la doxa européenne et qui n’est pas négociable, quand bien même 90 % des Français seraient contre. 

On se souvient du référendum sur l’Europe, quand le non populaire est devenu un oui parlementaire. 

Non, il demandera peut-être et encore, ce n’est même pas sûr, leur avis aux Français sur des questions subalternes, comme l’euthanasie et encore, si les sondages montrent que les Français sont de son avis et que tout risque de déroute est écarté. 

Un non sonnerait comme un désaveu de sa personne et cela est hors de question, on connaît sa propension à ne pas supporter la moindre frustration. 

En réalité, comme l’écrivent de nombreux commentateurs, l’unique obstacle à toute forme de renouveau est ce président lui-même.

En résumé, il s’est fichu de nous comme toujours et comme on le connaît. 

Pour les Français, ce seront des vœux de combat et de solidarité.

 L’ennemi est à l’intérieur, ces pouvoirs successifs qui nous emmènent par les normes et les interdictions en cascade, à une société de contrôle, le djihadisme, qui fait que tout se déroule maintenant dans notre pays, à l’abri de blocs de béton.

 L’ennemi est aussi à l’extérieur, cette Europe, qui assène les normes et prive petit à petit les nations de toute forme d’indépendance et de souveraineté, jusqu’à régir les résultats des élections, pour tendre elle aussi, vers une société de contrôle, peut-être même sans élections, sur le modèle chinois, devant lequel ils sont tous en admiration. 

Pour notre part, ce sera la posture critique et nous appelons tous les Français à la prise de conscience aiguë de ce qui se joue en cette période charnière, à l’issue de laquelle se jouera la liberté retrouvée, ou l’asservissement européen normatif.

Rassemblement du Peuple Français

Le groupe Telegram du RPF : https://t.me/R_P_France

Par Pierre Duriot : porte-parole du Rassemblement du Peuple Français

 

ET AUSSI

 

Macron prend sa part de foutoir et les Français prennent tout le reste !

Une fois de plus, Emmanuel Macron s’est encore encensé lors des traditionnels vœux présidentiels à la Nation. 

Et lorsqu’il disait « nous » il voulait dire « je ».

 C’était un « nous » de majesté, pour un homme qui n’en a aucune, de majesté.

Ainsi, il nous a envoyé de belles images subliminales pour commencer son discours, histoire de montrer à quel point le pays avançait grâce à lui, oubliant un peu vite que les athlètes français avaient par exemple brillé sans lui aux Jeux olympiques, oubliant encore que, pour la reconstruction de Notre-Dame, ce sont des artisans qui étaient à l’œuvre, sans avoir besoin de lui là non plus. 

Une fois encore, il s’est commémoré à travers la gloire passée et présente de notre pays, qui ne lui appartient pas mais qu’il s’approprie toujours.

 

 Dans cette suite d’images, on notera la présence de la nouvelle sainte de la gauche, Gisèle Pélicot, l’icône pourfendeuse du mâle blanc.

« Sachons garder le meilleur de ce que nous avons été durant cette année 2024 », a ainsi susurré la voix éthérée présidentielle, une voix inaudible et grinçante aux oreilles des vrais Français, ceux qui regardent tomber leur pays à grands coups de progressisme macroniste, apatride et sans foi.

 

Puis Macron est apparu comme apparut jadis le Christ ressuscité à Marie-Madeleine, voulait-il sans doute donner comme impression.

 Et c’est avec une fausse contrition et une rouerie authentique qu’il a admis que la dissolution avait provoqué « davantage de divisions à l’Assemblée que de solutions pour les Français »

Mais au fait, qui a pulvérisé les partis traditionnels, qui a ainsi favorisé la montée en puissance de La France Insoumise, ce parti ouvertement ennemi des valeurs françaises d’hier et d’aujourd’hui, sauf peut-être celles défendues jadis par le Comité de salut public déchaînant sa rage exterminatrice sur ses contradicteurs ?

 Qui a favorisé surtout la traque des patriotes, sous la houlette de ministres obsédés par l’extrême droite et laissant dans le même temps prospérer la diversité ultraviolente ? 

Oh, pas toute la diversité, car il se trouve des étrangers désireux de s’assimiler et reconnaître sa mansuétude et sa grandeur à la France, dont Boualem Sansal, superbement ignoré par nos autorités qui se couchent toujours devant l’insupportable Algérie.

Quant à prétendre avoir dissous l’Assemblé pour redonner la parole aux Français, il suffisait de vous dissoudre en démissionnant, monsieur le drôle de président, « drôle » étant entendu au sens ancien, c’est-à-dire un « personnage roué à l’égard duquel on éprouve de la défiance ».

https://www.cnrtl.fr/definition/dr%C3%B4le

 

Pour le reste, les promesses de sécurité, de vraie justice et tutti quanti, on ne saurait y croire, forts que nous sommes d’une expérience de plus de sept ans d’un règne personnel méprisant et lâche à la fois.

Et de nous asséner l’Europe à tour de bras, comme si l’Europe nous voulait du bien. 

C’est pourquoi accuser hypocritement les « lois du commerce » international, le Mercosur en tête entériné par von der Leyen, alors qu’Emmanuel Macron est un acharné mondialiste, cela prête à rire, mais rire amèrement. Et en appeler à demi-mot au référendum, c’est encore une duperie. 

On peut en effet être certain que si le résultat d’un quelconque référendum ne va pas dans le sens de sa politique, Macron trouvera un moyen de l’invalider. 

Parce que tout simplement les Français ne sont plus maîtres de leur politique depuis belle lurette.

Alors si Emmanuel Macron prend sa part dans le fiasco politique né de la dissolution, hélas il nous fait prendre tout le reste, entre insécurité, violences ethniques, wokisme tyrannique, etc., et, de l’autre côté, censure fanatique des patriotes.

 Oui, les Français ont une part énorme à supporter, mais jusqu’à quand ? 

En effet, nous ne saurions continuer de nous enfoncer passivement dans ce chaos, orchestré par un président horriblement cynique, voire diabolique.

Aussi, que l’année 2025 sonne le glas de nos ennemis et en même temps le réveil des forces vives de la France authentique et charnelle.

Bonne année à tous.

https://www.elysee.fr/emmanuel-macron/2024/12/31/voeux-aux-francais

 

ET AUSSI

 

Bientôt un bagne à l’île aux Cochons ? 

Macron doit faire un référendum !

Cette terre française australe a l’avantage d’être inhabitée.

 Sauf par des porcs laissés là par les marins d’antan pour y retrouver de la viande fraîche à chaque passage. 

Et comme les gros cochons ne pensent qu’à forniquer, ces animaux se sont mis à croître et à multiplier.

Les Kerguelen c’est bien aussi. 

Mais ce serait dommage de perturber les scientifiques qui y travaillent. 

Officiellement, ils s’occupent de géologie, volcanologie, océanographie, biologie marine et élevage de moutons. 

Leurs autres activités comme la traque des sous-marins par des balises hydro-acoustiques pour étudier les baleines, et la poursuite des satellites militaires lors de recherches météo, sont top secrètes. 

Ou inavouables comme les pavillons de complaisance.

 

Visite guidée de l’île aux Cochons

 

Appartenant à l’archipel Crozet, cette île, Latitude 46° 06′ 09″ S, Longitude 50° 13′ 54″ E, est un stratovolcan supposé éteint, de 67 Km2. 

Difficile d’accès car entouré d’abruptes falaises continues. Tu glisses, t’es mort. 

Si tu ne te ratatines pas, l’eau glacée t’achève. Pas besoin de clôtures ni de miradors pour dissuader les candidats à l’évasion. 

La baignade dans les quarantièmes rugissants est fortement déconseillée.

C’est une des dernières « terra incognita » de la planète. 

Comme une partie de la Nouvelle-Guinée et pour les mêmes raisons. 

Reliefs abrupts chaotiques noyés dans des nuages bas épais que les capteurs et les yeux du ciel ont du mal à discerner. 

La plupart des récifs avoisinants sont qualifiés d’ « existence douteuse » sur les cartes marines.

Il y pousse beaucoup des cailloux mais on peut y cultiver des choux des Kerguelen, des oignons, des carottes et des navets. 

En pleine terre dans les endroits protégés sinon en serres. 

Des essais concluants ont eu lieu. 

Et quand il a bien plu, il pousse des mousses et des lichens semblables à ceux dont les Inuits font des soupes. 

Sources, ruisseaux et mares fournissent assez d’eau toute l’année.

Les futurs bagnards ne mourront pas de faim puisqu’on y trouve en abondance, en plus des cochons et des manchots, des gros poissons, colins et raies, dont l’océan est généreux, ainsi que des crabes et des algues comestibles. 

Les condamnés n’étant pas des âmes tendres et sensibles, on peut supposer qu’ils ne deviendront pas copains comme cochons avec les suidés indigènes qui se laissent facilement apprivoiser.

 

Aux Bahamas, comme à Koh Samui en Thaïlande, il y a des îles aux cochons dont le sympathique sans-gêne et la fraternisation avec les humains ravissent les touristes. 

Sans oublier les cochons nains des Viets, animaux de compagnie que redécouvrent les bobos qui n’ont pas connu la Colonie. 

Mais les cochons français n’auront pas cette chance.

 

En faire un bagne ne plaira pas à ces enfoirés d’écolos !

D’abord parce que c’est une réserve naturelle où abondaient leurs frères d’infortune, les manchots. 

L’effondrement de la population de ces volatiles aptères sans qu’aucun crime anthropique ne puisse être suspecté, les a plongés dans l’effroi et la désolation. 

Un écolo sans coupables à lyncher, c’est comme un nazi sans Juifs. 

S’il n’en trouve pas, il en invente.

 

Mais aucun de ces blaireaux ne s’est encore pointé avec sa tente Quechua (pub gratos) pour compter les manchots. 

Sans doute ont-ils trop à faire avec ceux de LFI et de EELV. 

En plus des grosses vaches qui puent de la gueule, des ouistitis analphabètes et des sardines chtarbées. 

Le zoo de gauche est pittoresque et mérite le détour.

 

Ensuite, parce que les transportés pourraient être des islamo-mafieux qui ne mangent pas de rhalouf. 

 Mais pourquoi s’en inquiéter ? Tout téléphage bien formaté sait qu’ils ne représentent qu’une minorité des auteurs de crimes graves, susceptibles d’être expédiés au bagne. 

Ceux-là, pourquoi ne pas leur proposer une réduction de peine s’ils apostasient en dégustant rillettes, saucissons et rôtis de porc ?

 

Enfin, il y a les drouadloms. 

 Que feront les relégués de leur temps de loisirs forcés, quand ils auront gagné leur pitance, même pas à la sueur de leur front, vu le climat ? 

Les connexions internet passent mal ou pas du tout dans ces coins perdus sous ces latitudes. 

Et on ne va tout de même pas offrir des satellites dédiés à des braqueurs et des assassins !

Par souci d’humanité, on pourrait leur fournir une bibliothèque. 

Mais à l’image de ceux qu’ils envoient à l’Assemblée, la plupart ne savent pas lire le français.

 Quant aux pattes de mouche qu’il feuillettent à l’envers, ils ne lisent pas. 

 

Ils récitent ce qu’on leur a entré dans le ciboulot dès l’âge de 3 ou 4 ans, à l’école coranique.  Magie de l’inculture orale.

À défaut, une médiathèque avec des vieux films. 

Mais une fois qu’ils les auront vus dix fois pour être sûrs d’avoir bien compris l’intrigue, ils saccageront les lecteurs de DVD et les écrans. 

Pour passer le temps. 

Et parce que le vandalisme est inscrit, avec d’autres tares, dans l’atavisme de ces déchets de la société.

 

Cesare Lombroso avait raison, les criminels nés ne sont pas une théorie, mais une réalité !

Homme du XIXe siècle, Lombroso a répété les erreurs et les préjugés de son temps, en voulant systématiser ses intuitions. 

On ne repère pas forcément un criminel à sa sale gueule, les pires serial killers sont des individus anodins, voire d’apparence sympathique. 

Inspirant confiance à leurs victimes. 

Quant à la soi-disant intelligence inférieure des femmes, sans doute a-t-il eu la malchance de ne copuler qu’avec des bécasses ?

Par contre, le César est terriblement de notre époque, et donc très en avance pour son temps, lorsqu’il relie la pulsion criminelle à la dégénérescence des individus, physique et/ou mentale, plus importante dans les groupes endogamiques. 

La consanguinité peut être mortelle.  Pour les autres. 

Simple constatation sans a priori de race. 

Le sous-prolétaire européen envieux et vindicatif peut être plus criminogène que le Balouba du Kasaï, exogamique et adapté à son environnement.

Si Lombroso dénonce certaines pratiques culturelles ou religieuses qui encouragent les activités criminelles, il s’est vigoureusement opposé aux conceptions sociologiques déjà à la mode qui avançaient que les déviances seraient uniquement la conséquence du milieu.

 Donc de la société capitaliste. 

Sans inégalités ni injustices, plus de crimes, professaient les bonnes âmes. 

 

Une théorie toujours utilisée à la marge par des journaleux, des avocaillons et des politicards.

Lombroso fut proche des tendances accréditant l’idée d’une décadence générale de la société, pensant que la criminalité était appelée à augmenter. 

Combien avait-il raison ! 

Oubliant dans son pandémonium les intellos pousse-au-crime car le poisson pourrit toujours par la tête.

Bien évidemment, tout ce que la gauche sectaire et aveugle compte de salopards, adeptes de la culture de l’excuse, l’a honni et vomi, et n’a cessé de relever les erreurs factuelles qu’il a commis parce qu’il n’allait pas assez sur le terrain. 

Son travail sera repris par les analystes du VICAP au FBI, pour qui les tueurs emprisonnés deviennent des sujets d’études.

 

Comment construire un bagne sans verser des milliards à Bouygues ?

Les Anglais en Australie avaient trouvé la recette : Les bagnards construisent leur prison. 

Dans un premier temps, des tentes pour tout le monde, convicts et matons.

 Un encadrement minimum. 

En cas de mutinerie, un seul châtiment possible… 

Ensuite, construction par les bagnards de cases et d’entrepôts, en utilisant les ressources locales.

 Des pierres volcaniques empilées, et d’autres brûlées et délayées pour faire le ciment.

Quand il n’y a plus besoin d’encadrement, des hélicos viennent chercher les matons. On laisse quinze jours de vivres aux taulards. 

Un délai suffisant pour qu’ils apprennent à chasser, pécher et récolter les choux. 

Les cochons n’ayant pas de prédateurs naturels ne seront pas méfiants. Du moins au début.

Quand des nouveaux pensionnaires arriveront, les anciens les dresseront, les exploiteront et les sodomiseront.

 Ce n’est pas notre problème. 

Quant au nombre de résidents permanents, on peut compter sur les mœurs de ces gens-là pour faire de la place et réguler la démographie. 

La balle est dans le camp de Fripounette.

Par Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

 

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