dimanche 14 septembre 2025

VOUS N' AVEZ PLUS VOTRE PLACE EN FRANCE ! LE PRÉFET QUÉMANDE LE DÉPART DES DÉLINQUANTS ÉTRANGERS ....

 

« Messieurs, vous n’avez plus votre place en France » : le préfet quémande le départ des délinquants étrangers

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Scène ubuesque ce vendredi matin à la maison d’arrêt de Nanterre. Alexandre Brugère, préfet des Hauts-de-Seine, a choisi de s’adresser directement à dix-sept détenus étrangers. 

Face à eux, il leur a lancé : « Messieurs, vous n’avez plus votre place en France et vous n’êtes pas les bienvenus. 

Vous pouvez partir dans la dignité ou par la force. »

Le décor ? Un gymnase lugubre, dans une prison saturée : 1 320 détenus pour 590 places, 200 % de densité carcérale, 160 matelas au sol et 180 cellules triplées. 

Et surtout, un chiffre accablant : 54 % des prisonniers sont étrangers. 

Oui, plus d’un détenu sur deux. 

Voilà l’état réel de la justice française.

La carotte plutôt que le bâton

Mais le plus hallucinant n’est pas dans le constat. Il est dans la méthode. 

Car loin d’expulser avec fermeté, l’État quémande. 

On ne menace pas vraiment : on incite, on « accompagne », on paye.

Jusqu’à 1 200 euros, plus 600 euros pour les familles, un billet d’avion et, pour les plus chanceux, un programme de réinsertion financé par la France dans leur pays d’origine, pouvant aller jusqu’à 7 000 euros. 

Autrement dit : délinquant étranger, ta récompense pour avoir violé nos lois, c’est un pécule offert par le contribuable français et un petit coup de pouce pour recommencer ailleurs.

Voilà donc la politique migratoire de la République : supplier des criminels étrangers de bien vouloir s’en aller, leur glisser une enveloppe dans la main et les raccompagner poliment à l’aéroport. 

Pendant ce temps, les honnêtes citoyens, eux, paient leurs impôts, subissent l’insécurité et attendent des soins dans des hôpitaux engorgés.

Une faiblesse érigée en système

Ce que révèle cette opération, c’est l’effondrement de l’autorité de l’État. 

Un préfet contraint de se déplacer en prison pour « convaincre » des délinquants d’accepter une expulsion qui devrait être automatique.

 Des matons dépassés, des prisons saturées, et un pays qui paie pour ses bourreaux.

Il y a quelques décennies, la formule « vous n’avez plus votre place en France » aurait été suivie de faits. Aujourd’hui, elle se termine par un chèque Western Union.

La France n’expulse plus, elle subventionne les départs. 

Elle ne punit plus, elle récompense. 

Elle ne protège plus ses citoyens, elle rassure ses délinquants. Et après cela, on viendra nous expliquer que « la fermeté est au rendez-vous ».

En vérité, c’est la faiblesse qui est devenue la règle.

 Et la France, elle, continue de s’enfoncer.

 

Source :  https://lalettrepatriote

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