mercredi, 10 septembre 2025
Gauchos collabos !
Synthèse nationale
Notre site a été l'un des premiers (dès le 27 juillet) à attirer l'attention sur la récupération par l'extrême gauche du "mouvement du 10 septembre".
Aujourd'hui, à ceux qui pourraient s’interroger encore sur la raison d’être de l’ultragauche, le monôme des zombies en cours dans un certain nombre de grandes villes vient apporter la réponse : à empêcher l’expression, comme en 2018-2019, au moment des Gilets jaunes, de la légitime colère de la masse des Français qui trime, et rame de plus en plus, dans un pays qui s’enfonce et qu’elle ne reconnaît plus.
Les cohortes clairsemées de petits bourges "éléfisés", de casseurs en noir, de punks à chiens, de collabos islamo-gauchistes, de migrants manipulés, de vieux chnoques décatis passés par tous les combats anti- de la gauche française ne servent… qu’à maintenir le couvercle sur la marmite et prolonger le système qui détruit notre pays et notre peuple !
Mais tant vont les "gauchos" aux manifs qui passent qu’à la fin ils lassent !
Les Français sont de moins en moins dupes.
Ils voient de plus en plus la grosse ficèle, ils refusent la combine…
Pour autant, leur ras-le-bol demeure, ça branle dans le manche, la colère enfle, la pression monte.
Le pouvoir, la classe politique, les élites feraient bien de ne pas oublier cette réalité et, enfin, de la prendre en compte.
Soit ils s'occupent vraiment de tous les problèmes (dette publique, désindustrialisation, poids des prélèvements obligatoires, suradministration, inflation normative, dénatalité, submersion migratoire, insécurité, etc.) et s'emploient à redresser le pays, soit le pays les balaiera !
La France dans le chaos : le calcul de Macron pour rester
dans Politique —
par Francesca de Villasmundo — 10 septembre 2025

La France est en proie à des manifestations dans le cadre du mouvement « Bloquons tout », avec 400 personnes prenant d’assaut la gare de Lyon à Paris et des affrontements à Marseille et Lyon.
La tension monte à Paris.
Le chaos pourrait s’installer : pour le plus grand intérêt de Macron qui pourrait se poser en sauveur.
La mobilisation paralyse Paris et d’autres villes.
Mélenchon reprend à son compte, avec ses copains petit-bourgeois nantis des black blocs, le flambeau du mouvement né hors des partis politiques, et le stérilise ainsi.
Les services de renseignement craignent une escalade pire que celle des Gilets jaunes.
Mélenchon reprend à son compte, avec ses copains petit-bourgeois nantis des black blocs, le flambeau du mouvement
Outre le soutien de La France insoumise, la mobilisation a recueilli le soutien du Parti socialiste, des Verts et de grands syndicats comme la CGT, Solidaires et Sud-Rail.
L’objectif est de paralyser le pays par des blocages routiers, des grèves des transports, des difficultés de fonctionnement des écoles et des hôpitaux, des boycotts, et même le retrait symbolique de l’épargne bancaire.
Dès ce matin, mercredi 10 septembre, le mouvement « Bloquons tout » a démarré avec des violences : des affrontements et des tensions ont éclaté aux abords de la gare du Nord à Paris, l’un des principaux pôles ferroviaires du pays.
Un groupe de manifestants vêtus de noir, façon black bloc, le visage masqué et cagoulé, a tenté d’entrer dans la gare, mais a été repoussé par un important contingent de policiers en tenue anti-émeute.
La police a dispersé la foule à coups de gaz lacrymogène, tandis que des slogans tels que « Nous sommes tous antifascistes » étaient scandés par haut-parleurs.
La nouvelle cible de la rue est Emmanuel Macron
Le nombre d’arrestations en France s’élève à 295 au cours de la journée de manifestations, avec des incidents et des affrontements entre manifestants et forces de l’ordre signalés dans plusieurs villes, selon le ministre français de l’Intérieur, Bruno Retailleau.
171 interpellations ont été effectuées en Île-de-France, et quatre policiers ont été légèrement blessés.
Dans la capitale, la police a tiré des gaz lacrymogènes devant plusieurs lycées, déjà devenus des points chauds de la contestation.
Des voitures ont été incendiées et des affrontements entre policiers et manifestants ont eu lieu à Rennes, Nantes, Lyon et Toulouse.
Retailleau a déclaré : « Cette manifestation n’a rien d’une manifestation citoyenne.
Elle a été déformée, détournée et confisquée par l’extrême-gauche. »
Les manifestations étaient nées du mécontentement envers la politique économique de l’ancien Premier ministre François Bayrou, qui avait proposé des coupes budgétaires totalisant 44 milliards d’euros, la suppression de deux jours fériés et un gel des retraites.
Mais le vote de défiance à l’Assemblée et sa démission à l’Élysée ont rapidement changé la donne : la nouvelle cible de la rue est Emmanuel Macron, accusé d’incarner le système à renverser.
Les slogans « Macron démission » et « Macron destitution » ont été ajoutés à la nouvelle motion de défiance présentée par la gauche radicale, qui n’a aucune chance réelle de succès mais sert à alimenter la pression politique.
Le calcul macronien : la gauche sème le chaos, et Macron rétablit l’ordre
Le mouvement « Bloquons tout » est né sur la chaîne Telegram et s’est rapidement étendu pour devenir un mouvement revendicatif transpartisan.
Initialement proche des courants souverainistes et anti-vaccins, il a ensuite été adopté par la gauche radicale.
Et la presse, fait intéressant, s’en est fait l’écho très vite, tout comme Jean-Luc Mélenchon qui mise tout sur la mobilisation sur le terrain, voyant dans le succès de « Bloquons tout » un tournant décisif pour son propre avenir politique.
Pourtant, si Mélenchon et la gauche de LFI veulent se servir de ce mouvement pour se faire mousser, un autre a un intérêt à laisser perdurer ce chaos alimenté par les violences des gauchistes dans lesquels le Français moyen, laborieux et pressuré fiscalement ne se retrouve pas.
Ce même Macron vilipendé par la foule.
Ne serait-ce pas un calcul profitable pour lui qui, la population se retrouvant face au stress, au chaos et à un état de possible ‘guerre’ permanent, pourra se poser en sauveur d’un pays qu’il a emmené non aux bords de la catastrophe mais dans l’abîme ?
On l’a déjà vu par le passé, jouer de petit jeu-là… pour rester jusqu’en 2027.
Par Francesca de Villasmundo
Source : https://www.medias-presse.info
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