Quand donnera-t-on enfin l’ordre de tirer sur les racailles qui attaquent nos gendarmeries ?
Ils nous font de beaux discours, les Retailleau et les Darmanin.
Ils nous parlent tous les deux de « points de bascule pour la République », comme s’ils ne pouvaient pas dire « France ».
Ils appellent à des actions énergiques.
Les Français ne pourraient que s’en réjouir, s’ils étaient certains que les paroles seront suivies des faits.
Or, deux exemples simples nous montrent que l’impuissance politique de nos ministres, qui représentent la France, est totalement assimilée par les racailles et les dealers, qui se permettent de narguer ouvertement notre autorité et de défier les forces de l’ordre.
Comment les Français peuvent-ils comprendre que des dealers s’affichant ouvertement pour vendre leurs produits de mort qui détruisent la jeunesse française ne risquent absolument pas leur vie ?
Or, il y aurait une légitime défense de l’État français et de ses représentants s’ils considéraient que ces voyous, étrangers à 99 %, membres de gangs violents qui se font la guerre, menacent d’abord la vie de nos jeunes les plus fragiles, et qu’à ce titre, ils doivent être abattus, sachant qu’ils sont tous armés, s’ils s’affichent dans l’espace public.
Une dizaine de dealers qui tomberaient, cela bouleverserait le rapport de forces, et ferait quitter la rue à ces gens qui par ailleurs n’ont rien à faire en France.
Autre exemple, nous apprenons qu’à Noyon, dans l’Oise, une trentaine de racailles s’en sont pris, au mortier, à la gendarmerie.
Il arrive aussi que cela soit à des commissariats.
Comment accepter que des symboles de la République, mais aussi et surtout de la France, puissent être attaqués en toute impunité, avec des policiers qui n’osent pas répondre aux assaillants ?
Oseraient-ils agir de la sorte, quand ils vont en vacances au bled, en Algérie, au Maroc ou en Tunisie ?
Dans ces pays, s’ils osaient se comporter ainsi, ils seraient abattus, et ceux qui seraient arrêtés se feraient massacrer dans les commissariats par les policiers, sans que cela n’indigne personne.
Dans un pays qui se ferait respecter – envisage-t-on Poutine ou Trump accepter cela ? – les forces de l’ordre auraient comme consigne de défendre leurs locaux et d’empêcher le moindre dommage occasionné par les racailles, souvent islamisées.
Ces actes de djihad recevraient donc la seule réponse à la hauteur de la gravité de l’agression : tirer sur les agresseurs, après les sommations, et les tuer si c’est nécessaire.
On n’attaque pas impunément les symboles régaliens de la France.
On ne peut pas parler de « point de bascule », si on ne se donne pas les moyens de protéger nos forces de l’ordre, y compris en votant des lois d’exception qui empêchent nos juges de s’acharner sur nos policiers et de préserver la racaille.
C’est ce qu’a réussi à faire le président Nayib Bukele au Salvador. Pourquoi ce qui a été possible au Salvador ne le serait-il pas en France ?
Si la peur ne change pas de camp – et elle ne changera de camp que quand il y aura des morts chez les voyous qui font la guerre à la France – les paroles des ministres demeureront sans effet, et le point de bascule basculera du côté des racailles islamisées, contre la France.
Source : https://ripostelaique.com/
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