mardi 23 septembre 2025

À L' ONU , MACRON RÉCOMPENSE LES ASSASSINS DU 7 OCTOBRE ET ENCOURAGE L' ISLAM À S' IMPLANTER EN EUROPE !

  




Reconnaissance de la Palestine : Macron favorise la montée de l’islam en accusant Israël

 

« Un antisémite est quelqu’un qui reproche aux Juifs d’habiter mentalement dans un ghetto, tout en se proposant de les empêcher physiquement d’en sortir… »                           

 (Alain de Benoist)

 

Indéniablement, incontestablement, Jean-Luc Mélenchon et son égérie Rima Hassan sont en train de réussir ce qu’ils ont entrepris subrepticement il y a déjà plusieurs mois, à savoir favoriser la montée de l’islam en Occident en accusant l’État d’Israël de « génocider » la bande de Gaza.

 

 Dans toutes les manipulations de masse, et ce depuis la nuit des temps, il faut désigner les gentils – les victimes – et les méchants – les tortionnaires. 

Mais si vous décernez aux tortionnaires le titre de résistants, ils deviennent… des victimes. 

Nous avons connu ça avec le Vietminh communiste en Indochine et avec les valeureux fellaghas du FLN pendant la guerre d’Algérie.

Aujourd’hui, à New-York, Emmanuel Macron, en pompier pyromane, va reconnaître au nom de la France l’État de Palestine. 

Il veut toujours être le premier de la classe mais il s’est fait souffler la vedette, hier, par le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie.

 Les dirigeants du Hamas jubilent et on les comprend : aucun de préalables à cette reconnaissance n’a été respecté.

Depuis quelque temps, l’opinion – en France, en Europe et dans le monde – a changé.

 Chez nous, les islamo-gauchistes de LFI sont à la manœuvre. Ils sont bien aidés par Macron et ses volte-face. 

Ils sont également aidés par le flamboyant Dominique Galouzeau de Villepin, ce type qui n’a jamais été élu nulle part mais qui donne des leçons de républicanisme à tout le monde. 

François Brigneau disait de lui : « Il a un nom de cheval de course ; un nom de pur-sang qui ne gagne jamais ».

 Depuis le 7 octobre 2023, il est devenu la coqueluche des plateaux-télé  du service public.

 Il y distille avec emphase son islamo-gaullisme qui est, en plus présentable, le pendant de l’islamo-gauchisme.

Ils sont aidés, aussi, par Olivier Faure, le patron d’un PS moribond qui ne sait pas quoi dire pour exister.

 Olivier Faure veut des drapeaux palestiniens sur les mairies. 

Le tribunal administratif s’y oppose mais je sais déjà que cette décision sera retoquée par l’une ou l’autre des officines qui sont le seul véritable pouvoir dans notre pays.

 En effet, nous avons toléré, accepté, voire encouragé des drapeaux ukrainiens, LGBT+, régionalistes – bretons, basques ou corses – et européens au fronton de nos mairies alors que seul le drapeau français devrait y flotter.

 S’il fallait autoriser un autre drapeau, il faudrait que ce soit… une serpillière tant ce pays coule ; tant il est déliquescent !

Il semble bien que le traumatisme causé par le massacre du 7 octobre 2023 soit oublié. Les attaques du Hamas ont pourtant tué 1200 civils (dont 37 enfants) et fait 7500 blessés.

 Et malgré la détention d’otages, dans les médias, dans les rues, dans les facultés et les grandes écoles gangrenées par l’ultragauche, on ne parle que de la défense des pauvres Gazaouis et des « crimes de guerre » commis par Israël.

 Des voix s’élèvent pour dire qu’une reconnaissance de l’État de Palestine passe par un désarmement du Hamas, mais de qui se moque-t-on ? À qui va-t-on faire croire qu’une paix est possible entre Israël et ce mouvement terroriste ? 

Le Hamas (حماس) acronyme de harakat al-muqâwama al-‘islâmiya (حركة المقاومة الإسلامية) est un mouvement constitué d’une branche politique et d’une branche armée, les Brigades Izz al-Din al-Qassam. 

Le Hamas est principalement actif à Gaza qu’il administre seul depuis juin 2007.

 Créé en 1987 par Sheikh Ahmed Yassin, Abdel Aziz al-Rantissi et Mohammed Taha, tous trois issus des « Frères musulmans », sa charte affirme que « la terre de Palestine est une terre islamique ». 

 Depuis sa création, il prône la destruction totale de l’État d’Israël et l’instauration d’un État islamique palestinien sur tout le territoire de l’ancienne Palestine.

Depuis le début du conflit, tout le monde reparle de la solution « à deux États » qui a déjà fait couler tellement d’encre depuis la résolution 242 des Nations Unies de novembre 1967.

 Il est difficile d’être contre cette idée sauf à dire qu’elle est totalement utopique et irréaliste. 

J’ai déjà expliqué, dans plusieurs articles, pourquoi c’était un doux rêve : la première proposition de création de deux États remonte à… 1937, lors de la « Commission Peel »

À l’époque, elle est rejetée par les arabes de Palestine, et acceptée par la plupart des dirigeants juifs.

Depuis, on tourne en boucle ; le problème est insoluble. Idéologiquement, personne ne peut être opposé à la création de deux États voisins, pour que les Palestiniens et les Israéliens cessent de s’entretuer, mais c’est quasiment impossible !

Il est indéniable que l’escalade des hostilités, qui dure depuis deux ans, est la plus meurtrière qu’ait connue l’enclave palestinienne depuis 2006. 

Les ONG, qui ont choisi leur camp, nous disent qu’un enfant est blessé ou tué toutes les dix minutes. 

Les survivants, eux, seraient 1,9 million à avoir fui vers le sud, notamment à Rafah. 

Les ordres d’évacuation – liés aux opérations militaires – ont entraîné le déplacement de plus d’un million de personnes principalement vers Al-Mawasi, une bande de terre à quelques kilomètres de la frontière égyptienne. 

Il est impossible de connaître le nombre exact de tués puisque les chiffres nous sont fournis par le Hamas.

En France, comme d’ailleurs dans tout l’Occident, on voit ressurgir l’antisémitisme, et pas seulement dans l’ultragauche. 

Ne soyons pas faussement pudibonds : il y a toujours eu – du moins depuis l’affaire Dreyfus – un fond d’antisémitisme en France. 

Et si je ne risquais pas de tomber sous le coup de la loi, je dirais qu’il est, sinon légitime, du moins très compréhensible et explicable.

 Hélas, depuis les lois Pleven, Gayssot, Taubira, etc., toutes ces lois « mémorielles » liberticides, il est interdit d’avoir un jugement critique, même nuancé, envers les Juifs. 

Il est pourtant fréquent, chez le citoyen  lambda, de critiquer la finance apatride juive, ou la mainmise des « fils de Canaan » sur les milieux de la confection, du cinéma ou du show-biz. 

Les droites d’avant-guerre voyaient des complots judéo-maçonniques partout mais il est difficile de leur donner totalement tort car, sous la IIIe République – surnommée à juste titre « la République des francs-maçons » – tous les scandales ou presque ont impliqué des frères-maçons ou des Juifs. 

Citons, juste pour mémoire, l’affaire Stavisky ou la faillite de la banquière Marthe Hanau. 

En revanche, ce même citoyen lambda est souvent admiratif de l’État d’Israël dont il loue le nationalisme, le courage et l’instinct de survie. 

Il note aussi qu’Israël est la seule démocratie du Proche-Orient et que ce petit pays, qui se bat « le dos au mur », reste un des derniers remparts de l’Occident devant la montée de l’Islam conquérant.

La reconnaissance par la France (et par 150 pays sur les 193 membres des Nations-Unies) de l’État de Palestine ne changera rien à la situation actuelle.

 Israël a perdu la bataille de l’opinion. Il ne lui reste plus que la fuite en avant, la guerre totale pour éradiquer le Hamas ; il en va de sa survie.

Dans ce conflit, il est indéniable que l’État d’Israël n’est pas blanc-blanc et que, depuis 1948, les torts n’incombent pas systématiquement aux Palestiniens. 

Mais dans le contexte actuel, je ne me trompe pas d’adversaire ; je soutiens Israël. 

Plusieurs de mes lecteurs et/ou amis m’en font le reproche. 

J’assume ma position pour quelques raisons simples : Israël est un État nationaliste, qui s’appuie sur une religion forte et qui défend ses frontières, ce qu’était la France autrefois ; la France que j’ai aimée.

 Les Israéliens représentent… 0,4 % de la population du Moyen-Orient ; ils sont entourés par 350 ou 400 millions de Musulmans. Israël se bat « le dos au mur » car il en va de sa survie.

 Tsahal, héritière de la Haganah, est une armée que j’admire depuis la « guerre des six jours »

J’ai toujours préféré les soldats, surtout ceux qui se battent bien, aux terroristes aveugles et aux poseurs de bombes.

 Et puis, si certains pensent que nous sommes loin de tout ça, je les invite à se demander pourquoi il n’y a (presque) plus de Juifs en Seine-Saint-Denis.

Par Eric de Verdelhan

https://ripostelaique.com/ 


ET AUSSI


 

N’en déplaise aux Juifs collabos, Macron c’est pire que Pétain

 

Les comparaisons historiques peuvent choquer, parce que les périodes sont décalées, et les contextes sont fort différents. 

C’est pourquoi notre titre, volontairement provocateur, peut heurter certains lecteurs, et pourtant, nous l’assumons. 

Macron vient de reconnaître à l’ONU un État palestinien, c’est-à-dire que, moins de 18 mois après le 7 octobre 2023, il récompense les assassins. 

Reconnaître un État palestinien, c’est encourager l’islam à s’implanter en Europe, c’est un soutien au djihad, c’est un appui à la progression du voile islamique, aux boucheries halal, aux agressions musulmanes contre nos compatriotes. 

C’est livrer les Français à ceux qui veulent nous imposer la charia. 

C’est se soumettre aux égorgeurs et aux collabos de gauche qui les soutiennent, c’est encourager les maires collabos à afficher sur leurs mairies le drapeau des islamistes assassins.

La reconnaissance par nombre de pays européens de cet État palestinien est un acte de soumission supplémentaire de nos dirigeants immigrationnistes à la rue arabe. 

Mis à part pour des raisons bassement électoralistes, rien ne justifiait de la part de Macron, qui ose parler au nom de la France alors qu’il a décidé seul, la reconnaissance d’un État palestinien que personne n’est capable de définir, ni d’expliquer quelles en seront les frontières et les règles. 

Les Israéliens et les Juifs lucides qui vivent en France ont compris, eux, qu’un État palestinien, que Netanyahou n’acceptera jamais, n’était qu’un nouvel outil pour parvenir à l’objectif de tous les dirigeants qui ont succédé à Yasser Arafat : détruire Israël, exterminer les Juifs, parce que les musulmans n’ont jamais accepté, et n’accepteront jamais, que les Juifs aient un État.

Pourquoi dans ce titre attaquer les Juifs collabos, et qui sont-ils ? 

Ce sont tous les Juifs de gauche, la Licra, le Crif, l’Union des Étudiants Juifs de France, l’Union des Juifs Français pour la Paix, les gauchistes juifs de type Arié Alimi, les éternels donneurs de leçons de comme BHL, Finkielkraut ou Attali, le rabbin Korsia et tous ceux qui ont passé leur temps à cracher et à vomir sur ce qu’ils appellent l’extrême droite française, à insulter Benjamin Netanyahou, pourtant l’homme providentiel pour Israël, à réclamer deux États pour 

Deux Peuples en se disant pacifistes. 

Ces doubles traîtres, à la France et à la communauté juive, ont été incapables d’organiser la moindre riposte à la volonté de Macron de provoquer et d’insulter un pays, Israël, et un peuple qui se battent pour ne pas mourir. 

Ces collabos ont imposé l’immigration musulmane à la France et à nos compatriotes, ils ont traîné devant les tribunaux les meilleurs des nôtres parce qu’ils s’opposaient à l’invasion massive et à l’islamisation de notre pays. 

Ils ont obtenu de Chirac qu’il demande pardon aux Juifs pour la rafle de Vichy, comme si la France était coupable d’avoir perdu la guerre et d’avoir été envahie par l’occupant nazi, qui imposait sa loi au pays. 

Démarche d’autant plus hypocrite qu’ils n’ont rien dit quand René Bousquet, auteur de la rafle du Vel d’Hiv, est devenu le directeur de la Dépêche du Midi, journal de gauche de la famille Baylet, proche de Mitterrand, l’homme à la francisque.

C’est en ce sens que, n’en déplaise aux collabos juifs, Macron est pire que Pétain. 

Nul ne peut nier, quelles que soient les erreurs qu’il a pu commettre, et trop de Juifs en furent victimes, que le vainqueur de la guerre de 1914-1918 était un patriote sincère et que tout ce qu’il a fait, même quand ce n’était pas toujours glorieux, se passait dans la France occupée où il essayait de limiter les dégâts, sacrifiant même, comme l’affirme Éric Zemmour, malgré les hurlements et les procès de la Licra, les Juifs étrangers pour sauver les Juifs français. 

Cette période fort complexe mérite mieux que les raccourcis trop faciles faisant passer Pétain (que 80 % des Français applaudissaient encore en 1944) pour un salaud et de Gaulle pour un héros. 

Tous deux étaient des patriotes sincères qui avaient choisi deux voies différentes pour essayer de sauver la France occupée.

 Macron, lui, au contraire de Pétain, organise, avec la complicité de Mélenchon et ses amis, l’invasion de notre pays et son occupation par des soldats d’Allah porteurs d’une civilisation antagonique à la nôtre.

 Il n’a pas l’excuse d’une défaite militaire, il détruit méthodiquement la France et, avec la complicité des mondialistes, la livre à nos pires ennemis, parce que, « tel est son projet ».

C’est pourquoi la reconnaissance par Macron d’un État palestinien est pire que la poignée de main entre Pétain et Hitler, à Montoire, le 24 octobre 1940, 85 ans avant que Macron ne lèche les babouches musulmanes depuis New York, à l’ONU.

On rappellera qu’il y a 80 ans, Pétain avait été condamné à mort par ses juges pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi…

A SUIVRE ....... 




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